Aujourd’hui j’ai dit à ma tendre et chère muse
Que chaque lettre de ce poème est son empire
Même quand elle respire, la belle m’inspire
Et j’aspire à ce que mes bêtises l’amusent
Ainsi j’use souvent de l’absurde ou la ruse
Pour contempler son doux sourire enfin s’ouvrir
Puis croître et grandir s’envoler vers le rire
Elle m’hypnotise, la joie par ses yeux fuse
Tu es celle dont le cœur reflète le soleil
Et dont le doux regard provoque mon éveil
Merci d’être venue troubler ainsi mon sommeil
Pour venir chuchoter ces vers à mon oreille.
Face à toi seule, alors ma carapace flambe
Et tant je t’aime fort que mon être en tremble
Tu es l’unique idole qui tant me ravit
Je t’offre mon âme entière, mon cœur, ma vie