Vingt mille lieues sous les mers, de Jules Verne

Il faut lire Vingt mille lieues sous les mers pour s’embarquer avec le mystérieux capitaine Nemo dans une odyssée scientifique et poétique. Verne y marie aventure, émerveillement et vision futuriste, offrant un voyage sous-marin inoubliable qui nourrit l’imagination et la soif de découvertes.

J'ai lu Murambi, le livre des ossements de Boris Diop

« La mémoire des peuples n’est pas un fardeau à porter, mais une lumière à transmettre ; elle éclaire les vivants et rappelle aux morts qu’ils n’ont pas disparu en vain. »  &laq…

Je garde ma lumière allumée

Chaque jour j’avance sur ce chemin encore vide d’espérance, J’attends en silence Ce moment où enfin je pourrai dire que j’ai réussi, J’attends cette heure qui me dira que mon objectif est ac…

Inauguration du webinaire du peuple des mots

Nous vous promettions de nouvelles avancées avant la fin de l’année, et nous sommes très heureux de tenir promesse, car depuis cette semaine vous pouvez compter sur de nombreuses évolutions du site, et pas des moindr…

Sur un air de gaieté

Allégresse à tout va. Et je minore, ma peine. La joie emporte tout, Même les plus grands, des secrets. Et ces questionnements, Qui remuent dans ma tête, Je ne peux pas les sortir. De la gaieté, à en pleuvoir. Pour les jours à combler.   Ô m…

PARTIR

Partir c’est écouter l’appel des étoiles Quand la nuit murmure Va cherche ailleurs la lumière C’est fermer la porte d’un passé qui tremble Et marcher vers un demain qui n’a pas de visage L’immigration est une mer sans carte Où chaque vague porte un…

Mourir, si peu de chose ... 2

                                    -            Bonjour, lança-t-elle.   -            Bonjour, répondirent-ils en chœur.   Ils souriaient. Elle sentit une vraie bienveillance, mais aussi des yeux qui voyaient au-delà de l’étoffe.   -    Je vous observais et je crois que vous êtes frère et sœur et puis, j’ai senti de la vraie connivence entre vous et comme quelque chose de foncièrement bon à l’égard de la nature, des arbres plus spécifiquement.   -        Merci, répondit le jeune homme, dans un petit sourire.   -    Ne vous étonnez pas de mon intrusion. Il existe encore par ici des personnes qui parlent la langue de l’humain. Et puis, j’ai le temps de m’arrêter pour voir les belles choses. M’adresser à vous fait ma journée. Je vis seule, j’observe, j’ai encore assez d’énergie pour faire partie de ce monde, mais les instances supérieures ont décidé qu’il fallait me mettre en marge, dit-elle en souriant.      Le jeune homme la regarda et la demoiselle, el…

Mourir, si peu de chose ...

Mourir, si peu de chose ...                  1.   Nous mourrons tous à tour de bras. C’est inéluctable. Et c’est dommage au vu des réalisations que nous pourrions encore accomplir. Peut-être que le temps ferait bien de prendre une petite pause pour laisser souffler les femmes et les hommes, les grands et les petits. On passe sa vie à penser à la mort, à l’imaginer et à la redouter dès la fin de l’insouciance de la jeunesse.  Pourtant en mourant, toutes les souffrances s’arrêtent et ce sera l’extinction des feux de la machine corps. Alors pourquoi craindre cette paix éternelle ?     Quand elle rentra du Japon, elle appela sa mère et lui dit que la planète était minuscule au final.     -   J’étai…

LA FEMME VOILEE

Elle marche dans la rue, discrète et sûre d’elle. Son voile n’est pas une barrière, mais un choix, une part de son identité. Derrière ce tissu, il y a un sourire, des rêves, des ambitions. Elle est étudiante, mère, amie, professionnelle. Elle vit sa…

Sous le voile léger du givre,

Un voile de givre recouvre le jardin un autre de brouillard enveloppant la ville comme un cocon   Une pluie de feuilles dorées a enrichi la pelouse   Trois bouquets de marguerites et deux roses l'une blanche l'une rouge ont résisté au gel…