Je me fraye un chemin a travers l'affreuse vérité.
Les manques de vie pendant toutes ces années.
Je ne peux regarder le miroir sans entrevoir ton reflet flou.
Du sable s'égraine sans passer à l'amer.
Je t'ai déçu surement davantage qu'hier.
Le sens n'existe plus au milieu de ma déraison.
Je tue les regards par ma médiocrité sidérante.