La fin de l'hiver

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Une seule goutte d'eau dans le désert 

Une seule larme de mes yeux

Je ne te promets pas

L'univers

Alors fait un voeux

Pour une fois

 

Le drame sied à l'âme 

Pour peu que tu t'arrêtes 

Faire le tour

De ce vacarme 

Je grandis dans ta tête 

Au beau jour

 

Ta maladie me transperce

Le cœur et j'en oublie

Qu'elle peut partir 

Qu'enfin cesse

La tristesse infinie

Il faut se couvrir

 

Un seul vers d'un poème

Un seul baiser de ma bouche

Je ne te promets pas

La fin de l'hiver

Alors fait nous deux

Encore une fois


Publié le 23/09/2025 / 11 lectures
Commentaires
Publié le 23/09/2025
Il y a une forme d’aliénation de l’autre qui revient souvent dans tes écrits, comme de l’impossibilité d’être sans être dans le coeur ou l’âme de cet.te autre, une dépendance qui peut sauver ou faire perdre la raison… Comme des siamois dans un même corps, à la fois dans le désir de pouvoir s’émanciper, mais douloureusement attaché à ce qui fait son tout. C’est bouleversant.
Publié le 23/09/2025
Sûrement une forme d'absolu mais imparfait. Sûrement aussi une forme de résilience, de renaissance. Sûrement que j'écris pour combler un vide. Sûrement que ce n' est pas un hasard si j'écris grâce à elles. Ton message me va droit au coeur surtout quand je regarde mon chemin torturé vers l'écriture. C'est moi qui suis bouleversé...
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