Un amour qui n'existe que dans nos coeurs

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C'est par un hasard que le temps heureux viendra. Tu sais il n'est pas trop tard, moi je t' attendrais. Les nuits de rage où ta tête sur le mur cogne. Les nuits dans cette cage vide sans ouverture. Et j'imagine prendre ta main tremblante, je ne suis pas fier. La serrer contre mon âme pour ne plus avoir froid, jamais. Je ne sais plus très bien qui je suis, au moins la poésie ne m'a pas détruit. Et je prendrais la route, abandonner mes histoires qui ne tiennent pas... sans doute. Je ne prendrais pas de fleurs, j'aurais seulement des larmes au fond de mes yeux. Tu auras ce sourire que je vais embrasser. C'était il y a 10 ans comme autant de cons que l'on a semé, autant de doutes que l'on a brûlé, autant de peurs que l'on a brisé. C'était une folie mais la folie nous aide à enchanter le monde. Promis on n'ira pas se faire soigner même si on est malade d'un amour qui n'existe que dans nos coeurs.


Publié le 18/08/2025 / 10 lectures
Commentaires
Publié le 19/08/2025
Ce texte correspond également au commentaire sue je biens de te laisser précédemment dans « Tu me diras les rêves ». Ce tiers, réel, fictif ou idéalisé complexifie dans la nature du partage peu évident la compréhension des textes où s’entremêlent également souvent les rêves. Les mots sont saisissants dans un contexte trouble, ils deviennent pareil à un phare, un ultime rempart pour éviter le naufrage.
Publié le 19/08/2025
Tes commentaires me donnent à réfléchir. Merci Léo. Je saisis certaines choses que je ne voyais pas.
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