GAZA JE TE PARLE

Cette ville et ses habitants martyrisés et l’on peut parler de jeunesse sacrifiée sur l’autel de la barbarie… en mai 2021 71% de la population avait moins de trente an, les enfants 41%. En mai 2024 84% des équipements de santé détruits ou endommagés, 85% des écoles le même sort… sur des dizaines de milliers de morts 83% étaient des civils… les chiffres sont édifiants et derrière chaque chiffre l’on parle de vies humaines. C’est accablant, c’est aliénant, c’est à pleurer et hurler pour des siècles et des siècles.

Oui... J'ai ce film "Gaza mon amour" de Tarzan et Arab Nasser et regarde souvent des reportages sur Arte. ça fait mal même de loin.

Tes mots résonnent comme un cri du cœur, à la fois douloureux et plein d’amour. On y sent la blessure d’un monde qui chancelle, mais aussi la force d’une humanité qui refuse de s’éteindre. Tu parles à Gaza comme on parle à un être cher, avec une tendresse mêlée de colère, avec la foi fragile mais tenace qu’un jour la paix sera possible. Ce mélange de tristesse et d’espérance touche profondément, car il rappelle que même dans la souffrance, l’amour demeure une forme de résistance. Ton poème est un souffle, une prière, une promesse de ne pas oublier.

Ta façon d’exprimer la douleur et l’espoir est vraiment touchante. Les images que tu utilises, comme “la lumière qui refuse de s’éteindre”, sont à la fois belles et inspirantes. J’aime comment tu alternes entre colère et tristesse tout en gardant une note d’espoir. Ton texte résonne vraiment et nous rappelle combien la paix est importante. Merci.