Grisette

Je t'ai accueilli 

Il y a un an et demi

Tu étais flagada et raplapla

Grisette

Tu ressembles à une tigresse

Grise

Les yeux jaunes

Ton regard m'impressionne

Grisette a toujours faim

Tu ne vas pas chasser la petite bête

Et gambader dans la forêt

Grisette est une mémé

Tu ronronnes et me suis partout

Tu fais la guerre à Bibou et à Grisouille

Mais Faouzi lui tu le crains

Tu cours toujours après Bibou

Le petit chat de Chou

Mon Choucoucou

Qui choucoucoute la bibine toute la journée

Toujours cloîtrée près de la cheminée

Grisette tu me plais bien

Un jour couchée sur mon lit

Je t'ai vu faire la toilette

Et là grisette 

J'ai aperçu ta quéquette

La dame a laissé place au garçon

Grisette a une quéquette

 


Publié le 12/11/2025 / 9 lectures
Commentaires
Publié le 13/11/2025
Franchement je ne m’attendais pas à cette chute, merci pour le fou rire Salima.
Publié le 13/11/2025
De rien Léo c'est une histoire vraie.
Publié le 13/11/2025
Bien ri aussi d'autant plus que 3 derniers chatons connus désignés femelles sont tous des mâles. J'en ai pris un que j'ai baptisé Chamallow. Il devient très affectueux et vif comme l'un de ses frères. J'aurais du le nommer Flèche ou bouffeur de couettes. Quand au 3ème, rien à faire pour le sociabiliser. Un vrai tigre sauvage, "terreur" des vétérinaires. Il en va des chats comme les gens.
Publié le 13/11/2025
Joli hommage à Grisette, plein d’humour et d’affection, qui fait sourire et réchauffe le cœur. Bravo pour cette célébration de la vie animale et de la tendresse qui l’accompagne ! Et quelle rigolade !!
Publié le 14/11/2025
à propos de chat, Matin ordinaire, lever tôt mais véto. L'air de rien, je vaque à mes occupations. Ne pas transmettre ce peu de stress à mon nouveau chat. Je le surprend, Chamallow, assis sur ma couette. Juste le temps de dire non, il pisse dessus alors qu'il est propre. Je râle. Il file sous le canapé. Je sors un peu de thon dans une soucoupe, trop sûre de moi. Il ne sort que la tête, alléché par le parfum. L'heure tourne. Je tente de l'amuser avec ses jouets préférés. Rien à faire ! Je me décide à le faire sortir en le poussant avec un bâton. C'est fichu. Je transforme mon appartement en prison à chat. Chamallow profite de chaque interstice pour s'y faufiler. Je bouche tous les passages avec des caisses, des cartons, des coussins, des piles de livres. Il m'échappe ! Enfin acculé dans la cuisine, j'en ferme vite la porte. Il crache, bondit, gratte les carreaux puis s'assoit, en colère, dans le recoin du rebord de la fenêtre. Je l'attrape d'un geste vif par le cou. Ouf ! Et le rentre dans son panier. Mon gendre arrive. Ce fut à une minute près. Rentré à la maison, Chamallow boude mais est sorti en cachette manger son thon. Dans quelques jours, stérilisation. Quel traquenard vais-je pouvoir trouver ? Des crevettes dans la cuisine ? Un filet à papillon ? En attendant, c'est "Fort Boyard " chez moi. Ranger...
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