Avant de vous annoncer les grosses évolutions en cours, partageons avec vous toutes les nouveautés. Et encore avant, le magnifique mois d’écriture que nous venons de vivre et celui à venir.
Si la poésie ne change pas encore le monde, elle a changé la trajectoire du peuple des mots puisque l’atelier « Alexandrie alexandrin » a battu le record de participations avec 10 propositions à lire ici (et ça vaut le détour parce que la qualité a été au rendez-vous). Remercions chaleureusement Francis Etienne Sicard Lundquist qui a mouillé la chemise, tant dans la préparation avec la conception des outils d’accompagnement que dans les retours complets et très constructifs. À noter que les participants qui ne l’ont pas encore fait peuvent recevoir gratuitement son livre « Le voyage bleu » offert gratuitement (frais de port compris) en nous transmettant leur adresse postale en cliquant en bas de page sur « Nous contacter ». Nous planifierons d’autres ateliers d’écriture sur la poésie.
Et pour novembre ? Deux choix s’offrent à vous : participer à l’atelier d’écriture ambiant pour nous faire peur avec « Escape Game » et un autre atelier, très technique pour celles et ceux qui aiment défier leurs capacités avec « Les figures de style ». L’un ou l’autre donc, et pour les plus exigeants, les deux !
À noter que vous pouvez tester vos connaissances sur les figures de style grâce à un quiz littéraire proposé par Agathe et Lilas que nous remercions.
Ouf. Petite pause. Avec un ÉNORME MERCI à toutes celles et ceux qui nous ont rejoints le mois dernier. Pensez à ajouter une photo, une bio, et un point d’emplacement sur la planète proche d’où vous habitez, histoire de mettre un peu plus d’humanité dans nos échanges. Nous sommes pas loin de 400 provenant de 23 pays dans le monde.
Avant de vous parler de la forge des mots, vous dire que ce mois d’octobre a permis de développer notre bibliothèque commune puisque vous y trouverez un espace pour partager vos livres préférés (et en expliquer les raisons) ; un autre pour lire des livres gratuitement avec la mise en place d’un marque-page numérique permettant de reprendre la lecture là où on l’a laissé sur une prochaine connexion : pas loin de 20 livres vous sont déjà proposés, et plusieurs autres rejoindront leur rang d’ici la fin de l’année qui devrait compter une cinquantaine de livres ; et enfin, un espace pour valoriser les livres publiés par les auteurs du peuple des mots avec un lien direct vers son point de vente.
Bon. Re pause (parce que ce n’est pas fini). MERCI à toutes celles et ceux qui participent et commentent, font preuve d’altruisme et se saisissent de cette opportunité pour s’enrichir et muscler leur écriture ou acuité de lecteurs et souvent les deux réunis.
Et si on parlait de la forge des mots ?
C’est probablement ce qui est le plus attendu depuis la création de ce site : un endroit où l’on peut être critique (bienveillant et constructif), sans frustration. Un endroit où seraient partagés tous les axes d’amélioration de vos textes à l’endroit précis où cela semble nécessaire. Un endroit où vous-même pourriez recevoir un autre avis que celui de vos proches toujours très (trop ?) conciliants.
Les forges des mots seront, un choix consenti pour oser se confronter à l’après de son écriture que l’on pense aboutie, et un sanctuaire propice à s’exhausser, à travers ses mots, avec celles et ceux qui ont les mêmes objectifs. Un laboratoire d’écriture concret et pragmatique, reposant sur l’implication d’une communauté d’exigence.
Et surtout, un endroit, ce faisant, qui respectera aussi le choix des auteurs qui viennent écrire juste pour le plaisir et sans vouloir se prendre la tête (ce qui existe déjà en ce moment), sans avoir à se sentir mal ni culpabiliser : Chacun vient avec les mots qu’il peut et le temps qu’il a. Écrire et se publier aux yeux des autres est déjà un acte de courage que chacun se doit de respecter, puisque personne n’a rien à imposer à quiconque.
Poursuivons ensemble, vers ce qui nous anime le plus, en toute quiétude, avec l’assurance que votre place, en tant qu’auteur comme lecteur, est bien ici.