Bonjour et Bienvenue Jean-Luc. Votre Haïku est un moment suspendu, car rien ne laisse présager que l’instant devint funeste. Peut-être que l’oiseau a quand même repéré le chat et s’est immédiatement tu pour ne pas se faire repérer davantage. Je viens de lire juste avant le texte d’Archibald Chase publié juste avant vous, « Nid interdit » qui donne ce point de vue justement. A plus tard.
Merci pour cette appréciation de mon brimborion. Sachez que je n’impose aucune lecture orientée de mes écrits. J’ai coutume de dire que mes petits assemblages de mots se murmurent aux portes des silences ; peut-être timides, sans doute discrets, ils fuient les déclamations emphatiques et les récitations scandées; mes mots ne prennent vie que dans le colloque singulier qui unit leur auteur à son lecteur, ainsi vivent mes mots.