Explorer l’Histoire et l’humain qui la fabrique et en écrit quotidiennement de nouvelles pages. Explorer les autres et être aussi à l’attention et à l’écoute de soi. Il y a les autres, cet enfer, mais qui est t-on soi et que faisons-nous pour nous et surtout pour les autres pour changer les choses. Il y a le questionnement et l’indispensable besoin d’agir, et par là-même de vivre. Les autres c’est le risque , mais c’est aussi une grosse partie des solutions car seul on ne peut rien, quand bien même ve patient vient à oenser qu’il sait tout. Merci Sam, te remercier pour ces réglexions etnpour ces images d’illustration qui sont à chaque fois trés esthétiques.
Le temps fait tout à l’affaire et c’est ce dont nous manquons cruellement dans notre condition humaine. Ton poème prophétique offre une part de rêve et de bien-être par procuration : seuls les mots nous survivront, soyons heureux pour eux et faisons nôtre en les lisant et en nous en inspirant, une part symbolique d’éternité. A plus tard Francis Etienne.
Merci de cette précision Sam qui change effectivement l’approche dans la lecture. Chacun vient quand il peut et veut bien, et je suis bien d’accord sur toutes les belles écritures que nous côtoyons ici, c’est un vrai bonheur.
Bonsoir Léo et merci de votre commentaire. Le cadre posé est le cabinet d'une psychothérapeute, ce qui explique le ton exacerbé du personnage. Je ne suis pas très présente parmi vous pour la raison que vous connaissez. Mes amitiés littéraires et merci de votre invitation. Il y a de ces plumes fort saisissantes parmi vous ( nous ).
La toute puissance de la nature s’impose dans ton poème. Un tourbillon d’éléments qui n’auront pas de mal à faire tomber toutes les branches de vérités. Enter mer et ciel, un horizon funeste, comme pour consacrer une fatalité inexorable… le seuil et le deuil, ces points de passage pour disparaître à tout jamais. Puissant, et c’est l’humilité qui s’impose après lecture, merci Francis-Etienne.
Pouvoir des mots et des images oniriques dans ton nouveau très beau poème aussi précis qu’une horlogerie suisse qu’aucun gravier ne parviendrait à enrayer tant sa puissance et sa fluidité conjuguent leurs accords. Ce temps qui passe est un temps plein de vie, empli de belles émotions. A plus tard Francis Etienne.
Bonjour Gilbert et merci pour ce nouveau partage qui rend un bel hommage à la radio, pourvoyeuse de culture et d’identité. La musique adoucit les âmes et la radio est un support indispensable pour créer et sauvegarder le lien humain. Les choses se retournent si vite…
Merci Sam du partage. J’aime bien cette idée que l’on puisse tonner. Plus que la nature des hommes, c’est son interaction avec les autres que ce patient semble maudire, habité par la certitude qu’il leur est supérieur dans son analyse à leur égard. Vivre dehors, c’est vovre zvec les autres, quand bien même ces autres sont décevants ou détestables. parviendra t-il à mieux les comprendre pour mieux leur pardonner et consentir à partager de nouveau cet espace délicat qu’est la société ? A suivre. Merci Sam, plein de choses intéressantes !
Que ce soit la lumière, les astres et ou les cieux ; tous aussi vastes, insaisissables soient-ils, ne semblent être en pouvoir de garantir la toute puissance de leur règne. Tout est interdépendant et tout ne tient en équilibre qu’à travers les situations sui surviennent et la part d’adversité qu’elles revêtent. Beaucoup d’humilité à la lecture de ton poème Francis Etienne, je t’en remercie.
Un poème suspendu, en alerte, où l’on sent bien que tout peut basculer d’un instant à l’autre. On perçoit le drame tapi dans l’ombre de l’avenir. L’occasion de saluer une nouvelle fois ton grand talent à faire naître des ambiances fortes à travers l’évocation d’images fortes. Merci Francis Etienne.
Oui. J'avais ce texte en magasin. Pour un 8/3, ça s'imposait. La bataille est rude. Mais il ne s'agit ni de de vainqueurs ni de perdants. Merci pour ton passage.
la beauté des lettres (et plus spécifiquement la poésie) est un antidote à la médiocrité et lorsqu’elle coulent dans les veines du poète, elle confine à l’éternelle soif de poursuivre. Chaque jour fait de mots sincères et profonds, est un jour de sauvé.
Bonsoir Francis Etienne, c’est bien le jeu d’échec que j’avais en tête et c’est une autre de tes images qui m’a inspiré dans cette vision, celle de l’arlequin. Et j’apprécie de nouveau grandement ce que ces nouvelles visions ont pu déclenché à nouveau, c’est fantastique et bienheureux.
Bonsoir Evelyne et merci pour ton texte si sensible et intime, douloureux car encore récent. Tu y décrit si bien les solitudes et tous les enjeux de la vieillesse et les parades mises en oeuvre pour ne pas dépérir, ou plus justement ne pas dépérir trop vite. Avoir des visites est un but et en conséquence une force renouvelée qui aide à affronter les nouvelles semaines qui se succèdent sachant bien que l’une d’entre elle sera comme tu le dis de façon implacable à la fin de ton texte, la dernière. Emu je suis, merci Evelyne.
Voici donc l’explication qui mériterait de participer à un atelier d’écriture passé, parmi les premiers qui s’appelait « Moi par un autre ». Ce sont de belles rencontres celles qui permettent de bâtir des ponts communs par le dépassement de soi et du seuil de l’incompréhension. Merci Daniel pour ce beau témoignage.
Merci Sophiak pour cette réflexion que je partage et pour toutes ces références subtilement sélectionnés et que j’affectionne également. Beaucoup d’humanité dans les propos. Et il en faut du courage pour surmonter toutes les épreuves qui pavent une existence. Ce qui me ramène à une citation de Stefan Sweig partagée sur les réseaux sociaux du peuple des mots « J’ai personnellement plus de plaisir à à comprendre les hommes qu’à les juger. »… à plus tard.
Ce poème est profond car il questionne et sonde simultanément l’âme et le coeur sur sa faculté à comprendre le soi et tout ce qui l’environne, et qui constitue sa condition humaine. Une vie de fragilité et de doutes qui ébranle les hommes jusqu’à leur dernier jour. Méditer est un bienfait qui mène à la sagesse. Merci Francis Etienne.