Et “Mondo, à force de bourlinguer, semble ne plus ressentir les morsures du froid. Il se balade éternellement en t-shirt, avec un denim trop court — Mondo grandit si vite — et la même paire de tennis.” ? C'est pour la digestion ;-)
Un bel hommage à un auteur dont les histoires continuent d’inspirer et de piquer notre curiosité ! L’univers futuriste et dystopique, avec cette intelligence artificielle omniprésente et des humains sous surveillance, soulève des questions intéressantes sur la liberté et le bonheur. Mondo, avec son innocence et sa curiosité, fait vraiment ressortir la dureté de cette réalité, rendant ses échanges avec la jeune femme encore plus touchants. Merci pour ce partage Valérie :)
Une danse subtile entre ombre et lumière ; une quête profonde de soi, où chaque pas dévoile à la fois la beauté des fragilités et la force des liens invisibles. Merci pour ce partage :)
Dès sa première lecture, il a résonné en moi, sans doute pour des raisons personnelles. Depuis, il m’accompagne à chaque décennie, avec à chaque fois une nouvelle perspective. Merci beaucoup. Bon we à toi :)
Merci Valérie pour ce partage touchant : c'est beau de voir comment l'amour peut s'épanouir à tout âge, et comme c'est réconfortant de savoir que le personnel a soutenu ce couple !
Du grand Léo : une virgule dans un océan de verbiage. Une spirale qui, avec une ironie délicieuse, se moque de sa structure. Et ce point-virgule ? Je n’ai pas fini de rire. J’évite même l’exclamation, on ne sait jamais, tu pourrais l'attaquer en justice.
Je t’ai dit que certaines phrases longues étaient mal fichues et que si tu les réécrivais tu pouvais t’appuyer sur un champ plus large de ponctuations. Mais comme tu ne veux rien d’autre que la virgule ou le point (qui selon toi sont très largement suffisant) il est inutile de te casser la tête, vraiment. Le point virgule ne se met pas n’importe où ni n’importe quand, ce n’est pas remplacer pour remplacer. C’est tout un art le point virgule et subtil en plus de cela. Arrêtes de ruminer, nul n’est obligé de faire sien le point virgule, en revanche nul ne me convaincra de l’écarter de mon usage. Tous les goûts sont dans la nature et je n’aime pas lorsque les phrases longues sont longues pour être longues parce qu’en étant longues on peut ainsi dire qu’elles sont longues et qu’elles s’inscrivent dans la plus pure tradition des phrases longues qui se doivent d’être longues pour assumer leur statut de phrases longues , renversant se faisant les le diktat des phrases courtes particulièrement insolentes et hautaines (ce qui est un comble pour une phrase courte) ; ou pour leur conférer un style qui n’est pas.
Merci pour ta participation. En lisant ton texte, j'ai revu Dakar avec son ciel constamment bouché par les gaz d'échappement.
Dans un autre registre, on sent ton empathie envers le lecteur. Les résumés de début et de fin permettent de comprendre rapidement, en toute confiance, où on met les yeux.
L'essentiel, le centre de ton récit, c'est la dialogue. L'as-tu lu à haute voix ? Éventuellement avec l'aide d'un ami ou d'un parent qui t'aurait donné la réplique ? Te paraît-il parfaitement juste ? C'est le centre ! Il ne peut pas y avoir de compromis dans le cœur du travail.
Mon avis est que tu as voulu utiliser le dialogue à deux fins. Montrer le rapport entre les deux interlocuteurs et expliquer (au lieu de raconter) le fonctionnement de cette société au lecteur. C'est ce second point qui alourdit et fausse un peu le dialogue selon moi.
Toujours à propos du dialogue, j'ai beaucoup apprécié tes incises. Elles me paraissent très justes.
Une astuce que j'utilise afin d'éviter que mes descriptions soient trop longues, c'est de les diluer. Le paragraphe sur les vêtements, de Mondo, par exemple, est un peu lourd, je trouve. Tu aurais pu les décrire, mine de rien, durant le dialogue. Et là, ils auraient pu ajouter à la crédibilité de l'échange. Exemple : " Où sont les humains ?" demande Mondo, perdu dans son t-shirt trop grand. (...) "Voulez-vous m'adopter ? "demande Mondo. La jeune femme le regarde en souriant. "Pourquoi pas ? D'abord on te trouverait de vraies bonnes chaussures et un bon pull aussi, pour que tu n'attrapes pas froid. La femme a un sourire plein de tendres. Mais qu'aimerais-tu faire de ta vie ?"
Il y a plein d'autres moyens pour mieux faire passer les descriptions, les rendre concises, amusantes ou pleine d'esprit. Au pire, si elles ne passent pas, il vaut mieux les supprimer. J'ai reconstruit la tienne pour qu'elle soit, selon mon goût, plus digeste.
"Mondo, à force de bourlinguer, semble ne plus ressentir les morsures du froid ; il se balade éternellement juste vêtu d'un t-shirt, d'un Denim trop court - Mondo grandit si vite - et de la même paire de tennis."
Toutes ces remarques sont très subjectives. Chaque auteur devrait écrire ce qu'il aimerait lire. Probablement n'aimons-nous pas les mêmes lectures, mais peu importe, lorsqu'on écrit, il faut, à la fin des fins, que ce qui est écrit, on ne le trouve pas perfectible.
En conclusion, je pense que tu penses au lecteur. C'est essentiel. Mais peut-être te précipites-tu pour qu'il sache tout tout de suite. Je pense que c'est une erreur. Non seulement, il faut prendre le temps de dire les choses au moment où le temps est venu de les dire dans le récit, mais il faut aussi et surtout ne pas dire certaines choses. Les laisser imaginer par le lecteur. Je trouve que ce qu'on écrit le mieux, c'est ce qu'on n'écrit pas. On a juste placer le lecteur sur une rampe de lancement. Là, c'est le top. ;-)
Merci et bravo pour l'exercice qui en plus de mes remarques, je l'espère, t'aura enrichi.
Coucou Allégoria, pardon d'avoir mis un peu de temps à te répondre. "Halloween" s'invite aussi au théâtre de Namur. J'ai été très pris pour sonoriser épouvantablement le bâtiment. Je n'aime pas cette fête, je regrette son importation avec la négation de notre propre culture qu'elle engendre et je trouve très peu subtil l'empilement de sons divers qui n'ont d'épouvantables que le goût de ceux qui s'en amusent.
Je crois comprendre. C'est subtil. Je fonctionne, comme toi, je crois, aux sons. Avec le point virgule la phrase est conclue moins ostensiblement qu'avant le point, la variation de tonalité est moins prononcée. Les mots précédant le point virgule sont dans la même tonalité que ceux précédant la virgule sauf que la virgule ici, dans l'exemple que tu as choisi ne se justifie pas.
Merci !
N.B. Il faudra que je revoie le texte pour lequel Léo m'avait fait sa remontrance sur ma ponctuation, car je ne sais toujours pas où précisément j'aurais, selon lui, dû utiliser un point virgule.
;-)
C’est intéressant, c’est donc l’état d’écriture du moment qui a suscité une telle intensité et peut-être l’évènement auquel il est rattaché. Se plonger dans le sentiment qui inspire le coeur et l’âme est aussi un levier efficace (comme celui de la musique par exemple) pour un apport d’émotion et d’authenticité supplémentaire. A plus tard.
Merci. Pour être honnête, ce texte a été écrit en 2019, un an après la naissance de mon premier fils. J'observe des variations, des pertes d'inspiration. J'aime aussi les ratés, les imperfections. Il y a tant de début de poésie sans suite. Et parfois cela m'arrive de les compléter.
Je trouve très cher loscrivo, que ta poésie s’élève jour après jours, c’est saisissant tant la progression est notable et visible… le travail paye, tu peux t’en féliciter, et je trouve cela fantastique. J’aime énormément le contraste entre l’immensité du cosmos suggéré et la petitesse des êtres fragiles qui pas à pas, du sien, de ceux des autres, tracent un nouveau chemin doté d’un espoir maladroit mais certain.
Je trouve franchement que c’est une première réalisation travaillée dont le message est touchant et devrait être universel. « un pauvre n’est pas notre ennemi » devrait éveiller les consciences laborieuses qui préféreront toujours s’en prendre à plus fragile que soit. Il y a de belles formules, à refaire, bravo Valérie.
J'ai toujours gardé ce livre, "l'étranger", que j'ai lu trop jeune sans doute, et qui m'avait paru tellement étrange que j'étais sûre de le relire plus tard.
Touchée aussi par cet amour de...vieillesse .
Dans la maison de retraite où ma mère a fini sa vie, tout le personnel a aidé un "jeune" couple de vieux à sortir et à revivre en couple dans la maison de l'un deux. Un texte qui montre que l'amour n'a pas d'âge, ni la tristesse.
J'ai adoré l'idée et peut-être lirai-je le livre un jour, n'en connaissant que les adaptations cinématographiques. J'ai aimé lire Dracula de Bram Stoker même si les romans fantastiques m'attirent moins que dans ma jeunesse.
Il y a des fulgurances et un message noble alors c'est réussi ! Nous écrivons avec notre coeur et nos imperfections et c'est magnifique. Continuons d'écrire face au chaos.
Ton sonnet aborde des thèmes sociaux importants avec beaucoup de passion, d'énergie et d'intensité. J’admire vraiment ta volonté de dénoncer l’indifférence et de donner une voix aux plus vulnérables.
Je pense que tu es beaucoup trop sévère avec toi-même. La poésie, c'est un équilibre entre forme et contenu, et le sonnet peut parfois sembler en conflit avec le cri urgent que tu veux exprimer. Sa belle structure peut rendre la transmission d’un message engagé plus complexe. C'est un défi que beaucoup d'écrivains rencontrent en cherchant à allier tradition et modernité.
Chaque texte, même ceux que tu considères “loupés”, te rapproche de ta voix unique. Continue à écrire et à exprimer ce qui te tient à cœur !
Merci pour ce partage, Valérie :)
Un essai un peu laborieux qui se voulait un cri du cœur.
Je ne le trouve pas poétique du tout.
Je m'y suis mal exprimé.
Exemple : je n'ai rien contre la réussite et y ai écris le contraire.
Bref, c'est loupé.
A vouloir rimer absolument, on peut en oublier la poésie, enfin, je pense.
je ne commenterai plus mes propres textes.
Une belle ode à l'enfance et à la mémoire. J’aime particulièrement la façon dont le fruit devient symbole de réminiscence, reliant le passé et le présent. Ta plume danse avec légèreté, capturant l’éphémère et l’éternel. Bravo ! :)