Bonjour cher Léo,
Toundzy, une île, où une rébellion contre le gratuit et l'insupportable a éclaté ... Un acte d'une violence froide contre un tyran. Et puis, on diligente les professionnels, comme toujours, après coup ... Et les femmes vont parler, des imbroglios ... La violence engendre toujours la violence. À suivre.
Merci de lire et de commenter. J'ai d'abord mis un lien qui redirige vers mon blog, mais je me suis rétractée. C'est inélégant :)) Sauf si j'ai ton accord.
Bonsoir Sam, ton texte commence par une voix off qui plante la cruelle réalité presque quotidienne de trop nombreuses femmes obligées de fuir pour ne pas succomber sous les coups ou sous l’emprise d’hommes violents. Et il s’incarne juste ensuite par le « je » qui éclaire un milieu que peu connaissent, les mots en précieux alliés. Ce « je » est très courageux car il fait face et raconte. Bravo et à plus tard Sam.
Une entrée lumineuse et mystique, puis un glissement vers la blessure jusqu'une chute sombre et collective alimentant ce que les hommes font tristement, la guerre. Tu as ce talent de parvenir à faire faner jusque la lumière, de ne jamais durablement maintenir les illusions inutiles. Ce faisant, de sublimer la beauté éphémère que l’on aurait souhaité éternelle. Grand bravo Francis-Etienne.
J'aime bien ce texte. Il n'y a pas de remplissage. Et puis au début, j'ai cru que l'auteur était une autrice. J'ai ensuite compris pourquoi. Rien que ce point a rendu la lecture plus intéressante. ;-)
Merci beaucoup Lucie. Votre analyse est bonne. J'ai conceptualisé cet amour comme une force de la nature devant laquelle on est impuissant comme devant un tsunami. Grandiose et terrifiant mais somme toute naturel.
Salut, merci pour le tips 😊. Je n'avais pas pensé à la figure de Méduse mais ça marche très bien. "Elle ferais palpiter le cœur d'une statue". J'aime beaucoup le concept, d'appliquer le mythe de Méduse au transport amoureux. Il y a un coté Baudelairien avec la référence à la mythologie grec et le coté amour/mort, beauté/serpent.
Monsieur Proust de Céleste Albaret a été publié chez Robert Laffont. Il reprend son témoignage oral par écrit. Effectivement on le retrouve aussi sur Youtube. À plus tard Léo !
Triple merci Lucie : pour ton retour, pour ta référence quant à l’ouvrage de Jacqueline Harpman et le rappel du témoignage de Céleste Albaret, que je vais essayer de retrouver et écouter ce week-end, il serait sur YouTube apparemment. A plus tard.
Léo, tu as su saisir ce qu'était Proust, entre ses vives émotions, son amour pour la musique, et ses très longues phrases. Je le connais très bien, ma mère est fan. Concernant son œuvre j'ai lu une approche psychanalytique, celle de Jacqueline Harpman, mais elle me laisse dubitative. Ne se limiter qu'au rapport entre l'enfant et ses parents et la sexualité est bien dommage. Le petit Marcel a besoin d'être rassuré par sa mère, cela passe par le baiser lors du coucher, mais de là à dire qu'il cherche à être rassuré parce qu'il a fait une bêtise d'ordre sexuel me paraît tordu... Je trouve plus intéressant le travail de Proust sur son rapport avec ses origines juives. Mais que dire de Monsieur Proust, écrit par sa gouvernante Céleste Albaret ! C'est émouvant, autant sur l'extrême pudeur de l'auteur que sur son lien avec elle. On sent une certaine complicité qui est belle à voir. J'en recommande la lecture si vous voulez en savoir plus sur Proust.
Le texte est vraiment bien, on sent l'impuissance dans cette emprise dont il est difficile de se défaire. Le rythme contribue à la rendre hypnotique. Cette emprise n'est pas forcément malsaine, elle est aussi amoureuse il me semble. Merci pour ce joli poème Plutus !
Les épreuves de la vie ne sont pas faciles mais elles se révèlent nécessaires quand on en tire des leçons. J'aime bien le "choc dégénération". On sent un décalage entre soi et ce qui nous entoure, ce qui rend la vie infernale, elle qui n'est pas un long fleuve tranquille.
Cette évidence souligne, quel que soit son sens, un attachement très fort, quasiment dangereux, envers une personne. En lisant j'ai ressenti une dépendance affective appuyée par la répétition du mot "évidence".
C'est joli cet amour comme une obsession, comme un manque qui possède les pensées de celui qui le ressent. Mais à trop en rêver, à l'idéaliser, gare à la déception, au désenchantement.
Très émouvant. L'amour défie le temps, il est une grande partie de notre vie. Et je rejoins Léo, c'est assez drôle de se souvenir de cette époque révolue des blogs et de msn. On se rend compte à quel point ça change vite.
Il y a une tension, dans cette énumération, entre l'attachement et le rejet. Celui qui était connu devient l'étranger, impossible à revoir après ses actes impardonnables. Il est un amour déçu, une triste amitié, l'incarnation d'une illusion. Il peut-être en nous, comme c'est suggéré, mais difficile à accepter quand on ne peut s'en séparer. Merci Ioscrivo, à plus tard (et merci pour les commentaires de mes textes).
Dès que l’élévation collective semble possible, la corruption s’en mêle et pervertit tout jusque l’effondrement, se faisant s’opposer ceux qui étaient le plus avides de progrès. Le silence ne peut que contempler l’éternel gâchis des hommes… c’est à pleurer, de ces gouttes de sel qui infligent douleur aux plaies ouvertes à tous les drames. Ton poème très cher Francis-Etienne, est une nouvelle fois très émouvant et sensible.
J'ai juste oublié edilivre édition, il arrive bientôt, en papier et après en ebook, ( impossible pour moi de me faire à ce choix)...
Merci beaucoup pour votre ressenti texte bien lu
Félicitations, Léo. Einstein d'enfance, deux pages explique son QI, ( quotien intellectuel)...
Puis arrive le narrateur omniscient et aussi après , ce petit roman ( écrit en Finistère, en zone de 2010 à 2014,je perds la mémoire, posologie forte) est ce petit robot Majordome est ce narrateur, loin de moi l'idée de faire l'idiot témoin de son temps et ils sont là, aujourd'hui je le sais mieux que je serai le vent, ...
Lointain souvenir, après j’irai juste vous dire, c'est un texte science fiction ( très léger déplacement dans le temps ⌛️, puis un complot pour exterminé les parasites humain, et puis enfin, le tout sans option de la romance égarée, puis un questionnement policier
Merci Lucie pour l'émotion, l'esthétisme et le sens. Il y a une noblesse qui invite à se questionner humblement sur notre humanité. Nous sommes forts et fortes de notre vulnérabilité.