Merci beaucoup pour votre message encourageant. Ca me va droit au coeur.
Nombre de mes nouvelles se terminent de façon brutale. Un couperet qui rappelle la réalité et connote la folie. Je ne suis qu'un petit écrivaillon amateur ;-)
Leçon retenue pour la taille de la police.
Une variante de la première version « Givenchy tax free ». J’ai préféré la chute de la première version, beaucoup plus inattendue mais j’ai préféré cette narration qui a été beaucoup plus fluide et maîtrisée, avec moins de redondance. Et ce dernier chapitre m’a d’autant plus plu qu’il fait la part belle au cinéma et à l’émotion que suscite ce magnifique art. Bravo et merci Stanislas. Peut-être juste penser à mettre en plus gros la police car c’est vraiment trop petit et compliqué à lire.
Magnifique démonstration !
Merci pour ce texte si fort, riche de sens, qui ouvre notre regard et nous fait ressentir la possibilité de changer notre rapport au monde.
Merci pour cette porte ouverte sur un espoir d'avenir.
Quelques fautes d’inattentions relevées en annotations. Yazid et Jenny d’un côté et le narrateur et Antonia de l’autre. C’est chouette les histoires parallèles et imbriquées mais c’est technique à écrire, d’une part pour garder l’attention portée sur les deux histoires qui se développent sans se lasser d’une au détriment de l’autre, et d’autre part de garder une cohérence et une fluidité. A suivre.
Après une joute sportive avec les crustacées, cap sur le très attendu train. Ce chapitre est fidèle au premier, sérieux et bien écrit, doté de suffisamment d’éléments descriptifs pour prendre place à la table de l’auteur et apprécier son univers. A suivre
Bonjour ! C'est parfaitement l'essence de ce que j'espérais transmettre par l'image des flots caressés par la brise et ces bateaux qui dansent doucement au ponton, que vous évoquez. Et votre métaphore de la "bulle pleine de ressources". Merci infiniment de recevoir ces mots avec tant de finesse et de les habiller de vos propres images poétiques. Quel bonheur de voir que cette tranquillité a trouvé en vous un port d'attache !
Vos mots, révélant une sensibilité rare, me touchent profondément. Ô combien il est merveilleux de savoir que ces vers ont pu créer cette communion dont vous parlez, cette rencontre entre les éléments et l'âme. C'est exactement ce que la poésie peut offrir de plus précieux : ces instants de renaissance intérieure où l'espoir renaît de la beauté contemplée. Et je dois dire que votre façon d'exprimer cette expérience est elle-même poétique, témoignant d'une belle réceptivité à l'art. Je vous remercie infiniment pour le partage de cette résonance si authentique.
Bonjour ! Votre poème respire la tranquillité des flots légèrement poussés par la brise légère, soulevant calmement les bateaux accrochés au ponton. C'est une bulle pleine de ressources que je vous remercie d'avoir partagé.
La vie sous toutes ses coutures mais qui ne vaudra jamais mieux qu’en étant totalement. vécue. Bienvenue et merci de votre premier partage sur le peuple des mots.
On retrouve les thèmes que tu affectionnes et qui te le rendent bien en terme d’inspiration : les voyages, les villes, la fourmilière d’humains, la consommation et des retrouvailles tant attendues. On attend d’en savoir plus sur les personnages et sur l’intrigue qui ne saurait être qu’une simple arrivée d’un train en gare. Vivement la suite.
Lorsque les éléments communient avec les âmes en quête de paix et de quiétude. C’est un halo de bien-être qui entoure les vers de ce magnifique poème. Comme une renaissance avec à la clé d’indicibles espoirs qui naissent de la contemplation de ce que l’on aura pas de plus beau. Merci infiniment pour ce beau partage.
Quel plaisir très cher Patryck de te retrouver en mots et dans ce texte emprunt d’une noble mélancolie d’une époque révolue qui était une culture à part que l’on ne retrouvera jamais. Les chemises à fleurs et les pattes d’eph mais aussi et surtout comme il y est très bien décrit des artistes et des auteurs pétris de paix, d’amour et d’humanité. Une époque folle et remuante, insatisfaite et bien décidée à choisir sa vie, dans l’idée de cette belle formule : « ne pas perdre sa vie à la gagner ». Grand merci pour cette profonde participation.
Ce chapitre et ce que je soupçonne être une fin de par la chute inattendue est très réussie. Bien écrite avec le style que j’avais perçu précédemment et qui prend sa place dans ce chapitre. De l’étendue des villes et de la masse de ses habitants jusque l’atome d’inquiétude, une plongée au coeur du personnage principal pétri d’une attente puissante dont on comprendra la raison en toute fin de texte. Je sens une écriture plus libérée sur ce chapitre et c’est vachement bien. Bravo, de très beaux textes en perspectives en poursuivant cette exigence et tout le travail qui va avec.
Merci infiniment Licie pour ton commentaire. On écrit en espèrant plus ou moibs que nos personnages prennent vie sous les yeux des lecteurs.
Rêves, rêveries, poésies... peuvent,t éclairer et équilibrent notre quotidien.
Bonsoir Léo,
Merci pour votre retour et vos précieux conseils.
Cela dit la majorité de la vingtaine de nouvelles que j'ai écrites (et qui sont, pour certaines, en cours de réécriture, se déroulent soit dans un avion, soit dans un aéroport, ou encore dans une gare. Il m'est donc difficile de trop tailler dans le texte.
Bonjour et bravo pour ce texte qui nous emmène en douceur vers cette éclipse, mais aussi avec joie pour effacer la tristesse qu'elle peut provoquer. Ou comment transformer un moment difficile en instant inoubliable pour les personnages comme pour les lecteurs et lectrices.
Merci Léo de ta lecture et de ton commentaire.
L’absence, le manque, peuvent être évoqués et adoucis de différentes façons. Cultivons nos différences et selon Oscar Wilde : « On devrait toujours être légèrement improbable ».
Bonjour et merci pour ce magnifique texte qui a valeur de conte philosophique et qui transmet énormément d’émotion et de sagesse. Chacun ses éclipses, et chacun ses moyens d’y faire face. Grand bravo, à partager sans modération.
Bonsoir et merci pour cette suite. Attention aux redondances avec les précédents chapitres. Ill faut que chaque chapitre soit l’avènement d’une séquence différence, une évolution dans la narration. Trois chapitres pour un voyage en avion, ça peut paraître long et donner l’impression que l’on n’avance pas et décrocher de l’histoire. J’ai trouvé le troisième paragraphe très réussi, où dans cette partie on empreinte les yeux du personnage et que l’on contemple de la même façon le spectacle proposé. C’est un gain pour le lecteur (et un bon moment de lecture). A garder absolument en cas de refonte. Toujours se poser la question de ce qui est utile et nécessaire dans le récit, qu’est-ce qui apporte à la narration, aux personnages où à l’intrigue ? Et si cela n’apporte rien, supprimer sans état d’âme. A plus tard Stanislas.
Bonsoir Patrice, corps et nature en parfaite harmonie… :-) Je trouve que de ne pas nommer les attributs comme dans l’avant et avant, avant dernière strophe aurait été plus subtil. A plus tard
Beau et tendre, profond, évocateur ; l'alexandrin nous entraîne dans sa danse initiatique vers les couleurs de l'essentiel : un arc en ciel en nos coeurs ouvre alors la porte et nous nous découvrons ... être.
Merci pour cette poésie sensible, lumineuse, qui nous relie au réel.
Sophiak a laissé un magnifique commentaire et je me range derrière. Toujours ce ot à mot comme un goutte à goutte, celui d’une ligne qui perfuse le chaos et entretient les plus belles solitudes.
Les deux premiers vers sont d’une beauté infinie. Ce à quoi succède cette meute qui vomit la foudre jusqu’à ce que les mots, puis l'ange de Dieu reprenne les choses en mains où devrais-je dire en âme, pour mettre à nu la larme qui aura le dernier mot. Cette chronologie des évènements rappelle que tout est incertain, et qu’il est une lutte de tous les instants pour que la beauté se relève et s’impose. Merci pour ce magnifique poème Francis Etienne.