Je trouve très cher loscrivo, que ta poésie s’élève jour après jours, c’est saisissant tant la progression est notable et visible… le travail paye, tu peux t’en féliciter, et je trouve cela fantastique. J’aime énormément le contraste entre l’immensité du cosmos suggéré et la petitesse des êtres fragiles qui pas à pas, du sien, de ceux des autres, tracent un nouveau chemin doté d’un espoir maladroit mais certain.
Je trouve franchement que c’est une première réalisation travaillée dont le message est touchant et devrait être universel. « un pauvre n’est pas notre ennemi » devrait éveiller les consciences laborieuses qui préféreront toujours s’en prendre à plus fragile que soit. Il y a de belles formules, à refaire, bravo Valérie.
J'ai toujours gardé ce livre, "l'étranger", que j'ai lu trop jeune sans doute, et qui m'avait paru tellement étrange que j'étais sûre de le relire plus tard.
Touchée aussi par cet amour de...vieillesse .
Dans la maison de retraite où ma mère a fini sa vie, tout le personnel a aidé un "jeune" couple de vieux à sortir et à revivre en couple dans la maison de l'un deux. Un texte qui montre que l'amour n'a pas d'âge, ni la tristesse.
J'ai adoré l'idée et peut-être lirai-je le livre un jour, n'en connaissant que les adaptations cinématographiques. J'ai aimé lire Dracula de Bram Stoker même si les romans fantastiques m'attirent moins que dans ma jeunesse.
Il y a des fulgurances et un message noble alors c'est réussi ! Nous écrivons avec notre coeur et nos imperfections et c'est magnifique. Continuons d'écrire face au chaos.
Ton sonnet aborde des thèmes sociaux importants avec beaucoup de passion, d'énergie et d'intensité. J’admire vraiment ta volonté de dénoncer l’indifférence et de donner une voix aux plus vulnérables.
Je pense que tu es beaucoup trop sévère avec toi-même. La poésie, c'est un équilibre entre forme et contenu, et le sonnet peut parfois sembler en conflit avec le cri urgent que tu veux exprimer. Sa belle structure peut rendre la transmission d’un message engagé plus complexe. C'est un défi que beaucoup d'écrivains rencontrent en cherchant à allier tradition et modernité.
Chaque texte, même ceux que tu considères “loupés”, te rapproche de ta voix unique. Continue à écrire et à exprimer ce qui te tient à cœur !
Merci pour ce partage, Valérie :)
Un essai un peu laborieux qui se voulait un cri du cœur.
Je ne le trouve pas poétique du tout.
Je m'y suis mal exprimé.
Exemple : je n'ai rien contre la réussite et y ai écris le contraire.
Bref, c'est loupé.
A vouloir rimer absolument, on peut en oublier la poésie, enfin, je pense.
je ne commenterai plus mes propres textes.
Une belle ode à l'enfance et à la mémoire. J’aime particulièrement la façon dont le fruit devient symbole de réminiscence, reliant le passé et le présent. Ta plume danse avec légèreté, capturant l’éphémère et l’éternel. Bravo ! :)
Merci Léo,
C’est une excellente idée de voir ce chef-d’œuvre de Visconti.
La musique de Gustav Mahler, tirée de sa Cinquième Symphonie, l’Adagietto, ce mouvement lent aux violons qui pleurent y déploie une puissance bouleversante et confère au film une beauté presque funèbre.
Les violons y seront encore plus émouvants, maintenant que l’on sait…
D’ailleurs je te conseille aussi d’écouter Catherine Ringer, elle a une très belle chanson sur cet Adagietto
Le titre est tout simplement « Malher »
Une rare beauté !
Tes mots s’engouffrent dans le spi d’une chouette embarcation qui navigue dans les eaux paisibles de l’enfance, un beau voyage dans l’antan… et toujours le soin de sélectionner les mots justes et irremplaçables. Merci Enzo.
Et oui, il s’en est allé à son tour et je me suis promis que d’ici cette fin de semaine je regarderai Mort à Venise que je n’ai jamais vu. Merci Mich de m’y encourager par ton très beau texte.
Toujours à contre-courants, souvent les parents disent aussi on ne les fait pas pour soi et je pense effectivement que c’est plus prudent pour ne pas déprimer :)
Entre la montagne, le soleil, l’éclair et l’étoile on tutoie les cieux et ce faisant les divinités. Et puis en toute fin l’on a ce grillon, cet insecte, qui pourtant fait grand bruit. J’aime beaucoup cette vue plongeante qui pénètre jusque l’intimité des mots qui probablement s’étirent sur la page. Il y a également une belle part de sensualité pour sublimer le tout. Merci Francis-Etienne.