Vous avez raison, bien sûr, en ce qui concerne les images, comme les techniques. Mais c'est tout de même un reproche récurrent qu'il m'est fait, de trop en user et de bloquer du coup, le rythme de l'histoire. Mais comme c'est plus fort que moi -:) je continue !
Merci encore à vous, je garderai en tête vos commentaires très précieux car positifs.
Je trouve mots et le rythme rendent visible cette ponctuation. Ce qui m’a plus perturbé avant d’entamer la lecture c’est que toutes les lettres soient en capitales. À plus tard.
En ma qualité de juge, je déclare effectif le jury suivant: Vickie, Vivi de Pirouly, AE Myrian, Allegoria, Vera Mylène, Cassou. Chaque membre du jury prendra connaissance de votre demande et votera en son âme et conscience. Mon verdict suivra la décision de la majorité des voix.
La séance est levée.
Comment dois-je vous nommer ? Oui les personnages prennent le dessus, pour le meilleur et pour le pire, il sont un agrégat de tellement de choses et pour beaucoup extérieur à ma vie (je n’ai jamais baigné dans la drogue par exemple) qu’ils en deviennent uniques et indépendants.
Bonjour Astriate,
je prends connaissance de votre demande. En ma qualité de juge, il est bien difficile de légiférer dans le cas présent. La mort d'un enfant n'est jamais acceptable, et si je prends note avec beaucoup d'attention de votre parcours bien douloureux, il n'en reste pas moins que l'alcool a pris la vie de l'innocence. Et même si je dois avouer être ému par votre histoire, je ne sais pas si cela suffira à infléchir ma décision. Pour la première fois, je vais m'en remettre à la décision d'un jury populaire que je nomme sur l'instant:
Bienvenue et merci pour votre participation touchante. La mort d’un enfant est probablement ce qu’il y a de plus difficile à pardonner, et il a fallu beaucoup d’éléments pour parvenir avec une grande sincérité à permettre cela. Il y a un terrible remord, sincère, qui a aucun moment ne souhaite se soustraire à la responsabilité. Il y a un parcours, non pas pour excuser encore une fois, mais pour montrer une trajectoire et qu’il est possible de la dévier même si elle a été très mal engagée. Et puis enfin il y a la réparation utile envisagée, car c’est bel et bien dehors et en témoignant, en faisant un travail de prévention que bien d’autres drames pourraient bien être évités. C’est fort et c’est émouvant. Bravo et merci.
Je partage bien ce sentiment d'avoir lu un conte. La boîte de couleurs a quelque chose de magique. On dirait l'objet magique d'un conte: ce genre d'objet magique qui permet de faire sortir le personnage de sa prison intérieure. Ça vaut bien l'aléthiomètre de Lyra Parle d'Or.
Myriam est seulement mon troisième prénom: les initiales correspondent aux deux premiers... On ne commet pas d'impair avec les pseudonymes. Alors comme ça, vos personnages vous mènent par le bout du nez?
Oui c'est une bonne idée...pourquoi pas... Cela rallumera le feu de certains....mais des nouveaux défis c'est chouette aussi... personnellement le réchauffé... Bof...Hihi Bon WE kissous
En fin de compte, peu importe les procédés, recours à l'image, etc. Quand on prend du plaisir à ce qu'on lit et que l'on a envie d'aller plus loin dans sa lecture, c'est que l'auteur a fait du bon travail. Et là le travail est vraiment abouti.
Un vrai grand merci pour votre message car vous avez été sensible à ce qui me caractérise et que certains me reprochent parfois : le recours aux images. Que vous y soyez sensible me fait chaud au cœur.
Merci Veramylene pour votre message. Si j'ai d'abord cherché à faire quelque chose de fantastique, cela a viré assez vite à l'épouvante, en effet. Je vais vous faire un aveu : d'autres idées de développement sont venues depuis, plus épouvantables encore :-)
Merci beaucoup Allegoria ( magnifique pseudonyme!). Je suis très touchée par votre message. A bientôt, j'espère pour de nouvelles aventures littéraires.
À quoi se raccrocher lorsque l'on tombe.. Que l'ordre fait par les hommes n'en est plus un. Se raccrocher aux mots, eux-même sonnant le chaos. Déstructurés, délestés de leurs points et virgules, les mots d'Allegoria sonnent le glas d'un ordre, ils osent, crachent, crient, aiment et espèrent. C'est beau de vous lire Allegoria, ça réveille toujours des choses enfouies. Merci de ce partage
Bonjour Vivi, comme le prévoient les CGU actuelles, chaque auteur est le seul propriétaire et responsable de ses propres textes, il se doit de les archiver. Nous ne sommes pas tenus et surtout nous n'avons pas le droit de garder des contenus qui ne nous appartiennent pas. En revanche nous avons gardés les sujets des ateliers d'écriture puisqu'ils ont été produits pour iPagination et je pense que cela pourrait être une bonne idée que de les proposer à nouveau via les défis d'écriture, ce qui permettrait aux anciens auteurs de pouvoir s'ils le souhaitent partager à nouveau leurs textes.
Merci d'apprécier Léo. Je suis contente. Je me posais une question l'autre jour, que sont devenus les anciens textes des défis que beaucoup de participants avaient envoyés à "Ipagination" il y a quelques années... avant sa résurrection? Vous les avez archivés ou supprimés??? Merci de la réponse Kissous
J’aurais cru lire un conte, c’est léger bien que le lieu ne s’y prête pas. C’est la réalité des êtres, de leur frustrations et attentes qui gomment les barreaux de la prison comme pour mieux illustrer les barreaux des non-dits qui finissent par trouver le chemin du cœur et de la sincérité. Un défi relevé sans encombre Vickie, beau boulot.
Après les madeleines de Proust, les oranges de Vivi qui font mouches. C’est un très belle idée que de s’appuyer sur les souvenirs et sur une époque suffisamment douce pour apaiser une âme en quête de rédemption. Cela apporte une belle part d’humanité pour conjurer les remords insoutenables. Vraiment bien joué.
J’aime beaucoup, c’est une très belle idée que d’avoir opté pour cet objet qui permet aux mots de filer à toute ber zingue loin de la solitude et de l’ennui. Il y a le bruit comme une douce mélodie au rythme d’une créativité qui prend sa part de liberté. Le travail de description est très soigné et l’on prend grand plaisir à entrer dans les rouages de ce défi relevé avec brio. Bravo.
Agréable à lire, les mots roulent sur la langue et déroulent la fragilité d’un instant. En bord de gouffre, la poésie en porte-voix le mot crie son étouffement. J’aime, merci du partage.
Bonsoir et merci Myriam pour ce très beau retour. Ce journaliste n’est autre que son ancien voisin qui par son silence a laissé les violences perdurer. C’est sa culpabilité qui provoque son suicide. À plus tard et encore merci !