Bonsoir Vickie, grosse semaine pour moi, désolé pour ce retour tardif. J’ai eu l’habitude en te lisant de tomber sur des formats assez courts et je me demandais bien qui pouvait bien se cacher derrière ces premiers textes forts mais à la fois fermés. Et nubien je viens d’avoir la réponse une belle imagination (parce qu’il faut le faire de passer de ce point de départ à Las Végas, c’est surprenant et surprendre un lecteur c’est faire la moitié du boulot. Je m’attendais en lisant cet atelier proposé par Hélène à une transformation physique et non psychique, et encore moins de voir survenir un double agité et bien décidé à s’imposer. Cette schizophrène presque apparente est très bien menée dans ton récit . J’ai cru être embarqué dans un de ces thrillers que j’affectionne particulièrement. J’ai passé un super moment, grand bravo et MERCI !
Eh bien Vickie, quelle nouvelle! C'est bien pensé, la bienveillance du frère disparaît doucement. On pourrait même penser à une montée schyzophrène. C'est assez stressant comme situation, cela me rappelle un épisode de black mirror ou un mari accepte de se faire implanter la mémoire de sa femme défunte dans le cerveau. Bravo Vickie!
Au début de la lettre j'ai l'impression qu'il prend la main. Il dit même qu'il veut la transformer en exécutante. À la lecture et relecture, ça n'impliquait pas forcément une volonté de destruction au départ. Ça fait juste comme une volonté de fusion qui peut faire penser à une cohabitation pacifique entre les deux. Jusqu'à la fin, j'y ai cru à la cohabitation pacifique. Bref, j'ai l'impression de me faire avoir comme le personnage. C'est probablement pour ça que je trouve la chute redoutable.
J'ai suivi Katia du début à la fin ! Et cette chute, il ne pouvait pas y en avoir une plus pertinente ! Quelle réussite, merci pour cette participation :)
Bravo. La chute est redoutable: "Quand j'ouvrirai les yeux tu n'existeras plus". Pourtant, jusqu'à la fin, j'ai pensé qu'il n'était pas si hostile que ça ce jumeau...
Merci pour le temps de votre lecture. Je trouve qu'il y a un énorme fossé entre les articles, les nouvelles et un roman. Un fossé que je ne franchis pas pour le moment. Si nous sommes nombreux à prendre des risques, le jeu peut devenir intéressant. Ça reste un jeu d'amateurs pour lequel il ne faut pas craindre de s'étaler en grand... tout en y passant du temps. Les ateliers que vous proposez, le vôtre ou celui d'Hélène Laly sont vraiment très encourageants. Encore merci à vous pour votre lecture et (merci à Léo et Vivi aussi). Je vous souhaite à tous de bonnes fêtes -si l'occasion s'y prête- et si je ne vous recroise pas d'ici-là... À bientôt.
:-) Je demandais juste comme cela car à voir les échanges, on sent bien que certains se connaissent depuis longtemps. Quand on arrive tout juste, on peut avoir l'impression d'avoir manqué quelques pages. D'ailleurs, au passage, le décalage entre les utilisateurs/donateurs/participants et le nombre de personnes "inscrites" m'étonne autant que pour d'autres projets collaboratifs...
Encore un essai joliment transformé. Vos textes très aboutis donnent aussi à réfléchir. Ici le dictat ravageur de la taille fine. J'ai beaucoup aimé la "transformation" d'Alexandra. Cela l'a rappelé "truisme" de Marie D. Encore bravo. Vous osez, prenez des risques, êtes en train de vous fabriquer une jolie patte littéraire riche et vraiment intéressante. Un roman , peut-être un jour?
Bonsoir, comme cela fait plusieurs fois que l’on me relance sur « l’historique » d’iPagination je vais écrire un article qui va rejoindre la FAQ. En gros la plateforme a dû fermer plusieurs années par manque de développeur compétent, mais aussi par manque d’argent (une vingtaine de donateurs pour plus de 1 300 utilisateurs sur un site obsolète — car la technologie à l’époque a énormément évoluée — et une maison d’édition qui n’était pas celle qui existe aujourd’hui… bref je vais tout mettre à plat puisque l’on m’y convoque, et puis c’est de toute manière bien de partager notre trajectoire et notre expérience. Mais dans les grandes lignes, voilà déjà ce qu’il en est. On teste, on échoue, et on recommence : tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort : —)
C'est Léo qui peux t'en parler mieux que moi... pour la métamorphose ... je cherche encore... Mais je vais trouver... c'est que pour le moment le temps me manque...cela va "viendre"...lol
Tout est dit plus haut... c'est beau de pouvoir écrire comme cela vos images vont droit au coeur. C'est si bien écrit que l'on ressent un élan de fraternité vis-à-vis de ce pauvre homme et de sa déchéance physique telle que vous la décrivez d'autant qu'il est plein d'empathie vis-à-vis des autres paumés. La seule personne antipathique, c'est le porte-clef ambulant. Pas vraiment une personne donc. Vos navigateurs sans rafiot qui se débattent dans cette prison touchent forcément les coeurs. Tout comme l'arbre qui par sa force est un bel espoir de vie même s'il porte ce pauvre homme au bord de la folie.
Coucou Vivi, je débarque récemment sur le site: pourquoi parles-tu de résurrection d'ipagination? J'ai l'impression qu'il me manque l'historique... ;-) Avez-vous fermé "le club" un temps avant de le réouvrir? Je suis bien contente aussi que l'endroit existe car ça reste quand même plus marrant de relever des défis à plusieurs. J'attends avec impatience ton histoire. Bisous
J'ai beaucoup aimé les nombreuses suggestions positives véhiculées dans votre texte. La vapeur d'eau m'a portée un temps vers le roman-culte de Frank Herbert, Dune. Merci beaucoup pour cette participation très originale.
J'y ai cru jusqu'au bout...de chocolat... j'adore tes jeux de mots... bravo dis donc tu as été rapide!!! Moi je n'ai pas encore trouvé le fil... je vais manger un peu de chocolat...pour m'aider... On s'amuse bien hein avec ces défis... je suis contente de la résurrection d'ipagination...Je ne participerai peut-être pas à tout mais j'essayerai... kissous