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Igor et Vadim
Publié le 18/02/2025
Maintenant que tu me le dis, je m’en souviens oui, remettre l’ouvrage sur le métier, toujours.
A quoi pensent-elles ?
Publié le 18/02/2025
J’aime beaucoup parce que ça vacille depuis le début. On sent qu’il manque quelque chose d’emblée et rien de tout ce qui se déroule ne pourra remplacer ce qui apparaît comme le deuil d’une jeunesse, quand bien même certaines choses lui font écho. Tout semble avoir été joué cent fois et le temps est passé par là, jusqu’à cette ultime dernière phrase qui claque comme le marteau d’une sentence qui condamne à l’ennui et à la désillusion à perpétuité. Vraiment bien mené.
Igor et Vadim
Publié le 18/02/2025
J'avais déjà fait un texte sur le même thème. Il s'agissait d'un roux rejeté par ses camarades de classe. "Une fois qu'il a eu le goût... " Tu t'en rappelles ? Bise !
Le jeune homme aux allumettes
Publié le 18/02/2025
Cher Léo , j'ai découvert ce texte avec beaucoup d'émotion et il n'est pas sans me rappeler Rimbaud en particulier dans le poème "les étrennes des orphelins". J'ai retrouve la même sensibilité de l'enfance et du bonheur face à la cruauté du monde. J'aime beaucoup ton style narratif, souple, précis, émouvant et par touches très câlin. La beauté de l'enfance et la laideur de la rue se transforme en une forme de chansons, une forme de musique que ton style sait parfaitement mêler au texte. Bravo pour ce beau texte écrit pendant la période de Noël et qui me touche particulièrement. Léo, tu es un écrivain. Cordialement Francis Étienne Quelques bouts de ruban taillés dans du satin flottent dans notre cœur comme un bord du destin.
Paysage sans fin
Publié le 18/02/2025
il y a dans ton poème une belle intrication quantique, comme différents monde parallèles intimement liés et progressant ensemble. Il y a le monde des âmes (oracle, prière), des épreuves (brouillard, ornière, boue), des éléments (rivière, pluie, sable, blizzard, soleil…) et juste ce qu’il faut d’humain pour garder les pieds sur terre. C’est beau et c’est grand. Merci Francis Etienne.
Au bord d'un rêve
Publié le 18/02/2025
Il y a ses hommes en perditions, ce fantassin comme ce vieillard promis à la mort et il y a quelques éclats de douceurs comme la parfum d’une rose, le coeur d’une praline et surtout « des lits de lilas à la laine de lune » qui est un délice à prononcer. C’est cet alliage de désillusion et de beauté absolue qui confère à de nombreux de tes poèmes des instants de grandes émotions. Merci de toute cette sensibilité partagée avec une grande générosité très cher Francis Etienne.
Igor et Vadim
Publié le 18/02/2025
Heureusement qu’Engome est passée en éclaireuse car comme elle je n’avais pas du tout capté la subtilité de ce texte qui est donc une allégorie de la situation ukrainienne. Le harcèlement et la loi du plus fort, cet autre fléau qui mène aussi jusque la mort des enfants qui la subissent. Le parallèle avec la cours d’école est audacieux .
Continent perdu
Publié le 18/02/2025
Beaucoup de délicatesse, une magnifique ôde pour un non moins sublime portrait baigné d’admiration, à la fois introspectif et contemplatif. C’est très intéressant de te découvrir dans tous ces différents registres, c’est parfait pour travailler sa technique et gagner en souplesse. A plus tard Enzo.
3909 04
Publié le 18/02/2025
Je pensais en connaître un rayon et pourtant je viens encore d’apprendre de nouvelles choses. Un très bon moment de lecture qui tient au fait que tu es passionné et que ça se lit. Un chouette moment de lecture et d’enrichissement, merci Enzo.
Pont de prières
Publié le 18/02/2025
Cher Léo, comme je suis ravi d'avoir éveillé en toi cette confusion entre " les mots rougissants à penser et les fers sur les feux de la forge", car oui, il y a un point en poésie qui fait "basculer" et oui "tous les sens sont en alerte". O ne peut pas lire un poème sans laisser tous ses sens s'aiguiser au point d'en ressentir une divine souffrance. La poésie copie la chair. L'extase passe par la souffrance c'est ce que tu appelles " basculer à tout moment à tout jamais". La poésie est dangereuse. Il faut un doigté très subtile pour frôler le danger. C'est aussi dans l'amour que l'on peut retrouver cette extraodinäre sensation d'extase et de souffrance. Merci cher Léo, tes commentaires qui me sont si précieux. Cordialement et à plus tard. Francis Etienne. Les larmes d'une âme amoureuse du grand vent Coulent sur le granit des portes d'un couvent.
Pirogue en flamme
Publié le 18/02/2025
Cher Leo, Merci à toi encore une fois d'avoir lu ce poème avec tant d'intensité et de laisser sous ce texte un magnifique commentaire. Oui la toute puissance existe et elle est souvent inexorable. Lorsque l'on vit dans un monde où la rapport de force est une loi aussi incontournable que celle de la gravité universelle, on dot voir la vérité en face. Or la poésie est capable de jeter une lumière crue sur ce phénomène et en même temps de lui opposer la seule resistance à sa force. Elle affronte l'indicible. Et comme tu le dis si bien" elle permet de souffler sur les braises de l'imaginaire de celui qui crée comme de celui qui lit. C'est ainsi que l'on découvre l'importance de l'amour entre le poète écrivain et le lecteur en quête d'absolu. Merci Léo pour ton inestimable amitié. Cordialement, Francis Etienne. Les chaines du silence ouvrent l'ombre des caves Comme un soleil de glace happe l'or des épaves.
Igor et Vadim
Publié le 18/02/2025
C'est très gentil Engome. Je te soupçonne de ne pas te tenir au courant de l'actualité car ce texte, en réalité, est une allégorie sur le thème du conflit en Ukraine. Igor, c'est la Russie, Vadim est l'Ukraine, le copain le plus vicieux est l'oncle Sam et l'autre est l'Union européenne. ;-)
Continent perdu
Publié le 18/02/2025
Tout commence par un regard. Tendre et intense à la fois. Puis un paysage se dessine. Des émotions s'immiscent. Et une musique nous tient la main pour parvenir au sommet. Merci beaucoup d'avoir fait le chemin.
Solidarité vs Haine
Publié le 18/02/2025
J'apprécie la scission nette, sans fioritures, entre ce qui constitue la solidarité et l'essence même de la Haine. La plupart des gens, afin de s'enfoncer confortablement dans un douillet conformisme aux côtés de leur mauvaise conscience endormie, vont dans la vie tous les jours, de compromis en compromissions. Ils n'ont même plus conscience de cette danse macabre qui détruit leur potentiel de transformation intérieure et sociétale. Quel beau cadeau tu nous fais en ce début d'année, même s'il me semble que cette résolution est chez toi (et parce que tu as su la travailler, la modeler, l’aiguiser) une seconde nature. Le choix des couleurs a t-il un sens particulier?
Tyranniques pensées
Publié le 18/02/2025
Cette plume qui sait donner vie aux natures mortes ou scènes désertées, m'avait beaucoup manqué. Très grande maitrise.
Continent perdu
Publié le 18/02/2025
J'ai beaucoup aimé: on commence en douceur, puis s'ensuit cette très belle envolée lyrique vers la fin. On vole si haut qu'on ne souhaite plus quitter cette douce rêverie.
Igor et Vadim
Publié le 18/02/2025
Joli texte sur l'amour fraternel: cette rose qu'elle soit éternelle ou éphémère, reste pleine d'épines.
Première fois — extrait—
Publié le 18/02/2025
C'est le premier texte que je lis après une longue pause, et c'est vraiment comme une "bouffée d'air frais". La narration, agréable, coule comme une eau paisible. Les enjeux écologiques et géopolitiques sont bien dessinés, adroitement insérés de façon à ce qu'ils ne nuisent pas à la limpidité du récit. Au contraire ils lui apportent de la densité. D'autant plus que le corpus techno-scientifique est très pointu et documenté. Seule approximation, mais elle relève peut-être de ma seule interprétation: Je n'ai pas compris "blesser leur avatar en le DEVISAGEANT". Il me semble que "défigurant" ou "déformant" aurait davantage fait sens. En dehors de ce détail insignifiant car noyé dans un ensemble parfait, j'ai passé un très bon moment de lecture. Merci.
Tyranniques pensées
Publié le 17/02/2025
Tout ne semble qu’artifice, un décor fortuit dans lequel s’évapore la richesse et avec elle l’illusion d’être. Il semble que l’on bascule d’un monde à un autre, plus incertain, plus sombre et énigmatique… une nouvelle subtile partition qui crédite un peu plus encore tout ton art qu’est celui d’interpeler et faire réfléchir. A plus tard Francis Etienne.
Continent perdu
Publié le 17/02/2025
Voilà en tout cas mon premier nouveau texte ici. La transition est un peu rude. Mais je me réjouis d'être hébergé quelque part et de vous y voir. Certains autres, peut être, suivront...ou pas. Pour l'instant comme disait quelqu'un,j'y suis, j'y reste. Quant aux vers, la formule magique marche toujours, espérons, comme vous dites, qu'elle durera encor quelques années...
Continent perdu
Publié le 17/02/2025
Quelques années encore en orbite poétique ! Merci pour vos jolis mots.
Quand sommes nous choisis par la solitude?
Publié le 17/02/2025
Hello Un fils de Louis, Je pense que j'aurai, en effet, pu le travailler davantage. Peut-être le laisser reposer quelques jours, avant d'y revenir et le retravailler à nouveau. Le rendu devrait être épuré, et ce n'est probablement pas encore le cas. Merci pour cet avis éclairé.
Quand sommes nous choisis par la solitude?
Publié le 17/02/2025
Hello Leo, C'est marrant que tu emploies le terme "invisibilité" car j'essaie d'utiliser la technique de l'iceberg d'Hemingway, "invisibilisant" justement toute la trame, le travail de tissage de l'écriture, afin d'en alléger le rendu. Bon...C'est loupé pour "Un fils de Louis" (^^) mais je m'exerce. Vos mots m'ont aussi manqué, tout comme cet espace. Je suis heureuse d'avoir plus de temps cette semaine pour vous lire.
Brassée d'espace
Publié le 17/02/2025
C’est un magnifique poème qui somnole à la douceur et à la bienveillance des anges en attendant les rêves qui envelopperont les âmes des gens sans histoire. La cruelle épine et le clou rouillé suggèrent que tout n’est cependant pas exempt d’âpreté. Merci et bonne journée Francis Etienne.
Clarté dissimulée
Publié le 14/02/2025
Merci beaucoup pour ce commentaire auquel je ne m'attendais pas ! Je pensais ne pas avoir aussi bien réussi ce poème étant donné quelques difficultés que j'ai pu ressentir en le composant. La montagne est une sculpture exécutée par la nature, et le temps, avec l'eau qui creuse ses parois, de sorte qu'elle ne cesse de se métamorphoser. Je pourrais y ajouter, en en-tête, une citation de Johanna Spyri quand son personnage de petite fille, Heidi, voit, avec ses yeux d'enfant, le coucher de soleil, sur les montagnes, comme un embrasement, un grand feu. Je n'y avais pas pensé tout de suite mais ça me semble intéressant !
Pirogue en flamme
Publié le 14/02/2025
La toute puissance règne en maitre absolue dans une forme de légitimité sans pareil une force implacable qui ne souffre d’aucune défiance, jusqu’à être comparé à la main de dieu. La poésie permet de souffler sur les braises de l’imaginaire qui alimentent, et celui qui crée et celui qui lit. Merci Francis Etienne pour ce poème qui inspire le respect et l’humilité.
Clarté dissimulée
Publié le 14/02/2025
Incroyable. Sans ton explication à la fin je serai rester sur une sculpture qui par ailleurs avait capté toute mon attention puis admiration. C’est chouette la personnification, cela permet de donner un beau souffle de vie à qui manie les mots avec fonesse comme tu l’as si bien fait. Merci Lucie.
Pont de prières
Publié le 14/02/2025
De nouveau un magnifique poème, tellement riche que j’ai par exemple hésiter avec mes mots rougissants à penser qu’ils rougissaient de honte ou de gène ou alors rougissaient comme les fers sur le feu des forges. On sent bien en tout cas les sens en alertes, où tout peut basculer à tout moment et à tout jamais. A chaque fois tu parviens à mettre en place quasi instantanément une ambiance magistrale. A plus tard Francis Etienne.
Gazouillis d'astres
Publié le 13/02/2025
Cher Léo, merci encore une fois pour ton commentaire et ton magnifique enthousiasme qui me réchauffe le cœur et l'âme. Tu parles d'un « cycle des existences » comme s'il y avait une résurrection des êtres. Je partage avec toi cette opinion je crois que nous viendrons après la mort nous-mêmes différents, peut-être les mots alors auront-ils le pouvoir de nous faire voyager dans des mondes gardés clos à nos yeux, mais que nous soupçonnons à travers la poésie, cette essence de l'existence que je recherche dans « une course effrénée d'images en images ». Le poète construit des passerelles à peine jetées au-dessus du vide. Il déforme la réalité, il en creuse la terre pour y chercher ces pépites d'or qui font de chaque texte un merveilleux arc en ciels de rêve, et d'espoir. Le poète sait qu'il faut traverser le miroir. Il n'en parle pas parce que personne ne comprendrait. Alors avec sa boîte de couleur il écrit ce qu'il voit, ce qu'il entend, ce qu'il sent, et revenant de ce côté-là du miroir il écrit. Merci encore 1000 fois pour ton commentaire et comme d'habitude je te dis à plus tard. Cordialement, Francis Étienne. Le temps coule toujours sur les pierres des gués, comme si dans le ciel on était aux aguets.
Algarades de princes
Publié le 13/02/2025
Cher Léo, voilà encore une comparaison si juste et qui traduit bien l'impression que tu as eue devant ce texte. Je tente toujours dans le tissage des mots d'insérer des couleurs qui sont proches ou qui met en valeur des mots moins brillants. C'est un peu le secret de la poésie ou du moins de ma poésie car chacun ressent le monde comme il l'entend ou plutôt comme il est capable de l'entendre. Je suis persuadé que les gens qui sont fermés à la poésie sont aussi fermés à certains aspects du monde, ils traversent la vie comme sur une passerelle, il ne plonge jamais dans le cours d'eau qui les amènerait vers d'autres réalités, d'autres sensations, peut-être d'autres univers. Nous sommes tous une portes du rêve. Il suffit de la chercher en nous bien entendu de l'ouvrir. Le travail poétique que je poursuis depuis des années consiste essentiellement à donner au lecteur une vision harmonisée et harmonique de l'univers ou du moins de l'univers qui m'entoure et que je peux toucher de mes doigts. Merci Léo encore une fois pour ton magnifique commentaire, qui comme je te le disais précédemment, est très précieux pour moi car il est le miroir du lecteur. Cordialement et à plus tard. Sous la cascade d'or d'un bassin de château se cache le trésor d'un immense bateau.