Bonsoir et merci pour ce partage. C'est terrible une fin, et plus encore la fin d'une histoire d'amour. Toute cette passion en mots flamboyants pour Martine qui s'achèvent en un triste tas de cendre, si douloureux que la sincérité de cet histoire d'amour est même mis en doute. Ce délier, se détacher, c'est toute une autre histoire, qui fait plein de bons livres aussi. Comme on dit, il faut tourner les pages et apprendre à finir un chapitre pour en écrire un autre dans ce livre très remuant qu'est la vie. A plus tard.
Moi j'aime bien simplement parce qu'il y a toutes ces possibilités. Je ne sais toujours pas ce que veut dire "bien écrit". Mais tu sais que je suis un éternel amoureux des femmes alors forcément le thème m'accroche. C'est à double tranchant car, parce que je suis un passionné, il ne suffit pas de parler d'une belle inconnue, il faut un angle, une approche inédite, honnête. C'est sans doute pour ça que j'ai beaucoup aimé. ;-)
Merci à vous pour le partage de ce magnifique poème. Le site est en train de se développer et va compter très bientôt de nouvelles fonctionnalités et nous allons aussi renouer avec de nouvelles activités. A plus tard.
Bonjour très cher Gilbert, quel joie de te retrouver, et de compter parmi nous un auteur d'Haïti et surtout de retrouver tes mots, ton vécu et ton regard. je serai très heureux de retrouver tes textes ici et de les commenter à nouveau. Le peuple des mots s'inscrit dans les mêmes valeurs de rencontre et de partage que nos aventures passées, avec des années en plus depuis que nous avons à rattraper. Bienvenue et merci de poser tes bagages ici.
Bonjour, bienvenue et sacrément merci Boualem car ce poème est magnifique. Quelle entrée parmi nous, au point que je l’ajoute à mes favoris et à la sélection des textes coups de cœur. Tout en haut de l’émotion et du ressenti, où l’amplitude de l’amour emmène avec elle toute la fragilité de lettres cousues D’Or sur la crête des mots. Merci beaucoup de nous rejoindre et de partager ces mots si précieux.
C'est pas facile comme exercice et je suis d'accord, il peut sembler un peu scolaire. J'en ai un autre à partager qui avait été illustré par une artiste que j'aime beaucoup et lu par une conteuse et amie qui m'a aussi fait un beau cadeau. Cela me donne envie de le partager prochainement, à suivre.
Point une allumeuse et encore moins une paumée mais bel et bien une lady qui aurait probablement espéré une approche moins brutale. Que les autres au lieu de se gausser en prennent de la graine de pigeon : être un gentleman prend du temps et nécessite d'en maîtriser tous les codes. Une participation très originale que ce soit sous sa forme et dans l'approche, bien joué.
J'aime bien le texte que je trouve cependant un peu scolaire, un peu "récit de l'instituteur à ses élèves". Toutefois, c'est une belle histoire et une jolie réussite car le plus dur c'est de parvenir à s'investir dans un défi. Et c'est ce que tu as fait.
Bonjour Patrice, j'ai la même technique : priorité au direct, à l'émotion, à la spontanéité car c'est ce qui rendra le texte retravaillé authentique et vrai. Créer et se livrer avant toute chose.
Et chaque soir je créé un texte différent. Toute l'équipe des comédiens et techniciens attend le morceau inédit chaque soir à 20h35. Ils me disent que ça les dope pour jouer, ça les lance, ça les aide. Ensuite il y a la pièce et puis on boit des coups et on parle de tout. ;-)
Quelle belle surprise que de te retrouver dans ce registre, ça change, et surtout tu diversifies ta palette. Qu’il est bon de travailler les mots sous toutes leurs formes. Et,plus encore pour faire craquer les planches de la scène où se mêlent talent et audace. Merci pour ta chouette participation qui me fait bien débuter ce week-end.
Super, tu vas recevoir d'ici la fin du mois un code qui te permettra d'avoir accès au profil auteur engagé qui te permettra d'avoir de débloquées toutes les fonctionnalités du site, dont la possibilité de référencer sur ton profil ici ta page Facebook ainsi que la promotion de ton livre (qui sera rattaché à tous tes textes publiés ici) et comme nous allons promouvoir tous les textes coups de coeur sur les réseaux sociaux, cela devrait t'accompagner dans la promotion de ton livre ;-)
Merci Léo ! Je touche au but. J'en profite pour dire que j'ai créé une page Facebook "Un fils de Louis" entièrement dédiée à "Ambre gris" dont ce texte est extrait. ;-)
J'aime beaucoup, anatomie d'une rupture où s'entremêlent temps long et spontanéité. Lorsque tout va très vite dans les révolutions des vies alors que tout est écrit depuis bien longtemps, l'amour a ses raisons que la raison ignore et a surtout ses coups de foudre, qui annulent et remplacent les précédents. Un texte bien écrit, aux formules efficaces que je recommande aux textes coups de coeur.
On appelle ces époques celles de l’insouciance et il est bon de plonger dans tes souvenirs pour découvrir ce qui t’as forgé, avec toujours, Martine pour faire entrer de simples instants de vie en des sommets d’éternité. C’est bien de l’écrire pour s’en souvenir comme au premier jours lorsque le temps troublera la mémoire. Merci pour le partage.
Les prisons sont un échec complet car ceux qui y sont ne peuvent plus revenir en arrière, et que ces lieux n'offrent en aucun cas l'opportunité de se nourrir de bien plus d'humanité qu'avant d'y entrer, et comme accumuler le pire ne pourra jamais apporter autre chose que du pire.... j'ai eu du mal à entrer dans ton texte car j'ai eu du mal à contextualiser ce témoignage, trop vite plongé dans le vif du sujet. Et sinon j'ai particulièrement aimé ce passage "Du haut de l'arbitraire de son pouvoir disproportionné, moyenâgeux, il a le droit de mépriser, d’humilier, d’écraser n’importe qui à condition de terminer par le mot magique, administrativement parlant, « Monsieur ».". Et touché par la sensibilité de ton texte.
C'est terrible ce qui se passe, et ce silence des élites et responsables politiques qui laissent faire en toute impunité est abjecte. Il n'y a aucun massacres qui peuvent légitimer d'autres massacres. Il faudra bien que tous les responsables de ces horreurs, et des deux camps, puissent répondre de leurs actes... Je ne comprends plus notre monde et sa funeste destinée que rien ne semble empêcher. C'est aliénant.
Quel honneur, et mieux encore, quel beau texte cette heureuse nouvelle a permis de voir le jour. Le graal pour tout écrivain qui souhaite se faire éditer. Pour moi on est écrivain si l'on écrit, chanteur si l'on chante, j'aime à penser que l'on est ce que l'on aime faire, loin de la professionnalisation ou de la notoriété. Tu décris magnifiquement chaque étape que l'on partage de tout coeur avec toi, et l'on croise les doigts avec toi, souhaitons que ce cheminement éditorial puisse t'être profitable.... Désolé de mon absence, j'avais besoin de souffler.
Bonjour et bienvenue. Je viens de finir le premier chapitre et je ne disposais pas du temps nécessaire pour lire la suite présentement . Pourrirez-vous publier un chapitre par texte, ce serait plus simple pour revenir dessus ensuite. Pour en revenir à ce premier chapitre j'ai eu très peur en découvrant le face à face des deux symboles forts de ce que représentent le bien et le mal, il fallait oser, et la crainte passée, on se plonge dans cette confrontation qui s'élargit avec de nombreux questionnements, la curiosité est piquée au vif. Si j'ai une remarque à faire, c'est dommage que ce ne soit de bout en bout que du dialogue, votre. qualité de narrateur et votre écriture soignée permettrait je pense de donner plus de place au contexte, au décor, à un scénario plus vivant qu'un seul échange, même si cet échange est assez bien mené. A suivre.
Bonjour très cher Francis, je m'excuse de ne revenir que maintenant mais l'après iPagination a été pas facile à traiter mais me voici enfin. Et quel plaisir et bonheur de te retrouver en mots, magnifiques alliages poétiques qui savent - comme ils ont toujours su - éveiller de beaux sentiments. Que de belles images et surtout un beau sentiment qui prédomine à la fin de la lecture, un bel espoir qui se profile à l'horizon. A te lire et te relire, merci l'ami d'être revenu.
Aujourd’hui, il n’y a plus de lacets à nos souliers, on met des scratch’s qu’on colle les yeux fermés…
Nouer ses lacets, c’est pouvoir marcher droit, le cœur tranquille.
Aujourd’hui, on a le cœur noué et on ne peut plus marcher.