C'est délicieux de voir vivre son texte chez l'autre. Je suis payé, et bien payé, si j'ai pu te faire sourire et te rappeler quelques bons souvenirs. ;-) Plus techniquement parlant, j'ai intégré ce matin la souris grise dans un texte bien plus large qui reprend aussi "Les démons". J'espère pouvoir publier ici dans quelque temps, le travail bien avancé. ;-)
Merci Allegoria.
En effet, j'ai dû beaucoup me documenter pour participer à ce défi ne maîtrisant pas le sujet. Je me suis d'abord souvenue de cette généreuse association créée par ce chanteur engagé, j'ai cherché d'autres infos, et le texte s'est écrit tout seul ensuite.
Merci pour ce gentil commentaire
J’en ai le sourire et l’aurai un moment encore. C’est une histoire qu’on suit, et qu’on voudrait voir durer - ne pas arriver trop vite aux dernières lignes. Les mots de la fin +++. Un petit détour aussi par mes we d'enfant : bonheur d’écrire et poster. Surtout sans doute pour la création de ces enveloppes incongrues et personnalisées - du patchwork un peu siphonné - et cette attente du facteur les nombreux jours suivants. Merci beaucoup Patrice :)
Ta Naouma est pleine de sagesse. Il en ressort un effet de douceur et d’équilibre sur l’ensemble. De ton côté, on sent le travail sérieux et documenté. Et la référence de Balavoine m’a renvoyée loin en arrière ; comme ça fait du bien de se souvenir de ces personnes au cœur large :)
Je trouve vraiment sympa de ta part de partager cette rencontre avec nous. Oui, les relectures peuvent miner le moral. Ce dont on est fier - le point final tapé - paraît à l’usure bien fade, impudique, absurde ou simplement mauvais :)
Je ne sais plus vraiment si j’avais eu le temps d’écrire 1 comm avant que tu ne le retires. Dans le doute, je recommence - ou pas ;) Défi réussi ! J’aime particulièrement la presque fin du texte avec ces points de suspension et ce regard par la fenêtre. Merci :)
La vie est un choix permanent et de nos choix présents dépendent notre avenir. Souvent dilemmes, et difficiles à faire, ils ont toujours un impact sur notre avenir. Peuvent s'ensuivre les remords ou les regrets.
C'est ce sur quoi tu mets l'accent dans ce prolongement.
J'aime beaucoup
"Et les soirs où l’enfant
Joue et sourit,
De joie aussi,
La lune s’arrondit...
Et lorsque l’enfant pleure,
Elle décroit
Pour lui faire un berceau de lumière...
Et lorsque l’enfant pleure
Elle décroit,
Pour lui faire un berceau de lumière..."
heureuse de te lire.
Texte noir, sombre qui termine par son contraste lumineux: "je vais bien"
Le contraste: ta signature
J'aime tout particulièrement: "Et ta bouche d’égout n’est pas langue morte." Ainsi que "Tes pieds naufragés mouillent ton encre."
Une lumière derrière la porte: tu écris.
Encore une fois: ton écriture contrastée, ta signature, j'aime
Merci pour ce partage
Bonjour,
Désolé, je n'avais aps vu que ma réponse s'était une fois de plus perdue dans les méandres de mon matériel informatique. Je pense que ton histoire gagnerait à être développée, surtout si le sujet t'intéresse et que tu sens que tu disposes de matière. En revanche, pour les paiements et abonnements, je n'ai aucune connaissa'ce pratique, j'en suis confus... Bon dimanche,
Pierre
"Mais souvent les plus grands ennemis de l'Afrique furent et sont toujours les chefs d'état et gouvernements africains qui vident les caisses des états à des fins personnelles":
C'est bien triste car je sais malgré tout que ces peuples ont de grands besoins d'argent, d'eau, et d'aide...
Merci pour de m'avoir lue et de ce gentil commentaire
Un bel hommage très bien documenté, et qui donne une bonne image de l'homme pour une foi. Il est vrai d'autre part que l'occident a pillé l'Afrique. Mais souvent les plus grands ennemis de l'Afrique furent et sont toujours les chefs d'état et gouvernements africains qui vident les caisses des états à des fins personnelles
Merci pour ton commentaire.
Pour ce défi, j'ai pris le temps de me documenter avant d'écrire car j'avoue que la sécheresse en Afrique est un thème que je ne maîtrise pas du tout. Il est donc en effet possible que j'ai omis d'aborder certaines problématiques.
Merci en tout cas
Merci Léo ! A chacun de tes commentaire, je sens beaucoup de bienveillance ! Tu portes bien ton prénom et Léo fait partie des plus doux. Le "L" bien sûr très loin du "R" et puis, aussi loin du "i" le "o" final qui résout, qui dissout toute tension avant même qu'elle ait pu naître. Tes parents devaient aussi être des personnes très douces. ;-)
Plusieurs thèmes se retrouvent dans ce texte prosaïque mais parfaitement rédigé. Il me rappelle un excellent film que j'ai été voir début février "marcher sur l'eau" qui montrait le problème de l'eau, de la centralisation, de l'éducation, du rôle de la femme mais aussi et peut-être surtout l'imbrication de ces différents éléments. Merci pour ce texte qui rappelle un mode de vie qui nous est inconnu. Je trouve néanmoins que ce texte et le film ne vont pas assez loin car ils négligent un point essentiel, l'auto-suffisance africaine qui, sans le pillage de l'Occident, serait une réalité.
Merci Léo ! A chacun de tes commentaire, je sens beaucoup de bienveillance ! Tu portes bien ton prénom et Léo fait partie des plus doux. Le "L" bien sûr très loin du "R" et puis, aussi loin du "i" le "o" final qui résout, qui dissout toute tension avant même qu'elle ait pu naître. Tes parents devaient aussi être des personnes très douces. ;-)
Merci Patrice, je partage Fabien concernant les photos. Tu arrives sans mal à vous embarquer dans ton voyage tant la description et le rythme sont soignés. C'est coloré, c'est culinaire et c'est temporel... j'ai beaucoup aimé cette phrase : "A Dakar, les temps s'imbriquent aussi, futurs et présents se marient singulièrement.". Une belle réussite.