999
Textes
3873
Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
C'est souvent ça l'écriture : un clin d’œil qui nous tombe dessus. J'aime :)
Ces dires après cédille
Publié le 08/02/2022
Peps fou après ton commentaire !
Reflex
Publié le 08/02/2022
Ha ha ha ! Oui, mâchez bien ! Pour ma part, ce sera du steak haché, le risque est faible ! Merci encore pour votre petit mot. ;-)
Un pas vers la prison.
Publié le 08/02/2022
A la première ligne on est content et surpris d'apercevoir quelqu'un qui est dans la même équipe, celle des humanistes. L'empathie envers les bannis est rare. Puis il y a cette extension du classique "je t'attendrai" à laquelle je n'avais jamais pensé alors qu'elle est évidente si on parvient à se mettre dans la peau de l'infortuné. Bravo !
du jour de mes premières couleurs
Publié le 08/02/2022
Très heureuse de t'entendre ! L'espace d'un temps je m'suis dit mince Fabien n'a pas aimé :)
du jour de mes premières couleurs
Publié le 08/02/2022
Je reste un enfant, et j'aime les anniversaires ! Tout est prétexte à faire la fête :) Et de la vie et des mots aux années ;))))
Reflex
Publié le 08/02/2022
Sauf que là il s’en est manqué de peu. Ces petits détails et cette implacable mécanique qui fait de vous la chose la plus fragile sur Terre, l’espace de quelques interminables minutes… votre récit s’appuie sur un brin d’humour lors de la détection du problème jusqu’à nous entraîner dans une course contre la montre que vous gérez parfaitement bien. Nul doute que ce soir je couperai plus petit et mâchouillerai plus longuement tant votre texte flirte avec la mort. Efficace.
L'orage et la marguerite
Publié le 08/02/2022
Ce sera avec plaisir que je découvrirai votre texte. A plus tard.
Murmure
Publié le 08/02/2022
Avec plaisir, c'est tout l'objet de cette plateforme, partager et s'inspirer mutuellement. Et plus on sera nombreux, mieux ce sera, à plus tard.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Merci pour cet encouragement et c'est sûr qu'on se recroisera ! D'ailleurs, je viens de changer mon texte, en particulier le 7eme paragraphe. Ce sera peut-être déjà l'occasion de se recroiser. Merci et à tout bientôt ! ;-)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Ça me fait très plaisir ! Je viens d'ajouter de la musique ! Cette nouvelle idée rend le texte encore plus sensuel. Je serais heureux que vous me disiez. ;-)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Cette histoire est en fait un patchwork de choses que j'ai vécues. "C'est un peu comme si on s'était embrassés..." n'est pas une idée de moi mais elle vient d'une fille, Nathalie, qui me tournait autour et moi, nigaud, je ne m'en rendais pas compte. Je suis content que cette idée vous ai frappé. Je vais abuser, ce matin j'ai retouché mon texte après avoir entendu un titre sur FIP radio. J'en suis très content. J'aimerais beaucoup votre sentiment à son sujet. ;-)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Merci immensément pour votre commentaire qui m'encourage et m'aide. Il me permet aussi de comprendre que des choses les détails sont relevés par la lectrice assidue que vous êtes. Je vais abuser, ce matin j'ai retouché mon texte après avoir entendu un titre sur FIP radio. Je suis très content de cette nouvelle idée. J'aimerais beaucoup votre sentiment à son sujet. ;-)
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 08/02/2022
Une belle réflexion Sam sur ce que l'on est, devient, inculque et laisse derrière soi. Nos sociétés modernes sont ainsi faites qu'elles nous inféodent. Garder conscient l'enfant qui est en soi, celui qui rêve encore et qui avance sans préjugés, sans chaînes, n'est pas une mince affaire. L'existence est une nuit noire d'où rien ne ressort, ni les espoirs, ni les remords. Heureusement il y a encore le territoire des mots pour se recréer. Merci Sam
du jour de mes premières couleurs
Publié le 08/02/2022
Encore une jolie manière de te livrer ma chère Allegoria. Et parce qu'une phrase ce n'est pas, sujet, verbe, complément, j'aime ta "déstructuture", cette poésie bien à toi de placer l'idée au-delà du mot, de privilégier l'émotion, la sensation presque charnelle du choix et d'une structure envolée, incomplète des fois, à l'image de ce que nous sommes finalement, sans fard.
L'orage et la marguerite
Publié le 08/02/2022
Très beau texte qui s'appuie sur le contraste entre la violence et le fragile. Un sujet qui me parle puisque j'en avais écrit un sur le même thème, utilisant comme vous une marguerite en image. Le titre était "souffrir pour ne plus souffrir". Je songe à le republier ici ou sur wlw un jour. Je ne manquerai pas de vous alerter.
Murmure
Publié le 08/02/2022
Bonjour. Merci pour votre accueil et surtout pour votre mur murre: vous m'avez soufflé le titre qu'il me fallait, n'ayant rien trouvé d'autre que "Mural" jusqu'ici. Murmure, voilà!
du jour de mes premières couleurs
Publié le 08/02/2022
Joyeux anniversaire Allegoria, un dicton dit que c’est une drôle d’idée d’ajouter des années à la vie, alors qu’il faudrait plutôt ajouter de la vie aux années, et j’ajouterai des mots à la vie. Merci de ta présence rayonnante.
Murmure
Publié le 08/02/2022
IPagination est effectivement une aventure initiée et animée par ses auteurs et sa communauté en devenir. Bienvenue.
Murmure
Publié le 08/02/2022
Bonsoir et bienvenue Enzo. Un texte sensible et plus que jamais d’actualité : on n’a jamais autant construit de murs que maintenant, et comme vous l’imagée parfaitement, ils sont nombreux les murs qui nous coupe de notre humanité, qui avilissent, blessent, asservissent, isolent assurément. Heureusement, les mots sont des passe-muraille… merci de ce partage.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 08/02/2022
Bonsoir, bienvenue et merci pour votre texte qui nous plonge dans nos jeunes années toutes en ébullitions et à fleur de peau. Ces quelques secondes qui durent des siècles telles une épitaphe gravant une âme amoureuse, foudroyé sur place par la passion : “Ici gît celui qui a su goûté au sucre de la vie…”. À plus tard j’espère.
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 08/02/2022
Bonsoir, bienvenue et merci Sam. Il faut lire et relire effectivement pour apprécier chaque gramme de cette dense introspection. Une ode à l’enfance, comme ultime rampart à la vacuité du monde qui se mue bien malgré nous en un vertigineux précipice. On se meurt de prendre trop au sérieux l’inéluctable, comme l’on redouble de vie lorsque l’on parvient à conjurer l’ennui de notre totale insouciance. Votre texte est intense et les images tourbillonnent pour emporter toutes les années que l’on n’a pas su retenir. Sur le vertigineux rebord du monde, les mots seuls survivront… merci infiniment pour ce profond moment de lecture. Au plaisir de vous lire à nouveau.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 07/02/2022
Moi j'ai beaucoup aimé la sensorielle du texte dans lequel chaque sens est abordé
Ces dires après cédille
Publié le 07/02/2022
Des aliterations et un rythme qui font penser à une musicienne virevoltante et espiègle, comme une symphonie à la fois douce et, comme fort justement déjà remarqué dans les commentaires, qui fouette.
Murmure
Publié le 07/02/2022
Bonsoir. Merci pour ton accueil. J'ai enfin franchi le mur qui me séparait de ipagination depuis welovewords où le reste de mon "oeuvre" se trouve. D'ailleurs on m'a dit que ipagination a été créé par d'anciens membres de wlw donc...mais pour en revenir à l'écriture , et bien je vais de ce pas explorer la tienne!
Murmure
Publié le 07/02/2022
Démuré et d’un bond, tu floutes et nolontes. Et tu franchis. Merci enzo pour tes mots :)
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 07/02/2022
Eh bien quel texte. Il me ramène à mes 17 ans, ces petits jeux de séduction, le regard, tous les sens en éveil. "C'est un peu comme si on s'était embrassés sur la bouche quand tu bois dans le verre dans lequel j'ai bu". Ça vraiment j'aime beaucoup, c'est une très belle image vu du prisme de l'adolescence. Merci.
Louise équivoque (atelier février)
Publié le 07/02/2022
À votre image et à votre “moi”. Des sourires à vous lire ! Le Monaco, c’est vrai : c’est plus doux quand on peut faire durer le panaché :)
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 07/02/2022
et penché en avant, médite peut-être sur l’éducation à l’envers. Et à suivre vos lignes, je pense à K.Gibran : “Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.” Merci Sam pour ce partage :)
Sur les rebords du monde (Extrait 1)
Publié le 07/02/2022
L'idée que vous exprimez ici est très belle mais pour moi qui ai une vue pas exceptionnelle, elle est dure à percevoir. J'ai souvent du relire et relire encore pour pouvoir extraire le sens hors de cette densité. Mais le son des mots qui étayent les minutes de la vie qui s'égraine est très joli. Bravo !