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toi l'ombre, et moi
Publié le 17/04/2022
Temps et théâtre de la vie. Ombre spectrale. Ces mots et ton regard me touchent. Que tu notes le choix de la photo aussi : et de l’illustration ou du texte quelle est l’ombre ? L’une est l’autre :)
La nouvelle (suite de l'annonce)
Publié le 17/04/2022
Les textes sont à 100% auto-biographiques. Je ne parviendrais pas, comme tu l'as très bien compris, à être aussi juste si j'inventais. Oui, les deux textes sont très récents. Je peux même te dire qu'Ipagination y est pour beaucoup. J'ai décidé d'écrire toute une histoire il y a un bout de temps et j'avais pas mal avancé. Pour des raisons pratiques, j'ai du interrompre et tant mieux car en relisant, ça ne me paraissait pas grandiose. Entretemps, des événements tragiques se sont produit dans mon existence. J'ai décidé de me concentrer sur eux et j'ai démarré leur écriture. Ce qui est particulier c'est qu'une fois le texte écrit, lorsque je le poste ici, ma sensibilité semble accrue et je fais des corrections que je n'aurais pas faites sinon. Les remarques et les textes de chacun vus ici me nourrissent. Les deux textes que tu viens de lire ne sont pas sensés s'enchaîner. Dans la structure que je prévois, cette seconde partie n'est pas terminée. Elle se terminera sur une grosse inquiétude. Comme pour la première partie, le lecteur est dans l'attente. Et entre ces parties, précisément en rapport avec Rose, ma fille (ce n'est pas son vrai prénom), il y aura des flashbacks qui racontent ma vie. "Les démons", "Un dimanche en 72" et "La petite souris grise" sont les liants qui rythmeront l'événement de Rose. Ils ne seront pas exactement comme ils ont été publié ici. L'ensemble devrait s'appeler "Les démons". Encore merci pour ton soutien !
qui est là?
Publié le 16/04/2022
Merci de ton gentil commentaire
qui est là?
Publié le 16/04/2022
C'est chouette et c'est frais, et ça fait du bien tant c'est coloré et imagé. Les onomatopées comme des battements de coeur rythment le merveilleux et une bien belle fantaisie. Merci de ta participation très chère Vickie.
La nouvelle (suite de l'annonce)
Publié le 16/04/2022
Je renouvelle tous mes compliments, c'est toujours aussi bien, aussi juste, équilibré et très bien écrit. Ça commence à faire pas mal de textes que je lis de toi, et je me demande toujours qu'elle est la part de personnel ou de romancé. L'annonce et donne cette suite sont très aboutis, et je pourrais me dire qu'elle est vécue tant les sentiments sont sincères et les mots très justes. Et l'auge question que je me pose, c'est la chronologie des textes, est-ce que ces deux derniers textes sont récents ? Merci pour tes réponses à venir, et encore bravo Patrice.
La nouvelle (suite de l'annonce)
Publié le 15/04/2022
D'autres péripéties à venir. ;-) Merci Vickie !
La nouvelle (suite de l'annonce)
Publié le 15/04/2022
D'autres péripéties à venir. ;-) Merci Vickie !
La nouvelle (suite de l'annonce)
Publié le 15/04/2022
Un grand ouf! Lorsqu'on arrive à la fin du texte! Tenue en haleine tout le long sur ce sujet qui me touche particulièrement. Merci pour ce partage
qui est là?
Publié le 15/04/2022
C'est le printemps. Les couleurs sont là avec leur fantaisie, comme ton texte ! C'est gai de te voir aussi sous cet aspect ! Bravo ! ;-)
L'annonce
Publié le 15/04/2022
Ta bienveillance et ton œil littéraire sont très appréciables. Et en plus, je viens d'apprendre un nouveau mot "Blast" Grosse bise !
L'annonce
Publié le 15/04/2022
Ta bienveillance et ton œil littéraire sont très appréciables. Et en plus, je viens d'apprendre un nouveau mot "Blast" Grosse bise !
L'annonce
Publié le 15/04/2022
La montée en tension est fulgurante puis lancinante. On esquisse à peine un sourire lorsque le personnage hoquette mais l'on est très vite rattrapé par la gravité de ce qui se joue et dont les formules très efficaces se succèdent sans répit comme une déflagration. C'est très bien construit et amené, et cette chute, sobre et pleine d'aplomb pour affronter le pire finit de tout emporter. Grand bravo et merci, les bons textes se succèdent.
L'annonce
Publié le 15/04/2022
En trois mots: un texte bouleversant!
L'annonce
Publié le 14/04/2022
à quel point ton avis m'est précieux. Merci, Vickie !
L'annonce
Publié le 14/04/2022
Tu m'as mis les larmes aux yeux (et contrairement à ce qu'on pourrait croire je ne suis pas du genre à pleurer facilement!) L'émotion est très très bien dépeinte dans ce texte, les images sont fortes et parlantes. L'inquiétude, puis l'appréhension sont palpables, on se met très facilement à la place de ton personnage...
toi l'ombre, et moi
Publié le 14/04/2022
Bon j'ai tout faux sur ce coup lol! :) Je vais le relire à nouveau, A bientôt
toi l'ombre, et moi
Publié le 13/04/2022
Je suis également sensible à l’esthétisme de la photo d’illustration hyper inspirante, tout est sélectionné avec soin.
toi l'ombre, et moi
Publié le 13/04/2022
Bonsoir Allegoria, comme Vickie j’ai plongé et d’aussi belle manière que dans le dernier texte de Sam. Il y’a des mots et des formules qui ne te laissent pas tranquille, qui s’agrippent à ta conscience et à ta sensibilité comme le ferait des spectres refusant de quitter le théâtre de leur vie, de ce qui n’est plus, et ne sera plus. Ton texte est fort, une nouvelle fois, il est savamment dosé et délivré, à la force de la ponctuation dont chaque usage est mûrement réfléchi. Une belle réussite et je te remercie de le partager avec nous.
toi l'ombre, et moi
Publié le 13/04/2022
Oui, c’est juste, tous deux partisans de “la musique avant toute chose” ;) Et de l’avis subjectif d’une lectrice boulimique : l’univers poétique a besoin d’espace pour l’imaginaire ! Quant à ton interprétation : je suis touchée par ta lecture, ton écoute et ta sensibilité au diapason de “toi l’autre, et moi”. Merci aussi, beaucoup, pour ta dernière phrase : j'adhère à mille pour cent :)
toi l'ombre, et moi
Publié le 13/04/2022
Non, pas de référence au texte de Sam. Une question de sonorité ;)
toi l'ombre, et moi
Publié le 13/04/2022
Tu connais mon sourire des lectures plurielles. N’hésite pas, déforme, approprie-toi. Si tu tiens à connaître l’image qu’Allegoria a en tête ici en écrivant, descends juste un peu plus bas (commentaire de Patrice). Le paraître, et le moi - sans toujours, peut-être, savoir lequel des deux n’est pas l’autre. Question analyse : quelques indicateurs, par ex “son reflet à travers la vitre”, “l’or, et son argent”. Et le manège des pronoms. Quant à l’amour, pas vraiment passionnel : “comme on s’aimerait” récité, répété comme un mantra. Une acceptation, reconnaissance ou réconciliation :)
toi l'ombre, et moi
Publié le 13/04/2022
Toi et moi, on travaille les sonorités, il me semble. De façons très différentes mais nous tendons vers des sons. Lorsque je lis tes textes, la première fois, je ne me tords pas trop l'esprit à vouloir comprendre, j'écoute la musique et certaines impressions sémantiques apparaissent. Je relis ensuite une ou deux fois et j'interprète car en plus de leurs sons, tes textes donnent de l'espace à l'imagination. Comme je le disais plus tôt, le plus important dans ce qu'on écrit, c'est ce qu'on écrit pas. J'évite de sortir une phrase de son contexte mais je le ferai quand même : "sans papier bulle pour amoindrir la chute. sans scotch pour colmater la fissure. il piétine sur place le non-dit." Cette phrase pour une relation entre deux personnes serait déjà profonde. Si elle est écrite pour illustrée un lien entre une personne et elle-même, elle devient inédite. Sur la finale tu parle du "non dit", pour une personne envers elle-même, on touche au sublime. En plus pour moi qui suis un homme, cela me demande d'imaginer les contraintes du paraître des femmes et j'aime imaginer. J'ai peut-être interprété erronément tes mots mais peu m'importe, comme jadis quand j'étais enfant (mais ne le suis-je plus ?) le monde était très beau lorsque je l'imaginais au lieu de le voir.
toi l'ombre, et moi
Publié le 13/04/2022
à moins que ce ne soit une référence au dernier texte posté par Sam?
toi l'ombre, et moi
Publié le 13/04/2022
Salut Ally, Ecoute, j'ai relu plusieurs fois ton texte et j'avoue avoir des difficultés cette fois à décrypter celui-ci. Alors j'ai essayé d'en analyser certains vers: "il perçoit la cage dans tes yeux, la fêlure, la craquelure. la nuit s'estompe - le réveil brutalise. sans papier bulle pour amoindrir la chute. sans scotch pour colmater la fissure. il piétine sur place le non-dit. imagine nous deux, toi l’ombre, et moi, plus vieux encor’ - comme on s'aimerait." " imagine nous deux, traversés d’éclairs de soleil à torrent. imagine nous deux vieux comme on s’aimerait." Pour moi: d'un côté un être "cassé", qui souffre, de l'autre un autre: "l'ombre" qui décèle cette fragilité, et un rêve d'amour passion entre ces deux là. Alors qui est cette ombre? Au début j'ai pensé à la nuit mais non puisque tu écris "la nuit s'estompe"... Donc maintenant je me dis: peut-être une personne inconnue encore, ou alors pas totalement, dont on ne connaîtrait que les contours, un peu comme un fantôme attendu, espéré, ou qui hanterait la vie du premier personnage... Alors, tout comme à Sam je vais te dire ceci: excuse moi Ally si jamais je déforme tes mots. Merci malgré tout pour ce texte empli d'images fortes, notamment pour moi dans les vers que j'ai cités, et d'amour. Merci pour ce partage Et heureuse de te revoir ici :)
Mon premier saut
Publié le 10/04/2022
Tes commentaires me font toujours chaud au cœur. En plus tu es celle qui as lu la version "améliorée" suite à la remarque de Léo, que je remercie encore, portant sur un manque de fluidité. J'ai essayé d'y remédier en supprimant un passage qui n'amenait finalement pas grand-chose. ;-) A vite ! N.B. Et t'as vu, j'ai mis ma réponse dans la bonne case. ;-)
L'Absence (extrait - Sur les Rebords du Monde)
Publié le 10/04/2022
Ou, l’instinct de survie - “la dernière boussole des vies ravagées”. De nouveau, beaucoup de beauté dans tes mots, Sam. Des mots rendus plus denses encore avec la présence des deux personnages. Un texte poignant. Et qui fait écho. Merci :)
Mon premier saut
Publié le 10/04/2022
Je retiendrai ! Bien vu la façon dont tu isoles ces 4 phrases de l’ensemble. Humour, dérision, et sujet pas banal - ton premier saut donne la pêche. “Qu’auriez-vous fait ?” Des mots répétés, nickels pour le final. Puisqu’on cherche tous à y répondre ;) Merci Patrice, très bon moment :)
L'Absence (extrait - Sur les Rebords du Monde)
Publié le 09/04/2022
D'une certaine façon, ton texte me touche personnellement, mais d'une certaine façon, ton texte touche chacun personnellement par son thème, sans doute, mais en particulier parce qu'il laisse de l'espace pour le lecteur qui dès lors peut y trouver beaucoup de choses. Je comprends le malentendu exprimé à travers les commentaires de Léo et de Vickie. Je me suis également posé la question durant ma lecture. En outre, le tragique ici est singulier car il est possible, chacun en pensera ce qu'il veut ou ce qu'il peut, que la suicidée ait prévenu son compagnon avant l'acte. Là encore, Sam, tu nous permets, non, tu nous incites à imaginer. Plus j'écris, plus je trouve que le plus important dans l'écrit est ce qu'on n'écrit pas. C'est ce que tu as très bien fait ici, en crescendo, sans aller jusqu'au forte. Heureusement ! ;-)