Oui c'est vrai. Ça mériterait en tous cas une discussion. Comme tu le dis, c'est un peu facile de tout jeter. Mais comme tu le dis aussi, ce n'est jamais si simple. ;-)
Oui c'est vrai. Ça mériterait en tous cas une discussion. Comme tu le dis, c'est un peu facile de tout jeter. Mais comme tu le dis aussi, ce n'est jamais si simple. ;-)
Un périple qui m’a fait passer un bon et joyeux moment de lecture ! J’ai étouffé mes rires en même temps que “les filles”. Et la fin du récit est tout aussi cocasse. Merci Joye pour ce premier partage :)
J'ai réalisé par le commentaire de Léo qu’il s’agissait du défi ! À la lecture de ton texte, je me suis dit “ rhôoo belle idée, ce langage complètement déstructuré !” ; et comme Patrice, j’ai pensé à Ionesco, et à son Bérenger. Bravo vickie, et merci : une fois de plus, un défi bien dedans :)
Merci Patrice ! Cet épisode de la Mégane est vraiment bien vu. Elle cristallise l’ensemble. Et tu as bien abordé ce thème du marasme parfois d’une vie à deux. Bon, il y a cette phrase que je trouve un peu facile : "J'avais trente-six ans quand le démon de midi m'a empoigné. S'il vous empoigne, laissez-vous faire !" Je pense que l'homme est un être en perpétuel devenir, et qu'il s'use lui-même quand il stagne. Mais ce que l'on prend comme un problème de couple, est bien souvent propre à l'individu, et touche à l'existentiel. Peut-être un chouïa raccourci de faire penser que le remède est de bazarder, et de changer de jardin ;)
Merci Patrice pour ce texte, qui révèle ces étapes difficiles - passages obligés, par lesquelles les familles passent après de tels accidents de vie. J’ai lu tes commentaires, et tes doutes sur l'écriture du texte. Peut-être est-il moins évident d’écrire quand l’épisode est plus “concret et technique” (je pense à la 2ème partie, au transfert en lui-même) alors qu’il touche directement à l’émotif ? Quoiqu'il en soit, merci encore :)
Merci Sam. Pour le titre du texte, déjà, très pertinent. Et puis pour ton écriture : tu nous emportes et tu nous saisis toujours dès les premiers mots. Et ce, jusqu’à la fin. Ici, avec “l’indicible projet” et ses points de suspension :)
J’adore les onomatopées, et je me suis souvent amusée avec. J’ai voulu changer un peu en les utilisant dans leur emploi nominal. Et c'est vrai, tu as raison, nous avons beaucoup de chance : le français dans sa langue compte une infinité de pierres précieuses :)
Bienvenue et merci pour cette première participation. Le titre porte bien son nom, et l’on est pas bien loin de la galère à rames… côté écriture vous avez des passages descriptifs très encourageants et l’on sent bien que vous êtes portée par l’e,vie de partager et d’écrire des histoires, et vous êtes au bon endroit. Au plaisir de vous lire à nouveau.
Merci Léo d'être toujours si présent, nous entourant de ta bienveillance. Très sincèrement merci. Toutefois, si la vie a amené ce conducteur distrait sur la route du protagoniste, ce dernier a volontairement crashé sa voiture, inconsciemment mais volontairement quand même. La Mégane Diadora était l'un des symboles de ce foyer qui l'étouffait et dont il entrevoyait la sortie suite à la rencontre avec Luce. Le crash, c'était la concrétisation d'un divorce annoncé. La phrase que tu sites est aussi pour moi, le centre de gravité de ce texte qui fait partie d'un ensemble plus grand que j'espère pouvoir bientôt vous présenter. Bise !
Ça se lit tout seul. C'est très drôle. C'est bien rythmé aussi. Une toute petite remarque, lorsqu'on parle d'une promenade, on parle d'une balade avec un seul "L". Pour le retenir, moi qui aime la musique, je me dis que pour s'envoler en musique, il faut deux ailes (ex : la ballade des gens heureux donc la chanson des gens heureux). Pour les loisirs plus terriens, un L suffit. ;-)
Merci Léo d'être toujours si présent, nous entourant de ta bienveillance. Très sincèrement merci. Toutefois, si la vie a amené ce conducteur distrait sur la route du protagoniste, ce dernier a volontairement crashé sa voiture, inconsciemment mais volontairement quand même. La Mégane Diadora était l'un des symboles de ce foyer qui l'étouffait et dont il entrevoyait la sortie suite à la rencontre avec Luce. Le crash, c'était la concrétisation d'un divorce annoncé.
La phrase que tu sites est aussi pour moi, le centre de gravité de ce texte qui fait partie d'un ensemble plus grand que j'espère pouvoir bientôt vous présenter.
Bise !
Ta phrase « un anesthésiant océan tiède de compromis, de formes, d'obligations, de contrats » qui cerne tant et tant de foyers. L’accident semble être la seule part d’inattendu, à tel point qu’il semble même impossible qu’il puisse se produire quelques secondes avant. La vie se charge souvent de nous réveiller de notre train-train quotidien, et si le changement récurrent était inéluctable. Ton texte, sur une phase de vie banale, soulève une nouvelle fois des questions existentielles, c’est toute la force de ton écriture.
Non mais quel imbroglio ! C’et bien mené et l’on peut dire sans réserve que le défi est relevé, à la touche Vickie, en plein dans la société et ses zones de tensions et sans manquer d’humour non plus. Et puis j’aime bien aussi ces clins d’œils musicaux pour bien entamer le texte et pour bien le finir. Merci pour ta belle participation.
Quelle galère en effet! La poisse jusqu'au bout! Mais bon, rien de grave ni bien méchant dans tout cela: le genre de poisse qui peut provoquer des rires conviviaux entre les différents participants de cette expédition quelques années plus tard :)
Merci encore ! En effet, c'est un complément matériel de la partie plus humaine. C'est beaucoup plus dur à écrire et surtout plus dur d'en être satisfait. ;-)
Ton texte, dans la continuité des précédents est très fort et sensible. C’est terrible de se sentir impuissant pour contrer une tristesse sourde à tout amour. Et c’est épouvantable de n’avoir pour seul réconfort que des propos stigmatisants et culpabilisant. C’est aussi terrible de voir un tel drame se dérouler avec un fond purement logistique d’occupation des lits. Ce texte est précieux car il mets des mots sur des drames que vivent de trop nombreuses familles qui ont du mal à lutter face à un monde fade et dénué de sens… merci.
Superbe, comme à chaque fois. Dans cette partition c’est le large qui a inspiré tant et tant d’auteurs qui malmène de ses vagues de mots sombres et douloureux, le rafiot craquant de nos espérances. On sent la tempête poindre, et le ridicule de nos existences face à la force des éléments. Merci pour ce moment de lecture Sam.
Merci Allegoria, toutes ces sonorités servent un poème de très haute tenue, et pour ma part j’ai découvert les noctuelles aussi je repars le cœur, l’ouïe et l’âme sustentés. Encore merci de tes magnifiques mots.