Un grand merci de m'écrire vos impressions aussi rapidement, j'étais impatiente de les connaître . Pour la fin, oui vous avez raison c'est un peu court... mais le terrible chiffre de 1500 arrivait et fallait pas le dépasser... j'avais déjà enlevé pas mal de phrases et de mots car prise dans mon élan... je dépassais de beaucoup... J'aime beaucoup les défis et j'ai hâte d'en recevoir des nouveaux... A bientôt vers de nouvelles aventures!!! Kissous.
En effet ce n'est pas mon registre d'écriture habituel... mais j'aime participer aux défis donc... voili voilà Pour la chute précipitée... c'est en cause... les 1500 ... chiffre fatidique ...lol A bientôt pour un autre défi et encore merci de me permettre de m'exprimer autrement et surtout de savoir que cela vous a plu... donc à plus Kissous
Tout d'abord Vivi, un grand merci pour votre participation.
Ce que j'ai aimé dans votre récit est la façon patiente dont vous avez planté le décors. L'incursion dans le passé et l'imagerie utilisée fonctionnent parfaitement. L'image du fusil qui se vide sur les corps enlacés est une image très forte. La violence du fusil avec la douceur des corps enlacés est assez jubilatoire à lire. Bravo pour cela! Ce que j'ai aimé aussi, est le passage dans le dortoir-hôpital. Les scènes sont vraiment terrifiantes et le lexique horrifique fait preuve d'une belle imagination. Le final fonctionne aussi parfaitement, j'aurais aimé qu'il soit un peu plus détaillé pour accentuer la scène du "réveil" de Jean. Mais le tout est vraiment très plaisant à lire et surtout la frayeur est au rendez-vous. Bravo! Belle prestation.
j'aime beaucoup tes descriptions "Il regarde l’étrange ballet des ouvriers danser ensemble, échanger des pièces monstrueuses dans le ciel avec des gestes rigoureux, sans soucis du lendemain. Il les voit affronter le vide à l’heure de la pause, assis sur une poutrelle avec leur casse-croûte." Je me souviens d'une photo...
Merci beaucoup pour ce retour Allegoria. Il est de la responsabilité collective de prendre soin des autres et de tout faire pour épargner aux enfants, les adultes et responsables de demain, d’avoir pour exemple et références de la violence et des injustices en tout genre. On ne récolte que ce que l’on sème, ou ce que l’on permet de semer. À plus tard.
Bravo Vivi pour cette participation dont le genre et la violence ne semblent pas correspondre à votre registre d’écriture. Il en faut du courage pour sortir de sa zone de confort et de relever le défi avec une belle réussite. Vous avez pris le parti de recontextualiser le sujet pour mieux le reprendre à votre compte ce qui est confortable et très utile pour le lecteur qui ne connaîtrait pas le sujet d’écriture. Et une fois vôtre vous menez votre personnage et le lecteur dans les dédales inquiétants et lugubres de ces murs maudits avec réussite. Je trouve très bien de visualiser les 13 et de les mettre en scène comme vous l’avez fait. J’étais bien en place et suspendu à votre texte et j’ai presque regretté que la chute survienne déjà, c’est dire si j’étais bien dedans, merci Vivi, grand plaisir de découvrir à chaque fois comment vous vous appropriez les contraintes. À plus tard.
Je suis arrivée sur le site à la traîne. J'ai lu vos textes en une respiration. Gros gros coup de cœur pour fleur de bitume. Et vos monstres sont passés un peu à la trappe.
C'est votre commentaire à Vickie qui m'y a fait revenir. Tout ça n'est pas bien français, mais c'est samedi soir ! et là .. à relire.. j'embarque. Et le monstrueux une affaire collective ? c'est juste lucide et pertinent. Merci Léo
Coucou Vincent je viens de lire ton histoire après avoir déposé la mienne... C'est amusant car nous avons tous les deux fait rêver nos prisonniers...Comme quoi... Inutile de te dire que j'ai aimé l'idée des orphelins...kissous
On se laisse emporter par votre récit, son intrigue, ses descriptions. Et l'idée qu'on reste prisonnier de ses traumatismes - même si la porte s'est ouverte, est tellement juste !
Très belle participation Vincent, ça monte crescendo et ça puise dans les peurs d’enfants qui sont souvent de mémoires les pires qui soient. Il y a de l’angoisse, du gore et de façon habile il y a certaines pistes qui nous mènent à la chute tel que le carrelage. Attention à l’usage de « prêt/près » et « une lutte acharnée »sinon je n’ai rien d’autre à remonter, c’est impeccable et impressionnant au vu de la rapidité de production de ce texte. Bravo et merci Vincent.
Bravo Vincent! Pari gagné. J'ai beaucoup aimé la montée en puissance de votre histoire. Cela démarre tel un thriller, bien rythmé, le procédé en leitmotiv du rêve passé, le lexique judicieux qui sombre finalement dans l'horreur avec ce rythme qui s'accélère, et qui tient le lecteur en haleine.. jusqu'au dénouement infiniment bien joué, avec ce rêve. Vous avez relevé le défi haut la main. Et ce n'était pas simple de poser une intrigue en si peu de mots.
Merci pour cet excellent moment de lecture.
Un très beau texte pour ceux qui feront demain mais aussi pour ceux que l'on a été, et si nous pouvions retrouver un peu de tous ces bienfaits qui s'ils ne se perdaient pas en route feraient un monde parfait. Merci Vickie.
J'aime cette idée d'un régime sans "P", et cela aurait été l'apothéose avec un texte sans les lettres "I.K.E.A" :-) Comme Allégoria, j'aime bien cette pointe d'ironie que l'on perçoit mine de rien.
Merci Myriam, est-ce bien Myriam qu'il faut que je doive vous appeler (comme il y a "A.E" avant je n'aimerais pas commettre d'impair. j'écris à l'instinct sans jamais anticiper ce que pourraient faire ou penser mes personnages, à la vérité ce sont eux qui me mènent par le bout du nez, mais il me plait à penser comme vous qu'il regagne à sa façon la lumière. A plus tard et encore merci pour le commentaire.
J'ai écrit ce texte en hommage à une vieille amie malheureusement disparue, au-delà de s'appeler Marguerite elle était à l'image de celle du conte. Merci pour le commentaire.