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Naouma
Publié le 27/03/2022
Merci pour ton commentaire. Pour ce défi, j'ai pris le temps de me documenter avant d'écrire car j'avoue que la sécheresse en Afrique est un thème que je ne maîtrise pas du tout. Il est donc en effet possible que j'ai omis d'aborder certaines problématiques. Merci en tout cas
Sénégal jour 3 : la tête dans le sable
Publié le 27/03/2022
Merci Léo ! A chacun de tes commentaire, je sens beaucoup de bienveillance ! Tu portes bien ton prénom et Léo fait partie des plus doux. Le "L" bien sûr très loin du "R" et puis, aussi loin du "i" le "o" final qui résout, qui dissout toute tension avant même qu'elle ait pu naître. Tes parents devaient aussi être des personnes très douces. ;-)
Naouma
Publié le 27/03/2022
Plusieurs thèmes se retrouvent dans ce texte prosaïque mais parfaitement rédigé. Il me rappelle un excellent film que j'ai été voir début février "marcher sur l'eau" qui montrait le problème de l'eau, de la centralisation, de l'éducation, du rôle de la femme mais aussi et peut-être surtout l'imbrication de ces différents éléments. Merci pour ce texte qui rappelle un mode de vie qui nous est inconnu. Je trouve néanmoins que ce texte et le film ne vont pas assez loin car ils négligent un point essentiel, l'auto-suffisance africaine qui, sans le pillage de l'Occident, serait une réalité.
Sénégal jour 3 : la tête dans le sable
Publié le 27/03/2022
Merci Léo ! A chacun de tes commentaire, je sens beaucoup de bienveillance ! Tu portes bien ton prénom et Léo fait partie des plus doux. Le "L" bien sûr très loin du "R" et puis, aussi loin du "i" le "o" final qui résout, qui dissout toute tension avant même qu'elle ait pu naître. Tes parents devaient aussi être des personnes très douces. ;-)
Sénégal jour 3 : la tête dans le sable
Publié le 27/03/2022
Merci Patrice, je partage Fabien concernant les photos. Tu arrives sans mal à vous embarquer dans ton voyage tant la description et le rythme sont soignés. C'est coloré, c'est culinaire et c'est temporel... j'ai beaucoup aimé cette phrase : "A Dakar, les temps s'imbriquent aussi, futurs et présents se marient singulièrement.". Une belle réussite.
La liseuse professionnelle
Publié le 26/03/2022
Je découvre ce texte aujourd'hui (et oui ta présence ici me manque alors je me replonge dans tes "anciens" écrits). La liseuse professionnelle qui dégaine sa critique face à l'écrit d'une auteure dépendante de son bon vouloir...ou non... Voilà à quoi ce poème me renvoie personnellement: à toutes les maisons d'éditions où j'ai tenté ma chance, mis mes mots dans les mains de "liseuses professionnelles" engageant malgré moi un duel (ce que je ressens dans ton poème) aphone au lieu d'un duo harmonieux... Merci Ally pour cette plume incomparable et inimitable que tu détiens et nous fais gentiment partager
du jour de mes premières couleurs
Publié le 26/03/2022
Coucou Ally, Je ne sais pas pourquoi je n'avais pas vu celui-ci... Il est fidèle à ta plume en tout cas, clair-obscur, doux et bienveillant J'aime beaucoup
Rencontre avec Laurent Gaudé
Publié le 26/03/2022
Oui, Mr Gaudé l'a dit aussi. Le plan est une base de laquelle il s'éloigne fréquemment.
Amarelinha
Publié le 26/03/2022
Je suis de tout cœur avec toi. T'envoie mille et un sourires.
dis mamie
Publié le 26/03/2022
Je suis d'accord avec toi: les choses changent, évoluent, et même si tout n'est pas encore parfait (mais en même temps la perfection n'existe pas) mais je constate un grand mieux en comparant les deux générations qui séparent les deux personnages en effet
dis mamie
Publié le 26/03/2022
Un texte remplis d'espoir et en rimes, pas facile à faire. Eh oui, je crois effectivement que tout se passe dans l'éducation, car on ne cesse d'être ce que l'on a appris à devenir. L'époque a changé, alors que nos grands-parents vivaient sous " le travail, famille, patrie" dans une société patriarcale, nous revendiquons aujourd'hui d'être "soi" dans notre essence, notre sexualité. On commence à comprendre que passer le balai, faire la cuisine, ne sont pas des aspects génétiques que se partagent les femmes. Et même s'il reste beaucoup à faire, eh bien c'est un bon début. Bien à toi Vickie
Rencontre avec Laurent Gaudé
Publié le 26/03/2022
L'éditeur et l'auteur sont des partenaires qui ont le même objectif. Et je vois beaucoup d'auteurs qui ont toujours un mot à dire, une idée à défendre par principe. Alors que l'oeil de l'éditeur est des plus objectif avec les travaux de ses auteurs.
Rencontre avec Laurent Gaudé
Publié le 26/03/2022
Mais c'est un travail éprouvant, passionnant mais éprouvant. Pour ma part, j'ai effectué 60 relectures de "chemins de plomb" avant de le trouver acceptable et d'oser le soumettre à l'édition. Le conseil que je donnerais c'est de ne jamais rester seul avec son texte et de le faire lire. L'éditeur tient un rôle capital dans ce mécanisme. C'est un professionnel et il sait juger de ce qu'il faut retravailler, parfaite, enlever.
Rencontre avec Laurent Gaudé
Publié le 26/03/2022
Pour ce qui est de la manière d'écrire, du chantier d'écriture, chacun à sa manière propre. Joël Dicker ne fait pas de plans, il part de l'idée principale et il avance ainsi. Moi par exemple, comme Laurent Gaudé, j'ai besoin de poser un plan très stricte que je suis. Ensuite je m'autorise de m'en écarter pour le bien de l'intrigue
Rencontre avec Laurent Gaudé
Publié le 26/03/2022
Si je me réfère à mon expérience personnelle, je dirais que l'homme est l'auteur ne sont pas éloignés. Pour écrire et rendre de l'authenticité au propos, je crois qu'il faut ne pas être indifférent aux sentiments que l'on décrit. On ne peut pas surjouer. De la même façon que l'on ne peut aborder tous les thèmes pour une question évidente d'intérêt
Rencontre avec Laurent Gaudé
Publié le 26/03/2022
Un grand merci Patrice pour ce retour. Je trouve ton texte très utile. Il pose de vraies questions.. Doit-on séparer l'auteur de son oeuvre? L'auteur et l'homme sont-ils les même? Comment écrit-on un roman? Et comment écrire un roman?
Sénégal jour 3 : la tête dans le sable
Publié le 26/03/2022
Un très joli texte. J'y retrouve beaucoup de souvenirs personnels comme le fait de faire des photos, de demander ou souvent d'acheter cette autorisation. Tu auras sûrement d'autres textes sur ce périple sénégalais. Je suis curieux de les lire.
Rencontre avec Laurent Gaudé
Publié le 25/03/2022
Merci pour ce retour livré en vrac. Un an avec toutes les reprises est très rapide, pour de très nombreuses personnes il faut bien plus d'un an. Le temps ne doit pas faire peur. Il faut en revanche de la régularité et effectivement le nombre de pages de l'ouvrage n'est pas essentiel, si l'histoire et l'écriture sont top on ne voit pas le temps passé, et l'on souhaite justement que ce soit interminable. D'accord aussi sur le trop peu de pages. A plus tard.
dis mamie
Publié le 25/03/2022
Merci beaucoup Leo Encore une fois j'ai aimé participer à ce défi et ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce texte Met à toi
dis mamie
Publié le 25/03/2022
Merci Vickie pour cette participation qui fait du bien et donne beaucoup d’espoir. Tout est une histoire d’éducation et de modèle . Ta participation est habile et cadre parfaitement avec le défi qui était à relever, savoir expliquer à hauteur d’enfant qui ont cependant une âme et une générosité bien plus grande que certains adultes. Ce n’est pas simple de dire les choses simplement et avec beaucoup de justesse, alors bravo.
Sans un mot
Publié le 24/03/2022
Ton texte me fait penser à ce qu'on appelle aujourd'hui le ghosting : le fait de voir un ami vous claquer la porte au nez sans explication...situation que j'ai connue moi aussi... Dans ton te texte cependant il est question de grande distance et malheureusement dans ce cas là l'adage "loin des yeux loin du coeur" peut s'avérer vrai...même si comme toi je ne le comprends pas...peut-être n'y a t il rien à comprendre ? Peut-être s'agit il juste de l'histoire de deux chemins qui se séparent éloignés par la distance et le temps mais il est vrai que les non dits et les pourquoi restent des blessures d'incompréhension...alors pour ne pas souffrir une seule solution : accepter de tourner la page... Merci pour ce texte Ui résonne je pense en.bon nombres de lecteurs
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 20/03/2022
Je m'demandais où t'étais passé ! Ouf ! Tu es de retour. Merci pour tes encouragements et la comparaison dont je suis évidemment très fier. ;-)
Amarelinha
Publié le 20/03/2022
ce petit sourire, et pas se. J'en perds mon français.
Amarelinha
Publié le 20/03/2022
Je cherchais une respiration à mon dimanche matin matin. Quelque chose qui vienne couper l'enfer personnel que je vis ces derniers temps. Et j'ai suivi ta Lili, un peu fantasque, pas vraiment dans les cases, entre mélancolie, rire, gravité et futilité. Sûrement un double de toi. Merci ma chère amie pour se petit sourire.
Sur les Rebords du Monde (extrait)
Publié le 20/03/2022
Eh bien, quel texte.. J'aime beaucoup ta façon de disséquer l'âme avec minutie, de donner de la raison à l'impalpable comme le fit Proust. Ta prose me ramène à celle du grand Michel Suffran... C'est dire... C'est très beau, très plein, très abouti, très riche. Juste un minuscule remarque et qui n'engage que moi et mon oeil profane de lecteur, attention au trop de richesse dans le style quelquefois. Une phrase forte abondante et riche, pour qu'elle explose à l'esprit, doit (à mon sens) être portée par une prose un peu moins soutenue afin qu'elle explose dans l'esprit de toute sa substance. Comme le dirait un vieil ami écrivain " Il faut toujours en garder sous la pédale". Mais quel beau texte. Merci beaucoup
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 20/03/2022
Pas mal du tout pour cette incursion érotique en territoire poétique. Il y a un peu de Brassens dans tes mots. Et tes images fonctionnent plutôt bien. Bravo Patrice .
Sans un mot
Publié le 20/03/2022
À l'heure où tout doit aller vite, où les sms, visio, etc. sont presque une injonction à une communication qui se doit d'aller à la vitesse de la lumière, on peut se poser la question de ce qui nous lie. Jadis, une lettre mettait plusieurs jours à nous arriver. Le temps mettait alors plus de temps. Il y a aussi la notion de ce que l'on attend des autres. Souvent cette attente est tyrannique, soumise à caution. Merci pour ce texte
Sans un mot
Publié le 19/03/2022
Le revers d’une amitié forte lorsqu’elle n’est plus est une indicible (mais que vous décrivez toutefois bien dans votre texte) solitude. On dit que l’on emprunte la Terre que nous léguerons à nos enfants puisque nous sommes que de passage. Tout n’est que temporaire, éphémère ou en sursis et il faut beaucoup d’efforts pour préserver les liens humains. Tout est le revers de quelque chose, quel est donc le revers de cette nouvelle solitude. On ne retrouve jamais ce que l’on a eu par le passé, mais ce que l’avenir peut offrir comme opportunité, n’est qu’à portée de cœur à la condition que l’on s’offre de nouvelles chances.
Sans un mot
Publié le 18/03/2022
Merci pour ce texte qui me touche. Comment comprendre que des amis avec qui on a partagé tant de choses refusent le contact ? Bien sûr se revoir comporte un risque, Peut-être qu'on n'aura rien à se dire, qu'on ne partagera plus les mêmes valeurs, qu'on souffrira de jalousie. Mais refuser ce risque c'est reconnaître finalement très peu de valeur à ce qui fût. C'est du mépris pour ce qui fût. C'est un crachat pour celui qui fût.