Bonjour Agathe, c’est déjà possible avec ton statut auteur engagé, je n’ai en revanche pas eu le temps de rédiger le tuto dans la FAQ. Dans ton éditeur de texte il faut cliquer sur le bouton avec la Terre et y mettre l’URL de ton fichier audio à l’endroit où il est hébergé (j’avais fait le test sur mon texte (les rêves égarés et ça fonctionne). Nous prévoyons l’année prochaine d’allouer aux auteurs engagés quelques Go par compte qui permettra de pouvoir héberger ici même les fichiers pour faciliter les choses.
Hello Léo, pour être honnête, cette réflexion ne m'appartient pas. Le poème de Vickie m'évoque juste magnifiquement un ressenti de ce que certains nomment camouflage social et l'anxiété qui en résulte. Si l'on cherche les mots "camouflage social", on tombe sur une abondante littérature militante sur le sujet... A priori, cela concerne une minorité conséquente des personnes sinon "Avoir le courage de ne pas être aimé" ne serait pas devenu un bestseller... À bientôt. :-)
Je trouve top ta réflexion car effectivement, le masque c’est pour les autres et ce qui compte le plus comme tu le dis, c’est de ne pas se masquer à soi-même et de mettre tous ses efforts à avancer soi et trouver des solutions à ses maux afin de s’en libérer ou de les mettre à distance raisonnablement et durablement. Et accepter la part de soi qui reste, quand bien même cela ne convient pas. L’accepter c’est aussi une étape importante pour mieux maîtriser et faire avec le poids culpabilisant des autres.
Bravo pour cette scène finale! La construction est très habile car un évènement comme celui-ci permet d'associer chaque personnage précédent en une même histoire. "Tout le monde s'amuse" forme un excellent passage de milieu ou de fin de roman.
Très joli texte. Il m'évoque la description d'un masque social où "rien ne doit se voir". S'adapter aux autres tout le temps est épuisant et cette seconde peau psychique pèse lourd, elle encombre autant que des talons hauts qu'on porterait à longueur de journée et que l'on aurait hâte d'enlever le soir. Plus l'écart grandit entre soi-même et le masque ou "l'illusion" que l'on donne et plus ça devient impossible à "péter un câble". Je lis un texte sur ce que l'on appelle moins poétiquement "faux-self". Ce que j'aime c'est que le poème donne la solution qui se trouve "dans le miroir" ou plutôt en soi car pendant que l'on porte le masque on se concentre sur les autres et leur regard et pas sur notre ressenti. Bref, je le glisse dans mes favoris pour le relire à loisir plus tard; merci du partage Vickie Plume;
Quelle fin, chapeau Agathe. Le temps de la mise en place on se demande bien une nouvelle fois à quelle sauce tu va nous surprendre et lorsque l’on comprend, c’est juste magistral. Tous tes textes étaient indépendants, avec des personnages et des histoires qui semblaient jamais pouvoir se croiser et pourtant tu l’as fait. Et en relevant l’ultime défi, on a une bonne dose d’espoir grâce à Bienveillance et Tolérance. Je n’avais pas encore répondu à ton dernier retour concernant l’avocat que je ne trouvais pas excellent. Ce qu’il me manquait dans sa plaidoirie c’était justement, quelle solution concrète mettre en place pour permettre et empêcher la récidive, pour accompagner les personnes à un véritable changement par la prise de conscience et au travers d’exercices concrets, et ton texte livre son secret quant au chaînon qu’il me manquait, un double bravo donc, tout le puzzle est totalement associé, et avec brio. Merci Agathe, c’était vraiment pas facile à relever et encore moins d’aller au bout.
Un grand plaisir que de te retrouver Vickie. Et une grande émotion à la lecture de ton texte. Les failles sont de moins en moins admises dans notre société où tout le monde a fini, notamment via Instagram à donner l’illusion d’une vie parfaite. Difficile à partir de là de se sentir exister aux yeux des autres lorsque pour ne pas troubler la norme et les idéaux d’une société de moins en moins indulgente, notamment sur les fragilités humaines. Heureusement que l’écriture existe pour extérioriser et interpeller sur ses ressentis, ses émotions et pour celles et ceux qui le souhaitent, leur vécu. Ton texte est un porte-voix pour les personnes fragiles condamnées au silence. J’ai beaucoup aimé le “feu de failles” qui est une très belle trouvaille et image.
Très joli texte sur la vie qui s’écoule en point de suspension. La pression des autres pour rendre les devoirs à l’heure, livrer les bâtiments en temps et mettre un point final avant l’édition d’un article est très forte. Elle laisse peu de marge de manœuvre aux personnes qui perdent de vue le chantier que tu décris.
C’est tout aussi chouette et beau de te lire dans un registre aussi doux que le sentiment amoureux. Et j’aime particulièrement cet instinct de sonder les réponses aux questions les plus ardues, dans les nuages, qui seront toujours source d’inspiration et d’apaisement.
C’est très original et bien mené, jamais les mathématiques ne me seront apparues si littéraires. L’amour, cette inconnue perpétuelle… Merci du partage Enki.
Bonjour Agathe, merci pour ce retour extrêmement précieux.
Objectivement, le cas de la gamine bordeline en post-urgence est plus inquiétant dans l'immédiat que celui de cette patiente en virage maniaque a priori bien entourée avec un proche aidant. Peut-être que le psy ne la sent pas dans la relation comme Benjamin au début.
En relisant, je reconnais un de ces vices familiers contre lequel je vais devoir lutter: la lubie des détails.
Avec trop de détails, on perd l'essentiel et un texte devient moins percutant.
Parfois, plus je retravaille un texte, pire c'est.
Certains détails seraient précieux dans d'autres parties de chantier en travaux.
Je retravaillerai sur cette base qui m'aura permis d'écrire vite.
Merci d'avoir accepté toi aussi de rentrer dans cette zone de travaux.
À très vite Agathe.
Oui merci Myriam , tu m’as bien embarquée dans ton histoire à facettes. J’ai aimé tes différents abords en prenant les différents personnages comme narrateurs. Dans ce dernier épisode, j’ai trouvé très habile de mettre en face à face, le quotidien du psy , confronté au malheur et l’amour salvateur qu’il éprouve pour Elisa. Dans ton texte j’ai retrouvé chacun des péchés capitaux . la gratitude est une vertu qui s’applique aussi bien aux patients vis à vis de leur thérapeute que du thérapeute vis à vis de l’amour qu’il éprouve pour Elisa. Mon seul bémol serait sur le fait que là tu dis que Marie-Gabrielle ROBINSON est le cas le plus hard de sa journée, mais au vu des descriptions des consultations qui suivent … je n’en suis pas certaine car l’enjeu pour MG n’est pas aussi dramatique qu’une mufti-violée ou suicidaire. cependant ces même cas expliquent bien cette gratitude éprouvée par le thérapeute quand son esprit s’échappe de cette noirceur. L’amour salvateur, c’est beau ! Merci encore Myriam, j’aime ton style et quand j’aurais fini ma copie, je me pencherai sur d’autre textes.
Oui merci Myriam , tu m’as bien embarquée dans ton histoire à facettes. J’ai aimé tes différents abords en prenant les différents personnages comme narrateurs. Dans ce dernier épisode, j’ai trouvé très habile de mettre en face à face, le quotidien du psy , confronté au malheur et l’amour salvateur qu’il éprouve pour Elisa. Dans ton texte j’ai retrouvé chacun des péchés capitaux . la gratitude est une vertu qui s’applique aussi bien aux patients vis à vis de leur thérapeute que du thérapeute vis à vis de l’amour qu’il éprouve pour Elisa. Mon seul bémol serait sur le fait que là tu dis que Marie-Gabrielle ROBINSON est le cas le plus hard de sa journée, mais au vu des descriptions des consultations qui suivent … je n’en suis pas certaine car l’enjeu pour MG n’est pas aussi dramatique qu’une mufti-violée ou suicidaire. cependant ces même cas expliquent bien cette gratitude éprouvée par le thérapeute quand son esprit s’échappe de cette noirceur. L’amour salvateur, c’est beau ! Merci encore Myriam, j’aime ton style et quand j’aurais fini ma copie, je me pencherai sur d’autre textes.
Ah ah oui je me suis bien amusée ! Oui le rêve est ben pratique ! Merci de ton appréciation Léo,. Tu sais, j’avais partagé plusieurs chapitres de mon premier roman avec Durandal et il m’avait encouragée à peaufiner la description . 8eme texte, pas une mince affaire !
Merci pour ton appréciation myriam ! On s’amuse bien avec ce défi non ? Il me reste ton dernier texte à lire. Mais cela ne saurait tarder. Il me reste le dernier, il faut que je m’y attelle vite, la date de fin arrive .
Hé hé, je partage ton engouement pour ce volatile multimillionaire qui derrière ses atours de vieux grigou grincheux se cache un excentrique et aventurier hors pair. Au-delà du personnage et une nouvelle fois de ton habileté à relever le défi, je tiens à saluer ta performance d’écriture dans la description. Si on peut surmonter n’importe quel défi d’écriture retors à travers le rêve, encore faut-il ensuite assurer pour en assurer la description, car un rêve est avant tout visuel et souvent très riche de détails. Et dans cet exercice tu t’en es sortie haut la main, on y était dans ce rêve-dessin-animé et je me suis régalé. Bravo Agathe.
C'est léger et amusant à lire. Très jolie chute!
"Et si vous dormiez? Et si dans votre sommeil vous rêviez? Et si, dans votre rêve, vous alliez au ciel cueillir une fleur aussi belle qu'étrange? Et si, à votre réveil, vous teniez la fleur à la main? Ah, que diriez-vous?"... Ici le dollar remplace la fleur mais pour Picsou, un dollar sera peut-être plus romantique qu'une rose. Bravo Agathe pour ce défi!
C'est léger et amusant à lire. Très jolie chute!
"Et si vous dormiez? Et si dans votre sommeil vous rêviez? Et si, dans votre rêve, vous alliez au ciel cueillir une fleur aussi belle qu'étrange? Et si, à votre réveil, vous teniez la fleur à la main? Ah, que diriez-vous?"... Ici le dollar remplace la fleur mais pour Picsou, un dollar sera peut-être plus romantique qu'une rose. Bravo Agathe pour ce défi!
Comme Léo, je me demandais quand tu parlerais du thème et je suis même retournée avoir le titre. habilement, tu l'avais dissimulée sous le point de vue du Patron. Bien vu. Je perçois toujours de la bande dessinée...
Eh bien ! ça s'est dit, clair, net précis et surtout d'une logique implacable. Tu écris que l'envie, la négative, pousse autrui à s'approprier ce que l'autre a. c'est tellement vrai, il n'y a qu'à voir la foire d'empoigne pour placer ses pions dans le gouvernement. Une envie que je nommerais plutôt convoitise, un mot qui me parait plus adéquat comme péché mortel. (cf la bible " tu ne convoiteras pas etc..;) J'aime bien ta phrase de conclusion. si l'envie excessive provoque la tristesse , la jalousie, je ne suis pas pressée d'aller en enfer (quoi que cela doit être plus drôle qu'au paradis mais avec tous ses péchés capitaux, on est quasi sûrs q'y croiser CH...
Coucou Fils de Louis ! En fait.. c'est mon style. J'adore entrer dans la peau de personnages différents ou de raconter leur histoire, fusse-t-elle imaginaire ou abracadabrante. Peut-être faut-il décoder dans mes écrits, la part de mon moi dissimulé. Ici ce serait le côté rêveur et borderline... mais je suis aussi romantique bien sûr. Quant à " Somewhere in time" je ne connaissais pas et l'explication possible de l'auto-suggestion est très interessante. j'essaierai de trouver ce film dans les archives cinématographiques. Merci de ta lecture et de ton ressenti. Il me reste plusieurs textes de Myriam et toi à découvrir et commenter. En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part ( ah non zut !ça c'est le lapin d'Alice aux pays des Merveilles) :-)
Cela me rappelle un film "Somewhere in time" interprété par Christopher Reeve et Jane Seymour. Disons qu'il s'agit d'un jeune homme romantique dans les années 80 qui décide d'aller rejoindre une merveilleuse jeune femme au début du 20eme siècle. Tout est question d'auto-suggestion, si on le croit vraiment, c'est. Lui et elle vivent une histoire d'amour merveilleuse. C'est le rêve. Et puis, un matin le protagoniste se réveille et trouve dans sa poche une pièce d'un quart de dollar daté de 1979... Tout s'effondre. J'ai adoré ce film. Je suis un romantique.
Sinon, en ce qui concerne la forme de ton texte je lui reproche de ne pas être assez personnelle. Je suis convaincu que tu pourrais être toi à travers tes textes. Ce n'est pas ce que je ressens ici. Mais il ne s'agit que d'un sentiment personnel.
"Qui, un matin, ne s’est jamais réveillé la mine hagarde avec le sentiment d’avoir vécu un rêve d’une absurdité absolue ?" Je ne peux pas avoir l'impression que tu me parles ou m'écrive. C'est plutôt comme si tu jouais un rôle, un personnage de duchesse ou un truc du genre. Selon mon style, j'aurais écrit : "Parfois quand je me réveille, j'en veux à mort à mon amoureuse parce qu'elle m'a trompé durant mon cauchemar de fin de nuit. Je sais que ce n'est vrai, mais je ne peux m'empêcher, en toute injustice, de lui en vouloir durant au moins les quelques premières secondes où elle ouvre les yeux. Si j'ai oublié mon rêve, c'est pire. Là, je lui en veux sans savoir pourquoi. Je n'ai aucune bonne raison d'être fâché contre elle mais je n'en ai pas davantage pour me convaincre d'être aimable. Toujours est-il que cette nuit, je me suis retrouvé devant une maison, genre maison de jardin..." Bien sûr, ceci, c'est mon style. Il faut trouver le tien. N'imite pas ! Laisse-toi aller et corrige ensuite le moindre mot, la moindre expression qui ne serait pas absolument le reflet fidèle, authentique, sans grandiloquence, de ce que tu voulais exprimer.
Dur de concilier sa vie d’étudiante, de femme et de mère. Et la fin de ton texte, sans filtre, aux formules qui impactent montre que l’écriture, elle, s’affranchira de toutes les difficultés avec style. À plus tard Myriam.