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Adagio cantabile
Publié le 12/06/2024
Tout semble éphémère et lointain, immortalisé par le souvenir et la beauté des évocations, la poésie en gardienne des clés. Oui, comme des notes qui restent gravées à tout jamais… merci Francis Etienne.
Jadis, lors des élections.
Publié le 12/06/2024
Fut une époque c’était un grand rendez-vous ou peut-être étais-ce le dimanche qui était sacralisé, d’où l’expression des habits du dimanche. Merci pour ce retour en arrière.
Regard de rouille
Publié le 11/06/2024
« Aérien, fulgurant, et mathématique » ! Comme tu sais bien saisir ces rythmes si différents que j'emploie, bien qu'exprimés dans la monotonie de l'alexandrin ! Mathématique, oui le texte est une forme de formule, calculée, compliquée, qui aboutit à la décision. J'aime ouvrir la pensée, comme on ouvre un cerveau chirurgicalement, pour montrer comment fonctionne, à mes yeux, la volonté, le calcul, ou la construction d'un acte. J'ai toujours été fasciné par ses représentations du corps humain, qui montrent une partie des organes, recouverte par la peau par endroit de sorte qu'en me regardant on voit à l'intérieur du corps. C'est la même chose avec ces illustrations qui montrent à la fois l'extérieur et l'intérieur d'un château, d'une église, ou de quelconque édifice dont on découvre la vie intérieure et intime. Ces illustrations, courantes autrefois dans les écoles primaires, se présentaient sous forme de grands panneaux que le maître accrochait au tableau pendant une semaine pour imprégner en nous la connaissance qu'il voulait que nous acquérions. Ainsi je me souviens du village gaulois, de la villa romaine, du château fort, ou du souper du roi à Versailles. Nous enrichissons notre vocabulaire sous l'autorité du maître qui avec une baguette nous montrait les braies, ou les autels, ou les créneaux ou encore les miroirs. Ainsi naissait en moi ce lien particulier entre le mot et l'image. Pauvre maître il ne savait pas qu'il semait en moi le poison de la poésie ! Mais voilà bien trop de confidences, cher Léo. Je m'en excuse et je te remercie de tout mon cœur pour ces magnifiques dialogues, sous « les tableaux d'une exposition ». Très cordialement. F. Étienne. Au pied de la montagne où se couche la nuit Déjà s'endort le temps presque sans aucun bruit.
Fruits rouges
Publié le 11/06/2024
Cher Léo, le paradis terrestre est bien l'expression de notre soif de bonheur, de plaisir, de partage, et de gratitude. C'est toujours ce profond sentiment, que j'ai, de recomposer ce que j'ai démonté dans un ordre différent que celui que la nature lui avait peut-être donné en premier. On peut appeler ça si l'on veut une sorte de jeu de cubes. Lorsque j'étais enfant, je jouais passionnément avec les cubes, dont chaque face portait un élément différent de l'architecture. Ici c'était une fenêtre, là une porte, ici encore une mansarde ou encore un escalier. Ainsi, comme dans un kaléidoscope je recomposais le monde de mes châteaux. L'enfance a cette puissance de mêler le rêve à la réalité sans aucune barrière ni sans aucune logique, car l'enfance ne connaît pas encore les limites et encore moins l'association de deux pensées dans un ordre précis. Elle laisse fluctuer le monde uniquement sur les envies, les désirs les plaisirs. Peut-être, retrouve-t-on dans mon écriture, cette faculté de l'enfance. Je suis ravi que chaque lecture ou du moins dans quelque lecture, tu découvres de nouveaux mots. Les mots rares, dont j'ai parfois abusé, me brûlent les doigts. Ils sont de véritables joyaux de langue, des sortes de meubles anciens, que nous regardons quelquefois avec les yeux de ses collectionneurs, qui tombe en extase devant un vase de Sèvres du dix-huitième, ou sur une brosse à cheveux incrustée d'ivoire d'une époque révolue de plusieurs siècles. Je trouve en eux, personnellement, une beauté dont parfois la sonorité est magnifique, et dont le sens nous plonge dans un autre temps. Je te remercie beaucoup de me faire part de tes découvertes avec autant de spontanéité et de joie. Merci Léo encore une fois et pardonne moi mes longs bavardages en réponse à tes si touchants commentaires. Cordialement, F. Étienne. Sur l'étal du silence une fleur de corail referme les volets de son joli vitrail.
Courtines de brocart
Publié le 11/06/2024
Cher Léo, quel magnifique compliment tu me fais là ! Me rappelant « Vitraux de songes », dont j'ai encore en tête la magnifique analyse faite par Patrick Froissart lors de sa parution, tu rajoutes à l'approche de mon écriture deux éléments essentiels, que l'on retrouve à chaque coin de vers, l'artisanat et la matière de l'artisanat : « les bouts » avec lesquels travaille le poète. La création n'est pas un objet extérieur au créateur. Elle se mêle à sa création avec une matière parfois en fusion, parfois brisée, ou parfois recomposée. La poésie est probablement l'art le plus riche des arts, car il n'utilise pas de matériel mais bien des mots qui le nomment. Et cela est proprement divin. Souvent dans la Bible on retrouve cette idée pour laquelle l'homme remercie Dieu pour avoir donné un nom à chaque chose. Et étrangement, le nom de Dieu n'etant pas prononçable, pour les juifs, lorsqu'on parle de lui ou lorsqu'on s'adresse à lui, on peut utiliser le mot « le nom ». On peut très bien imaginer qu'un poème, que tu appelles avec beaucoup de justesse : « des poèmes – tableaux » soient une œuvre unique puisqu'elle fait appel à un matériel hétéroclite, tiré de morceaux ou plutôt comme tu le dis « d'éclats de vie » et par conséquent de nature plaisante à la divinité. Voilà une magnifique réflexion pour laquelle je te suis particulièrement reconnaissant. Merci encore de tout cœur Léo et à toute suite. Cordialement, F. Étienne. Au bout d'un fil de soie ou danse le soleil la mer enroule l'or d'un éternel sommeil.
Songe de rêve
Publié le 11/06/2024
Cher Léo, merci pour ton appréciation de ce texte. Très justement tu parles de « passage » ou de « seuil ». Dans la douleur comme dans le plaisir, l'exploration de notre corps doit passer par un seuil, qui apparaît dans notre mémoire, comme un des cercles que l'on descend au cœur même de notre identité. Le passage se fait toujours sous une forme d'enchantement et c'est pourquoi la poésie est un passage permanent entre l'ignorance et la connaissance. On la retrouve chez Cocteau avec le miroir, mais aussi dans les mémoires, toujours écrits pour découvrir et transmettre ce qu'un homme peut vivre de plus intense, je rappelle là Casanova et Proust, qui comptent parmi mes maîtres. Il y a bien chez eux un rituel du passage par la mémoire. Chez l'un comme chez l'autre c'est le passage au-delà du temps, et par conséquent au-delà de notre propre humanité. Et on voit bien en lisant leurs mémoires (même si chez Proust le texte ne s'appelle pas mémoire mais recherche et même si chez Casanova le texte ne s'appelle pas non plus mémoire mais histoire), que tout le travail littéraire consiste à retraverser le miroir du temps. Il en ressort bien entendu une description du plaisir, avec lequel ces écrivains ont recomposé leur vie. La suavité, l'onctuosité et la beauté de leurs textes sont effectivement une des multiples expressions de la poésie. Merci encore une fois, mon cher Léo. Cordialement, F. Étienne. La voile d'un navire effaçant l'horizon Déploie un rêve d'ombre où mugit un tison.
Rostres d'astres
Publié le 11/06/2024
Cher Léo, contrairement à mon habitude, c'est avec beaucoup de retard que je réponds à ce commentaire dont je te remercie très sincèrement. Ta perception du texte « en bordure du cauchemar » me surprend beaucoup car elle est très juste. Il est vrai que la rédemption est une question de notre monde et de notre civilisation chrétienne, mais déjà présente dans d'autres religions, elle est un pilier central de l'existence de l'homme. La conscience, innée et inséparable de notre humanité, nous rappelle à tous qu'il existe une morale dont la base est bien l'interdiction du mal. Mais l'homme, créé en toute liberté, enfreint les principes du bien, par tentation. La tentation étant le gouffre dont le vide nous attire tous, comme j'ai dû déjà le mentionner. Cette vision du bien et du mal, n'est pas particulièrement chrétienne ou juive, mais elle est bien inscrite dans toutes les civilisations, et par conséquent chez tous les hommes policés et vivant en société. Montaigne a pourtant exploré l'idée du bon sauvage pour qui il ne reconnaît pas la connaissance du bien du mal avec autant de rigueur que dans notre monde. Ainsi, on est peut-être aussi autorisé à penser que le bien et le mal n'ont qu'une définition sociale. Pour ma part, je ne partage pas vraiment ce point de vue. Voilà donc que « ce poème qui prête à réfléchir » m'entraîne dans une réflexion bien trop philosophique pour illustrer ton magnifique propos. Merci Léo encore une fois de tout cœur. Cordialement, F. Étienne. Sous le lambris bleuté d'un ciel porcelaine Des oiseaux de satin filent des bouts de laine
Rostres d'astres
Publié le 11/06/2024
Chère A E Myriam, c'est avec beaucoup de retard et avec toutes mes excuses que je réponds à votre très intéressante remarque sur le titre de ce poème. Et votre imagination ne vous trompe pas car en effet on peut faire un lien entre le titre et Zroastre. Peu connu cette philosophie ou plus précisément cette religion a joué un rôle particulièrement important dans le bassin de la Mésopotamie. Elle s'appuie sur une conception monothéiste de la divinité, à ma connaissance la première. Quelquefois comparée à une manifestation diabolique, en particulier chez les hébreux, cette religion a toutefois laissé beaucoup de traces dans les civilisations anciennes et bien entendu reprise au dix-neuvième siècle par la vague mystique du romantisme, elle s'est manifestée au vingtième siècle jusque chez Nietzsche et Richard Strauss dans le «Also sprach Zarathustra ». Bien entendu merci beaucoup aussi pour votre remarque très locative sur le texte. Cordialement. F. Étienne
Jadis, lors des élections.
Publié le 09/06/2024
Merci pour le clin d’œil. Ça rend bien l’enfance, les cols roulés en acrylique, les cagoules et la laine chinée. L’époque où il fallait sortir la tenue des dimanches, le chapeau pour les mariages et la pièce montée des grands jours… bizarrement je n’irais pas dire que ça me manque non plus.
Simplification de l'après atterissage.
Publié le 08/06/2024
+1. Le rendu de la scène est meilleur côté lecteur. Le rebut pourrait être utilisé par la suite... à voir s'il existe un autre décollage ou atterrissage dans l'histoire ou bien une hôtesse de l'air. Pour ma part, je trouve qu'il est difficile de renoncer à vouloir tout dire immédiatement pour rendre la totalité de la scène que l'on se représente. Il existera forcément un élément auquel on devra renoncer.
À la veille de sa mort, le doyen de la région se confie au journal V*** F****
Publié le 08/06/2024
Bonsoir à vous! Il faut comprendre les journalistes: ici j'imagine qu'ils doivent tourner une scène, éviter 36 montages le soir même et essayer de boucler ce qui passera en un reportage minute dans France 3 région soit 2 minutes trente? Effectivement les journalistes parlent comme les deux soldats Allemands dans Papy fait de la Résistance "magne-toi le cul Hans, la vieille s'est niqué le genoux". À la relecture, ils réagissent comme des urgentistes qui assistent à un AVC en direct. Faiblesse, difficulté d'articulation, visage qui se fige... On peut supposer qu'ils appellent les secours dans l'intervalle. Malheureusement, il n'y a plus rien à faire pour le vieillard par la suite. Si émouvants que soient les propos du vieillard, il sera coupé au montage parce qu'il ne tiendra pas dans le format d'un journal local. À la rigueur, la journaliste pourrait appeler une collègue de RCF pour un témoignage radio mais il faudrait que le centenaire puisse dire quelque chose et y consentir. Pas évident. L'orthophoniste s'occupera de le démutiser ensuite s'il n'est pas mort. Certes c'est brutal mais oui je trouve que les personnes âgés sont souvent leurrées de respect apparent. La fin de mon texte est comme d'habitude assez bâclée.
À la veille de sa mort, le doyen de la région se confie au journal V*** F****
Publié le 08/06/2024
Pour le fond, les lieux sont connus et ce récit de fuite je l'ai entendu enfant car c'est celui de ma grand-mère. L'illustration est celle de 1936 dont il est question dans le texte avec la Hotchkiss 1922
Simplification de l'après atterissage.
Publié le 08/06/2024
La simplification fait souvent gagner en percussion et surtout en fluidité, c’est souvent une bonne chose.
Regard de rouille
Publié le 08/06/2024
Aérien, fulgurant et mathématique que ce poème qui confine à la précision. J’ai beaucoup aimé cet archonte qui suspend les lois sur le fil d’un couteau, sur le tranchant des décisions et de leurs conséquences. Merci pour ce partage et à plus tard Francis Etienne.
Fruits rouges
Publié le 08/06/2024
Presque un paradis terrestre qui ne se trouble qu’en toute fin à l’imposture de ses occupants. Et cette fois c’est le mot “emblaver” que je découvre (je découvre de nouveaux mots quasi à chaque lecture), merci infiniment Francis Etienne.
Courtines de brocart
Publié le 08/06/2024
“À la forge des mots tous les bouts de miroir”… cette image est splendide et m’émeut beaucoup puis qu’il fait écho à “Vitraux de songes” qui était un titre magnifique. La forge c’est l’engagement, l’artisanat, les efforts et le miroir invite à l’introspection et à la réflexion, jamais simple car elle est composée de bouts, d’éclats de vie. Le reste du poème et tout aussi plaisant jusqu’à ce que se dissipe un nouveau jour qui a été le théâtre d’une singulière représentation, car dans tes poèmes-tableau chaque œuvre est unique.
Cent ans aujourd'hui
Publié le 08/06/2024
Un sacré coup de gueule et il faut bien le reconnaître plein de bon sens. Pour l’instant dans cet atelier ce qui domine c’est la défiance des journalistes, qui reflète bien également la tendance de notre société. À plus tard et merci pour ta participation Patrice.
À la veille de sa mort, le doyen de la région se confie au journal V*** F****
Publié le 08/06/2024
J’ai bien fait de patienté pour lire ton texte car il mérite toute l’attention de lecture. Il y a beaucoup de chose… tout d’abord la défiance aux journalistes et à leur sincérité légitime au vu de la fin du texte. Ensuite, comme beaucoup d’humains la grosse difficulté de se reconnaître en ce monde et à comprendre le sens de la vie. Le rappel de la fragilité d’une vie et surtout de l’humilité qu’il faut avoir en la vivant car nous ne sommes effectivement que des pointillés. Puis une fois la défiance levée, ce récit à l’instinct de survie qui rappelle que l’homme est un loup pour l’homme, plus encore lors d’époques troubles (que nous vivons d’ailleurs en ce moment). Une très belle participation qui me fait me poser une question à laquelle tu n’es absolument obligée de répondre : le récit de l’exil est-il fictif ou repose t-il sur un témoignage du réel ? Encore merci, à plus tard.
Simplification de l'après atterissage.
Publié le 08/06/2024
Merci pour ton commentaire ! As-tu remarqué que j'ai complètement supprimé l'histoire des hôtesses de l'air incompréhensibles dans les sonos des avions ? Bise ! ;-)
Simplification de l'après atterissage.
Publié le 08/06/2024
J’aime beaucoup cette scène de vie commune où l’on finit par regarder les autres et mimer la pratique pour garder sa contenance et surtout tenter d’être d’égal efficacité. La suite s’apparente à un coup de foudre que la suite de l’histoire dénouera ou pas.
Songe de rêve
Publié le 08/06/2024
Entre le bouclier et le silence c’est comme un sanctuaire que j’y entrevois ou un seuil qui permet le passage des douceurs qui se meurent. C’est vraiment très beau, merci Francis Etienne.
Rostres d'astres
Publié le 08/06/2024
Le contraste est fort entre le précieux et l’honni qui borde les cauchemars… je perçois comme une possible rédemption à travers l’astre qui sanglote, mais quand est-il du cœur des hommes ? Ce poème prête à y réfléchir.
À la veille de sa mort, le doyen de la région se confie au journal V*** F****
Publié le 08/06/2024
Bonjour Myriam ! Le "hasard" fait bien les choses. Aujourd'hui, Aldebert joue au théâtre. Je suis entouré de jeunes qui déchargent, câblent, ouvrent, appuient, etc. Ils tiennent absolument à se rendre utiles ou, à tout le moins, s'occuper. L'ancien que je suis se sent vieux parmi eux. Leur agitation me semble absurde en plus de m'exclure car je ne vais pas me battre pour sortir un flight case du monte-décors. Alors, je suis descendu dans mon bureau et j'ai lu votre texte, Myriam. Ce texte dans lequel est écrit "un centenaire ne se trouve dans le monde qu’en pointillé", un soixantenaire aussi parfois. Le hasard fait bien les choses. J'ai beaucoup aimé votre texte, en particulier les deux premières parties. D'abord il y a des métaphores qui me parlent. Celle citée plus haut ou encore " Évidemment, personne ne veut hériter de la place du mort en auto comme dans la vie.". Ensuite il y a les suspens de la fuite. Je dois dire que j'ai été surpris pas la forme très soignée de ce texte sur toute sa longueur. Vous vous êtes dépassée largement. Vous ne nous aviez pas habitués à une telle rigueur. Franchement, c'est le jour et la nuit. Je n'aime pas la fin. J'ai apprécié la modestie du protagoniste, son aveu de "complaisance" en vers l'occupant. Pourquoi finir avec une telle brutalité ? Je comprends que les journalistes n'ont développé aucune empathie avec le vieil homme au cours de l'entretien. Ce n'est pas plausible. Bravo pour ce texte ! Vraiment ! ;-)
À la veille de sa mort, le doyen de la région se confie au journal V*** F****
Publié le 07/06/2024
Merci pour votre lecture! Les vrombissements d’avions qui répétaient avant les commémorations ont pu être mal vécus par les rescapés de la bataille de Normandie pour lesquels la journée du 6 juin reste gravée dans leur mémoire comme un souvenir infantile de terreur et d’effroi. Il est difficile d’affronter ces souvenirs quand on se trouve désorienté dans le temps dans un présent qui n’a plus rien à voir avec de la joie et des drapeaux colorés qui évoquent davantage le 8 mai 1945 que le 6 juin 1944.
À la veille de sa mort, le doyen de la région se confie au journal V*** F****
Publié le 06/06/2024
J'aime beaucoup ce commentaire prions ce jour bien entendu à une signification particulière. La modestie, malgré le danger de la situation dans laquelle se sont trouvés ces soldats, la simplicité des réponses, le bon sens de monde qui semble avoir disparu, et surtout la qualité de votre plume fond De ce texte une magnifique lecture de circonstances. Félicitations et encore merci pour ce beau cadeau. Cordialement F. Étienne
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Vous habitez cette région ? C'est joli. J'y suis passé une fois ou deux. Mais je n'y ai jamais séjourné. ;-)
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Arrrf. Routes barrées, macaron spécial à apposer sur les voitures, vrombissement de moteur et zone côtière difficile d’accès … c’est une journée particulière et je me trouve au chômage technique. Heureusement que ça plait aux enfants qui veulent agiter des drapeaux partout…
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Arrrf. Routes barrées, macaron spécial à apposer sur les voitures, vrombissement de moteur et zone côtière difficile d’accès … c’est une journée particulière et je me trouve au chômage technique. Heureusement que ça plait aux enfants qui veulent agiter des drapeaux partout…
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Ha ha ha ! En tout cas, pour de D-Day, j'ai publié un la photo d'un calot soviétique sur mon FB ! ;-)
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Quel adorable papy frontal! Je le sens tout à fait du genre à rester couché le jour du 14 juillet…