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L7PC 8: Epilogue : où l'on rencontre le psychiatre de Marie-Gabrielle Robinson
Publié le 27/08/2024
Franchement bravo Myriam, nous aurons donc fait le tour des péchés capitaux mais aussi de nombreux milieux professionnels en passant par la galerie de personnages qui se sont succédés. Ce dernier texte, chez le psy, permet surtout de faire le point sur les failles des patients et de leurs dernières limites qui pourraient les voir basculer en de funestes fins. C’est ce qui rend ton final très puissant, la force de l’amour et des choses simples, loin de toutes turpitudes. Le bonheur est la gratitude et en la gratitude, de se satisfaire de ce que l’on a et de s’en émerveiller chaque jour. Merci Myriam, tant pour ta participation que pour le fond et le sens que tu y mets à chaque fois.
L7PC 8: Epilogue : où l'on rencontre le psychiatre de Marie-Gabrielle Robinson
Publié le 26/08/2024
Après modification, je m'arrête ici. Malheureusement, pour le moment, je suis incapable de rendre ce texte plus accessible ou plus clair. Je te laisse exercer tes dix droits du lecteur... Pour ma part, je tire profit de tous les textes parce que j'aime bien les démonter comme des mécanos pour comprendre pourquoi ça fonctionne ou pas, pourquoi c'est brouillon, pourquoi c'est raté, pourquoi ça m'agace ou m'indiffère. Les ratages sont presque plus intéressants que les perfections. Je m'y connais dans le domaine, j'ai une super expérience comme Docteure ès Pertes ! ;-) À bientôt.
l'orgueil : PLAIDOIRIE
Publié le 26/08/2024
Hello Agathe! J’aime la forme choisie pour approcher l’orgueil. Celle du tribunal extérieur mais ça pourrait aussi être un tribunal intérieur comme dans les confessions de Rousseau ou le canon du genre celles d’Augustin. Je réalise un premier retour sur le fond. Si j’ai bien compris, le réquisitoire charge le péché et non le pécheur, c’est très chrétien comme approche. A mon sens, il y a distinction à réaliser entre péché capital (chapitre, au sens qu’on peut ranger une liste de péchés dessous) et mortel. Sur la forme et la structure, si tu souhaites je te redirais mais en tous cas le texte et l’approche que tu en fais me plaisent beaucoup. C’est agréable à lire. Autre réflexion ou plutôt question: sans être enfant trouvé ou orphelin, tu peux aussi rencontrer des mecs bien qui s’aliènent temporairement. Je pense notamment à Will Smith et aux commentaires de Denzel Washington sur "le péché" lors de l’affaire de la « baffe ». J’ignore si tu as pensé à cela en écrivant ton texte? Moi oui. Bravo Agathe pour avoir relevé le défi de l’été. Merci d'avoir joué le jeu, d'avoir commenté les textes et merci des partages !!
la gourmandise : À TRAVERS LEURS YEUX
Publié le 26/08/2024
Coucou Fils de Louis ! Merci de prendre le temps de commenter en détail mon texte. Une fois de plus, absolument d'accord sur les temps de conjugaison qui m'ont échappé, j'essaie en général d'y être plus attentive... je modifie dans la foulée. En ce qui concerne les répétitions de "arriva" et "partirent", là désolée mais elles sont choisies sciemment. En choisissant ces verbes de mouvement et en les répétant, j'insiste sur le fait que tout va bien et tout ne va plus, il suffit d'une simple allée et venue qui change tout. Pour les mots officiels, j'entends l'avis du professeur d'écriture de ton amie comédienne. personnellement, cela ne me choque pas. Comment définirais-tu " agueusie" ? "je souffrais de la disparition totale de mon goût" ? Imaginons que mon personnage soit atteint d' un cancer : vaut-il mieux utiliser la formulation "il souffrait d'une longue maladie " Oui c'est plus doux, j'en conviens. Pour "déglutir" là aussi c'est un verbe choisi car il prête à l'image : tu vois ce mouvement de la glotte qui fait passer la pâtisserie lentement dans l'oesophage du stade de gourmandise au stade de nourriture. Pour l'incohérence grammaticale du début, bien sûr c'est une faute que je corrige de suite, merci ! Merci pour ton appréciation de mon texte, fils de Louis. Je suis une fille oui, mais je suis aussi auteure (trice ?) pourvue d'un imaginaire qui me conduit à m'identifier en écriture aussi bien à un homme, une femme, un enfant, un animal pourquoi pas ? Quand j'écris, je suis eux. D'ailleurs, à ce propos, tu me donnes une idée pour le dernier texte ah ah !. À bientôt !
l'orgueil : PLAIDOIRIE
Publié le 26/08/2024
ah ah ah !!! tu as de la chance ce n'est pas un péché :-)
l'orgueil : PLAIDOIRIE
Publié le 26/08/2024
Merci de ta lecture Léo. Si je suis d'accord avec ton commentaire sur les émotions qui régissent notre vie, et heureusement car je n'ose imaginer un monde sans émotion, je vais défendre cet avocat qui au contraire me paraît très habile d'utiliser cette stratégie. D'emblée il condamne l'attitude de son client auprès des jurés. Il n'essaie pas de l'excuser, même enfonce le clou. Donc pas de débat là-dessus. Il axe sa plaidoirie sur le Pourquoi et agite ainsi à son tour les émotions du jury. Bien sûr, il est coupable, il doit être condamné. L'avocat le sait et son objectif est de minimiser la peine. Alors je ne débattrai pas sur l'habilité, la manipulation... et effectivement on peut se dire que là en l'occurence, ce délit n'est pas un crime. J'ai toujours été interpelée sur ce métier d'avocat qui défend le coupable. Mais ceci est un autre débat . Merci Léo ! Pour les surprises, j'aime bien les lignes parallèles...
l'orgueil : PLAIDOIRIE
Publié le 26/08/2024
Tu as raison. Je me suis embrouillé avec l'histoire de Myriam. ;-)
L7PC 8: Epilogue : où l'on rencontre le psychiatre de Marie-Gabrielle Robinson
Publié le 26/08/2024
Je te laisse corriger à l'aise et ensuite publier. Je reprendrai alors ma lecture. ;-)
L7PC 8: Epilogue : où l'on rencontre le psychiatre de Marie-Gabrielle Robinson
Publié le 26/08/2024
Hello! Merci pour ton retour attentif, tes lectures honnêtes et toujours très généreuses! J'ai fini ce texte hier soir et je me rends compte que ce n'est absolument pas clair. STP, considère la fin du texte en travaux, je suis désolée pour ce bris de sens: je viens de mettre un peu de glue temporaire sur le passage ébréché. L'idée que je veux transmettre: le psychiatre de M-G arrête ses consultations à 16h00 pour aller retrouver sa copine dans sa salle d'attente après l'éclipse d'un dernier patient. Elle finit plus tard que lui. Ce genre de surprise est plutôt appréciable après une journée chargée!
l'orgueil : PLAIDOIRIE
Publié le 26/08/2024
J'ai lu ton commentaire avec attention, avec en premier lieu ta remarque, absolument justifiée sur le manque de retour à la mère dans la formulation. Je vais d'ailleurs t'insérer dans mon texte en utilisant ta formulation :-) Le N.B cependant m'interpelle à propos de la longue histoire. ??? Quel impudent et quel mari humilié ? Ne confonds--tu pas avec un(e)autre auteur(e) ? Dans ce défi, mes textes n'ont pas de suite. J'explore à chaque fois une nouvelle histoire et de nouveaux personnages. En tout cas merci de ton commentaire, je vais continuer ma lecture de textes du défi et les commenter mais je suis assez en retard de tout avec un emploi du temps très chargé cette semaine.... il me reste 2 textes à écrire d'ici ... ouh la la ! 5 jours...
Du sel sur la queue
Publié le 26/08/2024
L'histoire du merle est une allégorie. Adulte, on entend encore des histoires, comme celle de la directrice du festival. Comme j'avais réussi à mettre du sel sur la queue, performance incroyable, j'ai réussi à terminer mon roman. Mais ce qu'elle m'avait dit était une histoire du même acabit que celle racontée aux enfants. Ma finale "Le merle s'est encore envolé". Évidemment sans la compréhension de cette métaphore, le texte n'a pas grand intérêt, une fable enfantine de plus qui fait passer un enfant crédule supplémentaire pour un couillon à ses propres yeux.
L7PC 8: Epilogue : où l'on rencontre le psychiatre de Marie-Gabrielle Robinson
Publié le 26/08/2024
Je ne comprends pas l'avant dernier paragraphe : "Dans sa salle d'attente colorée, j'attends sage comme une image un bonheur qui redeviendra mirage dès demain. Je regarde ma montre. Dans un instant, son dernier patient sortira, j'entends Élisa l'accompagner sur le seuil." Jusque là, c'était la psychothérapeute qui parlait. Ici qui est-ce ?
Du sel sur la queue
Publié le 26/08/2024
Le commentaire a été supprimé
Tourments de confession
Publié le 25/08/2024
La confession tourmente celui dont le vélin des mains porte la moire de l'encre de vin. Belle entrée dans votre scriptorium... qui sont ces lèvres détestant ces mots qui font tourner les clefs d'armoires? Celle d'un enfant qui ne dit mot? Rien n'est badigeonné en vain pourtant. En matière de confession en tant que lecteur, j'ai l'impression que tout nous est déjà remis: des mosaïques d'or parsèment les poésies comme une marqueterie.
l'orgueil : PLAIDOIRIE
Publié le 25/08/2024
Hello, je te lis dès que je dispose de l'attention suffisante pour un retour digne de ce nom. :-) À bientôt.
Du sel sur la queue
Publié le 25/08/2024
Hello! J'ignorais cette histoire de sel pour attraper les oiseaux. En revanche, je n'ai jamais souhaité en attraper un seul. Vers 8 ans, voler comme eux semblait plus intéressant et j'ai connu des adultes qui n'ont jamais vu l'intérêt de raconter des fables aux enfants. Quelle bonne nouvelle "l'intime festival"! Voilà un beau travail d'équipe où chacun contribue à part égale et où tout le monde semble heureux de se rencontrer. Super pour ton livre, félicitations! Plein de bonheur à venir.
La famille samsung
Publié le 24/08/2024
Direct ! ;-) Chouettement direct.
Du sel sur la queue
Publié le 24/08/2024
Merci ! C'est corrigé. J'avais pensé à la virgule mais elle ne pouvait pas se mettre là. Les guillemets étaient supposés jouer le même rôle. Finalement, j'ai changé la formule. ;-)
La famille samsung
Publié le 24/08/2024
Un texte court et haché qui montre bien l’idée que tout va très (trop ?) vite et que nos communications ne sont pas idéales pour partager et construire posément des relations sociales.
Du sel sur la queue
Publié le 24/08/2024
Dès que j’ai vu l’illustration du texte ça m’a renvoyé un paquet d’années en arrière. Je ne me souviens pas de cette pratique, je me dis juste que si l’on arrive à s’approcher aussi près d’un oiseau pour lui saler la queue (ce qui induit de lui faire peur en s’agitant à ses côtés et à coup sûr le faire s’envoler)alors on peu l’attraper aisément. Mais plus que l’utilité de le faire ce sont les souvenirs et les façons de les refaire vivre qui sont très agréables à lire. J’aurai pour ma part ajouté une virgule après que de « Toujours est-il que qui dit » pour plus de compréhension et de fluidité dans la lecture. À plus tard.
Manipulée
Publié le 24/08/2024
Les Valence sont une famille. Chantal est une autre partie d'une famille.. La misérable riche de coeur elle est. Les Valence jalouse Chantal qui est très riche; Les Valence deviennent les misérables. La femme de ménage travaille pour les Valence qui lui ont lavé le cerveau contre Chantal tout l'été. Voilà, j'espère que c'est pas trop compliqué pour les explications.
la gourmandise : À TRAVERS LEURS YEUX
Publié le 23/08/2024
Coucou Agathe ! Alors je commence par les commentaires les moins chouettes pour pouvoir finir par les autres. Il y a plusieurs fautes de conjugaison : " Je rencontrais Camille, un dimanche à 11h35 exactement." Idéalement et typiquement, ici, on utiliserait le passé simple, à la rigueur, pour rendre les choses moins déclamatives, le passé composé. L'imparfait est fautif. "j’allais vivre ma gourmandise à travers celle des autres. J’inverserai la tendance et je m’adapterai." Le futur simple n'est pas indiqué ici. Il vaudrait mieux le conditionnel. "j’allais vivre ma gourmandise à travers celle des autres. J’inverserais la tendance et je m’adapterais." Vilaine répétition d'un mot mal choisi "Et puis 2020 arriva et avec 2020 la COVID arriva. Avec le virus, le confinement arriva et les gens partirent. Un jour, le virus arriva dans mon organisme et mon goût partit. Mais ne revint plus." Pourquoi pas ? "Et puis 2020 arriva, 2020 et sa pandémie. Il y eut le confinement et les gens partirent. Le virus finalement s'immisça en moi, mon goût s'évanouit à tout jamais." "Je souffrais d’agueusie, soit, et alors ? Donnerais-je moins de plaisir pour autant ?" Une amie comédienne m'a dit un jour qu'il faut éviter tout mot "officiel". C'était son professeur d'écriture qui le lui avait expliqué. Je suis d'accord. "agueusie" ici est un outrage dans ton charmant texte. Idem pour "déglutir" "J’éprouvais un plaisir quasi jouissif à les voir déglutir en fermant les yeux." A la première ligne déjà, une grosse incohérence grammaticale "...milliers de personnes de tous âges, de toute nationalité, de toute confession." Tu peux tout accorder au pluriel ou tout au singulier mais je dirais non à l'alternance. L'idéal ici selon moi "de tous âges, de toutes nationalités, de toutes confessions." Et voilà ! La première partie est terminée. Elle était longue et sévère. Il s'y trouvait des citations. On imagine bien que ça m'a demandé du travail et si ce texte m'avait paru quelconque, je ne me serais pas donné cette peine. J'ai adoré ton texte Agathe ! Mais tu es une fille, non ? Pourquoi le protagoniste, à la première personne, est-il un garçon ? De temps à autres, des maladresses m'ont sorti de ton magnifique récit, mais sur les derniers mots, j'ai du contenir une larme. Bravo ! Je suis (presque) complètement venu avec toi dans ta Touraine natale, dans ce village, avec ses habitants gourmands et sympathique. Et puis ta maman et ton papa italien, comme celui de Cavanna. Ils sont très touchants, très universels. Bravo !!! N.B. Le premier mot de mon fils Maurice fut "Tartine". Lui aussi était très gourmand. Il l'est toujours.
Mon nom est Rouge
Publié le 23/08/2024
Je découvre l’existence de ce livre et trouve original de donner la parole à un cadavre. Et il semble que les sentiments sont au cœur de cette démonstration littéraire. Merci pour le partage Myriam.
l'orgueil : PLAIDOIRIE
Publié le 23/08/2024
Nouveau péché capital et nouvelle approche, merci pour toutes ces surprises dont tu nous gratifies. Même si je plains tous les clients de cet avocat qui les plombent plus qu’il ne les défend, je trouve l’approche intéressante et surtout rejoint une vérité fondamentale : les émotions jouent un rôle majeur dans la quasi totalité des drames et si effectivement on passait plus de temps à éduquer l’humain sur la gestion jusque la maitrise des sentiments on règlerait bien des problèmes. Et j’aime aussi ton approche sur le fait que l’enfer ce sont les biais cognitifs qui emprisonnent dans des schémas condamnables. Victor Hugo était dans le vrai en disant qu’il fallait construire des écoles pour fermer des prisons. Merci Agathe pour ce nouveau très beau défi relevé.
Tourments de confession
Publié le 23/08/2024
Bonjour très cher Francis, j’ai lu il y a peu que des livres étaient empoisonnés et d’autre encore faits en peau humaine… les livres ont par le passé souvent nourris les intrigues et été le support de sombres rituels. Ton poème est mystérieux et donne l’envie de percer les secrets qui en découlent.
Manipulée
Publié le 23/08/2024
Bonjour Salima, j’ai lu le commentaire de Patrice car je ne comprenais pas non plus et je rejoins son commentaire. Perturbé par le qui est qui. À plus tard.
l'orgueil : PLAIDOIRIE
Publié le 23/08/2024
Difficile de rendre un texte buvable lorsqu'il est sensé être dit par un fonctionnaire du ministère de la justice. Le jargon dans les tribunaux est si calamiteux qu'on se demande pourquoi il n'est toujours pas surtitré. Et là, tu t'en sors plutôt bien, je trouve. Une phrase m'a choqué toutefois car pour moi, elle n'a pas de sens. "Il comprit très tôt que sa mère se saignait aux quatre veines pour lui et n’eut qu’un objectif : être le meilleur car les meilleurs sont écoutés, les meilleurs sont respectés." Parce que sa mère se saignait, il voulait être écouté et respecté ??? Il manque un retour à la mère. "être le meilleur pour que tout ce que sa maman avait fait ne fût pas vain" ou quelque chose du genre aurait été plus logique et donc compréhensible. J'aime beaucoup l'idée - c'est l'un des leitmotiv de ma vie - qui consiste à dire qu'on n'est pas coupable de ses actes, on subit les effets de causes dont on n'avait pas la maîtrise. Non seulement, je suis d'accord avec cette idée mais tu la développes sans lourdeur, enfin, juste la lourdeur qu'on imagine dans une salle de tribunal. N.B. Puisque tu as entamé une longue histoire et que nous avons l'habitude de nous y ébattre, je suggère que, lorsque nous sommes dans celle-ci, tu nous le signales ou, que tu nous montres lorsque nous n'y sommes pas. En effet, ici, au début, je croyais qu'il s'agissait du procès du jeune impudent qui avait réglé son compte au mari humilié. ;-)
Manipulée
Publié le 23/08/2024
Je ne comprends pas très bien. J'imagine une femme de ménage, Chantal, qui astique pour une famille riche, les Valence, mais une phrase vient contredire cette hypothèse. A moins que ce soit la servante qui soit très riche. "Les Valence ont rendu folle la misérable" Elle serait donc pauvre, mais "Ils l’envient car elle en a trop". Elle serait donc riche. Le texte manque de clarté pour moi. Je comprends que la poésie puisse vouloir installer et maintenir le lecteur dans le brouillard mais ici les mots disent une chose et son contraire, à moins que - et c'est parfaitement possible - quelque chose m'ait échappé. ;-)
L7PC 7 : L'orgueil
Publié le 23/08/2024
Oui, on sent une nette augmentation dans l'investissement que tu mets dans ta rédaction. Ensuite, quelle bonheur, la fierté de mesurer de ce qu'on a fait et le retravailler, le mieux structurer, lui donner sa dernière patine ! C'est un sacerdoce, éprouvant, mais délicieux.