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Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
Le code rouge
Publié le 24/07/2024
Tout vient de ce sacré Vespucci alias Christophe Colomb.
Music box
Publié le 24/07/2024
Merci Léo pour ce commentaire. Ce Monsieur qui est décédé par la suite était formidable. C'est une histoire vraie. Il avait un visage angélique et cela m'attirait beaucoup.Peut importe qu'il était clochard je l'aimais avec empathie à l'excès.
Ode à Zinou
Publié le 24/07/2024
Pas facile Un fils de Louis de vous emmenez plus loin, surtout lorsque vous avez accompagné votre frère jusqu'au dernier souffle.
Cuve de reposoir
Publié le 21/07/2024
Cher Léo, bonjour l'ami ! Encore une page qui me remplit de joie, quelques lignes dans laquelle je m'enfonce comme dans la pénombre d'un monastère. Le repos, le silence, la vague incertitude d'un chant grégorien, un monde que j'entrouve comme on rentre au couvent, happé par un drap de lumière, pour partager avec ses frères la miette de cristal qui inonde son âme. Le monde religieux comme tu le sais est une source inépuisable de poésie. D'ailleurs toute l'humanité a essayé de l'orner des plus belles œuvres, des cathédrales, des tableaux, des châsses en or, des vitraux, des chants, des oratorios, des oraisons, des miniatures, des autels, des chasubles, et de tout ce qui pouvait être précieux sur la terre. On trouve dans ce monde de là une foison de mots dont l'éclat illumine le moindre d'une infinie richesse. La nature est une œuvre d'art et les poètes en sont les prêtres. Merci encore pour autant d'attention à ce que j'écris. Merci encore l'ami. Cordialement. F. Étienne. En éteignant la nuit au bout d'un doigt d'étoile Le vagabond s'endort sur un morceau de toile.
Flot de mots
Publié le 21/07/2024
Cher Léo, merci pour te baigner dans le torrent de mes mots ! L'eau y est fraîche, la lumière en cristal et les galets de son lit blanc comme la neige. C'est le propre d'un poème de « vivifier » car tout poème est source de vie, d'une autre vie d'un autre monde dans lequel le poète ne laisse que des débordements « d'allégresse ». Il est magnifique de voir que l'on peut éprouver de la joie en lisant simplement quelques lignes, c'est un mystère et un miracle. J'imagine que celui que la poésie transforme, devient un buveur de vie. Dans un de tes commentaires, tu as parlé « du suc la poésie que je verse dans des replis ». Ce sont ces débordements d'allégresse et de ses émotions en liesse. Quelle magnifique expression ! qui traduit exactement cette impression de voyage en poésie. Merci encore Léo, mes derniers poèmes épousent un nouveau temps, comme si un cycle de saisons avait aussi sa place dans la lecture. Cordialement, F. Étienne. Un croissant de soleil croustillant de saveur Se glisse entre les doigts d'un élégant rêveur
Au royaume des Aulnes
Publié le 21/07/2024
Cher Léo, merci encore pour te perdre dans ce songe éternel. Dans la métamorphose de l'univers, ce qui me paraît le plus beau c'est le passage d'une forme à une autre comme de l'eau à la terre, ou de l'eau en nuage, ou de l'eau en larmes, car en effet ces passages qui comme tu le dis si bien sont « insaisissables» comportent plus de vie que l'eau elle-même ou que la terre. Il me semble que la description de ces passages, je devrais plutôt dire l'évocation de ces passages, et plus emplie de beauté, de force, de matière en quelque sorte. Il n'est pas facile de comprendre pourquoi le poète peut être fasciné par cette métamorphose, mais toi, poète toi-même, immédiatement tu en connais la beauté, la puissance, et l'infini bonheur. Car qu'est-ce le bonheur sinon « Ce songe éternel ». Merci encore une fois Léo pour ce don que tu m'offres à chacun tes commentaires. Cordialement F. Étienne. Une langue de feu dans un mot de louange touche chacun de nous d'une caresse d'ange;
Métamorphose d'ombres
Publié le 21/07/2024
Cher Léo, quel magnifique compliment me comparant à l'alchimiste muant la pesanteur en senteur qui borde les âmes ! Reste donc dans mes lignes pour des heures, tu es mon invité ! Le titre parle de métamorphose et c'est bien ce que j'éprouve en écrivant de la poésie. Le magnifique pouvoir de transformer avec des mots en délices est un don de Dieu dont j'abuse avec le plus extrême plaisir. Ce pouvoir doit s'enrichir tous les jours, par un travail, et aussi par un don de soi. On ne garde rien pour soi on redonne, on passe, on transmet, on offre. Et c'est ainsi que le don revient au donneur. C'est un très grand honneur, pour un poète, de pouvoir toucher à la métamorphose de mots. Mais c'est un travail incessant pour apprendre à les caresser. Peut-être, pour cette raison, ma poésie est-elle aussi suave. Merci encore Léo pour ces quelques lignes si touchantes. Cordialement F. Étienne. Le jasmin d'un regard enflamme le désir Comme l'eau du torrent abreuve le plaisir.
Fable sans aucune morale
Publié le 21/07/2024
Cher Léo, merci d'avoir eu « un gros coup de cœur » pour cette fable. Tu me mesures à La Fontaine avec tant d'enthousiasme ! Que j'en ris dans mon cœur. J'aime beaucoup la fable et j'en lis. C'est un genre qui m'attire beaucoup. La fable est un déguisement de la vérité. Et comme tout ce qui est déguisement m'intéresse, comme tu le sais, la fable me tente. Je relis en ce moment les caractères de La Bruyère, et en particulier sa traduction des caractères de Théophraste. Ce ne sont pas des fables, mais le terrain dans lequel il puise sa matière, est contemporain du terrain dans lequel La Fontaine puisait sa matière d'Esope. Ce que je veux dire plus simplement, c'est qu'il faut apprendre d'un grand fabuliste la méthode de la fable. La Bruyère et La Fontaine nous la montre. Mais il me semble que je deviens confus… alors peut-être il vaudrait mieux que je me taise. Merci Léo pour ce « c'est très réussi, bravo". Cela me fait chaud au cœur. Une banale idée assise sur la braise berce tout l'univers d'un goût divin de fraise.
Masque de craie
Publié le 21/07/2024
Cher Léo, comme tu le dis avec beaucoup d'enthousiasme « tout l'univers est poésie. » Merci de cette remarque si juste. La poésie se place dans l'ordre précis de la création. Elle n'existe que parce qu'elle a été créée. Tu as tellement raison de dire que l'univers entier est poésie. On peut toujours se demander quel est cette place. Pourquoi existe-t-elle ? Écrire fait partie de la recherche de la réponse. L'écriture poétique est un outil scientifique en quelque sorte, et c'est pour cela que j'utilise ne sonnet. Évidemment la matière poétique que nous brassons, nous en pétrissons la glaise. Un poète est un homme qui pétrit la boue des mots pour en faire de magnifiques céramiques. Bien sûr il ne le sait pas vraiment comme le potier d'ailleurs ; il travaille. Pour lui c'est un vers qui lui plaît, ou l'éclat d'une magnifique poterie, mais c'est tout. Ainsi, le poète ne voit pas son œuvre, il n'entend pas les mots qu'il écrit, il ne les lit pas, il corrige. C'est seulement quand il prend quelque repos, qu'il voit, « dans un trou de tiroir encerclant un étang qu'une bougie en sel consume de sa mèche. », toute son œuvre construite. Merci encore Léo, tes mots sèment en moi des graines de bonheur. Cordialement, F. Étienne. Babylone enflammée aux lyres du silence Détache son regard d'un bout de providence.
Cuve de reposoir
Publié le 20/07/2024
Une quiétude monacale se dégage de ton poème. Sur le fil du réel et de la rêverie, en équilibre entre le repos du corps et la libération de l'âme jusqu'à ce que surgissent les ombres conspiratrices qui n'attendaient pas tant relâchement pour rouvrir ce qui s'apparente à un tombeau. Un enlèvement, un kidnapping, d'autres appellent cela un ravissement... à plus tard l'ami, à toi et aux tiens, tes fidèles mots toujours inspirés.
Flot de mots
Publié le 20/07/2024
C'est un torrent de vie et de lumières revivifiantes qui s'écoulent dans tes derniers poèmes et celui-ci prend une part non négligeable à cette belle cavalcade. Ce sont des mots et des émotions en liesses qui paradent insouciants et nous sommes pris dans ce débordement d'allégresse pour notre plus grande joie. Merci Francis Etienne.
Au royaume des Aulnes
Publié le 20/07/2024
A dos de Joran la chevauchée poétique est magnifique, on flotte sans discontinuer en suivant les cours d'eau, du large vers le coeur des terres. J'aime énormément cet alliage air-eau qui semble insaisissable, libre comme les âmes qui tutoient le bonheur, inaltérables comme le temps qui polie les plus belles oeuvres... Et si tout n'est qu'illusion et sorcellerie, alors perdons nous en ce songe éternel.
Métamorphose d'ombres
Publié le 20/07/2024
A rimes de velours, ton sublime poème ramène à la vie et aux couleurs. Pareil à un alchimiste, sous ta plume, la pesanteur se mue rêverie qui exhale de douces senteurs qui bordent les âmes. On y resterai des heures, merci Francis Etienne.
Semaine à Tossa de Mar
Publié le 20/07/2024
Un magnifique film avec la grandeur d'antan comme il ne s'en fait plus. Bonnes vacances Patrice.
Kafka au Boulevard Dessalines
Publié le 20/07/2024
Un sacré texte très cher Gilbert, très fluide et qui soulève de nombreux points à commencer par la corruption qui fragilise aussi et fait s'écrouler comme les murs des pans entiers de la société. Le chaos favorise les écrans de fumées et c'est à ce titre qu'ils sont copieusement encouragés. Et comme le pays est désormais également aux mains des gangs, la solution semble inextricable. Bon courage.
L'envie
Publié le 19/07/2024
Peut-être tant qu'il y aura des influençables? J'ignore si tu as une conception pessimiste de l'histoire (pour ma part les choses ne vont pas en empirant) mais il me semble que cela a toujours été le cas quelle que soit l'origine de l'influence. J'en profite de me trouver ici pour te rapporter que je n'arrive pas à chroniquer un livre: j'ai un message d'erreur, c'est dommage, je vous aurais bien parlé de mon amour pour les romans de David Lodge mais j'arrête là ce hors-sujet.
Kafka au Boulevard Dessalines
Publié le 19/07/2024
Je vous lis toujours avec intérêt. Il y aurait beaucoup à écrire sur les effondrements. Quand on entend la facilité avec laquelle un commerçant abat un mur qui gêne une vitrine sans se rendre compte qu’il s’agit d’un mur porteur…. Il lui suffit de recruter des miséreux le jour même :on ne s’étonne plus des effondrements en série dans une société habitée par la folie de la construction BBC. https://fr.le360.ma/societe/effondrement-de-limmeuble-de-bourgogne-une-enquete-pour-des-soupcons-dinfractions-urbanistiques_PJ5FISLHXNG3LAQNDNHRCVZSZE/. Tant que la corruption s’étale avec le marché de « la construction », toute reconstruction réelle semble vouée à l’échec. Le pays entier croule sous des nouveautés apparentes derrière un fonctionnement immuable. Pour le reste, vous apportez beaucoup de précisions. Il y a une grande honnêteté dans votre façon de tracer vos réflexions et c'est un témoignage très agréable à lire. Merci de ce post et à bientôt.
Dimanche 14 juillet sur un campus magnifique
Publié le 18/07/2024
En fait… Depuis de longs jours, je constate qu’il y a beaucoup de travail à faire (témoignages, etc) pour bien démystifier le "le pays d'hier"… Grands Remerciements et aussi, je vous prie de m’excuser pour mes retards. Le pays d’aujourd’hui est si déroutant et écrasant… J’avance, malgré tout.
Dimanche 14 juillet sur un campus magnifique
Publié le 18/07/2024
En fait… Depuis de longs jours, je constate qu’il y a beaucoup de travail à faire (témoignages, etc) pour bien démystifier le "le pays d'hier"… Grands Remerciements et aussi, je vous prie de m’excuser pour mes retards. Le pays d’aujourd’hui est si déroutant et écrasant… J’avance, malgré tout.
L7PC 3 : Colère
Publié le 17/07/2024
Je regrette l’absence de Jean-Luc Mercier depuis quelques mois car lui qui est un fervent amoureux de la nature et des oiseaux y aurait trouvé son compte, d’autant plus que l’on flirte avec la fable. Cette Avocette les cumulent, hâte de voir jusqu’où sa toute puissante détermination et respectueuse de pas grand chose la conduira. A suivre avec impatience.
L'envie
Publié le 17/07/2024
J’ai beaucoup aimé ton entame qui reflète bien le sujet de l’atelier qui est que les péchés ne le deviennent que dans l’excès. Le monde cathodique est envieux d’audimat et de concepts le produisant, désormais bien concurrencé par le monde de l’internet et des “influenceurs”. A travers ses icônes, c’est la société toute entière qui vacille et s’oublie… jusqu’où ? Et jusque quand… ?
Masque de craie
Publié le 17/07/2024
C’est très aérien et même stratosphérique, cet oiseau de ses larmes de rage a soulevé les plaques tectopoétiques avec toute la puissance de son authenticité et sincérité. Ton poème est vibrant et concentre tout son suc dans les reflets fruités de ton immense imagination. L’univers tout entier est poésie après cette lecture.
La luxure
Publié le 17/07/2024
Cela est moins évident avec la luxure et c’est tant mieux car même si je ne partage pas les mêmes valeurs que certaines personnes, je suis toujours très mal à l’aise avec les attaques, quand bien même certaines peuvent se comprendre. Je crois que cette personne est elle même un vile produit de la société, son audience qui ne souhaite plus réfléchir et se défouler après le boulot montre qu’il a trouvé la bonne formule pour les bonnes cibles. Il en est lui même prisonnier et je ne parle même pas du rôle de marionnettes que doivent avoir tous les salariés en vue dans l’empire Bolloré qui a tout de même racheté une bonne partie des médias. On se rapproche du modèle américain dont on dit d’ailleurs que la chaîne bolloréenne est le pendant français (et même francophone) de Fox News. Rien ne les fera dévier de leur ligne directrice qui a des visées politiques que plus personne n’ignore. Bonnes vacances Patrice.
Fable sans aucune morale
Publié le 17/07/2024
Un gros coup de cœur car ce n’est pas banal de croiser un poème en tout point semblable à une fable. La Fontaine s’appuyait sur les animaux pour passer ses morales et je trouve qu’il est bien plus difficile d’écrire les fables mettant en scène les humains sans tomber dans le banal. C’est très réussi, bravo Francis Etienne.
L7PC 3 : Colère
Publié le 17/07/2024
Ooops… je parlai du prochain épisode de ton feuilleton de l’été sur Valéry Cyril Hanouna. Je n’ai pas entendu parler de colère chez Valéry mais en revanche chez son patron Vincent Bolloré, j’avais cru entendre parler d’une colère noire. Je me demande donc si Vincent Bollore paye Valery Cyril pour se mettre en colère parce qu’il n’a pas l’air si coléreux que ça. Enfin, tu nous diras cela bientôt. A bientôt de te lire !
L'envie
Publié le 16/07/2024
Je pense que H est envieux de tout ce qui brille. Et il ne faut pas se fier aux apparences, à son air "radieux". Je pense vraiment que H sera un éternel frustré parce que lui sait qu'il a pour seul mérite de penser comme l'immense majorité des lobotomisés qui le regardent. Il n'a rien de singulier ou de différent. Il sait qu'il est médiocre, inculte, superficiel. A propos de ses échecs scolaires, il a beau se dire que les diplômes ne servent à rien, la preuve, il est millionnaire. Il n'en est pas moins vrai qu'il a été incapable d'obtenir son diplôme comme il a été incapable de satisfaire les espoirs de son père. Je sais qu'il le sait. Et j'en suis ravi.
L7PC 3 : Colère
Publié le 16/07/2024
A partir de "Les colères du financeur (V.B) de H sont célèbres: H. est-il stipendié pour se mettre en colère par procuration?" Je ne comprends rien mais je ne suis pas gêné du tout. J'adore le monde féminin. ;-)
L'envie
Publié le 16/07/2024
Si je comprends bien tu distingues bien le péché mignon (de gourmandise) du péché d'envie qui mène à la jalousie. Je te cite "Envie= vouloir être ce qu'un certain être est, vouloir avoir ce qu'un autre a", la question brûle: H. serait-il envieux de son financeur V.B au point que V.B et lui ce soit du pareil au même? Si c'est le cas, Valéry n'est que la "copie" de V.B. Par "devoir de copie", il pèche presque par procuration. Il ne porte pas les symptômes de l'envie "tristesse, tourment ou jalousie". Quand je vois un cliché en passant par la presse, je lui trouve le teint radieux de Matteo Salvini sur la plage. ^^^À bientôt de te lire pour un nouvel épisode.