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Commentaires
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Paris-Plage
Publié le 02/05/2024
Ah ah ! J'aime beaucoup le portrait de ces deux femmes et les rapports un peu hypocrites entre ces deux femmes . L'une profite, l'autre accepte sous couvert d'une "vieille amitié". Cette année, plutôt que d'aller à Cabourg chez Monique Paquette, Hélène devrait profiter d'une seine toute propre, surtout au mois de juillet... peut-être pourrait-elle même y dénicher le remplaçant de Guy !
Le temps qui passe
Publié le 02/05/2024
La philosophie de l'âge, cet âge dont on se dit lorsqu'on s'y arrête : "Non, c'est impossible, pas moi" Alors oui, nous sommes tous embarqués dans un même bateau qui nous emporte au même endroit, faisons en sorte que le voyage soit riche. Vivons chaque minute, chaque seconde comme une chance. Merci pour ce joli texte Evelyne !
Hommage aux facteurs du journal Le Nouvelliste
Publié le 02/05/2024
Les duels dans la capitale. Nous ne savons rien sur les provinces. Grands Remerciements.
Le temps qui passe
Publié le 02/05/2024
Un témoignage poignant, éminemment juste à certains esprits, dont le mien, puisqu'il ne s'agit pas de vieillesse, de mort ou de regard attristé sur le passé, mais bien de sagesse, d'espoir, de vie et peut-être même de pardon ! Bravo !
Furie-sur-Mer
Publié le 02/05/2024
Merci Evelyne. Oui, le mot défiguré me convient parfaitement, car j'adore regarder des lieux très réputés sous un angle très opposé à la "figure" que tant de gens en ont. Ils révèlent souvent une émotion si différente ! J'avoue par contre qu'il me faudrait l'améliorer un petit peu, mais je n'en ai pas encore pris le temps :-))
Pourquoi avoir voulu faire publier « Ambre Gris » ?
Publié le 02/05/2024
;-) Merci ! N'hésite surtout pas à aussi voir et exprimer des choses que j'aurais écrites qui te choquent, te gênent, etc. Merci encore pour ton intérêt. ;-)
LA VESTE
Publié le 02/05/2024
Ravie de te retrouver Evelyne ! Optimiste pas trop, je suis plutôt réaliste vis à vis de l'indifférence de l'humain, qui face au problème choisit de s'adapter pour le résoudre... à son niveau. Merci de ton commentaire, je vais lire tes textes dès que possible.
LA VESTE
Publié le 02/05/2024
Merci Myriam ! Désolée de mon retard à répondre, je suis du genre un poil débordée... Alors je fais de tout un petit peu. c'est ce qui m'a fait me mettre en retrait car ce n'est pas satisfaisant. Bref ! je te remercie d'avoir apprécier mon texte sur la triste évolution de notre monde...
Paris-Plage
Publié le 02/05/2024
J’ai bien aimé ce texte et la pénible Hélène. La description du quartier suffocant pendant l’été est excellente, mais quel boulet cette femme! Le gag sur la méprise de Monique par rapport au chien est très amusant et tout le texte est léger et agréable à lire. Merci
Hommage aux facteurs du journal Le Nouvelliste
Publié le 02/05/2024
Quand un journal disparaît, c’est une époque qui disparaît. Ce texte est un beau témoignage d’un monde qui change, mais aussi de la violence qui découle de ces changements. Pouvez-vous me dire ce qu’étaient « les duels urbain » ? Merci Gilbert
Pourquoi avoir voulu faire publier « Ambre Gris » ?
Publié le 02/05/2024
Quel beau texte empreint d’émotion et qui décrit si bien cet enthousiasme et cette fierté qu’on peut avoir quand on a été distingué pour partir aux U.S.A. C’est un voyage à cet âge là qui fait grandir et qui donne les ailes pour réaliser des rêves et y croire.. c’est très bien exprimé et ressenti.. Merveilleux texte que j’apprécie beaucoup.
Le temps qui passe
Publié le 01/05/2024
C'est un texte qui nous rassemble, je trouve, chère Evelyne ! On y parle doucement de la vieillesse, de la mort, des souvenirs, des blessures aussi. C'est bien un texte qui nous rassemble, vous et moi, chère Evelyne. A bientôt ! ;-)
LA FEMME AU PAPIER FROISSÉ
Publié le 01/05/2024
Super ! C'est très bien de permettre à chacun de lire selon son envie et de scinder d'une manière ou d'une autre le site de sorte que chacun y trouve son compte. ;-)
Nappes de vent
Publié le 01/05/2024
Cher Léo, Quelle belle idée que de mettre en contact ce texte et Von Gogh et quelle magnifique expérience tu en rapportes. J'ai déjà travaillé avec un peintre Jean Marc Sardou en écrivant une quarantaine de sonnets sur ses tableaux sous le titre de Hommage à Jean Marc Sardou. Je les refais avec des photographes et des aquarellistes. C'est un travail délicieusement exquis. On perd la solitude de l'écriture en trouvant la fraternité. Je suis toujours intéressé par le chevalet de l'autre. Merci encore de tant de bonté pour mes pages...et pour Van Gogh Bonsoir, Léo, Cordialement, F Etienne Sur le sucre du soir une frange de vent Pousse un bout de dentelle au fin fond du Levant
Rouleaux de moire
Publié le 01/05/2024
Cher Léo, ...et oui peut-être. Merci pour une vue si pénétrante sur ce texte. Toute la quête de la poésie repose en effet sur un acte de foi et sur le doute, sa splendeur sur les les mots et leurs miroirs. L'alchimie des mots et des voyelles. La poésie est redemptive et charitable, elle nous panse les plaies depuis toujours, les comptines de notre enfance sont les doudous de nos âmes. Quelques fois la poésie nous pousse dans le fossé juste pour venir se rouler dans l'herbe avec nous. La poésie est une grande amoureuse. Bonsoir, Téo, et merci. Cordialement, F.Etienne Une voile de lin flottant sur l'océan Annonce le soleil renaissant du néant.
Salve d’ardoise
Publié le 01/05/2024
Cher Léo, Tu écris comme un Prince en partageant sous ce texte un commentaire si profond ! Merci pour ce merveilleux don. Les mots de clepsydre et d'ultime souffle poétique m'ont touchés Mon écriture est rempli de vieillesses, de nombreuses vieillisses. C'est aussi la société que Proust nous a décrite. Chiffonner le soir autour d'un arlequin demande le tact d'un Prince de Lige. J'aime lire les mémoires qui nous sont parvenus. Ils ne sont pas parvenus pour rien. Lorsque j'en lis un je me délecte à voir quelqu'un qui se voit à travers moi. C'est ça le miracle du voyage dans la littérature: voir se voir. Ainsi merci encore, Léo, Cordialement F Etienne. Sous l'eau de ma mémoire ondule un bruit d'écaille Que parfois le courant de son velours écaille.
LA VESTE
Publié le 01/05/2024
J'aime beaucoup ce texte, et on se rend tout de suite compte que rien ne va plus mais...mais, comme le dit le refrain... le texte est puissant et fort en images .. Restons quand même optimistes :-))
Furie-sur-Mer
Publié le 01/05/2024
J'aime beaucoup ce texte d'un paysage" défiguré" par la tempête mais qui : "J’aime ce joli Collioure-là, car il ne se vend pas." Il ne se vend pas car il se ressent, et dans ce texte, sans l'avoir en peinture il est devant nos yeux comme peint et on le ressent. Merci beaucoup
Le temps qui passe
Publié le 01/05/2024
Merci cher Léo pour ton commentaire chaleureux et clairvoyant. Bonne fin d’après-midi
Hommage aux facteurs du journal Le Nouvelliste
Publié le 01/05/2024
Le format papier disparaît de plus en plus, les journaux sont les vestiges d’un temps quasi révolu.
LA FEMME AU PAPIER FROISSÉ
Publié le 01/05/2024
Je te trouves aussi sévère Patrice mais ton opinion se respecte, tous les goûts sont dans les lecteurs et l’on a toutes et tous nos préférences et c’est ce qui est enrichissant d’ailleurs. Pour ce qui est des textes longs, le site va développer prochainement une fonctionnalité permettant de publier un roman par chapitres. Il est aussi à l’étude qu’il y ait la possibilité de mettre une “ancre” qui permette de lire la suite d’un texte long en s’y connectant à nouveau plus tard. Tout cela devrait permettre de lire plus et en cela je rejoins Jean-Luc, un site d’écriture ne devrait pas rebuter la lecture du long, surtout si c’est bien écrit.
Nappes de vent
Publié le 01/05/2024
Il n'est pas rare que ta poésie évoque des peintures, tout simplement parce que les mots sont aussi des touches de couleurs... c'est cette fois la sieste de Van Gogh que ton poème fait ressurgir, je l'ai affiché sur mon écran dans une autre fenêtre à côté de ton poème que j'ai lu une nouvelle fois et j'ai trouvé que c'était parfait pour contempler davantage encore les arts qui se conjuguent.
Le temps qui passe
Publié le 01/05/2024
C'est un texte intense car sincère et emprunt de sagesse.Les mots sont justes, posés dans leur simple appareil, en toute vérité. Il faut avoir la mort devant soi pour comprendre que le temps qui reste doit nous conduire à la paix intérieure pour voyager un peu plus léger ensuite. Et c'est dans dans ce processus comme tu l'écris si bien que l'on s'aperçoit des poids bien inutiles que nous avons transportés pour rien... il n'est jamais trop tard pour se sourire à soi-même et ça passe par se satisfaire de ce que nous ne serons plus.Ajouter enfin qu'il est inutile de se délester pour se charger de regrets, une charge pour une autre est une transaction bien inutile... A plus tard Evelyne.
Rouleaux de moire
Publié le 01/05/2024
J'ai toujours pensé que la poésie avait une vertue alchimique. Cette capacité à transformer le plomb en or, les mots en art, la tristesse en une larme d'espoir qui roule et dévale le flanc de notre dignité retrouvée... il n'y a que la poésie qui sache pardonner à notre condition humaine, qui sache toujours nous raccrocher à un fond de beauté, nous confier que peut-être...
Salve d’ardoise
Publié le 01/05/2024
La vieillerie sous ta plume c'est le temps qui s'échappe en d'ultimes souffles poétiques. Disparaitre est ce que nous avons de commun et c'est une chose qu'il faut apprendre à apprivoiser. Nos mots filent en nos clepsydres intérieurs, ils égrènent nos âmes et témoignent de ce qui sera plus, c'est en cela qu'ils sont extrêmement précieux. Merci pour ce poème.
Pourquoi avoir voulu faire publier « Ambre Gris » ?
Publié le 01/05/2024
La musique et l'écriture c'est l'expression de l'âme et des sentiments, tout cela es bon pour le développement personnel et voici déjà une excellente de s'y mettre. Comme disait Oscar Wilde "Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec on atterrit dans les étoiles". Le bonheur suprême c'est de se contenter de ce que l'on a et d'en jouir pleinement, je médite souvent à cela lorsque je me met à rêver en plus grand, et j'y gagne à chaque fois un sourire entendu.
Aux basses rives du Styx
Publié le 29/04/2024
Chère AE Myriam, Votre bonne impression devant ce texte me ravit et je vous en remercie. Je vous remercie aussi pour vous être abonnée à mes publications aussi spontanément. Le conte fantastique me donne un grand plaisir à écrire. La rapidité et la foison des détails doivent être le maître mot, en peu de lignes, comme ces chateurs d'opéra qui n'ont que quelques secondes pour la note ! C'est assez proche d la nouvelle. Les plus belles sont à trouver chez Maupassant ou Zweig. Un jour m'y essayerai-je peut-être mais je n'y suis ni rompu ni prêt à me rompre. Merci encore pour ce merveilleux commentaire et vos désormmais fidélité. Cordialemen, F Etienne
Hora d’un long silence
Publié le 29/04/2024
Cher jean-luc, magnifique expression de tes impressions devant cette page et de ta richesse intérieure ! Vous lisez non pas entre les lignes mais vous lisez à la lèvre des mots. Merci pour me donner tant de plaisir à respirer un parfum de lilas, s'exhalant de vos mots. Les vers sont parfois des cuirasses sous lesquelles battent le coeur des chevaliers, et parfois ces palais dont brillent l'Andaloousie. Il n'est pas simple de leur faire la morale ! mais comme vous le savez, je suis presque aussi aguerri que Don Quichotte. Merci encore, et à très bientôt. F Etienne