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Sphinx - Une histoire du Sunset Palace — extrait—
Publié le 18/04/2024
Bonsoir et merci pour votre lecture. Je suis d’accord avec vous pour les formulations. Comment faire entendre une adolescente qui tient un discours en boucle? L’avantage ici c’est d’avoir le temps d’y réfléchir car avec les brouillons nous avons le loisir de revenir à ce travail quand nous en ressentons l’envie.
Laminoir à paroles
Publié le 18/04/2024
Merci Léo pour un commentaire encore une fois très pertinent qui souligne si à propos ta lecture de ces quelques textes. Oui il est rare que je "peigne" un personnage humain ( il ya quelques plusieurs exceptions, toutefois). Ce qui m'interresse dans l'homme c'est sa face cachée, celle seule que les confesseurs aperçoivent en secret. Le déchirement du péché, le souvenir qui se calcifie dans le cœur l'espor du rêve solitaire, la démesure de la douleur silencieuse me fascinent. Nous aimerions tous tout savoir des êtres que nous aimons. Je t'ai dit récemment qu'un poète crève des bulles de savon, j'ajoute qu'il caresse aussi de sa peau les doigts du temps. On s'ennivre souvent de mots qui longuement résonnent mais on ne creuse pas le cœur pour y gouter leurs voix. Je ne sais si je te l'ai déjà dit, mais l'opéra me hante comme la nuit à Venise m'embobinant d'un fil de lumière et de rouge. Pour te remercier encore, je t'offre deux vers. Cordialement, F Etienne Une pâle lueur dessine sur le sable Un visage de soie au souffle d'un oracle.
Sphinx - Une histoire du Sunset Palace — extrait—
Publié le 18/04/2024
Bonsoir Léo, merci d’avoir lu ce texte: je suis contente si tu as passé un bon moment. Comme les nouvelles publications foisonnent, j’ai l’impression de partir pour un safari de nouvelles lectures. J’aime bien aussi retourner vers les textes anciens qui me plaisaient. Bravo pour ce phénix !
LA FEMME AU PAPIER FROISSÉ
Publié le 18/04/2024
On n’est jamais déçu par tes trouvailles ingénieuses qui portent toujours des messages intenses. J’ai beaucoup aimé “ Qu'elle serrait à doigts perdus...” et ces lettres délavées dont subsiste celle qui fonde tous les espoirs d’aimer à nouveau, le tout sur une musicalité impeccable. Merci Agathe.
Opulence des mots
Publié le 18/04/2024
Un coucher brodé de mots cousus de fil d’or. Précieux trésor qui s’assoupît dans les draps de satin d’une poésie riche et généreuse. Qu’il fait bon s’oublier dans tes inspirations passionnées…
Chapeau-claque
Publié le 18/04/2024
Rien que le titre est une merveille. Il précède une symphonie poétique faite de mots éphémères qui peuplent des songes malmenés qui semblent bien illusoires. A de suite sur ton autre poème qu’il me presse de découvrir.
Rouge à la gorge
Publié le 18/04/2024
De nouveau l’humanité prend sa place et livre ses failles. L’humain torturé et accablé de ses maux les plus vifs, livre dans ta poésie toute sa vérité désemparée de l’instant. C’est ce qui le rend émouvant et sensible, porté par des mots sincères…
Laminoir à paroles
Publié le 18/04/2024
Ce n’est pas souvent que l’humain prend sa place dans ta poésie, lui préférant souvent les images fortes et évocatrices qui font pulser le cœur de ton imagination et par la même occasion celle du lecteur conquis. Cette femme intrigue et donne l’envie de se faire conter son histoire mystérieuse, si seulement le laminoir n’avait pas tu ce qu’il restait à raconter… merci pour ce nouveau profond poème.
Carthage
Publié le 16/04/2024
Merci Léo ! un magnifique et profond commentaire qui définit à merveille cet art de l'instant et de l'éternité, qu'est la poésie. Et quelle extreme finesse d'alanyse, ta remarque sur le passage de l'étincelant au chancelant Oui tu me révèles à moi-meme: je suis ce chasseur d'instants qui cueille des bulles de savon. La légèreté des mots ressemblent parfois à des bulles de savon. En somme mon art poétique pourrait se résumer ainsi: crever des bulles de savon. Merci encore de tout cœur, Un chasseur de bulles n'a pas besoin de filet comme un chasseur de papillons, mais il lui faut des souffles et l'eau d'une étoile. Très cordialement; F.Etienne
Sphinx - Une histoire du Sunset Palace — extrait—
Publié le 16/04/2024
Parfaitement ignorant du "monde de la nuit" (qui ne m'a jamais attiré), je retrouve bien des attitudes de certains ados (classe d'âge que je connais, par contre !), et là... je lis l'histoire jusqu'au bout :-)) Donc, merci pour cette plongée dans leurs univers plus ou moins artificiels et obsessionnels, attendrissants parfois ! Par contre, si je peux me permettre, le style est alourdi par des répétitions trop nombreuses. Ex : je ne traînerai "plus jamais" avec Sarah. Elle ne voulait "plus me voir" mais maintenant, c’est moi qui ne veux" plus jamais la voir".
LA VESTE
Publié le 16/04/2024
Merci beaucoup, François, pour la " belle écriture".Peut-être tout simplement une sorte de poésie urbaine inspirée par ce monde qui joue, sans très mauvais jeu de mots, les montagnes russes...
Carthage
Publié le 16/04/2024
Lorsque la beauté étincelante devient chancelante jusqu'à s'éteindre.... il y a beaucoup d'émotion comme toujours dans tes poèmes. Il y a la flamboyante et la toute puissance de la vie et derrière toutes les failles et la fragilité de ce qui peut disparaître à tout jamais et à tout moment. La poésie n'est jamais aussi belle que lorsqu'elle consacre la beauté de l'éphémère... merci Francis Etienne.
Sphinx - Une histoire du Sunset Palace — extrait—
Publié le 16/04/2024
Quelle plaisir de te revoir et de te relire. Merci pour tout ton talent et encore plus d'avoir honoré par ta participation l'atelier d'écriture. C'est un texte brillant et quelle habileté d'avoir défini le seuil comme celui d'une boîte de nuit et pour grandir toute l'expertise d'un physionomiste. C'est un texte qui devrait être donné à lire à toutes les jeunes filles qui deviennent jeunes femmes et qui construisent souvent leur identité sur les autres et surtout les plus populaires. C'est intelligent et pédagogique et ta qualité narrative que je connais depuis le début de ce site confirme tout ton talent à embarquer avec toi et à faire réfléchir sans que l'on s'ennuie une seule seconde. Merci encore et encore pour cette belle participation.
LA VESTE
Publié le 15/04/2024
Étrange texte entre la litanie le merveilleux qui reflète bien les courants de pensée de notre temps, où se mêlent des désirs, des refus, des revers, et la dissolution d'un monde de bric-à-brac. Le style, étonnant, fait un lointaine écho au rondeau de Clément Marot par exemple, mais dans un autre registre poétique. Belle écriture. Francis Sicard
Fantômes d'astres
Publié le 14/04/2024
Merci Léo, Comme tu exprimes avec vigueur la force de la poésie ! c'est un bonheur de partager ces instants entre deux lignes et la vitrine d'un sonnet avec quelqu'un comme toi ! Bien sûr on flâne dans les mots comme les promeneurs d'un parc où se croisent la ville et sa bonne société. La Poesie est voile de soie posée sur la réalité, A sa caresses le monde s'immobolise sous les cendres d'un volcan: notre cœur. Je n'imaginerais pas pouvoir faire autre chose que d'écrire, car j'ai le plaisir de dévoiler. Merci encore mille fois pour tes mots, leur fidèle regard et pour un tel commentaire née d'une âme qui pense. Cordialement, F.Etienne Je publie ce soir une autre page, que je t'offre.
Fantômes d'astres
Publié le 14/04/2024
Ce que j’aime dans la poésie c’est cette capacité parfois par des images fortes et puissantes de s’affranchir de la condition humaine pour s’élever à bien plus grand et dans ce cas précis aux errances de l’univers. C’est tout là-haut et pourtant et c’est pour cela que nous éprouvons des émotions à la lecture, c’est toujours tout à fait nous : entre ombre et lumière, entre beauté et laideur, entre douceur et violences… c’est une sacrée construction et j’e t’en remercie de la partager avec-nous.
Pour le reste, c’est vous qui savez.
Publié le 14/04/2024
Un texte court mais qui soulève de grandes questions. Il semble effectivement que nous soyons plus empathiques avec les personnes proches plutôt que dans un second cercle ou même des inconnus. I je me dis comme toi que se poser la question et de se remettre en question est déjà un réflexe humain, et que si on prend notre part d’action alors effectivement il y a moins à regretter sachant que nous ne pouvons absolument rien contre l’arbitraire. Merci pour ce texte Patrice.
Aux basses rives du Styx
Publié le 13/04/2024
Cher Léo, merci beaucoup pour avoir réagi aussi rapidement et aussi efficacement à ce problème informatique. Désormais je pourrais publier, j'ose espérer quotidiennement, un texte, un sonnet ou peut-être une nouvelle dans le cadre des ateliers d'écriture. Merci encore de tout cœur, car publier sur ton site, le peuple des mots, me procure beaucoup de joie, puisque le partage des textes, est essentiel pour moi et peut-être intéressant pour certains lecteurs. Merci encore de tout cœur cordialement, F Étienne
Pierre et silence
Publié le 13/04/2024
Cher Léo merci beaucoup pour ce nouveau commentaire qui décrit exactement la tonalité de ce sonnet. Je suis toujours très touché par ta profonde compréhension de ma forme de poésie et surtout très touché par ta fidélité à en commenter les impressions perçues. Je saisis l'occasion de te remercier pour avoir mis les mains dans le cambouis en soulevant le capot de la machine informatique et pour m'avoir permis de publier désormais régulièrement, ce que je pense faire quotidiennement, si cela n'encombre pas ton site. Merci encore poursuivre avec autant de minutie et d'enthousiasme chacune de mes pages. Très cordialement, F Étienne
La fillette aux éclats de vers
Publié le 13/04/2024
Merci Jean-Luc, Gisèle était très fragile et a mis fin à ses jours. Ton dernier texte "Les confins" donnent de l'écho à cet hommage que je lui ai rendu, si seulement elle avait pu ne rester que sur les voix les plus bienveillantes. A plus tard.
Aux basses rives du Styx
Publié le 13/04/2024
Bonjour Francis Etienne, après avoir regardé de plus près sous le capot il y avait bien un bug concernant ton code d'activation, la situation devrait être arrangée à présent et tu ne devrais plus avoir de limitation pour publier davantage de textes.
Galère fiscale et injustices municipales dans l’Haïti d’avril 2024
Publié le 13/04/2024
Il faut être résilient en Haïti pour être citoyen à part entière et à tous les niveaux de l’administration. Et puis il y a aussi en matière de fiscalité une forme d’universalité, car tous les pays semblent compter dans ses rangs politiciens des politiques qui ont au mieux du dédain et au pire une réelle aversion vis à vis de la fiscalité…
Aux basses rives du Styx
Publié le 10/04/2024
Titus Groan succulent, un étrange récit dans un monde de rêves et de surprises. Je vous encourage à lire la trilogie. Cordialement, F Etienne
La fillette aux éclats de vers
Publié le 10/04/2024
Je n'avais pas capté l'existence de ce très beau texte, jusque là, mais je ne regrette vraiment pas de le découvrir même tardivement ! Le titre, les mots, les idées... tout y est d'une grande délicatesse. C'est d'autant plus émouvant que même sans connaître la personne ici honorée, j'arrive à partager ton émotion en même temps que je peux penser à un ami récemment décédé et pour qui tes mots colle autant à merveille. Merci Léo
Aux basses rives du Styx
Publié le 10/04/2024
merci pour les références d'ouvrages et d'auteurs. Je les note, et peut-être que d'ici l'été je trouverais un moment pour me lancer dans une telle lecture :-)) Titus Groan risque d'être l'heureux élu, dans ce cas !
Aux basses rives du Styx
Publié le 10/04/2024
Cher Léo, Encore une fois je te remercie pour ce commentaire qui souligne avec une profonde sensibilité à l'écriture non seulement la première partie du texte comme étant un décor mis en place avec beaucoup de réalisme, mais encore pour ta finesse à reconnaître un style qui m'est il est vrai assez particulier ou personnel. La nouvelle est un genre qui m'intéresse énormément, car en complément de la poésie, elle permet de mettre en scène n'importe quel élément de la vie, de l'imaginaire, ou de l'horreur comme c'est le cas dans ce texte. Je trouve dans la composition d'une nouvelle beaucoup d'éléments d'écriture, qui contraignent l'expression à sa plus précise maîtrise. Comme le sonnet, elle exige la rigueur, en limitant le champ de création à des moyens très réduits, ce qui oblige le compositeur à utiliser beaucoup plus la couleur des mots, et leur assemblage pour créer le relief et la profondeur, que la résonnance d'une compréhension intellectuelle et temporelle du texte. Merci encore pour ce magnifique commentaire. Il semble toujours toutefois que j'ai des problèmes pour publier de nouveaux textes, car le code que tu m'avais donné ne fonctionne plus du tout. Devrais-je remplacer par un nouveau code que tu me donnerais, ou dois-je attendre une semaine pour publier les prochaines textes ? Merci encore de tout cœur et à très bientôt, pour l'instant à la semaine prochaine si je ne peux pas continuer à publier cette semaine. Cordialement, F.
Aux basses rives du Styx
Publié le 10/04/2024
Cher Jean-Luc, Encore une fois merci pour votre commentaire, qui détaille exactement vos impressions en face de ce texte que vous définissez avec beaucoup de justesse. Il est vrai que c'est un style dans lequel quelquefois j'engage mon écriture. Il m'est nécessaire d'assouplir mon outil en explorant des univers littéraires très différents. Il n'y a pas de limite à l'exercice de l'écriture, et chaque page me contraint à affiner, aiguiser, et ajuster la pression de la plume au plus juste. Je dois dire que je suis un lecteur d'Edgar Poe mais aussi d'autres auteurs anglo-saxons, qui se sont aventurés dans l'étrange, comme par exemple Sheridan Lefanu, dont dont je vous conseille la lecture de : In a glasss darkly. Mais il y en a bien d'autres comme par exemple Wilkie Collins ou Merwyn Peak et son étrange Titus Groan. Je suis très curieux de découvrir comment se fabrique l'étrange et au-delà la trame d'une forme de frayeur animale. Encore une fois merci pour votre retour sur ce texte et je l'espère à très bientôt. Cordialement vôtre, F Étienne