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Publié le 11/08/2024
Je viens de lire ton commentaire ! Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! J'y ai ajouté une réponse. Régulièrement, je plébiscite le site sur ma page FB. ;-)
Ambre gris
Publié le 11/08/2024
Je découvre avec plaisir et émotion même, l'analyse que tu as faite de mon roman "Ambre gris". Tout d'abord, merci Léo pour ta lecture de mon récit et la chronique que tu en a fait, en plus de l'achat du bouquin ! ;-) Suite aux retours que j'en ai, dont le tiens, il me semble que ce sont les lecteurs qui écrivent mon livre. Ils y mettent leur vécu, leur vie, leur sensibilité que simplement, mes mots ont réveillé. Encore merci, cher Léo !
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Publié le 11/08/2024
Salut Patrice, tu trouveras dans la partie bibliothèque ton livre que j'ai chroniqué. Oui ça avance bien et cela devient un endroit où l'on va se sentir de mieux en mieux. Côté promo pour faire connaître le site ce sera fait après les derniers développements évoqués; mais tous les auteurs déjà présents et inscrits peuvent déjà le recommander à d'autres passionnés d'écriture ou de lecture.
Vies, sentences et doctrines des sages imaginaires
Publié le 11/08/2024
Merci pour ce complément d'information, oui la poésie n'est pas simple à commenter et tout le monde n'y est pas forcément réceptif, c'est beaucoup d'émotion et parfois comme une toile de peinture abstraite, ça nous parle et les images nous évoquent des sentiments dans lesquels puiser pour exprimer son ressenti. A plus tard.
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Publié le 11/08/2024
C'est super ! Le site est vraiment bien. Il faudrait trouver le moyen de le faire connaître. Bravo en tout cas et merci ! Ipagination reste un refuge important pour moi. Il a été essentiel et le sera peut-être encore. ;-)
Vies, sentences et doctrines des sages imaginaires
Publié le 11/08/2024
Hello Léo, c'est bien la première fois que je chronique un livre ou que j'en parle plutôt. Je te laisse m'expliquer comment tu envisages la différence entre les deux car perso, je ne la mesure pas. Pour moi, ce pastiche n'est pas un essai philosophique. Je parie que ce livre te plaira si tu l'envisages plutôt comme un recueil de fables et peut-être l'aurais-tu publié ainsi. Enfin, si mon commentaire suggère un chemin escarpé et plein de ronces, je garantis que l'ouvrage peut être lu par tous comme Candide de Voltaire. Pour moi, c'est une lecture d'été qui ne nécessite pas de travailler avec un dico à côté. L'autre livre de Dall Aglio que j'avais lu (Une Rolex a cinquante ans: a-t-on le droit de rater sa vie?) me semble accessible clair tout en demeurant d'une belle efficacité démonstrative. Bref, je trouve là une littérature de qualité. Pour ma part, je reconnais un vrai philosophe doublé d'un bel écrivain. J'admire franchement la rigueur, la concision et le style.. bref. J'aurais aimé m'exprimer ainsi. En plus, il n'y a rien chez lui de ces "essais philosophiques" qui dessèchent là où l'on attend la vie. Ça parle de la vie. Aucune ressemblance donc avec celui que ma concierge prend pour un philosophe, les journalistes pour un philosophe et les philosophes pour ma concierge. En bref, je crois qu'il existe un gros malentendu sur "les essais philosophiques". Pour ma part, en toute honnêteté, j'éprouve une grande difficulté vis-à-vis de la poésie qui ne m'est pas facilement accessible. Ce n'est pas faute d'essayer ce genre d'itinéraire exigeant mais pour moi, c'est encore du niveau de la piste noire au ski... ^^^ Enfin, pour revenir aux éditions Ipagination: je débarque alors il me manque l'historique. Je perçois quelques bribes de vos expériences passées au travers des allusions de Vivi ou de Fabien mais c'est tout...
Cycles Amoureux - Extrait - Le temps de se rencontrer - 46
Publié le 11/08/2024
Re-bonjour et bienvenue! Pardon, je n'ai pas lu dans l'ordre de publication... Entre le "taureau de féria" et le "petit Saint-Bernard en colère" nous avons deux beaux daimons d'amoureux (au sens de l'histoire de la Croisée des Mondes) dont on a envie de savoir s'ils sont bien "stabilisés". L'image de la "princesse ancienne" me plaît beaucoup, j'imagine que le héros "saigne" sur un texte indéchiffrable et précieux dans une graphie ancienne qu'il faudrait manipuler avec une extrême précaution par peur que tout ne tombe en poussière entre ses mains. Pour la langue ancienne autant que pour les persiennes: le sésame ne s'ouvre pas facilement car c'est difficile d'interpréter les signes. Le "je vis heureux à ta fenêtre mais je veux rester dans ton coeur" est une formule simple, belle efficace: le graal pour qui veut écrire simplement. Bref, c'est joli, bien écrit et agréable à lire. Mention particulière pour les "adresses". Je trouve que c'est vraiment ce qui donne envie de lire ce type de poème comme pour les poèmes de Catulle. Nous voulons connaître les caractères.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 11/08/2024
C'est beau à lire, de mon côté, les thèmes, les niveaux de langue et la diversité des inspirations ne me choquent pas. En revanche, je suis désorientée par l'usage des pronoms dans le texte car en tant que lectrice, c'est ce qui peut me désorienter. Vous ajoutez tout doucement de l'harmonie lorsque vous passez de "je" sur une strophe à "nous" d'une strophe à l'autre quel que soit le temps. Je me sens plus désorientée face à une strophe de "méta" par exemple: "que les vers dévorent cette goule muette" surtout si cette strophe glisse à la suivante vers l'évocation"elle serait là" alors que je m'apprêtais à mieux connaître ce "tu" qui était présent auparavant "tes pâleurs..." Bref, je ne m'en cache pas, cette fille, j'aimerais bien savoir qui c'est. Malheureusement peut-être à cause de "j'aimerais l'oublier tout à fait" vous nous le refusez un peu même si après vous la convoquez "elle serait là" mais nous ne la connaissons pas davantage. Soit vous l'oubliez mais alors c'est triste car vous n'en parlez pas soit vous la rendez présente mais il est certain que vous ne l'oublierez pas. Enfin, je trouve davantage une variation lunaire "J'oublierai tout de toi...." (éclipse) jusqu'à "prendrais-je de nouveau la voie de sa maison" (quartier) qu'une variation sur Vénus. À bientôt de vous lire.
Irréfutable essai de successologie
Publié le 11/08/2024
Un sujet très actuel dans lequel Narcisse aurait également succombé. C’est une très belle chronique qui donne l’envie de découvrir cet ouvrage.
Vies, sentences et doctrines des sages imaginaires
Publié le 11/08/2024
Je découvre avec plaisir ton talent de chroniqueuse et cela m’encourage aussi à partager d’autres lectures également. Je vais voir pour apporter une modification concernant la notation car on pourrait penser que c’est pour noter la chronique alors que c’est pour noter le livre, et voir aussi pour être notifié des nouveaux commentaires par mail. Pour en revenir à ta chronique, elle exprime également la grande difficulté que j’ai à la lecture également des essais philosophiques. Veux que nous avions édités chez IPagination se devaient d’être accessibles, ce qui n’empêchait pas la rigueur de la démonstration de la pensée. Je pense que ça ne vaut le coup que si c’est destiné à être partagé avec le plus grand nombre, sinon, c’est un peu écrire pour soi.
44 Scotland Street
Publié le 10/08/2024
Une chronique qui éveille la curiosité, merci du partage Myriam.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 10/08/2024
Bonjour et merci Enki, au plaisir de vous relire plus tard.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 10/08/2024
Bonjour Léo, Je pense effectivement que la gestion de l'hétérogénéité (des thèmes, des inspirations, des niveaux de langue etc.) est un des point à travailler ; mais je suis sur là bonne voie. Je posterai un extrait de chacun de mes recueils, dès que ça me sera possible. Belle journée à toi, merci de ces retours.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 10/08/2024
Je le trouve plus travaillé que le précédent et je trouve de belles images comme les vers de poésie qui suturent ainsi que les humeurs sèches dans le feu de bois. La souffrance terrestre et donc humaine est bien rendue et je trouve que les références mythologiques grecques et romaine puis plus loin encore judaïque comme pour le poème précédent (multiplicité des temps conjugués), déstabilisent et font rebondir l’esprit de telle sorte qu’il ne plonge jamais véritablement dans le poème proposé. Vous en avez de toute évidence sous la semelle poétique et j’espère pouvoir découvrir prochainement de nouveaux poèmes de vous. Encore merci pour votre confiance.
Cycles Amoureux - Extrait - Le temps de se rencontrer - 46
Publié le 10/08/2024
Bonjour et bienvenue Enki et merci de partager avec nous vos poèmes. Le début de votre poème est très animal et fait part d’une grande souffrance dont l’amour en est souvent la prescriptrice. Et parfois le te temps et une sincère repentance règle bien des choses. J’ai été assez déstabilisé par l’usage de trois de temps de conjugaison différent. Je file découvrir votre second texte.
On ne s'est pas embrassé
Publié le 08/08/2024
Tout est clair dans ton texte (voir le commentaire plus bas). Je ne suis simplement pas douée avec les romances mais c'est une infirmité somme toute anecdotique dans un monde qui lit beaucoup de romances actuellement. À mon avis, tu devrais prêter attention à l'opinion de quelqu'un qui comprend ce type de texte (et ce type de situation)^^^.
On ne s'est pas embrassé
Publié le 08/08/2024
En fait, je crains de ne pas être capable d'écrire quoi que ce soit d'autre. Mais je ne me plains pas. C'est mieux que rien. Merci pour ta bienveillance comme toujours. ;-)
L7PC 5 : Avarice
Publié le 08/08/2024
Bonjour Leo! Merci pour ta lecture, ton retour et tes encouragements à poursuivre. Dans ton sujet, « la vertu qui reste une vertu même en excès » est presque une énigme de sphinx. A bientôt de te lire également. Bonne semaine.
L7PC 5 : Avarice
Publié le 08/08/2024
Si au départ on sentait bien que l’histoire se cherchait, la voici sur de bons rails, et les épisodes se succèdent à présent avec une belle fluidité. Je te dis bravo également car les péchés capitaux ne prennent pas le devant de la scène et c’est bien l’intrigue qui mène le lecteur dans un suspens grandissant. Qu’adviendra t-il des différentes relations, vivement la suite pour le savoir. Merci pour cette belle participation Myriam.
L7PC 5 : Avarice
Publié le 08/08/2024
Hello, voici comment je fais (mal): je frappe au kilomètre dans "word" puis je mets en forme facilement. Je passe tout sous Antidote mais je ne prends pas le temps de vérifier les formulations dans le Grévisse. La mise en forme des dialogues se fait rapidement tout comme celle des citations sur Word mais je ne la retrouve plus à l'arrivée sauf si je transforme en pdf. Alors là, je regarde le résultat publié et oui, je constate que ça ressemble à un gros bloc informe et j'en suis désolée. Je demanderai à mon mari de se pencher sur cette mystérieuse conversion de fichier à moins qu'il me dise selon son expression que j'ai une version de logiciel "codée avec les pieds". Il faudra que je comprenne ce qu'il se passe avant de republier ici. Pour le temps imparti, il m'est impossible d'enlever les scories de ce texte plus rapidement et j'écris avec des conduites d'approche très pénibles. Pour cette raison, j'entre dans cet atelier avec une blouse et les mains sales et un rendu plutôt "salopé" en franche terre glaise, ça m'évoque un tour de potier. Bien sûr, pour moi, ce qui reste dans un atelier n'a pas vocation à être exposé dans une galerie d'art même si ça doit être lisible. En tous cas, j'ai réussi à boucler cette histoire de 7 péchés avant-hier... Pour faire clair, c'est racontable, partageable mais malheureusement non publiable dans le temps imparti... Merci pour ta lecture et ton retour. Je procède aux corrections nécessaires le plus rapidement possible et je vais voir si j'arrive à sauver ma mise en page la prochaine fois. Si c'est le cas, je fais sauter le champagne! À bientôt de te lire.
On ne s'est pas embrassé
Publié le 08/08/2024
La pression du premier baiser qui semblait conditionner toute la suite y est assez bien retranscrit, et puis le fameux cinéma avec cette pénombre permettant de ne pas se sentir trop gauche, profitant d’une ambiance intime. Tu es à l’aise sur ces récits qui te réussissent très bien Patrice, à plus tard.
On ne s'est pas embrassé
Publié le 08/08/2024
Oui. Sans doute la dernière génération n'agit plus comme la mienne. Il ne s'agissait que d'un extrait qui ne précisait pas l'époque. Je veillerai à ce que ce soit clair. ;-) Merci !
L7PC 5 : Avarice
Publié le 08/08/2024
Il y a plein de choses succulentes : "Chacun existe comme il le peut, personnellement, j’ai choisi de conquérir un semblant d’existence en râlant par combiné interposé." par exemple. Un délice ! Comme toujours, il y a des fautes et des négligences. N'oublie pas que le lecteur doit comprendre. Insérer un dialogue sans les signes conventionnels n'est rien moins qu'une torture vis-à-vis de qui te lit. Je trouve aussi qu'il y a peut-être un manque de concision. ("Réponse de la bergère au berger. Les tourtereaux s’accordent sur un point : éviter le sujet de l’infidélité. À aucun moment, il n’est question de rupture, la vérité serpente sous un réseau de soie arachnéen.") Je crois en comprendre la cause. Lorsque je tiens une idée, je l'exploite et, en général, je la surexploite. Il faut ensuite réorganiser les choses pour que le sens soit limpide et retirer l'excès de graisse aussi sinon le trait de génie se noie dans la redondance et les qualificatifs débilitants. Sinon, je me réjouis que tu te sois intéressée à la crise grecque. Le nom de Schauble n'est pas si illustre. Un Belge sur mille le connaît. Merci pour cet excellent texte donc qui aurait encore gagné à avoir une forme plus soignée.
On ne s'est pas embrassé
Publié le 07/08/2024
Hello, oui ma remarque peut sembler naïve mais j'essaie seulement de comprendre ton personnage que je trouve anxieux. Par ailleurs, d'une manière plus générale, j'ai l'impression que le "est-ce que je peux t'embrasser" devient une norme de plus en plus répandue pour éviter ce genre d'angoisse et enfin pour éviter toute "zone grise". Les ados que je croise lisent et parlent beaucoup du "consentement" et un "consentement" se verbalise, ils ont raison, c'est logique. Je n'ai jamais entendu parler de consentement ado dans les années 90. Comme tu dis, ce sont deux cultures différentes.
On ne s'est pas embrassé
Publié le 07/08/2024
C'est marrant ! Pourquoi il ne lui demande pas ? Mais parce que c'est très dur de verbaliser tout ce qui tourne autour du couple, non ? En tout cas pour ma chérie et moi, ça l'est. Ça ne se fait pas de demander "ça te dérange si je te roule une pelle ?" ou encore "Aujourd'hui j'aimerais qu'on le fasse comme ceci ou comme cela." Ce n'est pas dans ma culture. Je ne dis pas que ce n'est pas bien. J'ai un avis là-dessus, mais je dis pas que c'est une mauvaise idée. C'est juste inaccessible pour nous. En ce qui nous concerne, c'est la verbalisation du désir qui est extraordinaire. Merci pour ta lecture et ton commentaire ! ;-)
On ne s'est pas embrassé
Publié le 07/08/2024
Bonjour, alors c'est plus fort que moi mais à la lecture, ton narrateur me fait penser à Antoine Doinel dans "Baisers Volés", en tout cas, je l'imagine comme ça. Particulièrement pour les expressions comme "ridicule, grotesque, éliminatoire" comme s'il risquait une erreur fatale. L'histoire ne dit pas s'il répète devant une glace le nom d'Ana comme Antoine qui répète "Fabienne Tabard" et "Christine Darbon". Les règles qu'invente ton narrateur me semblent drôlement limitantes " À 16 ans on s'embrasse dans un ciné, à 36 je serais passé pour un attardé". Ça me semble tellement bizarre, on a l'impression que les personnages jouent des rôles très définis comme au tango et que ton personnage craint un faux-pas amoureux comme un faux-pas social. "Elle aurait mal pris que j'essaie, j'ai pensé": mais pourquoi il ne lui demande pas tout simplement son avis? Mystère.
Nostalgia
Publié le 05/08/2024
C'est vrai que Obama a beaucouup de classe, et a beaucoup fait pour son pays. Je ne cite que les monstres dans mon textes: Bush, Trump deux grands tarés à la tête d'un grand Etat.
Nostalgia
Publié le 04/08/2024
Coucou Salima, je suis moins enthousiaste que mes amis après avoir lu ton texte.J'ai l'habitude de dire assez franchement ce que je pense. Sinon, à quoi bon ? Je pense qu'écrire un texte qui appelle à arrêter la guerre, c'est un peu comme enfoncer une porte ouverte, c'est presque servilement accommodant. Et puis, égratigner Bush ou Trump n'est non plus pas inédit. Ces gaillards-là se sont faits démonter par les médias à longueurs d'années, même si, entre parenthèses, le gentil Obama, nettement moins tancé, a fait plus fort que les précédents en terme de tonnage de bombes larguées. Ensuite, il y a quelques jolies formules comme "Des fleurs de toutes les couleurs, Des animaux de toutes les douceurs" et on se demande que vient faire le mignon dans un texte qui, me semblait-il, se voulait une révolution, un cri, un désespoir. Bref, je pense que ton texte a un peu le cul entre deux chaises. Soit il est trop développé pour exprimer le cri tourmenté que je crois à la base de l'écriture de "Nostalgia" soit il ne l'est pas assez car il additionne les lieux communs. Ceci dit, je ne suis pas "famous" comme disent les Anglais. Ce n'est que mon avis. J'espère qu'il sera constructif. ;-)
Nostalgia
Publié le 03/08/2024
Personnellement, j'aime bien: "Inspirez-vous de la nature, des fleurs de toutes les couleurs, des animaux de toutes les douceurs". Ça manque de douceur autour de nous... et de temps également. Le temps me semble nécessaire à l'éloquence.
Nostalgia
Publié le 03/08/2024
Il y a de nombreuses choses dans ton texte qui se bousculent et qui imagent bien le trop plein du trop plein, il y a de belles trouvailles avec busherie, trumperie et in sectes... et je retiens ce beau passage : Un peu d'humilité dans tes propos Et tu auras l'éloquence de tes propres mots". A plus tard Salima.