C'est une belle histoire ; ça sent le vécu..... d'une vie antérieure :-))
Il n'y a que la dernière phrase qui me gène un peu. Elle est moins aboutie. Ce serais sans doute plus joli en remplaçant le "puisque" par une ",". Et avec un point après "lettre. Comme je ne comprends pas "et à l'heure où je les écris" (à quoi se réfère les "les""?), je terminai par la courte phrase "J'espère que tu ne douteras pas des mots que j'y ai mis."
ou alors quelque chose du genre : "Mais voilà, ça ne se produira pas. Je suis décédé avant d'avoir écris cette lettre, avant que tu ne la lise. J'espère que tu ne douteras pas des mots que j'y ai mis".
Juste un avis, bien sûr
C'est le maître mot en ce qui te concerne. Je ne suis pas très fier de tout ce que j'ai écrit pour ce défi mais comme tu le dis, je suis arrivé au bout et c'était une gageure car le temps me manque. Merci encore pour tous tes encouragements ! Il n'y a plus qu'à espérer, qu'en plus des défis, de nouveaux textes apparaîtront sur ce site qui est presque un peu devenu ma famille et qui j'espère s'agrandira durant la saison à venir. ;-)
Bravo, mille bravos Patrice. Tu es allé au bout et comme je le disais précédemment, ce n'est pas donné à tout le monde. Cette idée de Fabien avec ces nombreuses étapes est effectivement très adaptée pour tenter l'aventure au long cours. Pour cette fin, même remarque que la fois précédente concernant Tutal, et puis un grand bravo pour cette fin caverneuse qui m'a replongé dans les magnifiques aventures d'Indiana Jones, et un livre précieux s'avère effectivement être un magnifique trésor qu'il valait le coup de découvrir. Après l'environnement avec Jean-Luc, c'est donc la culture grâce à toi qui montre à quel point qu'au delà des pièces et autre lingots, c'est ce qui ne saurait avoir véritablement de prix qui est finalement le plus précieux. J'espère que cette aventure te donnera du coeur à l'ouvrage pour poursuivre ton projet personnel, à la condition bien sûr qu'il ne te fasse pas plus de mal que de bien. Bien à toi très cher Patrice et grand MERCI. A suivre par mail, le code qui te permettra d'activer le compte mécène que tu mérite d'avoir bien au delà du défi relevé, merci de ton altruisme, de ta fidélité et de tes mots que tu partage avec nous. A plus tard.
Oui, je veux bien te croire. Et oui, il faut du temps. Mais il faut aussi des échéances. Je viens du monde de la musique. Si les Beatles avaient eu 5 ans pour enregistrer "Please please me", le groupe n'aurait jamais existé. Une fois de plus c'est une question d'équilibre. Sortir le fond avec la spontanéité et retravailler le fond sans abîmer cette spontanéité. Je ne manquerai pas de publier ici des extraits de mes avancées... après qu'elles aient été retravaillées. ;-)
Les mots qui te manquent aujourd'hui, couleront de ta plume demain. Enfin, il convient je crois de rester simple dans ce que l'on écrit, (simple qui ne veut pas dire simpliste). et puis enfin, ne pas s'isoler avec son texte, le faire lire, et accueillir les critiques constructives. Et puis prendre son temps, rien ne presse..
Mon cher Patrice, eh oui écrire n'a rien de facile, le fond, la forme, la densité, etc. Je suis sorti épuisé de la rédaction de "Chemins de plomb". Tout du long, ce ne fut que bataille avec les mots, les idées. Alors quelques conseils jetés comme ça. Déjà ne rien lâcher.. Le texte que l'on écrit, à force de relecture et de réecriture, on l'aime autant qu'on le déteste. Il faut prendre de la distance sur ce que l'on écrit. Faire une ou deux relecture des passages et mettre le tout dans un tiroir. Tu liras ces passages plus tard d'un oeil nouveau. Ensuite, on bute tous sur des idées que l'on n'arrive pas à traduire, à synthétiser. Dans ce cas, là aussi, le temps reste ton allié
Cela me rappelle une chanson de Caroline Loeb "c'est la ouate", auquel cas c'est un chouette clin d'oeil. Il est vrai que tu gagnes en sens de la formulation, ta prose prend de l'épaisseur, ta patte s'affirme, et ça s'est vraiment très bien. L'humour que tu y mets fonctionne aussi très bien. Ensuite, je rejoins un peu les derniers commentaires sur Total, Un passage qui supplante un peu l'intrigue de départ. En revanche, ce passage est bien écrit, les joutes verbales dans les dialogues sont de belles factures, et ce n'est jamais évident à créer. Bravo
aurais-je le temps de lire ton texte dans son intégrité. Je le suspecte d'être bien plus rigoureux que le mien et bien plus constant. Parfois j'étais assez heureux de mes trouvailles, parfois pas. En attendant, merci de m'avoir lu et du coup, soutenu. Et d'une façon ou d'une autre, un exercice est toujours constructif, je te rejoins là-dessus. ;-)
Que d'imagination, et toujours de jolies tournures semées tout au long du récit, comme une invite à découvrir sans cesse la suivante.
Pour l'écriture d'un autre récit, je suis tenté de dire que cette ipaginaventure est un excellent exemple de ce qu'il faut faire : se fixer des étapes. Ne jamais s'en écarter et s'obliger toujours à les faire au fur et à mesure, avec la même constance. J'ai beau écrire des centaines de pages pour mon boulot, cela reste de l'écrit technique en général, ce qui me permet de changer fréquemment de sujets. C'est pourquoi cette affaire de trésor, même si je n'aime pas les trésors ( oups ! ;-) à Fabien, mais je n'aime pas non plus le père Noël, les fées et les super-héros, sauf s'ils me font vraiment rire) je l'ai prise très au sérieux, pour reprendre le rythme des écritures longues, avec les nombreuses contraintes qu'il faut s'imposer. Et pour apprendre aussi à essayer d'écrire autrement que dans la souffrance ou dans la délivrance. Le plus amusant, c'est que j'ai quand même craché mon venin quand il me brûlait la langue :-)) Mais je maintiens que c'est un bon exercice à refaire, et je pense qu'ensuite, le récit autobriographique (Zut, une coquille. Non, je la laisse car il est bien ce lapsus, prémonitoire ?) s'imposera plus logiquement, avec une démangeaison de plume qui permettra d'aller jusqu'au bout.
Je voulais remercier ici tous ceux qui d'une façon ou d'une autre m'ont poussé à rédiger cette histoire. Fabien, Léo, Jean-Luc, Allégoria, Véronique,... Je voulais aussi expliquer pourquoi j'ai poursuivi la création de ce récit. Depuis quelques mois, je tente d'écrire un récit autobiographique. Mais en juillet, la tâche s'est transformée en enfer et je crois que dire que je commençais à perdre la raison n'est pas exagéré. Grâce à mon amoureuse et à ma décision de suspendre le projet, j'ai pu refaire surface. Grâce aussi un peu grâce au défit d'Ipagination. Ensuite, c'est un peu enfantin, mais je me suis dit que si je ne parvenais pas à terminer "L'île Maurice", je ne parviendrais sans doute jamais non plus à conclure le roman entamé. Malgré des contraintes qui étaient aux antipodes de mon potentiel, j'ai donc voulu finir. Je vous demande pardon pour les nombreuses maladresses qui ponctuent cette histoire mauricienne. Et je vous embrasse toutes et tous !
N.B. Il est donc possible que je puisse terminer ce qui devient petit à petit l'une des priorités de ma vie.
Merci Fabien ! Oui, beaucoup de contraintes. Je ne suis pas sûr que ce soit le lot de tous les écrivains. Peut-être. ;-) Mais c'est intéressant. En fin du dernier épisode, j'ajouterai un commentaire pour répondre justement à ce côté contraintes et à pourquoi je les accepte. ;-)
Eh bien Barbara et Josiane nous offre d'être un duo féminin sensuel et nous verrons par la suite, peut-être plus que sensuel.. sourire. J'aime beaucoup ton imagerie globalement, je trouve que tu la maîtrise de mieux en mieux. Tes incises sont plus percutantes mais tu en gardes sous la pédale. Tu es plus concis sans l'être trop, et c'est une bonne chose. Et c'est une bonne idée cette idée à la jeux de 20 heures, avec ce ni oui ni non. Je suis très content de te voir participer. Ce concours n'est pas simple, il implique beaucoup de posture au travail d'écrivain, s'adapter, se plier aux règles, créer de l'intrigue. etc. Toutes ces petites montagnes à gravir qui sont le lot de tous les écrivains. Un grand Bravo Patrice
Merci beaucoup pour cet encouragement, Jean-Luc. Par paresse et manque de temps, je n'ai pas lu avec l'attention nécessaire ce que tu as créé. Je promets de le faire prochainement et de donner mes impressions en pondérant un défaut trop encré en moi, l'à priori. ;-)
j'ai eu un peu de mal avec l'affaire Total qui m'a semblé prendre plus de place que tout le reste de l'aventure. Mais par contre, j'ai toujours autant de plaisir à découvrir de très jolies formulations. Mes deux préférées : "nous avons failli demandé où était le mort, tant l'ambiance était funèbre", et "Heureusement pour moi, leur paradis et mon enfer n'ont duré qu'une dizaine de minutes"
je n'ai jamais joué à ce jeu qui consiste à parler sans utiliser un mot précis, mais le connaissant quand même, j'ai adoré son très bel usage dans les dernières lignes enter le diable et Josiane. Bien vu
Et tu as raison pour Total. En même temps, cette entreprise a fait tellement de saloperies (voir en Amérique du Sud) non connues que de dénoncer une escroquerie fictive ne peut que rétablir un tant soit peu l'équilibre. Mais tu as parfaitement raison et si je voulais être rigoureux, je changerais le nom. Peut-être en "Tatal" ;-) Encore merci pour tes encouragements qui m'aident. A la fin du dernier épisode, je reviendrai sur ton "il faut s'adapter et revenir sur sa zone de confort". Bise ! ;-)
La chute pleine de mystère ouvre une nouvelle porte très intéressante en parallèle de l'intrigue financière. J'ai juste un énorme doute sur l'emploi de "Total" dans cette affaire, car si l'entreprise s'est souvent faite remarquée sur des affaires controversées, de mémoire je n'ai jamais rien lu concernant l'ile Maurice, peut-être faudrait-il donc utiliser un autre nom ? Pour ce qui est du reste, on est toujours dans ton univers sensuel avec toujours une dose d'humour très rafraîchissante, tu as un vrai style à toi et c'est super. Je te remercie de participer mais aussi d'aller jusqu'au bout car ce défi au bon cours n'est vraiment pas facile. Il faut s'adapter et sortir de sa zone de confort et le tout dans un rythme soutenu, je ne peut dire que chapeau, ce n'est pas donné à tout le monde d'aller au bout de pareil défi. Vivement la suite et fin de cette magnifique aventure que je prends énormément plaisir à suivre... et si en plus de Josy et Barbara, une pilote venait à conquérir le coeur très généreux de notre héros irrésistible ? L'avenir nous le dira. A plus tard Patrice.
Bonsoir Patrice, quel plaisir de voir que tu poursuis cette aventure. Avec le début de cet épisode, je me dis que le Trésor des Mascareignes et cet été ont été caniculaires à plus d'un titre. Et puis derrière c'est un festival de drôlerie avec un pic de zygomatique à "Je dois avoir une langue à mobilité réduite", c'est impertinent et politiquement incorrect, mais c'est aussi le plaisir de la lecture que de tomber sur des écrits improbables. Et je ne parle même pas de l'échange téphonique avec le diable, aussi déjanté que la parodie du film américain "Scream" : scary movie. Merci Patrice pour cette suite vivante et rafraîchissante et vivement la suite.
Ah merci Patrice de l'avoir remis, c'est une superbe anecdote qui montre bien à quel point se sont les projets réalisés ensemble qui forgent de véritables et sincères relations. Tu peux tout à fait mettre ce genre de textes, tu as plusieurs genres qui s'en rapprochent : témoignage, chronique ou brève... à plus tard Patrice.
Il s'agissait d'un texte pas vraiment littéraire et donc peut-être hors propos. Je le remets ici, juste pour toi. "J'ai eu l'honneur d'accueillir Anne Alvaro pour la dernière lecture de "L'intime Festival" ! Pour l’accueillir, je lui ai dit, une fois les présentations faites "J'ai détesté votre personnage !" A quoi elle m'a répondu "Mais vous savez, j'en ai joué pas mal. De quel personnage parlez-vous ?" Surpris par la question, le temps que je reprenne mes esprits et que je dise "La professeur d'anglais dans "le goût des autres"", elle me répond "Peu importe !" Bon, l'effet escompté n'était pas atteint. Bref, j'équipe Madame Alvaro, avec un DPA et un émetteur et on commence le sound check. Elle me demande des trucs inhabituels que je fais. Les relations se réchauffent et nous nous tutoyons. Finalement, elle est très contente de mon travail et me dit - "C'est parfait, on garde ça." - "OK ! Je store dans la console", je réponds. - "vous stockez ?" - "Non, je store. Vous étiez professeur d'anglais avec Jean-Pierre Bacri, non ?" - "Oui, mais c'était pour du faux. je ne connais rien en anglais. Finalement, à la fin de la soirée, elle est venue me remercier et me complimenter ajoutant qu'on ne tarissait pas d'éloges à mon égard et nous nous sommes embrassé. Une bien jolie rencontre."
Il s'agissait d'un texte pas vraiment littéraire et donc peut-être hors propos. Je le remets ici, juste pour toi.
"J'ai eu l'honneur d'accueillir Anne Alvaro pour la dernière lecture de "L'intime Festival" ! Pour l’accueillir, je lui ai dit, une fois les présentations faites "J'ai détesté votre personnage !" A quoi elle m'a répondu "Mais vous savez, j'en ai joué pas mal. De quel personnage parlez-vous ?" Surpris par la question, le temps que je reprenne mes esprits et que je dise "La professeur d'anglais dans "le goût des autres"", elle me répond "Peu importe !" Bon, l'effet escompté n'était pas atteint.
Bref, j'équipe Madame Alvaro, avec un DPA et un émetteur et on commence le sound check. Elle me demande des trucs inhabituels que je fais. Les relations se réchauffent et nous nous tutoyons. Finalement, elle est très contente de mon travail et me dit
- "C'est parfait, on garde ça."
- "OK ! Je store dans la console", je réponds.
- "vous stockez ?"
- "Non, je store. Vous étiez professeur d'anglais avec Jean-Pierre Bacri, non ?"
- "Oui, mais c'était pour du faux. je ne connais rien en anglais.
Finalement, à la fin de la soirée, elle est venue me remercier et me complimenter ajoutant qu'on ne tarissait pas d'éloges à mon égard et nous nous sommes embrassé. Une bien jolie rencontre."
Bonsoir Patrice, j'ai eu une coupure d'internet (la fibre une nouvelle fois sectionnée) mais sur mon téléphone il m'avait semblé voir que tu avais posté un texte sur l'intime festival, ai-je eu la berlue ? En tout cas ce concept semble vraiment top de chez top.
Je te réponds de "l'intime festival". Il faudra que je t'y invite. Des lectures de textes faites par de grands comédiens. Hier j'ai fait Madame Bovary par Emmanuelle Devos, aujourd'hui, c'était Edouard Baer. Et j'ai la chance d'entendre les auteurs parler du leur travail. Puisque je fais le son, je n'en perds pas un mot. Pourquoi pas ? C'est à Namur !
Je te réponds de "l'intime festival". Il faudra que je t'y invite. Des lectures de textes faites par de grands comédiens. Hier j'ai fait Madame Bovary par Emmanuelle Devos, aujourd'hui, c'était Edouard Baer. Et j'ai la chance d'entendre les auteurs parler du leur travail. Puisque je fais le son, je n'en perds pas un mot. Pourquoi pas ? C'est à Namur !
Je suis conquis par ton imagination ! Les Suarez en surface pour une traque sous-marine, il fallait l'imaginer et l'écrire sachant qu'il n'y a aucun repaire dans l'eau et pourtant on visualise bien les déplacements et les stratégies opérées. J'ai aussi énormément rit avec le coup de gueule du Chaman au prénom très banal pour un show extrêmement drôle. Je ne vois pas le temps passé avec vos magnifiques aventures, et pourtant on s'avance grandement vers le trésor. MERCI. Toujours très hâte de lire la suite.
C'est un plaisir de participer à ces ateliers. De trouver la bonne formule. Et ne jamais se prendre au sérieux est la base de tout, que l'on soit auteur publié, auteur en herbe, auteur étendu dans les herbes, non je n'ai pas dit auteur fumant de l'herbe.. sourire. Ou que l'on soit lecteur.. l'´on a décidé de s'unir par l'écriture en ouvrant nos esprits, en acceptant l'autre tel qu'il est.. C'est cela la vraie richesse.. se nourrir de la différence. À bientôt pour la suite Patrice.