Merci Myriam ! Je me demandais comment j’allais aborder la gourmandise. L’idée m’est venue ce matin en me réveillant . Et pourtant je t’assure qu’il n’y avait pas de gâteaux au petit dej ! Il reste l’avarice et l’orgueil. Vaste problème…
Un autre texte canon et optimiste. De la fin de l'appétit au retour d'une faim de loup j'ai l'impression. C'est fabuleux d'explorer les textures, n'est-ce pas? Quel redoutable effet la crème diplomate... ^^^
Pauvre Benjamin qui n'avait pas subodoré l'aventure... Ton texte est très chouette et nous embarque dans la vie de Marie-Gabrielle qui a besoin d'air et de légèreté et qui se les accorde, dans celle d'un Benjamin plein de rêves de construction d'une vraie relation et maintenant un mari qui manifestement s'est lui englué dans une union plaplan avec un relevé de banque dans la poche. Je suis d'accord avec Léo, ça mérite d'être poursuivie pour l'orienter vers un album de bandes dessinées ( genre Brétecher tu vois) ou avoir un recueil de nouvelles illustrées. Bravo Myriam !
Bonjour Agathe, dans ton texte précédent, l'héroïne disait "mais je ne suis pas Ève" ou quelque chose comme cela et donc j'ai eu un doute. Je regarde tes textes de ce pas. ;-)
En lisant ton texte, je pense immédiatement à l'éloquence. tu sais ces prouesses (en tout cas ce que je considère comme une prouesse) orales au cours desquelles l'orateur développe les différents aspects du sujet. Ici c'est peut-être un peu court et cela mériterait de développer chaque aspect de la question. Pourtant cela fonctionne : " je ne sais pas si CH est gourmand" " il ne l'est peut-être pas" pour terminer sur " je suis sûr que CH n'est pas gourmand"
Très habile, bravo !
Bonjour Myriam ! Non pas du tout. Ce texte est tout frais "pondu" pour l'occasion de l'atelier. Dans "RESSAC" l'héroïne se nomme Anaîs. Pour la petite histoire, la genèse de ce livre a pour origine un texte écrit sur"Ipagination" l'ancien site. Merci pour ton retour
Alors comme je ne suis ni people ni télé et encore moins adepte de Cyril Hanouna, je suis allée corriger ces lacunes médiatiques sur Youtube et je suis quasi incollable maintenant sur la sulfureuse et le macho. alors... je vous le dis comme ça... mais il y aurait baleine sous gravier entre les deux... En tous les cas, je suis d'accord avec toi, le "mais" est une" faute de goût" considérable et une remarque désobligeante.
Ah la la encore un bon moment passé en compagnie de tes personnages Myriam ! Chaque récit leur donne un peu plus de consistance et leur image physique est très présente. Bravo pour ce nouvel épisode, la progression de la colère est finement amenée. comme Le fils de Louis, j'apprécie beaucoup le côté un peu loufoque qui contrebalance la référence à la protection de la Nature. Une jolie comédie qui pourrait- très bien se décliner en une bande dessinée. Merci Myriam !
Comme Léo, j'ai bien aimé ton texte. J'aime bien tes personnages. Les métaphores marines sont peut-être un poil surexploitées, mais à part ça j'ai pleinement adhéré.
Quant à la forme, elle s'est grandement améliorée. Ton expert de mari a pu t'aider pour le transfert, j'imagine. Est-il susceptible ? De toute façon nul besoin d'une imprimante pour ce type de transfert. Pas de problème de bourrage, ni de taille, ni davantage de température... ;-)
Des frissons de lumières aussi, les paroles qui voyagent dans les rues désertes à minuit, l’éclat du faste, le poids du masque de Colombine, j’y suis retournée pour une nuit. Merci.
C’est très bien mené, une lancinante et périlleuse paresse qui flirte avec l’introspection déjouée de justesse. Qu’il est difficile pour l’humain de ne pas cogiter. Pour bien des personnes comme le héros, le travail permet d’être un exutoire de premier ordre. Et pour ce qui est du reste, heureusement qu’EVE est là, d’autant plus que comme elle le dit, c’est qu’elle doit avoir raison. Adam et Ève en plein Eden factice, des symboles universels sur la vacuité de nos vies et de nos existences… un très bon moment de lecture, merci Agathe.
La trace du temps et des blessures pris le gel de la stagnation et de la mort. Que reste t-il du vivant, de l’envie, de la quête ? Difficile à dire. Et si sauver une seule personne pouvait nous sauver tous ? Bien des questions dans ton poème énigmatique qui inspire l’incertitude en toute chose. De quoi se faire face et se sonder encore pour obtenir des bribes de réponses. Merci pour ce nouveau partage intense très cher Francis Etienne. Je vois que de très nombreux poèmes sont de 2015 mais je suppose que c’est lié à la date de parution du recueil « Braises de glaises », est-ce bien le cas ?
Hello Agathe, bravo pour cette belle participation! Curiosité mais tu n’es pas obligée de répondre évidemment, s’agit-il d’un extrait de ton roman dont tu parlais avec cette même héroïne , Ève ? Très belle vue de transat, on a l’impression de voir ce couple, c’est très vivant. J’apprécie la référence à l’enfance au jardin d’Eden. Le cocktail « amnésie » semble idéal pour le héros.
Bonjour Francis Etienne, très heureux de te retrouver. Déjà, le titre est génial, quelle magnifique idée que cette poudre de foudre, et puis ensuite je suis tout autant touché par cet homme qui ramène coûte que coûte les souvenirs oubliés, et se prenant pour un lutin il y a fort à parier que sa mémoire à lui lui fait défaut. Je suis touché parce que la maladie d’Alzheimer est terrible. Il y a ce bourdon sous le poids d’une plume… et probablement des mots. L’écriture est ce qu’il restera de nos âmes effacées d’ici bas, et du coup ça me remue encore davantage. Merci pour ce beau poème Francis Etienne.
Hello Agathe, Hélène se trouve au chevet de l'original depuis un cancer de la prostate qui complique leurs rapports. Si j'ai l'occasion de me pencher sur la suite de cette histoire je pourrais en raconter de bien drôles.
Merci Léo. Par ailleurs, je vais essayer de trouver d'autres moyens d'améliorer les textes déjà publiés qui sont encore en "zone de travaux: chute de mots". À bientôt. :-)
L'envie de mon point de vue, était le plus difficile à traiter et concernant le déroulé de ton histoire je me demandais justement comment ce serait abordé. L'idée du regard décalé en prenant le point de vue du patron est très habile. Et le profil est bien construit, d'observateur à frustré qui verse dans le sentiment de vengeance pour affirmer la seule chose qu'il maîtrise à peu près : le pouvoir d'administrer er donc de licencier. Ce nouveau point de vue apporte à l'intrigue un enjeu et donc un suspens supplémentaire à pas loin de la fin, bien joué Myriam, et merci de relever ce défi pas facile du tout passé les pêchés les plus attendus.