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Dure, dure, la vie d'un chat
Publié le 01/11/2022
Bonjour, J'ai trouvé votre texte très drôle et bien écrit. On se met vraiment à la place de ce pauvre chat et on se prend d'empathie pour lui même si on ne peut réprimer un sourire à la lecture de ses mésaventures. Merci pour ce partage.
Marcher pieds nus en enfer
Publié le 30/10/2022
toujours aussi aimable et bienveillant. Merci ! ;-)
Marcher pieds nus en enfer
Publié le 30/10/2022
J'arrive sur le tard du fait d'une actualité professionnelle très chargée et je culpabilise d'avoir mis tout ce temps avant de lire ta participation. C'est un excellent angle d'approche je trouve car la solitude est bien ce qui se répand le plus dans nos sociétés. Tu as pris le temps de bien introduire le sujet et le contexte autant que la fabrication du prototype qui s'appuie sur la personnalité la plus complète possible de l'épouse disparue. Je me disais à la lecture qu'avec ce que lâche tout le monde de son vivant en traces numériques, avec les avancées du milliardaire Elon Musk dans ce domaine, sans parler des hologrammes, que ton scénario n'était pas si éloigné que cela d'une prochaine réalité. J'ai aussi été bluffé par le réalisme lié à la production du prototype pour le rendre rentable qui a pour inévitable conséquence de le faire en série, et du coup de constater toutes les dérives et tous les excès d'une part, mais aussi le revers de la médaille d'autre part. C'est un texte complet, très abouti, qui touche par sa sincérité et sa sensibilité, qui percute par son réalisme. Grand Bravo Patrice, magnifique participation.
Marcher pieds nus en enfer
Publié le 23/10/2022
mais c'est comme en impro. Je dois me laisser guider par ma main. Je la rappelle parfois un peu à l'ordre mais pas trop sinon, elle se mettrait à bouder et je serais bien embêté. Merci encore une fois pour ta sincérité, la lecture et donc, ta générosité, Jean-Luc ! ;-)
Marcher pieds nus en enfer
Publié le 23/10/2022
J'aime beaucoup cette histoire, et j'adore en particulier la première moitié, d'une infinie précision sentimentale. bravo ! comme je dis toujours le fond de ma pensée, si j'ai un faible supplémentaire pour la première partie c'est que dans la seconde il me semble que toutes les copies de Lucy ne sont qu'entre des mains de sales types. J'aurai aimé qu'il y en ai un ou deux qui soient tendres et agréables avec elle, différemment de ce qui était vécu avec la vraie Luce, ce qui aurait aussi été pénible à son "mari" historique. Mais c'est un détail perso qui n'enlève rien à l'intérêt général de l'histoire :-)
Sentiment truqué
Publié le 17/10/2022
Je viens de lire ce matin, sur "The Conversation" un article de Laurent Bibard (Professeur en management, titulaire de la chaire Edgar Morin de la complexité, ESSEC) qui résume après coup mais excellemment à mon sens l'idée clé de mon papier sur "le truc" : "Nos fantasmes à l’égard des nouvelles technologies et de leur soi-disant « intelligence » présentent des dangers sociétaux et politiques immenses". Les développements qu'il en fait sont aussi parfaitement dans l'esprit de mon texte, et je suis donc ravi de voir que je ne suis pas complètement à côté de la plaque dans la dureté que j'ai vis à vis du robot "qui me colle aux basques :-)) Après, le côté "ronchon solitaire" m'amuse beaucoup, de même que la "mascarade" du pot de fin de carrière. Quant au père, c'est le seul détail de vérité qui me concerne, et la crudité de ce qu'il représente me parait très adaptée à la confrontation au robot, histoire de dérouter un peu plus. Merci beaucoup Léo, en tout cas ! Vraiment.
Maman n'était pas très cultivée
Publié le 13/10/2022
Merci pour tes commentaires encourageants, Léo ! Ma rencontre avec le son ? Voilà une bonne idée ! Pour l'instant, ici, au théâtre, on joue une pièce de deux heures trente-cinq. Entre nous, je trouve que ça devrait être interdit. Mais du coup, peut-être que demain, j'aurai le temps de travailler sur ta suggestion.
Maman n'était pas très cultivée
Publié le 13/10/2022
Merci pour tes commentaires encourageants, Léo ! Ma rencontre avec le son ? Voilà une bonne idée ! Pour l'instant, ici, au théâtre, on joue une pièce de deux heures trente-cinq. Entre nous, je trouve que ça devrait être interdit. Mais du coup, peut-être que demain, j'aurai le temps de travailler sur ta suggestion.
Maman n'était pas très cultivée
Publié le 13/10/2022
Je suis profondément ému par ton texte, par l'authenticité de la narration. Il y a comme une sorte de distance lié au constat intransigeant de certains manquements et puis une grande proximité à l'annonce de la maladie. Même si l'accompagnement au départ semble fonctionnelle, il y a Dvorak qui l'humanise... et puis lorsque l'on sait à quel point le son, et donc la musique te sont chers, il y a là la plus belle offrande qui ponctue un texte bien plus sensible qu'il n'y parait. J'aimerai beaucoup lire ta rencontre avec le son, ce moment où tu t'es dit que tu y consacrerai ta vie entière. A plus tard Patrice, et grand merci.
Sentiment truqué
Publié le 13/10/2022
Merci Jean-Luc de ta participation une nouvelle fois excellente. C'est excellent de bout en bout, à commencer par ce pot de départ et cette magnifique narration sur cette grande mascarade des rapports humains en entreprise où l'on pourrait distribuer des oscars à tour de bras. J'ai de suite après énormément aimé poursuivre avec ce ronchon solitaire qui se trouve flanqué d'un truc qui lui colle au basque jusqu'à n'en plus pouvoir. La multiplicité des formules efficaces et bien senties apportent une belle jubilation dans la lecture portée par un imaginaire qui monte crescendo. Jusqu'au passage de la ressemblance au père, et là nous sommes pris au piège de l'addiction à nous demander comment tout cela pourra bien finir. Et comme dans tous tes récits, il y a une belle satire sociale qui fait bien réfléchir. La chute est très recherchée et habile, j'ai même pensé à du Amélie Nothomb. Avec ce même amour des mots rares que tu réhabilites sans lourdeur, c'est vraiment très chouette. Bravo, que du bonheur de te lire.
Maman n'était pas très cultivée
Publié le 13/10/2022
Tu as probablement raison mais le passé composé ne marche plus s'il suit "Là, devenu papa,..." Mais je suis d'accord qu'il y a un truc pas terrible dans ce passage. Je n'ai pas encore trouvé mieux mais nous sommes d'accord c'est perfectible. Ceci dit, comme pour la musique, au départ, l'objet de mon premier amour, la propreté de la forme est importante mais elle ne prévaut pas sur son authenticité. Bien sûr, l'idéal est de trouver une forme parfaite sans conflit avec la sincérité et, pour moi, ce que je cherche, la proximité. Merci pour ce beau compliment envers mon texte. ;-)
Maman n'était pas très cultivée
Publié le 13/10/2022
Beaucoup de sincérité et de pudeur, beaucoup d'amour et de recul. C'est le plus beau texte que j'ai lu de toi. Bravo. Il m'émeut car j'ai presque la même histoire vis-à-vis de ma mère, que j'ai accompagnée jusqu'à son dernier souffle, décédée des suites d'un cancer généralisé. Par contre, sur l'emploi des temps, je remarque quelque chose pour laquelle je me pose personnellement la question. En lisant, par exemple, la phrase suivante : "il avait décidé qu'il aurait été bien sot de risquer sa vie derrière le manche à ballet d'un avion de combat. Il avait raccroché et, dieu seul sait comment, il avait atterri au Congo où il avait fait fortune dans l'hôtellerie", je me rends compte que c'est assez lourd par rapport à une formulation comme "il a décidé qu'il serait bien sot de risquer sa vie derrière le manche à ballet d'un avion de combat. Il a raccroché et, dieu seul sait comment, il a atterri au Congo où il a fait fortune dans l'hôtellerie". J'ai exactement ce même dilemme !
Bien arrivé aux USA
Publié le 11/10/2022
Je suis tout à fait d'accord avec ton analyse. En fait, j'écrivais au fur et à mesure et au fur et à mesure, j'étais sur les rotules, ceci explique notamment cela. De plus, j'avais d'autres priorités. La littérature a du s'incliner au profit d'autres objets. Ce que j'aime le plus, c'est mon histoire d'eau ! Merci Jean-Luc ! ;-)
Bien arrivé aux USA
Publié le 11/10/2022
J'ai beaucoup aimé cette première partie pour la fluidité de sa lecture. Il y peu à revoir pour en faire un bon texte, et le ce style plein de petits détails est agréable met le sourire aux lèvres. Mais j'ai été assez déçu par la partie suivante (Fucking LGA) pour les raisons suivantes : à l'inverse de Bien arrivé aux USA, il n'y a pas assez d’homogénéité dans l'écriture. Déjà, on ressent une certaine rupture quand on lit cet épisode juste après le précédent (ce que j'ai fait). Ensuite, les trois premiers paragraphes, un peu "lourds" à mon goût, dénote avec la suite que j'apprécie beaucoup plus. Sauf que cette suite présente, me semble t-il l'inconvénient d'être beaucoup trop dans une autre langue, sans traduction, ce qui rend complexe la lecture pour un "non initié". Dommage, car elle raconte ce genre d'événement vécu par beaucoup de personnes, et c'est bien rythmé :-)) Voili voilà mes petites remarques !
Furie-sur-Mer
Publié le 09/10/2022
Ces folles semaines, ces folles journées... ça a toujours un côté déconcertant : comment faire pour trouver du temps libre, vraiment libre et serein pour écrire, pour lire ? Plus on va vite pour gagner du temps, moins on a la sensation d'en gagner ! Je connais et je comprends oh ! combien :-)) J'adore tes mots "demain est fragile, et nous ne sommes que les pantins de nos drames, à la merci d'une nature surpuissante". C'est cela, exactement, à mon esprit aussi, puisque nous refusons obstinément de nous ranger à la sagesse de Bacon (Novum organum) : on ne commande à la nature qu'en lui obéissant ! Merci cher Léo.
Fucking LGA
Publié le 08/10/2022
Merci pour ton texte très vivant Patrice même si la mésaventure de l'embarquement ne peut que laisser un gout amer. Avec les attentats, ils ne badinent avec rien. La belle aventure commence avec Tammy et Cara, de magnifiques moments en perspectives j'en suis sûr, à les lire prochainement je l'espère.
Bien arrivé aux USA
Publié le 08/10/2022
Merci Patrice de ce partage quasi en temps réel. Je n'y ai jamais fichu les pieds et c'est pourquoi j'ai lu ton texte avec le plus grand intérêt car comme toi, ce qui peuple mon imaginaire, c'est le cinéma et les séries TV. Cela doit faire une drôle d'impression de faire partie de la pellicule, celle qui se grave dans ta mémoire. Que de choses à voir et découvrir, du gigantisme à parfois la terrible vacuité de bien des choses, ou dont le sens nous échappe totalement car la culture européenne est tout de même très différente. Hâte de découvrir de nouveaux textes de ton périple.
Furie-sur-Mer
Publié le 08/10/2022
Folle semaine me concernant, c'est pourquoi je ne commente que maintenant. Je souhaitais être au calme absolu pour découvrir tes nouveaux mots et je ne suis pas déçu. La mer a cette faculté d'apaiser les âmes autant que de malmener les hommes, c'est ce paradoxe et cette toute puissance qui nous rappelle à notre humilité. Dans le style il y a des sonorités groupées, des mots en rafales qui balayent toute certitude : demain est fragile, et nous ne sommes que les pantins de nos drames, à la merci et tout le monde l'a bien compris d'une nature surpuissante. Merci Jean-Luc, à plus tard.
Nouvelle rentrée, nouvelles opportunités !
Publié le 05/10/2022
Merciiiii. Donc, j'avais tout compris ! Coup de chance :-)) Bien vue l'idée de mettre les thèmes déjà traités en évidence. C'est effectivement utile. à bientôt
Nouvelle rentrée, nouvelles opportunités !
Publié le 04/10/2022
Merci beaucoup, cela nous encourage à poursuivre encore un peu.
Nouvelle rentrée, nouvelles opportunités !
Publié le 04/10/2022
Bonjour Jean-Luc, oui c'est tout à fait cela : la prochaine relève des textes proposés à l'édition le seront avec ceux postés après le 1er juillet dernier et donc jusqu'au 1er janvier prochain. Les genres sont bien ceux-là, et il n'y a pas de thème ni de sujet de société imposé. Nous allons cependant mettre sur la page du concours, tous les thèmes que nous avons déjà édité et dont il y a donc peu de chance (bien que ce ne soit pas impossible) que nous éditions à nouveau ces thèmes et sujets de société. .
Nouvelle rentrée, nouvelles opportunités !
Publié le 02/10/2022
... concernant le concours d’écriture permanent, je ne suis pas certain d'avoir tout compris. Si j'ai bien lu, depuis le premier juillet dernier et jusqu'au 31 décembre prochain, le "concours" est donc à nouveau ouvert. C'est cela ? Autre éclaircissement nécessaire : les genres possibles pour un roman, actuellement, sont polar, science-fiction, passion ou témoignage ? Il n'y a pas de thème ou de sujet de société désigné ? Voili voilà, c'est tout :-)))
Nouvelle rentrée, nouvelles opportunités !
Publié le 02/10/2022
Dynamisme bien réel sur iPagination ! À chacun d'en profiter, donc. bien vu en tout cas :-))
T'emmener dans ma vieille voiture rouge.
Publié le 18/09/2022
Merci Léo ! Regrets ou indifférence pour celui qui reste, celui qui part ne le saura jamais, il a renoncé à l'apprendre pour la tranquillité d'esprit des deux.
T'emmener dans ma vieille voiture rouge.
Publié le 18/09/2022
“Mon amitié unique et honnête”, que c’est beau, à l’image de ton texte sensible et nostalgique. Un spleen littéraire élégant, tout en retenue comme pour honorer de la meilleure façon ce qui ne sera plus, et qui entretiendra peut-être le plus grand des regrets pour celle qui reste. C’est vraiment très émouvant et touchant. Merci Patrice.
T'emmener dans ma vieille voiture rouge.
Publié le 15/09/2022
oui, j'avais noté le contraste entre la voiture et la maison. Mais effectivement, c'est assez "discret" et pourrait donc s'accentuer un peu plus :-)) Tout dépend de l'éffet recherché et du poids que l'on souhaite mettre dans ce contraste. Sinon, la nouvelle formulation de la phrase de clôture est mieux ainsi.
T'emmener dans ma vieille voiture rouge.
Publié le 11/09/2022
Merci pour tes encouragements ! Ce texte fait partie du fameux récit même s'il est possible qu'il n 'apparaisse pas, qu'il ne soit qu'évoqué. Tes encouragements me sont précieux. J'espère que je trouverai le temps. Merci encore. ;-)
T'emmener dans ma vieille voiture rouge.
Publié le 11/09/2022
Tu nous livres un texte pudique et juste, comme je les aime, avec les mots qu'il faut, et le sentiment livré sans emphase. C'est maîtrisé, ce mi regrets d'outre tombe, et ce final qui tombe comme une lame. Je te félicite Patrice, ton travail paye, ton débit assez court est efficace. Quelle évolution en peu de mois. Adapte cette simplicité à ton récit autobiographique, ne lâche rien surtout.
Extrait de "La seule histoire" de Julian Barnes
Publié le 11/09/2022
On a tous des textes qui nous changent, qui nous font voir les choses sous un autre prisme. Moi c'est une déclaration d'amour dans le voyage au bout de la nuit, quand Ferdinand Bardamu écrit une lettre à une femme qu'il a laissé partir, par lâcheté , par peur d'aimer. Un passage authentique, des mots qui sont dans la vérité des personnages.
T'emmener dans ma vieille voiture rouge.
Publié le 11/09/2022
C'est pour avoir des avis, des critiques, des conseils constructifs comme les tiens, que j'aime Ipagination. Et je te remercie pour ton aide précieuse. Je suis d'accord avec toi. il y a des perfectionnements à apporter. Notamment sur la dernière phrase. Le "les" se réfère aux "mots" plus loin dans la phrase. C'est correct mais c'est tordu. La "," pour remplacer le "puisque" est une excellente idée. Je m'en veux de ne pas l'avoir eue. ;-) Et le "." après "lettre" aussi. Je te propose ici l'alternative. "Cette soirée n'existera jamais, je suis décédé à l'heure où tu lis cette lettre. A l'heure où je l'écris, j'espère que tu ne douteras pas des mots que j'y ai mis." Je ne sais pas si tu l'as remarqué mais j'ai essayé d'établir un contraste entre ma vieille voiture et sa maison récente, nos univers tellement éloignés. Peut-être devrai-je l'appuyer plus ? Merci Jean-Luc !