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Albin Michel
Publié le 30/12/2023
Quel honneur, et mieux encore, quel beau texte cette heureuse nouvelle a permis de voir le jour. Le graal pour tout écrivain qui souhaite se faire éditer. Pour moi on est écrivain si l'on écrit, chanteur si l'on chante, j'aime à penser que l'on est ce que l'on aime faire, loin de la professionnalisation ou de la notoriété. Tu décris magnifiquement chaque étape que l'on partage de tout coeur avec toi, et l'on croise les doigts avec toi, souhaitons que ce cheminement éditorial puisse t'être profitable.... Désolé de mon absence, j'avais besoin de souffler.
LE REGARD RÉENCHANTÉ
Publié le 30/12/2023
Bonjour et bienvenue. Je viens de finir le premier chapitre et je ne disposais pas du temps nécessaire pour lire la suite présentement . Pourrirez-vous publier un chapitre par texte, ce serait plus simple pour revenir dessus ensuite. Pour en revenir à ce premier chapitre j'ai eu très peur en découvrant le face à face des deux symboles forts de ce que représentent le bien et le mal, il fallait oser, et la crainte passée, on se plonge dans cette confrontation qui s'élargit avec de nombreux questionnements, la curiosité est piquée au vif. Si j'ai une remarque à faire, c'est dommage que ce ne soit de bout en bout que du dialogue, votre. qualité de narrateur et votre écriture soignée permettrait je pense de donner plus de place au contexte, au décor, à un scénario plus vivant qu'un seul échange, même si cet échange est assez bien mené. A suivre.
Songes et mensonges
Publié le 30/12/2023
Bonjour très cher Francis, je m'excuse de ne revenir que maintenant mais l'après iPagination a été pas facile à traiter mais me voici enfin. Et quel plaisir et bonheur de te retrouver en mots, magnifiques alliages poétiques qui savent - comme ils ont toujours su - éveiller de beaux sentiments. Que de belles images et surtout un beau sentiment qui prédomine à la fin de la lecture, un bel espoir qui se profile à l'horizon. A te lire et te relire, merci l'ami d'être revenu.
Inversement Mathématique
Publié le 10/12/2023
Et voici un bonjour "B" dans une journée grise. ;-)
Le monde entier se retourne et fait ses lacets.
Publié le 07/12/2023
Aujourd’hui, il n’y a plus de lacets à nos souliers, on met des scratch’s qu’on colle les yeux fermés… Nouer ses lacets, c’est pouvoir marcher droit, le cœur tranquille. Aujourd’hui, on a le cœur noué et on ne peut plus marcher.
Un court passage que j'aime beaucoup.
Publié le 15/07/2023
Tu es sans pareil pour croquer des personnages, la description de ce guide péteux se lit comme du petit lait. Et le vin, nectar de convivialité mais aussi de moments intimes. Comme avec un morceau de musique, je pense qu'un bon cru peut ancrer dans la mémoire à vie et même au-delà des amours vécus ou éconduits. A plus tard Patrice, et bon été ;-)
L'ambre gris (extrait : finale de "Les démons")
Publié le 24/06/2023
Ce sera la finale, j'en suis assez content et je suis heureux que tu partages mon sentiment. Toutefois tout change très vite. La finale de cette lettre a déjà évolué. La voici : "À l’heure où tu lis cette lettre, je ne suis plus . A l’heure où je les écris, ces mots , crois-le bien, ne veulent surtout pas te faire de mal, te blesser. J'avais besoin de brûler un carburant qui me rongeait de l'intérieur. J'en avais besoin pour ma sérénité. Ne m'en veux pas. Tendrement, Patrice."
L'ambre gris (extrait : finale de "Les démons")
Publié le 24/06/2023
Ce sera la finale, j'en suis assez content et je suis heureux que tu partages mon sentiment. Toutefois tout change très vite. La finale de cette lettre a déjà évolué. La voici : "À l’heure où tu lis cette lettre, je ne suis plus . A l’heure où je les écris, ces mots , crois-le bien, ne veulent surtout pas te faire de mal, te blesser. J'avais besoin de brûler un carburant qui me rongeait de l'intérieur. J'en avais besoin pour ma sérénité. Ne m'en veux pas. Tendrement, Patrice."
L'ambre gris (extrait : finale de "Les démons")
Publié le 24/06/2023
Bonjour Patrice, quel beau texte parfaitement maîtrisé, on sent que tu as choisis chaque mot afin qu'il exprime l'exactitude moment vécu. J'ai aimé tout lire mais ce passage est à mes yeux particulièrement réussi : "Après quinze années dans le fond des abysses et vingt-cinq autres à errer, invisibles, sur la surface chaotique des océans, ils exhalaient une fragrance qui cachait mal la dangerosité de leur âme.". Comment croiser un simple regard peut faire remonter tant de choses à la surface et fragiliser à nouveau. J'aime enfin la lettre finale, qui nous rappelle une époque révolue, où les mots écrits et couchés à l'encre sur du papier demandait souvent du courage dans les instants les plus emprunts de sentiments. Ces courriers qui racontait des vies, des moments clés, des histoires qui nourriraient la mémoire des descendants... Merci pour ce nouveau partage.
Exemple de description : Fernand
Publié le 17/06/2023
J'aime bien voir tes commentaires, toujours bienveillants ! ;-) Merci encore !
Exemple de description : Fernand
Publié le 17/06/2023
J'aime bien voir tes commentaires, toujours bienveillants ! ;-) Merci encore !
Exemple de description : Fernand
Publié le 17/06/2023
Qui se ressemble s’assemble et avec Ana qui n’a pas froid aux yeux, voici un bureau de poste qui lutte activement conte les cons, les beaufs et autres sinistres personnages qui ont vite fait de te pourrir un environnement tel un ver dans une pomme. Il y a ce courage, et il y a de l’admiration mutuelle pour prendre les taureaux par les cornes. Ce qui est toujours troublant, c’est cette majorité silencieuse qui subit sans rien dire. Merci pour ce nouveau texte Patrice.
Lorsque Ana m'a présenté Marx, j'ai arrêté de jouer à Colin Maillard avec les borgnes de la Place Fontainas.
Publié le 17/06/2023
Content de te relire et moi-même d’avoir enfin un peu de temps pour me plonger à âme entière dans la lecture. Tu montres bien le cynisme de ceux qui « optimisent«  et toute la mauvaise foi des vendus au système libérale. La poste a aussi basculée en France dans un modèle de rentabilité plus que de service , avec la cynique méthode lean qui consiste comme dans les western, à faire creuser leur propre tombe à ceux d’en bas, qui deviennent corvéables à merci, déshumanisé. Ton texte me donne l’envie de voir de nouveaux films de Ken Loach… merci Patrice.
L'acide clanique (Deuxième partie des démons)
Publié le 19/05/2023
Je suis ravi que tu aimes en particulier la seconde partie. J'ai encore un faible pour la première. Les deux doivent être pas mal du coup. Comme pour Léo, je dois te remercier. Sans vos encouragement à toi et à Léo, je n'aurais jamais pu arriver jusqu'où je suis. On peut rêver, qui sait ? Si un jour mon roman est édité, on pourra peut-être se rencontrer dans une librairie ou une autre. Mais nous n'en sommes pas là. Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! ;-)
L'acide clanique (Deuxième partie des démons)
Publié le 19/05/2023
Sans vos encouragement à toi et à Jean-Luc, je n'aurais jamais pu arriver jusqu'où je suis. On peut rêver, qui sait ? Si un jour mon roman est édité, on pourra peut-être se rencontrer dans une librairie ou une autre. Mais nous n'en sommes pas là. Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! ;-)
Tolstoï apparaît enfin dans mes "démons"
Publié le 19/05/2023
C'est en effet, à mon sens également, le petit diamant de ce passage. J'aime également, en plus léger "Si Christian et moi n'avions ni le physique ni le mental d'un chef de drakkar, Hans, en revanche devait en être un descendant direct. Derrière la barre de son Kangoo..." ;-)
L'acide clanique (Deuxième partie des démons)
Publié le 19/05/2023
Je crois te l'avoir déjà dit, mais je trouve que tu excelles vraiment plus maintenant que dans tes premiers textes, sur tes relations amoureuses. C'est fluide et riche d'images. J'aime beaucoup !
"Contre La peine de mort" d'Alphonse Lamartine
Publié le 19/05/2023
Merci Léo pour ce partage. Je ne connaissais ce grand texte. Il a une résonance toute particulière par ces temps de notre histoire. Je trouve très émouvant deux extraits en particulier, même si l'ensemble est magnifique. "Ou si tu veux punir, inflige à tes victimes Le supplice de t’admirer" - "Qu’importe ? il faut mourir, et mourir sans mémoire : Eh bien ! mourons, dit-il. Vous tuez de la gloire : J’en avais pour vous et pour moi !"
Tolstoï apparaît enfin dans mes "démons"
Publié le 19/05/2023
Du documentaire postal aux deux pieds dans la vie et dans la douceur d’aimer. Si la première partie est très factuelle et intéressante car documentée, la seconde est très légère , avec une mention très particulière sur ce passage que je trouve vraiment très bien écrit : “ Elle n'a pas répondu. Alors moi, avec tout mon courage, je n'ai rien ajouté non plus, j'ai laissé au silence donner le poids que j'estimais nécessaire à ce qui en fait n'était rien de moins qu'une première déclaration d'amour.”, vraiment superbe. À plus tard Patrice.
L'acide clanique (Deuxième partie des démons)
Publié le 19/05/2023
Salut Patrice, heureux de te retrouver et de te lire à nouveau. Je trouve cette version très aboutie et pesée, il y a une gravité qui s’injecte au goutte à goutte, avec des phrases fortes, dans lesquels les mots sont soigneusement sélectionnés. C’est létal du texte au titre que je trouve vraiment top, j’aurai aimé le trouver “l’acide clanique”, excellent. J’ai vu que tu avais posté également un autre texte que je vais lire dès maintenant .
Pertes
Publié le 12/05/2023
Bonsoir, on sent un gros travail de description qui est un exercice assez complexe puisqu'il est question de mettre les images dans la tête du lecteur. L'aspect physique et vestimentaires associés aux caractères sont assez homogènes et j'avoue avoir été pris dans le filet de l'intrigue avec l'envie d'en savoir plus. A plus tard.
Pertes
Publié le 11/05/2023
Ne lisant jamais de textes "fantastiques", je n'ai pu m'empêcher de penser immédiatement à la guerre en Ukraine, notamment, en lisant ce texte, tant il m'en semble une allégorie. Cette succession très rapide entre l'effroi, l’émerveillement devant l'obstination de la vie, et le désir de compréhension puis de vengeance me séduit particulièrement, car assez proche de la manière par trop changeante dont se bouscule la vie actuelle sur terre et dans les sociétés. Une petite coquille à corriger dans "Lucas avait beau à agiter" - L'usage du mot opprobres est ici étonnant, mais dans ce contexte assez irréel, pourquoi pas :-)
écrire, c'est se promener
Publié le 30/04/2023
Et je suis sensible à vos réactions. Merci ! ;-)
écrire, c'est se promener
Publié le 29/04/2023
Bonsoir Patrice. Je rejoins Jean-Luc, la première version me semble plus fluide et authentique (dans le sens de pas travaillée). Ce sont tes fulgurances et ton instinct (parmi bien d’autres qualités que j’ai déjà eu l’occasion de te dire) que je trouvent souvent percutant, ces idées et sentiments forts qui jaillissent sans prévenir et s’invitent à la table de ton écriture : c’est avec eux qu’il faut trinquer et resservir un verre, pas avec le travail besogneux. Je ne dis pas qu’il ne faut pas travailler son écriture, je dis qu’il ne faut pas que le travail gomme le naturel et l’intention première. À plus tard ;-)
écrire, c'est se promener
Publié le 24/04/2023
Au risque de te décevoir, j'adore la première version : "Ma journée commençait...". Je la trouve spontanée, fraiche, authentique, même si (et ça tu sais ce que j'en pense) je n'aime pas l'incongruité du mot "dégueulasse" dans ce contexte (mais tu m'en as expliqué la raison). Contrairement à toi, je préfère les premiers jets (après correction et mini remaniements, évidemment), chez les personnes ayant déjà une certaine qualité d'écriture (comme c'est ton cas maintenant), car très majoritairement les propos ont la saveur du vrai. Pour ma part, j'écris très à l'inverse de toi, non pour me promener, mais par nécessité, par urgence, par souffrance. Même dans des écrits apparemment plus légers ou distractifs, je passe toujours des messages que je pense forts, sinon... je suis incapable de mettre quatre mots les uns en accord avec les autres. Comme quoi, chacun peut trouver son compte dans l'écriture ;-)
Haïku
Publié le 21/04/2023
Incompréhensible pour notre culture. Comment pouvons-nous continuer à vouloir expliquer aux autres cultures comment elles devraient se comporter. On a pourtant pu apprécier les dégâts que l'ingérence occidentale a provoqué en de nombreux points du globe. Faut-il rappeler l'idée o combien funeste d'installer le peuple juif en Palestine ou celle de casser l'organisation de l'état irakien (500.000 enfants morts à la suite du blocus économique), Est-il nécessaire d'encore revenir sur le fait que l'Iran était laïque jusqu'à ce que les USA place à la tête de ce pays le Shah qui fût tellement partial qu'il donna du grain à moudre aux intégristes religieux ? La liberté, enfin celle vendue par l'occident, n'est qu'un miroir aux alouettes. C'est en tous cas ma conviction.