La vie est un choix permanent et de nos choix présents dépendent notre avenir. Souvent dilemmes, et difficiles à faire, ils ont toujours un impact sur notre avenir. Peuvent s'ensuivre les remords ou les regrets.
C'est ce sur quoi tu mets l'accent dans ce prolongement.
J'aime beaucoup
"Et les soirs où l’enfant
Joue et sourit,
De joie aussi,
La lune s’arrondit...
Et lorsque l’enfant pleure,
Elle décroit
Pour lui faire un berceau de lumière...
Et lorsque l’enfant pleure
Elle décroit,
Pour lui faire un berceau de lumière..."
heureuse de te lire.
Texte noir, sombre qui termine par son contraste lumineux: "je vais bien"
Le contraste: ta signature
J'aime tout particulièrement: "Et ta bouche d’égout n’est pas langue morte." Ainsi que "Tes pieds naufragés mouillent ton encre."
Une lumière derrière la porte: tu écris.
Encore une fois: ton écriture contrastée, ta signature, j'aime
Merci pour ce partage
Bonjour,
Désolé, je n'avais aps vu que ma réponse s'était une fois de plus perdue dans les méandres de mon matériel informatique. Je pense que ton histoire gagnerait à être développée, surtout si le sujet t'intéresse et que tu sens que tu disposes de matière. En revanche, pour les paiements et abonnements, je n'ai aucune connaissa'ce pratique, j'en suis confus... Bon dimanche,
Pierre
"Mais souvent les plus grands ennemis de l'Afrique furent et sont toujours les chefs d'état et gouvernements africains qui vident les caisses des états à des fins personnelles":
C'est bien triste car je sais malgré tout que ces peuples ont de grands besoins d'argent, d'eau, et d'aide...
Merci pour de m'avoir lue et de ce gentil commentaire
Un bel hommage très bien documenté, et qui donne une bonne image de l'homme pour une foi. Il est vrai d'autre part que l'occident a pillé l'Afrique. Mais souvent les plus grands ennemis de l'Afrique furent et sont toujours les chefs d'état et gouvernements africains qui vident les caisses des états à des fins personnelles
Merci pour ton commentaire.
Pour ce défi, j'ai pris le temps de me documenter avant d'écrire car j'avoue que la sécheresse en Afrique est un thème que je ne maîtrise pas du tout. Il est donc en effet possible que j'ai omis d'aborder certaines problématiques.
Merci en tout cas
Merci Léo ! A chacun de tes commentaire, je sens beaucoup de bienveillance ! Tu portes bien ton prénom et Léo fait partie des plus doux. Le "L" bien sûr très loin du "R" et puis, aussi loin du "i" le "o" final qui résout, qui dissout toute tension avant même qu'elle ait pu naître. Tes parents devaient aussi être des personnes très douces. ;-)
Plusieurs thèmes se retrouvent dans ce texte prosaïque mais parfaitement rédigé. Il me rappelle un excellent film que j'ai été voir début février "marcher sur l'eau" qui montrait le problème de l'eau, de la centralisation, de l'éducation, du rôle de la femme mais aussi et peut-être surtout l'imbrication de ces différents éléments. Merci pour ce texte qui rappelle un mode de vie qui nous est inconnu. Je trouve néanmoins que ce texte et le film ne vont pas assez loin car ils négligent un point essentiel, l'auto-suffisance africaine qui, sans le pillage de l'Occident, serait une réalité.
Merci Léo ! A chacun de tes commentaire, je sens beaucoup de bienveillance ! Tu portes bien ton prénom et Léo fait partie des plus doux. Le "L" bien sûr très loin du "R" et puis, aussi loin du "i" le "o" final qui résout, qui dissout toute tension avant même qu'elle ait pu naître. Tes parents devaient aussi être des personnes très douces. ;-)
Merci Patrice, je partage Fabien concernant les photos. Tu arrives sans mal à vous embarquer dans ton voyage tant la description et le rythme sont soignés. C'est coloré, c'est culinaire et c'est temporel... j'ai beaucoup aimé cette phrase : "A Dakar, les temps s'imbriquent aussi, futurs et présents se marient singulièrement.". Une belle réussite.
Je découvre ce texte aujourd'hui (et oui ta présence ici me manque alors je me replonge dans tes "anciens" écrits).
La liseuse professionnelle qui dégaine sa critique face à l'écrit d'une auteure dépendante de son bon vouloir...ou non...
Voilà à quoi ce poème me renvoie personnellement: à toutes les maisons d'éditions où j'ai tenté ma chance, mis mes mots dans les mains de "liseuses professionnelles" engageant malgré moi un duel (ce que je ressens dans ton poème) aphone au lieu d'un duo harmonieux...
Merci Ally pour cette plume incomparable et inimitable que tu détiens et nous fais gentiment partager
Coucou Ally,
Je ne sais pas pourquoi je n'avais pas vu celui-ci...
Il est fidèle à ta plume en tout cas, clair-obscur, doux et bienveillant
J'aime beaucoup
Je suis d'accord avec toi: les choses changent, évoluent, et même si tout n'est pas encore parfait (mais en même temps la perfection n'existe pas) mais je constate un grand mieux en comparant les deux générations qui séparent les deux personnages en effet
Un texte remplis d'espoir et en rimes, pas facile à faire. Eh oui, je crois effectivement que tout se passe dans l'éducation, car on ne cesse d'être ce que l'on a appris à devenir. L'époque a changé, alors que nos grands-parents vivaient sous " le travail, famille, patrie" dans une société patriarcale, nous revendiquons aujourd'hui d'être "soi" dans notre essence, notre sexualité. On commence à comprendre que passer le balai, faire la cuisine, ne sont pas des aspects génétiques que se partagent les femmes. Et même s'il reste beaucoup à faire, eh bien c'est un bon début. Bien à toi Vickie
L'éditeur et l'auteur sont des partenaires qui ont le même objectif. Et je vois beaucoup d'auteurs qui ont toujours un mot à dire, une idée à défendre par principe. Alors que l'oeil de l'éditeur est des plus objectif avec les travaux de ses auteurs.
Mais c'est un travail éprouvant, passionnant mais éprouvant. Pour ma part, j'ai effectué 60 relectures de "chemins de plomb" avant de le trouver acceptable et d'oser le soumettre à l'édition. Le conseil que je donnerais c'est de ne jamais rester seul avec son texte et de le faire lire. L'éditeur tient un rôle capital dans ce mécanisme. C'est un professionnel et il sait juger de ce qu'il faut retravailler, parfaite, enlever.
Pour ce qui est de la manière d'écrire, du chantier d'écriture, chacun à sa manière propre. Joël Dicker ne fait pas de plans, il part de l'idée principale et il avance ainsi. Moi par exemple, comme Laurent Gaudé, j'ai besoin de poser un plan très stricte que je suis. Ensuite je m'autorise de m'en écarter pour le bien de l'intrigue
Si je me réfère à mon expérience personnelle, je dirais que l'homme est l'auteur ne sont pas éloignés. Pour écrire et rendre de l'authenticité au propos, je crois qu'il faut ne pas être indifférent aux sentiments que l'on décrit. On ne peut pas surjouer. De la même façon que l'on ne peut aborder tous les thèmes pour une question évidente d'intérêt
Un grand merci Patrice pour ce retour. Je trouve ton texte très utile. Il pose de vraies questions.. Doit-on séparer l'auteur de son oeuvre? L'auteur et l'homme sont-ils les même? Comment écrit-on un roman? Et comment écrire un roman?