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Sénégal jour 3 : la tête dans le sable
Publié le 26/03/2022
Un très joli texte. J'y retrouve beaucoup de souvenirs personnels comme le fait de faire des photos, de demander ou souvent d'acheter cette autorisation. Tu auras sûrement d'autres textes sur ce périple sénégalais. Je suis curieux de les lire.
Rencontre avec Laurent Gaudé
Publié le 25/03/2022
Merci pour ce retour livré en vrac. Un an avec toutes les reprises est très rapide, pour de très nombreuses personnes il faut bien plus d'un an. Le temps ne doit pas faire peur. Il faut en revanche de la régularité et effectivement le nombre de pages de l'ouvrage n'est pas essentiel, si l'histoire et l'écriture sont top on ne voit pas le temps passé, et l'on souhaite justement que ce soit interminable. D'accord aussi sur le trop peu de pages. A plus tard.
dis mamie
Publié le 25/03/2022
Merci beaucoup Leo Encore une fois j'ai aimé participer à ce défi et ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce texte Met à toi
dis mamie
Publié le 25/03/2022
Merci Vickie pour cette participation qui fait du bien et donne beaucoup d’espoir. Tout est une histoire d’éducation et de modèle . Ta participation est habile et cadre parfaitement avec le défi qui était à relever, savoir expliquer à hauteur d’enfant qui ont cependant une âme et une générosité bien plus grande que certains adultes. Ce n’est pas simple de dire les choses simplement et avec beaucoup de justesse, alors bravo.
Sans un mot
Publié le 24/03/2022
Ton texte me fait penser à ce qu'on appelle aujourd'hui le ghosting : le fait de voir un ami vous claquer la porte au nez sans explication...situation que j'ai connue moi aussi... Dans ton te texte cependant il est question de grande distance et malheureusement dans ce cas là l'adage "loin des yeux loin du coeur" peut s'avérer vrai...même si comme toi je ne le comprends pas...peut-être n'y a t il rien à comprendre ? Peut-être s'agit il juste de l'histoire de deux chemins qui se séparent éloignés par la distance et le temps mais il est vrai que les non dits et les pourquoi restent des blessures d'incompréhension...alors pour ne pas souffrir une seule solution : accepter de tourner la page... Merci pour ce texte Ui résonne je pense en.bon nombres de lecteurs
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 20/03/2022
Je m'demandais où t'étais passé ! Ouf ! Tu es de retour. Merci pour tes encouragements et la comparaison dont je suis évidemment très fier. ;-)
Amarelinha
Publié le 20/03/2022
ce petit sourire, et pas se. J'en perds mon français.
Amarelinha
Publié le 20/03/2022
Je cherchais une respiration à mon dimanche matin matin. Quelque chose qui vienne couper l'enfer personnel que je vis ces derniers temps. Et j'ai suivi ta Lili, un peu fantasque, pas vraiment dans les cases, entre mélancolie, rire, gravité et futilité. Sûrement un double de toi. Merci ma chère amie pour se petit sourire.
Sur les Rebords du Monde (extrait)
Publié le 20/03/2022
Eh bien, quel texte.. J'aime beaucoup ta façon de disséquer l'âme avec minutie, de donner de la raison à l'impalpable comme le fit Proust. Ta prose me ramène à celle du grand Michel Suffran... C'est dire... C'est très beau, très plein, très abouti, très riche. Juste un minuscule remarque et qui n'engage que moi et mon oeil profane de lecteur, attention au trop de richesse dans le style quelquefois. Une phrase forte abondante et riche, pour qu'elle explose à l'esprit, doit (à mon sens) être portée par une prose un peu moins soutenue afin qu'elle explose dans l'esprit de toute sa substance. Comme le dirait un vieil ami écrivain " Il faut toujours en garder sous la pédale". Mais quel beau texte. Merci beaucoup
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 20/03/2022
Pas mal du tout pour cette incursion érotique en territoire poétique. Il y a un peu de Brassens dans tes mots. Et tes images fonctionnent plutôt bien. Bravo Patrice .
Sans un mot
Publié le 20/03/2022
À l'heure où tout doit aller vite, où les sms, visio, etc. sont presque une injonction à une communication qui se doit d'aller à la vitesse de la lumière, on peut se poser la question de ce qui nous lie. Jadis, une lettre mettait plusieurs jours à nous arriver. Le temps mettait alors plus de temps. Il y a aussi la notion de ce que l'on attend des autres. Souvent cette attente est tyrannique, soumise à caution. Merci pour ce texte
Sans un mot
Publié le 19/03/2022
Le revers d’une amitié forte lorsqu’elle n’est plus est une indicible (mais que vous décrivez toutefois bien dans votre texte) solitude. On dit que l’on emprunte la Terre que nous léguerons à nos enfants puisque nous sommes que de passage. Tout n’est que temporaire, éphémère ou en sursis et il faut beaucoup d’efforts pour préserver les liens humains. Tout est le revers de quelque chose, quel est donc le revers de cette nouvelle solitude. On ne retrouve jamais ce que l’on a eu par le passé, mais ce que l’avenir peut offrir comme opportunité, n’est qu’à portée de cœur à la condition que l’on s’offre de nouvelles chances.
Sans un mot
Publié le 18/03/2022
Merci pour ce texte qui me touche. Comment comprendre que des amis avec qui on a partagé tant de choses refusent le contact ? Bien sûr se revoir comporte un risque, Peut-être qu'on n'aura rien à se dire, qu'on ne partagera plus les mêmes valeurs, qu'on souffrira de jalousie. Mais refuser ce risque c'est reconnaître finalement très peu de valeur à ce qui fût. C'est du mépris pour ce qui fût. C'est un crachat pour celui qui fût.
Regrets
Publié le 18/03/2022
Bonjour tout le monde, En écrivant ce texte, je ne penserai pas qu'il toucherait autant de monde, mais en vous lisant je prend conscience du contraire. J'ai essayé de me plonger dans la tête d'un homme, père de famille, détruit par la mort de son fils et qui a embarqué sa famille dans sa destruction jusqu'à sa rédemption. Quand je vois et lis vos commentaires, ça me fait très plaisir qu'il soit aussi bien reçu. Je vous en remercie ! A bientôt.
Blanche neige en chasse
Publié le 17/03/2022
Merci pour vos retours. Dans ce texte, la proposition de déménagement n' est qu'une solution à la fois pour obliger l'homme à avouer qu'il ne tient pas plus à cette femme qu'à n'importe quelle autre et pour s'en débarrasser définitivement. Cordialement.
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 16/03/2022
Tu ne devineras jamais comment l'idée m'est venue ! Cela fait maintenant plus de deux semaines que je dors mal à cause du conflit en Ukraine. Je ne parvient pas à me le sortir de la tête. Et en plus, un homme pour qui j'avais beaucoup de respect, un ancien professeur, une relation de 44 ans m'a claqué la porte au nez à cause de mon opinion sur ce conflit. Alors depuis le début de cet atroce événement, je me réveille vers 4 heures, 4h30. Et alors, ça tourne dans ma tête. Je repense à mes arguments déjà 100 fois ressassés et aux arguments opposés, probablement un peu moins. Et tout ça me pourrit le cerveau et me rend fou. Alors pour opposer quelque chose à cette déferlante de boue, je voulu trouver une déferlante de joie, ma compagne et nos câlins. Mais ça ne me prenait pas assez de temps et toujours l'Ukraine réapparaissait. Je me suis alors évertué, dans mon lit, sans bouger pour ne pas la réveiller, à créer des vers sur le thème de la déferlante de joie.
Sur les Rebords du Monde (extrait)
Publié le 15/03/2022
Comme Léo, je cherchais une citation à mettre en intitulé. Mission impossible, devant l’afflux de phrases possiblement à souligner. J’ai opté pour la dernière, parce que j’aime cette façon que tu as d’afficher un dernier point sur la phrase choc qui nous laisse bras ballants. Sam, je ne cesse d’être subjuguée par le souffle de ta plume ! Merci :)
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 15/03/2022
Patrice qui n’aime guère les vers ou les images trop précises réussit décidément à se trouver là où on ne l’attend pas ! Merci : un exercice périlleux pour toi - et ma foi - tu t’en sors ;)
Amarelinha
Publié le 15/03/2022
Merci vraiment beaucoup. Dire que les mots se détachent et vous empoignent, c’est un vrai bonheur ! Sans doute une des plus belles critiques qu’on puisse m'écrire :)
Amarelinha
Publié le 15/03/2022
Je ne vais pas être très originale, mais ton commentaire est magnifique aussi. Si ce tourbillon de vie réchauffe un peu les cœurs, alors Allegoria virevolte ;)
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 15/03/2022
J'ai fait de mon mieux pour de nouvelles idées. Mais n'étant pas un inconditionnel de la poésie, ma culture dans le domaine est pauvre. Je ne sais donc pas si j'y suis un tant soit peu parvenu. Cependant, je suis assez content d'avoir pu ne pas trahir la vérité et d'avoir pu exprimer un peu de l'ambiguïté féminine. "Ta luminance prédéfinie" et "Et tu ris de me voir voir la houle". Merci encore Léo pour le temps que tu m'as si aimablement consacré. ;-) Vraiment !
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 15/03/2022
La faim prédomine dans ce poème qui est un beau clin d’œil pour le travail réalisé par Sébastien. J’ai toujours beaucoup de mal à commenter la poésie qui s’appuie souvent sur des images. J’aime les trouvailles et les agencement d’idées nouvelles. Merci pour ce poème polisson.
Sur les Rebords du Monde (extrait)
Publié le 14/03/2022
Je voulais reprendre une de tes phrases que j'ai aimé lire, et puis il y en a eu deux, trois, quatre... j'aime ton écriture sur le fil du rasoir, entre ta magnifique poésie et toute la laideur du monde et de ses violences. Je réitère mon propos concernant les chants de Maldoror qui résonnent dans le fracas de tes images saisissantes. Vraiment bravo.
Sur les Rebords du Monde (extrait)
Publié le 14/03/2022
Je n'ai pas les compétences pour juger. Je ne peux que faire de mon mieux pour décrire comment tes mots ont vécu dans mes murs. En début de lecture, je galère toujours à te suivre, trop compliqué et abstrait pour ma cervelle et sans doute aussi à cause de mon intransigeance à vouloir comprendre plus ou moins parfaitement. Mais assez rapidement, comme par magie, le décodage se fait plus rapidement. Alors, les difficultés premières disparaissent pour laisser apparaître le sens des mots. un sens grave. Ce glissement que mon cerveau a opéré en lisant ton texte m'a rappelé les glissement de mix dans "wish you were here" qui, ironie du sort, parle aussi d'un être disparu. Et puis oui, je me suis rapproché du sens. J'avais d'abord écrit qu'après la forme, le sens apparaissait. C'est évidemment idiot. Le sens apparaît à chacun comme il apparaît parce que tu as choisi les mots que tu as choisi et que tu les as agencé comme tu les as agencés. Finalement, ce sont surtout des images qui me sont apparues, comme dans un rêve, en parcourant ton texte en fait doublement onirique. ;-)
Sur les Rebords du Monde (extrait)
Publié le 13/03/2022
T'es mots résonnent avec toute la violence, toute la férocité, et toute l'absurdité des tourmentés, comme Sarah qui hurle sans se faire entendre sa culpabilité et son esprit désorienté. Toujours aussi bien écrit. Songes tourmentés et/ou réalité-cruauté ? Telle est la question que je me pose à la fin de ma lecture... Tu fais ressentir en même temps tant d'empathie pour ton personnage, perdue dans ses orages, au bord du naufrage. J'aime beaucoup Merci pour ce texte Sam
La Folie
Publié le 13/03/2022
ohhh Lautréamont ! Je suis très touchée par cette comparaison, merci à vous ! Léo, je suis vraiment ravie de pourvoir te fournir en toute légalité :)
Deuxième jour à Dakar
Publié le 13/03/2022
Et moi, de lire la citation, j'en avais les larmes aux yeux. Effet larsen littéraire ? Aussi de la fatigue. Merci, merci vraiment beaucoup pour tes encouragements que je sens tout à fait sincères. ;-)
Deuxième jour à Dakar
Publié le 13/03/2022
"Elles se parlent et se suicident doucement. Elles se parlent et bradent irrémédiablement la seule chose qu'elles possèdent, leur vie. Leur petite vie de petites filles noires. Elles avancent à pieds nus dans une eau de plus en plus profonde et d'ici une dizaine d'années tout au plus, elles seront anesthésiées par le mer qui les ensevelira complètement. Elles seront invisibles aux yeux de tous, y compris aux leurs." Vraiment bravo Patrice pour ce passage, tu m'as complètement emportée. Tu entoures tes phrases d'une étonnante douceur qui compense admirablement le tragique de leur signification. La tristesse est infinie mais soutenue par un éclat de poésie. Merci, vraiment, pour ce moment de lecture.