Tes récits sont vivants sur des choses banales car tu maîtrises bien les figures de style notamment celui de la personnification, merci Stanislas pour cette nouvelle aventure et ce nouvel envol à venir.
Dans un de tes récits de prédilection : le voyage et les aéoroports, maîtrisés à la perfection. Juste une annotation plus haut concernant la ponctuation.
J’adore votre texte et franchement j’étais carrément avec vous sur ce chemin que je trouve merveilleux. Moi qui vit dans les canicules de la Méditerranée, chaque hiver j’espère voir de la neige comme il y quelques années je crois en février 2019. Il était tombé 30 cm de poudreuse à Montpellier et dans tout le midi jusqu’à Marseille !
Elle a tenu un jour en vrai poudreuse car -1° puis le lendemain ça a commencé à fondre. Ça a bien prit une semaine.
Merci de m’avoir rafraîchi pour aujourd’hui ❄️
Merci, oui en effet c’est une belle façon de l’approcher puisque nous aurons tous ce rendez-vous au final. Notre point commun à tous : les seules vérités : nous sommes en vie et nous partions. Ce sont les deux seules choses communes à tous. Des vérités vraies, pas de fake de ce côté 😘
Ce texte n'est pas angoissant loin de là. La finitude permet la beauté de la vie. Elle, comme un apaisement, un point final sur une belle histoire. Et qui sait ce qui se passera après ?
De la souffrance intérieure, du silence, de la candeur et tellement de délicatesse. De l'honnêteté aussi.
J'aime ce personnage.
Dormir sous un velux, regarder la pluie et lui parler.
Merci du partage.
Merci pour ta réponse. Je vais donc m'en tenir aux objectifs de cet atelier d'été et c'est déjà pas mal. Je verrai ensuite pour donner de l'épaisseur aux personnages et pour mieux planter le(s) décors. Bonne soirée.
Bonjour Marie-Noëlle, les transitions sont rapides et l’on aimerait mieux s’approprier les personnages, ce à quoi ils ressemblent, ce qu’ils pensent, ce qu’ils sont ainsi que leur environnement. Ce serait à développer mais il semble y avoir une trame et il n’est jamais trop tard de revenir sur un texte plus tard pour le consolider. Ces ateliers d’été permettent trois choses déjà très importantes : avoir un rythme d’écriture, structurer son récit et gagner en confiance en étant allé au bout.
Bonsoir monsieur et merci beaucoup pour votre commentaire, remarquez je ne suis pas sur un nuage amère.ni acidulé ni citron 🍋... honoré que je suis d'être un auteur fantaisie
Un souffle d’azur, une musique intérieure, des frissons tissés de lumière… Ce poème est un voyage sensoriel, un rêve où l’éphémère et l’espérance s’entrelacent. Bravo pour cette écriture fluide, riche et doucement céleste.
Merci
Un poème poignant, tout en clair-obscur. On sent la lutte intérieure, l’amour qui déchire, et cette lumière finale qui apaise. Bravo pour ces images fortes et sensibles !
Merci Léo, je commence à comprendre le fonctionnement et je vois que des déblocages ont eu lieu.
J’ai rajouté sur le 1er chapitre un épisode de vacances et des modifications quand nécessaire.
La puissance d’une histoire que l’on penserait enfoui à jamais et pourtant… Sam a bien raison de parler de fêlure, une faille discrète et invisible jusqu’au jour, ou dans ce cas un prénom vient tout raviver. Et imprimer le vertige, l’effroi du vide s’il n’obtient pas ses réponses. c’est aussi une mémoire ravivée qui va à la rencontre de tout ce qui a changé, et qui peut-être sera aussi préservé. On suit André dans les pas de l’incertitude.
Il y a un tourbillon de vie qui lutte face à la maladie, entre sensualité, lucidité et douleur. Le corps charnel de l’amour et désormais hôte de la maladie. La puissance de l’esprit en allier, entre philosophie et spiritualité. Ismahane a tout d’une guerrière même si elle est vulnérable et on le serait à moins en apprenant une telle nouvelle. Il semble aussi que sa relation aux autres, amants, médecin, est aussi une source d’énergie afin de l’aider à lutter efficacement. Aimer, souffrir, et rester digne et debout face à l’incertitude. A plus tard Sam.
Le désert affectif d'un enfant au milieu des siens, l'absence de mots, la rareté du geste tendre peuvent avoir de graves répercussions sur la psychologie des enfants. Et si une imagination hypertrophiée doublée d'une inconscience s'en mêle, on peut aisément s'inquiéter. " Ils l'aimeraient une fois mort " ... Un constat qui peut dans les cas extrêmes entrainer des gestes fatals ... Hâte de lire la suite. Merci du partage 🍀