Il y a autant de douceur que de morsures, ta marque de fabrique qui malmène et fait vaciller l’émotion du lecteur comme le serait la flamme d’une bougie, à l’épreuve d’un souffle lointain.
Entre ombre et lumière, mais aussi à travers l’âme dans le corps (à corps et à cris), tes textes se situent à l’équilibre, sur un fil ténu au-dessus de gouffres affamés. Il y a en chacun d’eux, un véritable instinct de survie, à fleur de peau. À plus tard.
J’aime beaucoup la constellation des cœurs et celles des âmes qui inspirent tant d’histoires et d’émotions. J’aime aussi la constellation des mots et celles qu’elle permet, des univers dans l’univers. À plus tard Michel.
Les artistes sont les interprètes des émotions. Et tous les supports, sous toutes leurs formes permettent de libérer le trop plein de soi… de nouveau de très belles formules dans ton texte.
Que ton texte me parle. Et comme je comprends la détresse qui mène malheureusement dans l’abysse.
J’ai un peu beaucoup de ceci dans mon texte « une vie comme tant d’autres, peut-être… Pas si bien écrit, mais de l’avoir écrit m’a fait du bien énormément de bien, il y avait longtemps que j’y pensais et le défi 7 jours pour changer était là.
Ce fut difficile avec des torrents de larmes..
Déchirant
Ton texte m’émeut énormément
Merci pour ce partage
Michel
Un texte tout en retenue, d’une grande douceur. Marcel écrivait la vie sans bruit, les petits combats que l’on mène en silence. Merci de continuer à faire vivre ses mots. Ils nous parlent encore.
Merci Léo,
Tu as très bien ressenti ce mélange.
Ces lettres sont pleines de contradictions, de haine, d’amour, de désespoir.
On ne sait plus s’il est fou, lucide, ou en train de basculer.
Ça dépasse l’entendement.
C’est dérangeant, mais fascinant.
Comme si on entrait dans une tête qui explose en silence.
J’imagine un homme ou une femme recevant ce genre de lettres maintenant (et ça doit exister par email ou sms)
C’est à rendre fou
En même temps le lecteur est pris dans cette engrenage et c’est fascinant
J’espère que toi et vous tous pourrez vous procurez ces livre d’Hélène Bessette et vraiment ils sont à garder.
Je les ai tous trouvés sur le site « la bourse aux livres » ils ont des neufs et des occasions
Merci
Michel
C’est vraiment très original comme parti pris, et c’est aussi universel lorsqu’il s’agit de ruptures, où la raison en panique dérape et se fourvoie, se prête à tous les langages lorsqu’elle prend conscience que ce qu’elle chérissait le plus lui échappe à tout jamais…
Merci beaucoup pour ce texte. C'est beau l'amour à l'automne de la vie. Il faut s'aimer avant l'hiver. C'est très bien écrit et les images sont parlantes.
OUI Mich c'est dans notre société que le Je PRIME;
C'est pas une critique mais on constat mais les gens aujourd'hui ne pensent qu'à eux, qu'à leur petit jeu.
Dans la vie de tous les jours c'est souvent JE tout court mais pas en poésie. On peut inventer un personnage sans le mentionner, et dire JE, et c'est lui qui parle, et le lecteur peut prendre ce JE pour lui s'il se retrouve dans le sujet abordé par le personnage/narrateur/auteur. Le JE, dans ce cas, devient pluriel. Mais dans la vie de tous les jours l'empathie souffre face à l'égoïsme...
Se cacher dans ce monde de voyeurisme et d’exhibition numérique n’est pas simple.
Le coin idéal ? Il est rare, mais peut-être plus proche qu’on le croit.
Je pense qu’il est là, dans l’instant.
Un peu de musique classique, quelques bougies, un intérieur cosy, la porte fermée…
Ne pas allumer la télévision (ça, c’est vraiment mortel).
Un bon repas fait maison, un verre de vin.
Pas besoin d’aller vivre dans une grotte.
On peut encore s’inventer un refuge, ici et maintenant. 😘
Bien à vous.
Merci Salima,
Malheureusement, tout cela sonne très juste.
J’ai remarqué aussi que lorsqu’on pose simplement : « Comment vas-tu ? », on obtient souvent : « Je suis dans le tram, je fais ceci, cela… »
Mais bien rarement ce petit retour bienveillant :
« Ça va bien, merci, et toi-même ? »
Je reste souvent sidéré.
Dernièrement, j’envoie :
« Hello darling, comment vas-tu ? »
Réponse : « Je travaille. »
N’ayant rien d’autre, j’écris :
« Je vais bien aussi, merci. »
Et la réponse fuse : « Relou. »
Pas de commentaire…
Que dire ?
On s’enfonce dans un marécage de non-communication.
Et qui nous en sortira ?
Certainement pas Facebook…