Merci Léo,
C’est une excellente idée de voir ce chef-d’œuvre de Visconti.
La musique de Gustav Mahler, tirée de sa Cinquième Symphonie, l’Adagietto, ce mouvement lent aux violons qui pleurent y déploie une puissance bouleversante et confère au film une beauté presque funèbre.
Les violons y seront encore plus émouvants, maintenant que l’on sait…
D’ailleurs je te conseille aussi d’écouter Catherine Ringer, elle a une très belle chanson sur cet Adagietto
Le titre est tout simplement « Malher »
Une rare beauté !
Tes mots s’engouffrent dans le spi d’une chouette embarcation qui navigue dans les eaux paisibles de l’enfance, un beau voyage dans l’antan… et toujours le soin de sélectionner les mots justes et irremplaçables. Merci Enzo.
Et oui, il s’en est allé à son tour et je me suis promis que d’ici cette fin de semaine je regarderai Mort à Venise que je n’ai jamais vu. Merci Mich de m’y encourager par ton très beau texte.
Toujours à contre-courants, souvent les parents disent aussi on ne les fait pas pour soi et je pense effectivement que c’est plus prudent pour ne pas déprimer :)
Entre la montagne, le soleil, l’éclair et l’étoile on tutoie les cieux et ce faisant les divinités. Et puis en toute fin l’on a ce grillon, cet insecte, qui pourtant fait grand bruit. J’aime beaucoup cette vue plongeante qui pénètre jusque l’intimité des mots qui probablement s’étirent sur la page. Il y a également une belle part de sensualité pour sublimer le tout. Merci Francis-Etienne.
La beauté des moments simples, et la façon dont les enfants nous rappellent l'importance des liens familiaux et des souvenirs. Très touchant. La dimension poétique aussi. Merci :)
Rhoo, j’adore ce genre d’échanges ! Tu sais, mon style d’écriture est plutôt basé sur des phrases courtes et peu de ponctuation. Les détails, je les glisse entre les lignes. Je n’ai pas d’intérêt à faire du point-virgule un emblème. Maintenant, parlons-en un peu. C’est vrai, on n’écrit plus comme au 19e siècle, c’est évident. Mais ça ne veut pas dire que le point-virgule est devenu obsolète. Laisse-moi te donner un exemple simple et récent - et je ne le fais pas par autocentrisme, mais parce que j’ai pensé à vous en l’écrivant (un retour de commentaire pour Léo) : “J’avais choisi ‘voiture’ pour son côté métonymique ; tu sais, ça évoque les petites voitures (les auto-tamponneuses) et ça fait le lien avec l’univers des manèges.” Franchement, si tu remplaces le point-virgule par un point, ça ne sonne pas pareil ! Les deux segments sont directement liés. Un point casserait le rythme, et une virgule alourdirait le tout, en enlevant ce petit clin d’œil. Pas d'accord ?
Je lis "Le point-virgule est un signe de ponctuation représenté par une virgule surmontée d'un point, principalement utilisé pour séparer deux membres de phrase indépendants l'un de l'autre grammaticalement, entre lesquels il existe une liaison logique." Mais il existe toujours dans un texte une liaison logique entre deux phrases ! Pour moi, le point virgule comme définit là est donc un double emploi avec le point.
Le "aller à la ligne" va au delà du point et le paragraphe encore plus loin.
Belle entrée en matière : une réflexion personnelle qui nous invite à une introspection sur nos propres expériences de mélancolie et d'ennui. Et quel bonheur de relire ce poème de Verlaine !
Un texte qui invite à rire de nos travers tout en nous rappelant que, même dans les moments de lutte contre le sommeil, il y a de la place pour l’humour et la complicité ! Merci, j'ai passé un bon moment :)
Un texte poignant, qui rend hommage à une vie de souffrance et de résilience. Il reflète les sacrifices nécessaires à la survie, avec un style descriptif et émouvant qui nous permet de ressentir la douleur et l'angoisse de Marie. Merci :)
C’est vrai, le point-virgule ne redeviendra probablement pas le grand incontournable de l’écriture moderne. Mais je pense qu’oublier complètement son existence appauvrirait notre manière de nous exprimer. Une langue qui se simplifie trop finit par restreindre notre pensée. Un bon point-virgule peut vraiment apporter de la clarté sans alourdir le texte.
Un hommage magnifique à Björn Andrésen, qui capture la fragilité de la beauté et le passage inexorable du temps. J'aime particulièrement les métaphores puissantes, comme celles du train et la clepsydre. Merci sincèrement pour ce partage :)
J’apprécie particulièrement la manière dont tu explores ta rencontre avec ce couple et comment cela t’a amenée à remettre en question tes propres certitudes. L’idée que les valeurs du cœur peuvent primer sur la raison est inspirante. Ton récit illustre bien que l’amitié et le partage transcendent nos différences. Merci pour cette belle réflexion :)
Merci pour ce retour très instructif Allegoria ! Je réfléchis à une potentielle suite. En attendant je suis ravie de faire évoluer les regards concernant le monde psychiatrique, et la question de la santé mentale (Serai-je plus efficace que notre politique actuelle ?). Merci pour ce retour qui fait plaisir !
Et merci à toi pour ton commentaire aussi utile que bienveillant. Je n'étais pas sûr de bien le comprendre mais en relisant mon texte, c'est limpide. Et puis, je voulais écrire sous l'autre observation que tu as faite en réponse à ma réaction pour ta contribution au défi de ce mois. Tu m'as écrit qu'il existait différentes écritures. C'est évident et pourtant tu as très bien fait de me le rappeler. ;-)
Ton texte est vivant, et l’ambiance d’un bar ainsi que la camaraderie entre les personnages sont bien captées. Si tu souhaites que l’on s’attache davantage à ton personnage principal, fais attention au stéréotype qui peut parfois le définir. Des interactions plus développées entre les personnages pourraient contribuer à intégrer les éléments plus sérieux de manière plus harmonieuse. Cela constitue une base de travail intéressante, surtout si tu souhaites présenter la naissance d’un groupe, comme tu l’as mentionné à Léo. Merci pour ce partage, Patrice ! :)
Un texte riche en émotions ! La façon dont tu décris Adrien Lambert et son interaction avec les patients de l’hôpital psychiatrique est touchante. Les détails concernant M. Sera, notamment son utilisation de mots peu communs pour exprimer ses émotions, ajoutent une belle profondeur à l’histoire. La scène où Adrien découvre les mots sur les murs est visuellement forte, et les paroles prononcées par le médecin sonnent justes. La référence à l’italien, ‘Sera’, pour signifier ‘soir’, ajoute une belle touche poétique et symbolique. Merci pour ce partage, et une suite peut-être ? :)
Un rythme dynamique qui donne une impression de mouvement. Une belle métaphore du cheminement personnel, des épreuves et des espoirs. L’ultime référence à ‘la lumière’. C’est court et percutant. Merci :)