Merci de votre commentaire. Je viens aussi de ce monde et c'est en regardant le tableau qui illustre le texte que l'inspiration m'est venue. Tableau dont j'ignore l'auteur
Prise par l'atmosphère, souvenirs de fins de vie qui remontent, je ne sais pas vraiment "critiquer" un texte, me fiant au ressenti. J'y vois la vieillesse, la tristesse, l' amertume collant au paysage. C'est bien rendu.
Très bien décrit. Je les vois ces ouvriers et cette oeuvre gigantesque. Je les imagine.
Native d'un village ouvrier, j'ai toujours eu du respect pour les bâtisseurs.
Je fais les choses pour moi, mais aussi pour les autres. Témoigner permet à ceux qui n'y arrivent pas de trouver le courage de se lancer. Briser le silence n'est pas facile sauf quand il apparaît nécessaire. C'est ce qui m'a aidé à composer ce texte. Ce dernier t'apportes peut-être des réponses concernant le texte "Personne". Quant aux questions je me les pose parce que, certes, se dévoiler comme cela montre une grande confiance de l'autrice à ses lecteurs/lectrices, mais il ne faut pas toujours trop en dire sinon les ennuis débarquent. J'essaie à chaque fois de trouver un juste milieu.
Tout est affaire de temps, en toute chose le temps nous gouverne dans son royaume totalitaire… Bernard Fontenelle écrivait : “Ne prenez pas la vie au sérieux ; de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant.”.
Un texte touchant ou chaque mot soigneusement sélectionné est empli d’une grande émotion face au drame qui se déroule. Pour toutes les questions j’ai envie de dire que l’on doit faire les choses pour soi et lorsque l’on souffre les choses qui nous permettent de mieux aller, et de pouvoir aussi se reconstruire dans un second temps, phase qui nécessite bien plus de temps, ce qui est bien normal. Se recentrer sur soi pour être à sa propre écoute est souvent salutaire dans les moments les plus pénibles. Bon courage Lucie.
Je vois le courage plus que la fuite. Je vois la force plus que la fragilité. Je vois le sourire à travers les larmes. Je vois la sincérité face à la bêtise des autres. Je vois la résilience et la renaissance.
Je me reconnais beaucoup dans ton texte. J'espère pouvoir raconter cette nuit d'été aussi bien un jour.
Juste merci, ce texte est la meilleure des thérapies.
Ode à la liberté et à l’amour pour un doux poèmes sur l’émancipation. Ma seule remarque que j’espère constructive se porte sur "Peau de fusain, regard de coton » qui sont très doux et plutôt positifs, coincés entre « nuit destructrice » et « des souvenirs, contre toi » qui évoquent un état tout autre. L’ensemble m’a paru ambivalent. A plus tard loscrivo.
Les mots ont toujours été des enjeux majeurs dans l’expansion des civilisations mais aussi dans toutes les formes de totalitarisme. Femmes, hommes et livres menés au bûcher pour être des contenants de savoirs, de connaissances, de différences, et parfois subversif… et pourtant les supports se sont démultipliés pour faire perdurer toutes formes de réflexions. A l’image des vagues qui ne cesseront jamais d’être en mouvement, les mots et le langages resteront immuables tant qu’il restera des hommes et l’envie de survivre. Merci Francis-Etienne pour ce nouveau partage.
Le temps qui passe à la vitesse de l’éclair et e quotidien qui gâtent les vies et qui nourrissent remords et regrets. L’uniformité des vies aux destins inéluctables semblables à des prisons tant collectives qu’individuelles, tout ce qui tue à petit feu jusqu’au baiser de la mort. Merci pour ton poème magnifique et plein de sens Francis-Etienne.
Ce poème est puissant mais c'est vrai que j'ai du le lire plusieurs fois afin de parvenir à le comprendre. Le jeu d'images rend la souffrance évocatrice. "Tu erres dans un labyrinthe // Emotif" me rappelle vaguement quelqu'un.
Les épreuves font partie de la vie, elles nous arrivent pour être traversées et dépassées et chacun en a son lot j'en suis consciente. Mais effectivement même quand plus rien n'a de sens je continue de me battre...
Merci Léo pour tes commentaires toujours positifs et bienveillants. Et merci pour la citation : je suis à mon tour touché que cela te dirige vers Le Petit Prince!
Merci, dans ce poème l'IA serai plutôt le serpent tentateur perché sur la connaissance humaine. D'ailleurs la dernière phrase est une référence aux litanie de Satan de Baudelaire. Pour ce qui est des référence j'en ai mis autant que j'ai pus 🤣.
C'est une déclaration d'amour très romantique (au sens amoureux et du mouvement littéraire) qui évoque un amour quasiment paradisiaque, un cocon dans lequel se blottir. Merci pour ce beau poème, j'espère en lire d'autres aussi beaux.