J’aime ta façon d’aborder les luttes et les joies de l’écriture, et cette idée que partager nos mots est essentiel. C’est une réflexion touchante. Un beau voyage que tu proposes, merci de nous en faire profiter ! :)
L’écriture est à la fois puissante et évocatrice, abordant ce sujet sensible avec une grande finesse. La cadence hypnotique des phrases, la progression émotionnelle et la richesse en images témoignent d’une simplicité et profondeur saisissante. C’est un vrai coup de cœur : merci beaucoup :)
Quelle critique passionnée ! Ton enthousiasme est vraiment communicatif et donne envie de découvrir cette troupe qui t’a tant touché. Merci pour ce partage :)
Cette réflexion sur les émotions complexes que nous éprouvons face à l’injustice et à la fragilité de la vie, tout en célébrant la force et la beauté de l’instant présent, est puissante. Les mots résonnent profondément. Merci :)
J’aime son titre ‘Tourbillon de savon’ : l’éphémère, le mouvement, le contraste des émotions, les sensations, et même la créativité elle-même. J’aime ses images, comme les ‘paniers de couleurs’, qui sont contrastées par la présence du ‘grillon plein de rage’. Et j’apprécie particulièrement son dernier vers, évoquant le passage du temps et les traces indélébiles qu’il laisse. Merci pour votre partage ! :)
Merci pour ton partage Vickie. C’est touchant et tellement réel. J’ai ressenti l’angoisse de la maman, la façon dont Aislinn navigue dans son propre monde, et ce mélange d’émotions entre elles. Cette thématique est à la fois difficile à aborder et essentielle, et tu t’es vraiment bien débrouillée.
Je n’avais pas encore lu ton texte ni ses commentaires quand j’écrivais le mien. La question des prénoms (à remettre dans leur contexte) et l’interprétation de Meursault par certains comme un personnage ayant des traits autistiques sont des coïncidences qui font sourire. Passe une belle soirée :)
Cette mise en abyme est vraiment ingénieuse, surtout si l’on considère Frankenstein comme le miroir de la condition humaine. Votre description de la créature en quête d’acceptation est touchante, et les extraits que vous avez choisis illustrent parfaitement la solitude et la colère de votre personnage. Si vous décidez de nous en dévoiler davantage dans un prochain texte, je vous lirai avec plaisir. Vous nous mettez l’eau à la bouche ! Merci pour votre partage :)
Je vais continuer c'est certain. Je trouve ça tellement dingue. Oui cela m'a permis d'avoir confiance en moi. Peut être qu'un jour je reprendrais l'écriture du roman.
Merci Ioscrivo ! Ecrire c'est briser le silence, se livrer, se découvrir, partager, aller vers les autres d'une autre manière. Cela fait du bien. L'écriture est aussi une aide précieuse pour retrouver confiance en soi. Si tenir la plume t'anime, te fait plaisir, alors continue !
Merci Lucie. Je souris car je n'aurais jamais imaginé écrire autant et surtout continuer à écrire. Tes commentaires apportent un autre regard, quelque chose de léger et de profond.
Ce poème est fort dès les premiers vers : "Et doucement, // Ton cri les renverse." On a un mélange entre la douceur et la violence qui fait impression. Le lecteur est aussi touché que le poète par le combat que mène sa bien-aimée. Le pronom indéfini "on" est intelligent, il souligne bien qu'au fond, cette bataille, c'est aussi la nôtre.
Ravie que les personnages te plaisent. Ils craignaient un peu de te perdre, surtout avec leur auteur qui n’est pas franchement un pro des textes longs... Un énorme bravissimo à toi aussi pour ta patience et ton indulgence :-)
Léo, tu es vraiment dans le mille. Ta note à toi-même est cruciale. Après l’Apoèticaire, un accessoiriste : indispensable pour compléter cette équipe et donner vie à nos fantasmagories. Je me demande quels objets loufoques il pourrait sortir de ton chapeau 😂
Ah, l’Apoèticaire, quelle brillante idée ! Une profession qui pourrait sauver le monde, un vers à la fois. Je suis totalement pour des prescriptions de poésie matin, midi et soir. Imagine les consultations : “Aujourd’hui, je te recommande un slam pour le petit-déjeuner, un poème libre pour le déjeuner, et un haïku pour le dîner.” La poésie a ce pouvoir magique de transformer notre perception du quotidien :))
Merci beaucoup ! C’est fascinant de penser à la façon dont notre inconscient stocke ces souvenirs de personnages marquants. Jung parlait de ces archétypes qui résonnent en nous. Le lapin d’Alice, c’est mon gros coup de cœur dans le conte :)
Totalement d’accord : Monsieur Wonka est l’incarnation parfaite. Quelle réussite ce film quand même : tu dis ‘Wonka’, et tu as déjà une musique, et des images plein la tête ! C’est fou comme il a marqué notre imagination. Qui ne rêve pas de chocolat et de bonbons après avoir vu ça ?
Eh oui, souvenirs sens et petite madeleine... Si la liste peut t’inspirer à élargir tes expériences, j’ai hâte et je suis curieuse ;-) La créativité n’a pas de limites. Merci Léo.
J’avais choisi ‘voiture’ pour son côté métonymique ; tu sais, ça évoque les petites voitures (les auto-tamponneuses) et ça fait le lien avec l’univers des manèges. Mais je me rends compte que ça peut prêter à confusion. Merci pour ta remarque, ça m’a permis de le comprendre ! Du coup, je remplace ‘voitures’ par ‘bolides’pour garder cet esprit ludique :)
Waouh, merci pour ces mots ! Ça met la barre haute pour la suite et les prochaines listes. J’aurais peut-être dû te préparer un peu et t’avertir des majuscules et des points d’exclamation à gogo. Je crois me souvenir que ce n’est pas trop ton truc ;-)
J'aime l'accentuation comme un écho de la peur. L'idée d'un recommencement. La phonème principale s'étire au rythme de la peur et en souligner la longueur, l'emprise.
On peut également relire le poème en insérant le mot peur a chaque vers ,en ajoutant parfois ''de''.
La peur alors ne nous quitte plus.
C'est d'une remarquable justesse notamment ''s'oublier pour un autre''.
;-) C'est toujours une bonne question à se poser : est-ce que ça apporte quelque chose à l’histoire ? Une histoire, n'importe laquelle, on peut la raconter en 10 lignes. Pourquoi Madame Bovary prend 150 pages ? Qu'apporte ce qui n'est pas "essentiel", ce qui "n'apporte rien à l'histoire", sinon un approfondissement des personnages, une épaisseur au récit, une familiarité entre l'auteur et le lecteur ? Mais tu as raison. Il faut se poser cette question. Toutefois, c'est seulement lors des relectures postérieures qu'on pourra voir si ce passage aura ou pas sa place dans le roman. En attendant, ici, celui-ci montre comment les circonstances arrosées d'une rencontre ont permis à un groupe de naître : "Et mes amies et moi, on n’a pas l’alcool mauvais, ça, j’le jure. On est sur la même longueur d’onde tous les cinq. Je sais pas comment j’le sais, mais j’le sais et je sais aussi qu’on est des gentils."
Merci Léo pour ton commentaire très positif. C'est toujours encourageant! C'est une vieille chanson écrite il y a plus de dix ans que j'ai retrouvé au fond d'un vieux dossier. Mais aujourd'hui, à la vue du temps qu'il fait, elle est de circonstance, en effet.