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Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 15/03/2022
Patrice qui n’aime guère les vers ou les images trop précises réussit décidément à se trouver là où on ne l’attend pas ! Merci : un exercice périlleux pour toi - et ma foi - tu t’en sors ;)
Amarelinha
Publié le 15/03/2022
Merci vraiment beaucoup. Dire que les mots se détachent et vous empoignent, c’est un vrai bonheur ! Sans doute une des plus belles critiques qu’on puisse m'écrire :)
Amarelinha
Publié le 15/03/2022
Je ne vais pas être très originale, mais ton commentaire est magnifique aussi. Si ce tourbillon de vie réchauffe un peu les cœurs, alors Allegoria virevolte ;)
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 15/03/2022
J'ai fait de mon mieux pour de nouvelles idées. Mais n'étant pas un inconditionnel de la poésie, ma culture dans le domaine est pauvre. Je ne sais donc pas si j'y suis un tant soit peu parvenu. Cependant, je suis assez content d'avoir pu ne pas trahir la vérité et d'avoir pu exprimer un peu de l'ambiguïté féminine. "Ta luminance prédéfinie" et "Et tu ris de me voir voir la houle". Merci encore Léo pour le temps que tu m'as si aimablement consacré. ;-) Vraiment !
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 15/03/2022
La faim prédomine dans ce poème qui est un beau clin d’œil pour le travail réalisé par Sébastien. J’ai toujours beaucoup de mal à commenter la poésie qui s’appuie souvent sur des images. J’aime les trouvailles et les agencement d’idées nouvelles. Merci pour ce poème polisson.
Sur les Rebords du Monde (extrait)
Publié le 14/03/2022
Je voulais reprendre une de tes phrases que j'ai aimé lire, et puis il y en a eu deux, trois, quatre... j'aime ton écriture sur le fil du rasoir, entre ta magnifique poésie et toute la laideur du monde et de ses violences. Je réitère mon propos concernant les chants de Maldoror qui résonnent dans le fracas de tes images saisissantes. Vraiment bravo.
Sur les Rebords du Monde (extrait)
Publié le 14/03/2022
Je n'ai pas les compétences pour juger. Je ne peux que faire de mon mieux pour décrire comment tes mots ont vécu dans mes murs. En début de lecture, je galère toujours à te suivre, trop compliqué et abstrait pour ma cervelle et sans doute aussi à cause de mon intransigeance à vouloir comprendre plus ou moins parfaitement. Mais assez rapidement, comme par magie, le décodage se fait plus rapidement. Alors, les difficultés premières disparaissent pour laisser apparaître le sens des mots. un sens grave. Ce glissement que mon cerveau a opéré en lisant ton texte m'a rappelé les glissement de mix dans "wish you were here" qui, ironie du sort, parle aussi d'un être disparu. Et puis oui, je me suis rapproché du sens. J'avais d'abord écrit qu'après la forme, le sens apparaissait. C'est évidemment idiot. Le sens apparaît à chacun comme il apparaît parce que tu as choisi les mots que tu as choisi et que tu les as agencé comme tu les as agencés. Finalement, ce sont surtout des images qui me sont apparues, comme dans un rêve, en parcourant ton texte en fait doublement onirique. ;-)
Sur les Rebords du Monde (extrait)
Publié le 13/03/2022
T'es mots résonnent avec toute la violence, toute la férocité, et toute l'absurdité des tourmentés, comme Sarah qui hurle sans se faire entendre sa culpabilité et son esprit désorienté. Toujours aussi bien écrit. Songes tourmentés et/ou réalité-cruauté ? Telle est la question que je me pose à la fin de ma lecture... Tu fais ressentir en même temps tant d'empathie pour ton personnage, perdue dans ses orages, au bord du naufrage. J'aime beaucoup Merci pour ce texte Sam
La Folie
Publié le 13/03/2022
ohhh Lautréamont ! Je suis très touchée par cette comparaison, merci à vous ! Léo, je suis vraiment ravie de pourvoir te fournir en toute légalité :)
Deuxième jour à Dakar
Publié le 13/03/2022
Et moi, de lire la citation, j'en avais les larmes aux yeux. Effet larsen littéraire ? Aussi de la fatigue. Merci, merci vraiment beaucoup pour tes encouragements que je sens tout à fait sincères. ;-)
Deuxième jour à Dakar
Publié le 13/03/2022
"Elles se parlent et se suicident doucement. Elles se parlent et bradent irrémédiablement la seule chose qu'elles possèdent, leur vie. Leur petite vie de petites filles noires. Elles avancent à pieds nus dans une eau de plus en plus profonde et d'ici une dizaine d'années tout au plus, elles seront anesthésiées par le mer qui les ensevelira complètement. Elles seront invisibles aux yeux de tous, y compris aux leurs." Vraiment bravo Patrice pour ce passage, tu m'as complètement emportée. Tu entoures tes phrases d'une étonnante douceur qui compense admirablement le tragique de leur signification. La tristesse est infinie mais soutenue par un éclat de poésie. Merci, vraiment, pour ce moment de lecture.
Amarelinha
Publié le 13/03/2022
Oh sublime ! J'aime la façon dont tu isoles les mots, comme pour leur redonner toute leur puissance. Ils deviennent à eux seuls, une image, une émotion. Ils se détachent soudainement de leur simplicité et nous empoignent. " À pieds joints. L’ode espère. Console. Déborde. Sans piège. ": c'est magnifique. Merci.
L'humain, son ingéniosité, ses mécaniques,...
Publié le 12/03/2022
Merci infiniment ton commentaire et le temps que tu m'as consacré. Vraiment ! Pour écrire ce texte, j'avais pris quelques renseignements auprès d'un professeur de l'école d'ingénieur du son (IAD) où j'avais suivi mon cursus d'ingéson. J'avais des questions très précises à lui soumettre, notamment, la couleur du document d'origine qui accompagne le Nagra 4S. C'est aussi lui qui a choisi ce modèle précisément car je ne savais pas quel était le plus beau Nagra analogique. Enfin, bref, après sa rédaction, je lui ai envoyé le récit, à quoi il a répondu, comme toi, que ce texte aurait mérité un plus grand développement. Alors, je pense que je vais écouter le ronronnement de mon égo quitte à prendre le risque de décevoir le lecteur quant à la suite. Pratiquement parlant, puis-je ajouter au texte "L'humain, son ingéniosité, ses mécaniques,..." ou dois-je nécessairement publier un autre récit ? Je dois dire que je préférerais la retouche car, malgré mon paiement, je ne peux pas publier plus de deux fois par semaine. Encore merci et à tout bientôt donc pour un développement, d'une façon ou d'une autre. ;-)
L'humain, son ingéniosité, ses mécaniques,...
Publié le 12/03/2022
Merci pour cette troisième participation à cet atelier. Étonnante découverte que cette bande-son venue d'outre-tombe qui n'est pas sans me rappeler une nouvelle de JG Ballard dans laquelle des pilleurs de tombes du futur recherchent les hologrammes laissés sur leurs sépultures par les défunts. Ces hologrammes les représentent et offrent à leurs descendants un vision presque vivante de leurs ancêtres, et deviennent des fantômes menaçants pour les pilleurs. Sans avoir besoin de la science-fiction, tu offres à ton personnage un témoignage vivant et vibrant de sa grand-mère... On a envie d'en savoir plus, de découvrir quels furent ces combats et ce que cet enregistrement apportera comme changements dans la vie de ton personnage. Serait-ce le début d'une nouvelle, et auront-nous la.cha'ce de la lire bientôt ? Pierre
dis mamie
Publié le 12/03/2022
"Les mots étaient contenus mais se lisaient dans les yeux, Mais, par pudeur, ils restaient silencieux."
Amarelinha
Publié le 11/03/2022
Je la trouve magnifique cette chanson d'Aaron et ton texte l'es tout autant. Le tourbillon de la vie qui renverse tout sur son passage, qui donne le luxe de pouvoir se soustraire au temps, un grain d'éternité qui sème l'inaltérable souvenir lorsque les plus belles années finissent par être derrière. Merci.
Amarelinha
Publié le 11/03/2022
C’est beau ce que tu me dis là ! Un soupçon de déstructuration pour un grand besoin d’évasion :)
Amarelinha
Publié le 11/03/2022
Tu as mis le doigt sur plusieurs thèmes du texte, et merci d'avoir dansé avec nous. J'en suis vraiment heureuse : il n’est pas facile de suivre Lili ! Heureuse aussi de pouvoir être un peu là :)
Amarelinha
Publié le 11/03/2022
C'est une de tes marques de fabrique. Moi qui suis très rationnel, ça m'a posé des problèmes au début. Ça m'en pose encore mais de moins en moins. Il faut se laisser glisser sur tes vagues de mots et alors, c'est un parfum particulier, très personnel qui émane de ton sous-marin. ;-)
merci
Publié le 11/03/2022
J'ai dû lire deux fois la phrase de sartre avant de commencer à la comprendre...un beaucoup du mal à me concentrer en ce moment...
Une fois qu'il a eu le goût...
Publié le 11/03/2022
"J’aime ton texte. Une fois encore". Ça me fait très plaisir qu'on commence à se connaître, à apprécier certains traits d'écriture. Merci pour ton petit mot qui me fait très plaisir ! ;-)
merci
Publié le 11/03/2022
Oublier/pardonner ou dire merci, ces questions me remettent en tête une phrase de Sartre - bien probablement en dehors des limites du sujet, mais quand la tête galope ;) « L'important ce n'est pas ce qu'on a fait de nous, mais ce que nous-mêmes faisons de ce qu'on a fait de nous. »
Une fois qu'il a eu le goût...
Publié le 11/03/2022
C’est la phrase que je relève. Et c’est très justement celle que tu as mise en titre. J’aime ton texte. Une fois encore ;) Tes mots illustrent bien la dynamique victimes/agresseurs (même si la victime ici finit par prendre la balle). Le souffre douleur : réalité universelle qui - comme le note Léo - fait partie aujourd’hui des sujets de société, et commence enfin à se voir condamnée Merci Patrice :)
Amarelinha
Publié le 11/03/2022
MERCI, pour la légèreté, pour la musique, pour la marelle et l'enfance, pour le duo, pour le voyage. Avec ce texte j'ai dansé avec tes personnages, avec Lili, qui joue, qui sourit. (et merci de me faire taire un instant en e lisant: tellement plus agréable pour moi). Heureuse de te revoir ici Merci Ally
Une fois qu'il a eu le goût...
Publié le 11/03/2022
Merci Léo ! J'adore quand tu passes dire un mot ! Ce texte a ceci de spécial qu'il n'est absolument pas auto-biographique Il est construit à partir de bribes de ma vie prolongées d'événements imaginés. Ce match de volley par exemple n'a jamais eu lieu même s'il s'inspire d'un match de balle pelote réel. Cette histoire donc, je l'ai construite à partir de l'actualité. Il s'agit d'une allégorie. ;-)
merci
Publié le 11/03/2022
"le roseau plis mais ne rompt pas": tout à fait! Pour le reste je parlerai pus 'oubli que de pardon mais au fond cela revient au même. Et ce "Merci" simplement parce que besoin de le dire et parce que je pense qu'on ne le dit pas assez souvent en règle générale . Merci à toi en tout cas.
merci
Publié le 10/03/2022
Le roseau plie mais ne rompt pas, le pardon est un acte à racine qui prends ses forces dans le terreau de l’humilité. Il n’y a rien de plus fort que la dignité qui relève la tête et fait face aux briseurs de rêves.
Une fois qu'il a eu le goût...
Publié le 10/03/2022
Très bien écrit et décrit, la cruauté des enfants et l’effet de meute font des ravages. Le harcèlement scolaire est un sujet de société qui est devenu prioritaire tant “ des sourires de drapeaux blancs” se sont transformés en “sourires de linceuls blancs. Il n’y a parfois que la violence qui puisse se mettre en travers de la violence et empêcher la mécanique destructrice d’avoir raison jusque du dernier espoir.
L'humain, son ingéniosité, ses mécaniques,...
Publié le 09/03/2022
J'ai pu voir à quel point Ida t'avait réellement touché. Alors je te révèle un petit engrenage supplémentaire de ma petite horlogerie. Il s'agit d'un clin d’œil au "déjeuner du matin" de Prévert". Ce poème que j'adore, je le recycle ici pour la seconde fois, la première étant à l'occasion des obsèques de ma maman, en 2010. Merci, Léo !