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Sections - Extrait
Publié le 12/08/2024
La remarque est juste ; je me suis juré d'arrêter de toucher à ce manuscrit, soumis cet été à plusieurs éditeurs, mais si j'arrive à le placer quelque part, je corrigerai cette répétition : )
Les Meurtrières - Extrait
Publié le 12/08/2024
Whaou, de la part d'un lecteur aussi attentif, c'est touchant ! C'est un vieux texte pourtant, même si je l'ai un peu repris depuis le temps. Je n'ai jamais réussi à m'habituer à voir des gens vivre à la rue ; mais j'ai côtoyé de trop près les marginaux pour en avoir une image à la Jehan Rictus. Bonne soirée, merci pour ce nouveau commentaire, à lundi prochain !
Sections - Extrait
Publié le 12/08/2024
Il n'y a que les répétitions du début (indienne, indien) qui me gênent d'emblée, sinon tout le reste coule tel le fleuve de vos révoltes parfois crues comme dans "Les meurtrières" mais aussi sensibles sur les autres textes. C'est travaillé et les déclinaisons du blanc et à la fin du peuple sont à mes yeux et dans mon ressenti réussis. Merci d'avoir de ces nouveaux partages.
Les Meurtrières - Extrait
Publié le 12/08/2024
Dès le début on se heurte à une introduction choc qui donne le ton déjà prédictif du titre. C'est noir et ça dissout le peu de lumière qui reste. Des images et des propos forts qui expriment très bien la marginalisation et son processus nourrit par la colère et de l'exclusion subie et parfois choisie d'une société à laquelle on n'adhère plus du tout. J'aime beaucoup "j'allaite un ventre creux" , "les plaies du pavé", "un apatride errant", "les jappements des chiens nous rappellent au monde"... et la toute fin est parfaite à mes yeux.
SOS
Publié le 12/08/2024
Bonsoir Salima, ce texte est-il le dernier écrit ? J'ai besoin de savoir avant de commenter ton texte.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 11/08/2024
Bonjour Enki, merci pour ta confiance. Factuellement, je n'ai pas vu sur ce site la possibilité de MP, il faudrait demander à Léo. Tu dis que la fin est ambigüe. J'y vois une belle palinodie, tu passes d'un futur bien net à un conditionnel. Pour en revenir à ton texte, "je crois qu'on oublie les gens, dans leur complexité", je suis d'accord avec toi, l'expérience charnelle totale est morte si le corps de l'autre n'est plus là puisqu'il n'a plus d'intention à notre égard... alors il nous reste bien "squelette" que tu évoques. En définitive, veux-tu écrire sur le squelette ou la fille? Je crois que c'est impossible de vouloir ressusciter l'expérience passée dans sa totalité à moins de finir comme Frenhofer, le peintre du chef d'oeuvre inconnu dans Balzac. Il y a un beau commentaire sur la tristesse/le tragique dans la poésie qui a été écrit il n'y a guère par Francis Étienne et sur ce point de basculement en poésie. Ma formation initiale demeure littérature et philosophie et je n'ai pas de talent pour les poésies, j'ai l'esprit un peu trop sec pour ça. En revanche, c'est difficile d'écrire sur une personne, pour ma part quand j'essaye, je ne suis pas satisfaite du résultat. Alors j'écris sur les habits, ce que j'ai cristallisé. Si le fantôme est le virus, le fantasme tel qu'on l'écrit me semble le vaccin. À bientôt de te lire si tu te promènes par ici. :-)
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Publié le 11/08/2024
C'est un vrai dilemme qui existe depuis la nuit des temps des sites d'écriture. Je suis souvent encourageant dans mes commentaires car je sais que ça m'a encouragé il y a quelques années ; que des critiques plus formelles auraient pu me faire perdre immédiatement toute confiance en moi et j'aurai arrêté immédiatement d'écrire. Et puis concernant la poésie par exemple, je ne me sens pas techniquement à la hauteur pour me permettre de faire des remarques pointues, c'est pour cette raison que je fais des retours plus basés sur mon émotion ou ressentis, car il faut aussi avoir le niveau et se sentir légitime de pouvoir faire des commentaires pointus. Une fois que les développements annoncés seront réalisés, je pense que l'on va mettre en place un système qui demandera tout simplement à l'auteur de dire ce qu'il attend tout simplement : s'il est par exemple en mode promeneur, tout simplement respecter son choix : on ne peut pas imposer aux autres les exigences que l'on a pour soi. Tout le monde est différent et a des aspirations différentes. En identifiant ainsi les auteurs qui veulent juste partager leur écrit sur le plan amical, cela permettra en connaissance de cause aux commentateurs de ne pas se sentir frustrés en ayant le sentiment d'avoir perdu leur temps de faire de gros retours alors que ce n'est pas ce qu'attendait l'auteur en face. Je pense, que dis-je, je suis convaincu qu'il faut respecter l'envie et les objectifs de chacun sans les contraindre. La liberté des uns s'arrêtent là où commencent celles des autres. C'est pourquoi je pense qu'il peut y avoir plusieurs cercles aux exigences et attentes différentes qui permettra lorsqu'ils seront identifiés, que chacun s'éclate dans son cercle avec des auteurs aux mêmes aspirations. Ce qui n'empêchera pas de pouvoir évoluer et changer de cercle si l'on change de point de vue ou d'attentes. Ainsi chacun pourra moduler ses interactions en toute connaissance de l'autre et dans le respect de ses choix. C'est aussi important qu'un site d'auteur puisse permettre de se retrouver et de se regrouper des auteurs très exigeants qui vont se challenger (avec bienveillance, toujours), sans n'avoir plus à craindre de blesser ou de mal faire.
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Publié le 11/08/2024
Félicitations pour ces travaux titanesques qui facilitent l'accès à la lecture comme à l'écriture avec un lieu qui demeure plaisant mais exigeant. Bravo! Je dis mon sentiment à défaut de suggestions, je peux faire remonter quelques difficultés en tant que lectrice. Quand je viens ici pour lire, j'ai l'impression de me promener dans plusieurs endroits différents sans trop savoir où je tombe au départ: une galerie sélection officielle (extrait déjà publié souvent parfait), un salon d'exposition (texte destiné à une publication future mais les auteurs souhaitent des retours), l'atelier (zone expérimentale) ou l'antichambre (textes ébauchés plus brouillons). Certains textes sont plus où moins accessibles comme des sentiers de randonnées plus ou moins bien entretenus. Je ne suis pas gênée à l'idée de lire des textes mal balisés, un sentier mal entretenu peut être difficile d'accès mais cacher des trésors, je galère juste à avancer dans ma lecture. Aussi, quand en tant que lecteur on laisse un commentaire à un auteur, la difficulté consiste à savoir exactement où il se situe pour lui dire quelque chose qui soit utile, réconfortant et fraternel en un mot: encourageant. Autrement on peut mettre "j'aime" mais si la personne se trouve dans la zone expérimentale un "j'aime" ne lui servira pas à grand chose. Un commentaire adressé à quelqu'un qui se trouve dans "antichambre" pourrait le décourager et le rendre mutique. Enfin, je peine souvent à savoir aussi si j'ai affaire à des écrivains ou à des promeneurs comme moi (ceux qui écrivent comme le chanteur qui chante pour ses copains) ou à ceux qui essayent une première fois et que l'on a envie d'encourager à s'exprimer parce qu'écrire leur fait du bien. Comment rendre cela clair? Je n'en sais rien. Quand je commente, j'ai peur de faire de la peine et parfois je ne dis rien.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 11/08/2024
Bonjour Myriam, et merci de ce commentaire précis et attentif, il me touche beaucoup. J'imagine que pour savoir un peu plus qui est cette fille, il te faudrait lire le recueil "Variations sur Vénus", dont ce poème est le dernier texte. Je peux te l'envoyer en MP si tu veux, mais je n'en publierai sans doute pas d'autres extraits ici. L'ambiguïté de la fin est volontaire ; je crois qu'on oublie les gens, dans leur complexité ; mais on est marqué à vie par les fantômes qu'on a habillé de fantasmes, qu'on a "cristallisé" (Stendhal), surtout si on ne s'y confronte plus que par le souvenir. C'est un peu le cas ici.
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Publié le 11/08/2024
Je viens de lire ton commentaire ! Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! J'y ai ajouté une réponse. Régulièrement, je plébiscite le site sur ma page FB. ;-)
Ambre gris
Publié le 11/08/2024
Je découvre avec plaisir et émotion même, l'analyse que tu as faite de mon roman "Ambre gris". Tout d'abord, merci Léo pour ta lecture de mon récit et la chronique que tu en a fait, en plus de l'achat du bouquin ! ;-) Suite aux retours que j'en ai, dont le tiens, il me semble que ce sont les lecteurs qui écrivent mon livre. Ils y mettent leur vécu, leur vie, leur sensibilité que simplement, mes mots ont réveillé. Encore merci, cher Léo !
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Publié le 11/08/2024
Salut Patrice, tu trouveras dans la partie bibliothèque ton livre que j'ai chroniqué. Oui ça avance bien et cela devient un endroit où l'on va se sentir de mieux en mieux. Côté promo pour faire connaître le site ce sera fait après les derniers développements évoqués; mais tous les auteurs déjà présents et inscrits peuvent déjà le recommander à d'autres passionnés d'écriture ou de lecture.
Vies, sentences et doctrines des sages imaginaires
Publié le 11/08/2024
Merci pour ce complément d'information, oui la poésie n'est pas simple à commenter et tout le monde n'y est pas forcément réceptif, c'est beaucoup d'émotion et parfois comme une toile de peinture abstraite, ça nous parle et les images nous évoquent des sentiments dans lesquels puiser pour exprimer son ressenti. A plus tard.
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Publié le 11/08/2024
C'est super ! Le site est vraiment bien. Il faudrait trouver le moyen de le faire connaître. Bravo en tout cas et merci ! Ipagination reste un refuge important pour moi. Il a été essentiel et le sera peut-être encore. ;-)
Vies, sentences et doctrines des sages imaginaires
Publié le 11/08/2024
Hello Léo, c'est bien la première fois que je chronique un livre ou que j'en parle plutôt. Je te laisse m'expliquer comment tu envisages la différence entre les deux car perso, je ne la mesure pas. Pour moi, ce pastiche n'est pas un essai philosophique. Je parie que ce livre te plaira si tu l'envisages plutôt comme un recueil de fables et peut-être l'aurais-tu publié ainsi. Enfin, si mon commentaire suggère un chemin escarpé et plein de ronces, je garantis que l'ouvrage peut être lu par tous comme Candide de Voltaire. Pour moi, c'est une lecture d'été qui ne nécessite pas de travailler avec un dico à côté. L'autre livre de Dall Aglio que j'avais lu (Une Rolex a cinquante ans: a-t-on le droit de rater sa vie?) me semble accessible clair tout en demeurant d'une belle efficacité démonstrative. Bref, je trouve là une littérature de qualité. Pour ma part, je reconnais un vrai philosophe doublé d'un bel écrivain. J'admire franchement la rigueur, la concision et le style.. bref. J'aurais aimé m'exprimer ainsi. En plus, il n'y a rien chez lui de ces "essais philosophiques" qui dessèchent là où l'on attend la vie. Ça parle de la vie. Aucune ressemblance donc avec celui que ma concierge prend pour un philosophe, les journalistes pour un philosophe et les philosophes pour ma concierge. En bref, je crois qu'il existe un gros malentendu sur "les essais philosophiques". Pour ma part, en toute honnêteté, j'éprouve une grande difficulté vis-à-vis de la poésie qui ne m'est pas facilement accessible. Ce n'est pas faute d'essayer ce genre d'itinéraire exigeant mais pour moi, c'est encore du niveau de la piste noire au ski... ^^^ Enfin, pour revenir aux éditions Ipagination: je débarque alors il me manque l'historique. Je perçois quelques bribes de vos expériences passées au travers des allusions de Vivi ou de Fabien mais c'est tout...
Cycles Amoureux - Extrait - Le temps de se rencontrer - 46
Publié le 11/08/2024
Re-bonjour et bienvenue! Pardon, je n'ai pas lu dans l'ordre de publication... Entre le "taureau de féria" et le "petit Saint-Bernard en colère" nous avons deux beaux daimons d'amoureux (au sens de l'histoire de la Croisée des Mondes) dont on a envie de savoir s'ils sont bien "stabilisés". L'image de la "princesse ancienne" me plaît beaucoup, j'imagine que le héros "saigne" sur un texte indéchiffrable et précieux dans une graphie ancienne qu'il faudrait manipuler avec une extrême précaution par peur que tout ne tombe en poussière entre ses mains. Pour la langue ancienne autant que pour les persiennes: le sésame ne s'ouvre pas facilement car c'est difficile d'interpréter les signes. Le "je vis heureux à ta fenêtre mais je veux rester dans ton coeur" est une formule simple, belle efficace: le graal pour qui veut écrire simplement. Bref, c'est joli, bien écrit et agréable à lire. Mention particulière pour les "adresses". Je trouve que c'est vraiment ce qui donne envie de lire ce type de poème comme pour les poèmes de Catulle. Nous voulons connaître les caractères.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 11/08/2024
C'est beau à lire, de mon côté, les thèmes, les niveaux de langue et la diversité des inspirations ne me choquent pas. En revanche, je suis désorientée par l'usage des pronoms dans le texte car en tant que lectrice, c'est ce qui peut me désorienter. Vous ajoutez tout doucement de l'harmonie lorsque vous passez de "je" sur une strophe à "nous" d'une strophe à l'autre quel que soit le temps. Je me sens plus désorientée face à une strophe de "méta" par exemple: "que les vers dévorent cette goule muette" surtout si cette strophe glisse à la suivante vers l'évocation"elle serait là" alors que je m'apprêtais à mieux connaître ce "tu" qui était présent auparavant "tes pâleurs..." Bref, je ne m'en cache pas, cette fille, j'aimerais bien savoir qui c'est. Malheureusement peut-être à cause de "j'aimerais l'oublier tout à fait" vous nous le refusez un peu même si après vous la convoquez "elle serait là" mais nous ne la connaissons pas davantage. Soit vous l'oubliez mais alors c'est triste car vous n'en parlez pas soit vous la rendez présente mais il est certain que vous ne l'oublierez pas. Enfin, je trouve davantage une variation lunaire "J'oublierai tout de toi...." (éclipse) jusqu'à "prendrais-je de nouveau la voie de sa maison" (quartier) qu'une variation sur Vénus. À bientôt de vous lire.
Irréfutable essai de successologie
Publié le 11/08/2024
Un sujet très actuel dans lequel Narcisse aurait également succombé. C’est une très belle chronique qui donne l’envie de découvrir cet ouvrage.
Vies, sentences et doctrines des sages imaginaires
Publié le 11/08/2024
Je découvre avec plaisir ton talent de chroniqueuse et cela m’encourage aussi à partager d’autres lectures également. Je vais voir pour apporter une modification concernant la notation car on pourrait penser que c’est pour noter la chronique alors que c’est pour noter le livre, et voir aussi pour être notifié des nouveaux commentaires par mail. Pour en revenir à ta chronique, elle exprime également la grande difficulté que j’ai à la lecture également des essais philosophiques. Veux que nous avions édités chez IPagination se devaient d’être accessibles, ce qui n’empêchait pas la rigueur de la démonstration de la pensée. Je pense que ça ne vaut le coup que si c’est destiné à être partagé avec le plus grand nombre, sinon, c’est un peu écrire pour soi.
44 Scotland Street
Publié le 10/08/2024
Une chronique qui éveille la curiosité, merci du partage Myriam.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 10/08/2024
Bonjour et merci Enki, au plaisir de vous relire plus tard.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 10/08/2024
Bonjour Léo, Je pense effectivement que la gestion de l'hétérogénéité (des thèmes, des inspirations, des niveaux de langue etc.) est un des point à travailler ; mais je suis sur là bonne voie. Je posterai un extrait de chacun de mes recueils, dès que ça me sera possible. Belle journée à toi, merci de ces retours.
Variation sur Vénus - Extrait
Publié le 10/08/2024
Je le trouve plus travaillé que le précédent et je trouve de belles images comme les vers de poésie qui suturent ainsi que les humeurs sèches dans le feu de bois. La souffrance terrestre et donc humaine est bien rendue et je trouve que les références mythologiques grecques et romaine puis plus loin encore judaïque comme pour le poème précédent (multiplicité des temps conjugués), déstabilisent et font rebondir l’esprit de telle sorte qu’il ne plonge jamais véritablement dans le poème proposé. Vous en avez de toute évidence sous la semelle poétique et j’espère pouvoir découvrir prochainement de nouveaux poèmes de vous. Encore merci pour votre confiance.
Cycles Amoureux - Extrait - Le temps de se rencontrer - 46
Publié le 10/08/2024
Bonjour et bienvenue Enki et merci de partager avec nous vos poèmes. Le début de votre poème est très animal et fait part d’une grande souffrance dont l’amour en est souvent la prescriptrice. Et parfois le te temps et une sincère repentance règle bien des choses. J’ai été assez déstabilisé par l’usage de trois de temps de conjugaison différent. Je file découvrir votre second texte.
On ne s'est pas embrassé
Publié le 08/08/2024
Tout est clair dans ton texte (voir le commentaire plus bas). Je ne suis simplement pas douée avec les romances mais c'est une infirmité somme toute anecdotique dans un monde qui lit beaucoup de romances actuellement. À mon avis, tu devrais prêter attention à l'opinion de quelqu'un qui comprend ce type de texte (et ce type de situation)^^^.
On ne s'est pas embrassé
Publié le 08/08/2024
En fait, je crains de ne pas être capable d'écrire quoi que ce soit d'autre. Mais je ne me plains pas. C'est mieux que rien. Merci pour ta bienveillance comme toujours. ;-)
L7PC 5 : Avarice
Publié le 08/08/2024
Bonjour Leo! Merci pour ta lecture, ton retour et tes encouragements à poursuivre. Dans ton sujet, « la vertu qui reste une vertu même en excès » est presque une énigme de sphinx. A bientôt de te lire également. Bonne semaine.
L7PC 5 : Avarice
Publié le 08/08/2024
Si au départ on sentait bien que l’histoire se cherchait, la voici sur de bons rails, et les épisodes se succèdent à présent avec une belle fluidité. Je te dis bravo également car les péchés capitaux ne prennent pas le devant de la scène et c’est bien l’intrigue qui mène le lecteur dans un suspens grandissant. Qu’adviendra t-il des différentes relations, vivement la suite pour le savoir. Merci pour cette belle participation Myriam.
L7PC 5 : Avarice
Publié le 08/08/2024
Hello, voici comment je fais (mal): je frappe au kilomètre dans "word" puis je mets en forme facilement. Je passe tout sous Antidote mais je ne prends pas le temps de vérifier les formulations dans le Grévisse. La mise en forme des dialogues se fait rapidement tout comme celle des citations sur Word mais je ne la retrouve plus à l'arrivée sauf si je transforme en pdf. Alors là, je regarde le résultat publié et oui, je constate que ça ressemble à un gros bloc informe et j'en suis désolée. Je demanderai à mon mari de se pencher sur cette mystérieuse conversion de fichier à moins qu'il me dise selon son expression que j'ai une version de logiciel "codée avec les pieds". Il faudra que je comprenne ce qu'il se passe avant de republier ici. Pour le temps imparti, il m'est impossible d'enlever les scories de ce texte plus rapidement et j'écris avec des conduites d'approche très pénibles. Pour cette raison, j'entre dans cet atelier avec une blouse et les mains sales et un rendu plutôt "salopé" en franche terre glaise, ça m'évoque un tour de potier. Bien sûr, pour moi, ce qui reste dans un atelier n'a pas vocation à être exposé dans une galerie d'art même si ça doit être lisible. En tous cas, j'ai réussi à boucler cette histoire de 7 péchés avant-hier... Pour faire clair, c'est racontable, partageable mais malheureusement non publiable dans le temps imparti... Merci pour ta lecture et ton retour. Je procède aux corrections nécessaires le plus rapidement possible et je vais voir si j'arrive à sauver ma mise en page la prochaine fois. Si c'est le cas, je fais sauter le champagne! À bientôt de te lire.
On ne s'est pas embrassé
Publié le 08/08/2024
La pression du premier baiser qui semblait conditionner toute la suite y est assez bien retranscrit, et puis le fameux cinéma avec cette pénombre permettant de ne pas se sentir trop gauche, profitant d’une ambiance intime. Tu es à l’aise sur ces récits qui te réussissent très bien Patrice, à plus tard.