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La fête des mères dans le quartier
Publié le 28/05/2024
Une pensée à toutes les mamans qui font tant et donnent sans compter.
Bain de forêt
Publié le 28/05/2024
Merci pour ta participation. C’est un vrai sujet que l’acclimatation citadine dans l’espace rural et je trouve que ta participation prends bien le temps de mettre en avant la crainte qui nait du manque de connaissance et d’apprentissage. Les sens sont bien en alertes et bien travaillés sur la longueur, un très bel exercice, bien posé, de relevé.
Point de départ
Publié le 27/05/2024
Merci pour ta réaction, Myriam. Mais je ne suis pas malheureux. Si j'avais été dans le doute à la fin de ma rédaction, là oui ! Mais ici, tout va bien. Je t'embrasse ! ;-)
La fête des mères dans le quartier
Publié le 27/05/2024
Les femmes puissantes que vous avez avec ces Manmie… A la sortie de l’école ici j’entends des MamPa… Peut-être que d’ici quelques années on ira vers une fête des parents? Parfois sans maman c’est difficile mais sans adulte ça devient impossible. Merci pour ce joli texte. C’est un beau cadeau de fête des mères.
Point de départ
Publié le 27/05/2024
Cher fils de Louis, je compatis même si je pourrais afficher une petite pâquerette à la place de ta photo. Point départ ici aussi. Tu vois, je viens de dé-publier un texte pour le remettre dans les brouillons. En médicament littéraire dans ce cas-là de mon côté, je me souviens que Balzac a rêvé du début de la chartreuse de Parme pour ses scènes de la vie militaire mais malheureusement pour le lecteur et c’est le charme de Stendhal, ça part dans tous les sens. Des que Stendhal fait un plan, il a l’air de s’ennuyer et ses projets de livres ont peu de chance de voir le jour. Accepte-t-on de s’ennuyer avec des contraintes de format de thème pour être lu par d’autres? Est-ce que cela nous fait plaisir? En tous cas, merci pour ta réflexion sur le point de départ.
Point de départ
Publié le 27/05/2024
Cher fils de Louis, même situation par chez moi: je viens de dé-publier un texte pour le remettre dans « brouillon » pour le retravailler. Est-ce bien grave?
Qu’est devenue la riche collection de livres dominicains de la Bibliothèque Nationale d’Haïti…?
Publié le 26/05/2024
Grands Remerciements. Très sincèrement, dans notre cas… Pensons plutôt à Hiroshima et Nagasaki...
Pour nos chères Sœurs, toujours au combat!
Publié le 26/05/2024
Grands Remerciements. Sans ces héroïnes, nous ne savons pas dans quel état se trouverait ce qui reste de pays!
De Georges Anglade à Roger Gaillard, irréductibles divinors
Publié le 26/05/2024
Grands Remerciements en ces temps complexes où le lever du soleil a un parfum de défi!
Mélancolie
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, comme tu observes avec beaucoup de finesse, la mise en scène de mes poèmes ! Oui il y a toujours en filigrane, travesti souvent, un étrange personnage ou un invisible marionnettiste, qui trouble, séduit, menace, ou ronge la quiétude et la sérénité d'un monde que je veux toujours théâtral. La poésie doit mettre en scène comme sur celle d'un théâtre l'acte de la vie. Le dix-septième siècle et les classiques en avaient défini les contours avec leur idée « d'unité de temps, de lieu, et d'action » qui restreignait la vision poétique à celle d'un spectacle sur l'estrade de l'imaginaire. Ce qui me gêne le plus, dans la littérature contemporaine, pratiquement inexistante en tant que littérature, c'est précisément l'absence de définition de l'unité dans l'écriture. C'est pour cela que j'écris uniquement sous forme de sonnet, en poésie. En relisant les grands classiques, ceux particulièrement du dix-septième siècle, je cherche à apprendre les règles et à comprendre comment ils ont pu écrire avec une telle maîtrise de la langue. Aujourd'hui encore, au moins pour quelques-uns d'entre nous, ils sont des maîtres. Il faut les suivre et en tirer « la substantielle moelle ». Je lis beaucoup de poésie du Moyen Âge ou de la Renaissance, et bien que la musicalité soit très différente de la nôtre, j'y apprends une technique d'écriture, que j'adapte à ma propre expression. Je ne crois pas que l'art contemporain naisse d'une simple expression de l'âme, et l'art contemporain, que ce soit en littérature, en musique, ou un art figuratif, ne survivra que s'il est lui-même issu du classicisme et de la tradition. Nihil novum sub sole. Rien ne naît d'une génération spontanée et surtout pas l'art. Toute est transmission. C'est peut-être là une vision que l'on peut taxer de « conservatisme » mais c'est une vision qu'ont eue les apprentis Molière, Bossuet, Mozart ou Fragonard. Merci Léo encore pour m'avoir si gentiment égaré dans ma broussailleuse pensée. Cordialement. F. Étienne. Forgez-moi un soleil sous l'enclume du temps Et je vous écrirai la fable du printemps.
Plaine de paix
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, dans ce commentaire si magnifiquement illustré par l'image du coffre à trésor, tu m'offres la nostalgique sensation de la préciosité de la poésie. Tu n'es pas très loin de ce que dans mon enfance j'appelais déjà « un trésor ». En effet, je possédais une toute petite valise dans laquelle j''entassais la couleur bleue, quel qu'en fût le support, du verre, de la soie, du papier, ou une quelconque matière palpable et impérissable. Je créais déjà mon kaléidoscope. Curieusement, ta très belle remarque m'a rappelé ce détail de mon enfance. J'avais en effet vraiment l'impression de posséder quelque chose d'inestimable, que je ne laissais voir d'ailleurs qu'à quelques rares privilégiés de mon âge, qui comme moi s'en émerveillait. Je ne doute pas que ma quête poétique y a puisé ses toutes premières racines, définissant ainsi la base de ce que plus tard je ferai aussi avec les mots. Le trésor a trois caractéristiques. Il est d'abord caché dans un coffre, il est ensuite le signe d'une immense richesse, et enfin il renferme la lumière. C'est ce que je retrouve un peu dans la poésie qui ne s'ouvre que si on n'en possède la clé, qui donne le pouvoir magique de créer et enfin qui brille comme un diamant. Voilà curieusement, comment « le plus précieux des enrichissements » est un cadeau que je peux rajouter avec un immense plaisir à mon coffre à trésor. Merci encore Léo. Cordialement F. Étienne. Il scintille parfois sous nos regards d'enfants des pierres de soleil et des pas d'éléphants.
Lave de laine
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, merci encore pour me faire part de la sensation de quiétude que tu trouves dans ce poème. Selon la couleur des mots, je me glisse, en poète, dans la peau du lecteur pour y recueillir un frisson, un soupir, un sourire, ou un frémissement. Je sais choisir avec exactitude dans la palette de couleurs, celle qui mélangée à une goutte d'eau saura produire exactement, une émotion. Par contre, presque comme un aveugle, je ne sais pas ce que sera l'émotion, car elle dépend entièrement de la sensibilité du lecteur. Or les commentaires que tu laisses avec autant de sincérité sous chacun de mes textes, me donnent exactement une image, que je découvre, avec surprise, comme un aveugle pour qui la vue serait revenue miraculeusement. J'ai toujours été étonné par cette légende, car il s'agit probablement d'une légende, qui faisait d'Homère un aveugle. La signification symbolique de ce détail, qui à proprement dit est caractéristique de la pensée grecque, justifie la conception de la poésie pour les Grecs, qui considéraient cet art être l'égal de la sculpture de la musique ou de la peinture. D'ailleurs, quelques dieux ou demi-dieux en possédaient le privilège, comme Hermès ou Orphée. Et en effet, lorsque j'écris, je ressens l'intime sensation d'être aveugle. Ainsi par tes quelques mots, je vois. Merci Léo. Cordialement F. Étienne. De la roche du temps coule l'éternité Où nous abreuvons l'âme en sa sérénité.
Douleurs d’ogre
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, combien raison as-tu de souligner l'engagement que nous devrions tous prendre dans des vies qui sont toutes particulièrement courtes. Nous sommes tous nés pour la joie et le partage. Ce sont d'ailleurs les piliers de tous les cultes. Mais il est vrai que notre égoïsme inné nous éloigne de ces vertus et que nous sommes tous assaillis par la tristesse, dont inévitablement nous ressentons les aiguillons, lorsque face à nous-mêmes, seuls, nous en souffrons les douleurs. Bien sûr nous cherchons tous le meilleur, bien sûr nous cherchons tous le bon, mais cherchons-nous véritablement à partager ? Et n'est-ce pas dans le partage, avec l'autre, que nous puisons la joie et le nectar du bonheur ? Je n'ai toujours pas compris l'insanité de ces quelques milliardaires qui se construisent des abris anti atomiques pour protéger leur vie d'une extinction du monde, et cette folie ne peut s'expliquer que par le refus du partage. Que ce soit le refus de partager une vie avec les autres, ou que ce soit le refus de leur mortalité, car après tout, enfermés dans leur capsule anti atomique il faudra bien qu'un jour il passe par la mort aussi. Ce culte de l'immortalité à travers le refus est la totale négation de leur vie, de leur vivant. Et il est vrai, qu'un papillon, un valet, ou une danseuse s'affairent tous au culte de la vie. Encore une fois Léo tu me conduis sur ces sentiers obscurs de la pensée dont tes quelques mots ont éclairé la sinueuse course. Cordialement, F. Étienne. Les mots sont des biscuits qui fondent dans la bouche Comme la sève d'or d'une divine souche
Lambeaux d’âme
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, merci de t'être laissé porter dans un voyage au coeur même d'une tempête poétique ! Le but de mon écriture n'est pas précisément de décrire mais bien de perdre le lecteur dans un monde, dans lequel il peut reconnaître de nouvelles couleurs, de nouvelles sensations, de nouvelles senteurs ou de nouveaux murmures, qui existent en lui ou autour de lui. C'est ce qui donne à ce texte, comme à bien d'autres d'ailleurs, la sensation de l'audace et de l'unicité. J'avais défini dans la présentation de « Vitraux de songes » le texte comme étant celui d'un kaléidoscope. J'ai toujours eu une grande passion pour ce jouet, car avec quelques morceaux de verre de couleur et une loupe, on transforme le monde, uniquement par la lumière, et on le fait disparaître uniquement par un mouvement. Et bien qu'il n'y ait que deux ou trois couleurs différentes, on construit des milliards de réalités. La poésie reproduit exactement le même phénomène avec les mots et leur puissance, en utilisant un seul rayon, celui de la pensée. Aussi n'est-il pas difficile d'écrire avec très peu de mots et de faire naître de ce kaléidoscope un monde qui enchante notre regard et notre cœur. La seule différence c'est qu'on ne secoue pas la poésie, mais on n'en juxtapose les éléments, comme dans un puzzle, en obéissant à des règles très précises, pour faire surgir un tableau complet d'une seule sensation : l'enchantement. Merci encore Léo pour tant de commentaires si riches. Cordialement, F. Étienne . En barbouillant la nuit d'une couche de miel La lune et son argent enlumine le ciel.
Parabole du pauvre
Publié le 26/05/2024
Cher Léo, encore une fois merci pour cette profonde réflexion autour de ce poème, dans lequel tu qualifies ma poésie de « refuge du juste » et cela me touche beaucoup. On s'imagine toujours que la poésie est détachée de la morale, et étrangement on la rapproche de la beauté et de l'art. Mais la poésie fait partie de notre vie et conséquemment de notre divinité. Ainsi elle porte en elle, ce que Platon déjà affirmait avec beaucoup de clarté, non seulement la vérité, la beauté, mais encore le juste. Toute forme de création doit contenir ces trois qualités pour faire partie de notre humanité. On confond souvent morale et moralité, l'une étend une règle et l'autre une pratique. Les fables de La Fontaine se terminent toutes par une morale, éternelle, dont nous pouvons encore aujourd'hui nous instruire. Or la morale est le rempart de la pauvreté. Tous les saints en ont fait une règle de vie, à partir de laquelle ils ont construit leur propre sainteté comme un culte rendu à Dieu, précisément par la morale et comme tu le remarques avec beaucoup de justesse, le temps, qui inscrit la mort dans nos vies, nous rend tous égaux et surtout tous pauvres par essence. Voilà cher Léo où m'entraîne ta très subtile remarque autour de ces quelques lignes ! Merci encore Léo. Cordialement, F. Étienne. La rumeur d'un soleil qui habille l'automne Travers l'univers jusque dans Babylone..
Une question de limite (suite de Paris-plage)
Publié le 26/05/2024
Merci Léo pour ta relecture. Comme tu le dis, je n'arrive pas encore à ce que je veux pour le moment avec cet univers. Si j'arrive à inhiber le fait de vouloir tout dire tout de suite, ça pourrait devenir une histoire "racontable". Si l'histoire est centrée autour d'Hélène Ventura (la grand-mère), je crois que ce serait peut-être plus simple d'organiser un récit lisible. Pour la suite, tu l'imagines déjà je pense: la poule d'ornement devrait sortir de son clapier de luxe pour arriver sur les planches (pas celles qu'elle croit) et bientôt et repartir vers la butte d'Auteuil non sans avoir perdu quelques plumes.
Qu’est devenue la riche collection de livres dominicains de la Bibliothèque Nationale d’Haïti…?
Publié le 26/05/2024
Peut-être quelqu'un d'obscur aura senti venir le danger et aura voulu mettre de côté ce qu'il estimait le plus précieux pour éviter le dépeçage de cette bibliothèque et du savoir en général. Je pense au film Averroès, aux manuscrits de Tombouctou et à tant d'autres textes cachés à la hâte qui survivent au pillage ou au trafic lucratif.
Parabole du pauvre
Publié le 26/05/2024
J'aime toujours autant.
Couleurs de bon ton..
Publié le 26/05/2024
Disparition mystérieuse...
Métro
Publié le 26/05/2024
J'apprécie beaucoup votre texte et j'aimerais lire des suites de vos promenades.
Mélancolie
Publié le 26/05/2024
La pleine nature rustique ne se laisse pas perturber par les frasques d’un arlequin des plus extraverti de passage… il y a toujours dans tes poèmes un personnage, un phénomène ou une image forte qui empêche de tourner en rond, c’est vivant et parfois même plein d’enjeux, c’est un plaisir que de prendre place dans ton incroyable univers. Merci Francis Étienne.
Une question de limite (suite de Paris-plage)
Publié le 26/05/2024
La suite est en pleine rupture avec le précédent. On passe de la superficialité au désordre d’un vie aux blessures vives. Et si le protège bordure servait à vraiment rendre hermétique émotions et deuils de ce qui ne sera plus, renouer avec l’intime pour se repositionner à nouveau en quête d’une nouvelle paix intérieure ? C’est brouillon et l’on saute du coq à l’âne (et au chien) et l’on a du mal à cerner tous les protagonistes tant les poules, pareilles aux émois intérieurs déstabilisent allègrement la trame du récit. Mais qu’importe car l’idée est de fournir un premier jet sur lequel s’appuyer ensuite pour mieux structurer en élaborer un plan qui permettra d’y voir plus clair et de faire une seconde passe pour réaménager et ordonner les idées, les personnages (et leur progression) et surtout l’intrigue pas encore très claire. Bonne continuation, hâte de découvrir la suite.
Plaine de paix
Publié le 26/05/2024
Pareil à un coffre au trésor on s’émerveille de son contenu et de sa valeur. Sans avoir toutefois l’envie d’y toucher afin qu’il devienne le trésor d’autres bienheureux qui auront abouti dans leur quête. Ça a toujours été le chemin qui mène au trésor qui a été le plus précieux des enrichissements. Merci pour ce beau poème Francis Étienne.
Pour nos chères Sœurs, toujours au combat!
Publié le 26/05/2024
La foi, l’abnégation, le courage et la détermination font des merveilles : bravo à ces sœurs qui portent des projets qui permettent de réhabiliter, et redonner du sens et de l’envie à leur communauté.
Lave de laine
Publié le 26/05/2024
Même si la menace n’est jamais bien loin, ce poème pelotonne l’âme dans de la ouate imbibée d’un philtre de quiétude. Il fait bon s’y poser et profiter, humer le doux parfums des illusions qui font du bien et donnent un peu de répits. Salutaire.
Douleurs d’ogre
Publié le 26/05/2024
Du papillon, au valet jusque là danseuse, tout le monde s’affaire à œuvrer à des lendemains plus acceptables et vivables. Résister et agir pour lutter contre la sinistrose des vies contrariées. Il y a quelque chose d’héroïque et de profondément émouvant dans cette entreprise.
Lambeaux d’âme
Publié le 26/05/2024
Un sacré tableau où se succèdent des scènes aussi irréalistes que poétiques. Je me suis assis et j’ai contemplé ce fourmillement d’intentions pour faire d’une nouvelle journée et page d’écriture un moment unique et audacieux. Merci Francis Étienne.
De Georges Anglade à Roger Gaillard, irréductibles divinors
Publié le 26/05/2024
L’indépendance et l’autonomie sont importants pour assurer la souveraineté de son pays, et surtout, de la stabilité et des citoyens en confiance. J’espère qu’Haïti pourra se sortir de cette situation injuste et inconfortable. Bon courage.
Couleurs de bon ton..
Publié le 26/05/2024
Venant de renoncer à un texte trop long pour moi, pour être lu sur un écran d'ordi, j'allais capturer celui-ci, histoire de voir d'abord combien il contenait de mots. Pour le coup, il n'y en a pas trop. ;-)
Couleurs de bon ton..
Publié le 26/05/2024
Le commentaire a été supprimé