Un magnifique hommage au poète Florentin, où les mathématiques se mêlent aux mots qui servent avec ferveur la passion d’une poésie féconde (je reprends ton mot :-). À la croisée des arts le poète est roi, est nous avec.
Tout est voué à disparaître et ton poème telle une vague puissante emporte tout ce que l’humain a érigé, tel des châteaux de sable tant la puissance de cette vague là est sans équivoque. Le ciel, le temps et le sable semblent porter les derniers sacrements. Merci Francis.
Hello, j'ai regardé simplement dans tes "livres publiés" et je croyais le trouver là. Je crois que tu peux mettre un lien vers ton site dans /mon espace perso/ mon profil/... À voir ce qu'en dira Léo. À plus tard.
Hello Enki! Très bel Efrit en illustration. :-) Magnifique chanson de gestes de l'Efrit si je comprends. Je ne te cache pas que lorsque je lis ton texte j'ai mal comme d'autres ont mal aux poumons (Appel pour une trêve... Camus ) cela sera peut-être le cas pour les lecteurs caméléons. Ni Rania de Jordanie ni Lala Salma ne portent le voile: les reproches arrivent sur elles et ça daube. Pourquoi ce virage? À Tombouctou, les dingues ont tenté de brûler les manuscrits, des pans entiers de la pensée disparaissent, des mouvements sont qualifiés d'hérésies alors qu'ils sont traditionnels. J'ai vu des gens moquer la zaouia Tijjani en qualifiant ça d'hérésie. D'où vient le virage? La fin des temps met les trois religions monothéistes d'accord. En revanche, j'ignore ce que tu en penses mais il serait dommage de balancer Averroès avec l'eau du bain actuel.
Moi aussi je les aime passionnément ces chants. Je renchéris sur l'avis de Francis Étienne car décidément tu ne saurais trouver meilleur amateur qu'un homme dont la prose est si poétique.
Puissance de la passion, votre texte jette nos yeux sur l'honneur du guerrier, et livrent à nos regards une quête au cœur de l'infini désert humain et de sa solitude. Personne ne tuent par sadisme. On tranche la gorge par besoin de conquête, on verse le sang pour posséder, on brise la vie en piétinant la terre soumise. L'exotisme nourri par la richesse de votre érudition ébouillante le récit. Ce texte m'a touché. Vous êtes un homme d'écriture, pétri de la longue et minutieuse recherche d'une âme libre et nue.
Cordialement,
F.Etienne
Magnifique poème d'une grande richesse littéraire et dont les images hantent l'esprit du lecteur de la douleur, de l'anéantissement, du vide et du sentiment si humain de la vengeance. La puissance des images, leur crudité, et l'incompréhension d'une vision marque n'importe quel cœur, n'importe quel homme, n'importe quelle personne. Votre maîtrise de la langue, sa précision, sa souplesse et surtout sa puissance poétique est une découverte pour moi.
Je n'ose vous féliciter, craignant d'être pauvrement flagorneur, exprimant une impuissance devant votre texte magnifique. Oui on commence la guerre. Les premiers assauts s'ouvrent au cœur même la pensée et de l 'âme
Cordialement,
F.0 Etienne
Normal, Myriam. C’est une auto-publication, il n’est pas sur le Net sauf en possibilité de commande sur mon site www.agathe-c.fr. J’ai cru voir qu’on pouvait en mettre sur le peuple des mots… je n’en ai pas encore exploré toutes les possibilités
Coucou Agathe! Merci pour ta lecture et ta revue. J'apprécie beaucoup les romans graphiques. Tu penses à l'album Les Frustrés de Brétécher pour le thème ou le graphisme ? Parce qu'il y a beaucoup de frustration chez les uns et les autres dans cette histoire. Le dernier recueil de nouvelles graphiques que j'ai vraiment apprécié c'était Strates de Pénélope Bagieu. Beaucoup d'émotion à lire ce recueil.
Merci Myriam ! Je me demandais comment j’allais aborder la gourmandise. L’idée m’est venue ce matin en me réveillant . Et pourtant je t’assure qu’il n’y avait pas de gâteaux au petit dej ! Il reste l’avarice et l’orgueil. Vaste problème…
Un autre texte canon et optimiste. De la fin de l'appétit au retour d'une faim de loup j'ai l'impression. C'est fabuleux d'explorer les textures, n'est-ce pas? Quel redoutable effet la crème diplomate... ^^^
Pauvre Benjamin qui n'avait pas subodoré l'aventure... Ton texte est très chouette et nous embarque dans la vie de Marie-Gabrielle qui a besoin d'air et de légèreté et qui se les accorde, dans celle d'un Benjamin plein de rêves de construction d'une vraie relation et maintenant un mari qui manifestement s'est lui englué dans une union plaplan avec un relevé de banque dans la poche. Je suis d'accord avec Léo, ça mérite d'être poursuivie pour l'orienter vers un album de bandes dessinées ( genre Brétecher tu vois) ou avoir un recueil de nouvelles illustrées. Bravo Myriam !
Bonjour Agathe, dans ton texte précédent, l'héroïne disait "mais je ne suis pas Ève" ou quelque chose comme cela et donc j'ai eu un doute. Je regarde tes textes de ce pas. ;-)
Bonjour Sophiak, je découvre ton écriture et j'aime le côté "trash" de ton récit. Tu énonces les faits d'une façon directe parce qu'à mon sens, il n'y a pas d'autre façon de raconter la réalité de la colère de ton frère. Son état, la raison de son état et ton impossibilité à lui apporter un soulagement qui ne peut venir que de lui-même. L'acceptation est un énorme sujet de réflexion, de discussion, d'écriture. Oui accepter, reconnaitre, pour ensuite se diriger vers l'après puisque l'avant ne peut être modifié... Je souhaite à ton frère de trouver le chemin de cette paix intérieure.
En lisant ton texte, je pense immédiatement à l'éloquence. tu sais ces prouesses (en tout cas ce que je considère comme une prouesse) orales au cours desquelles l'orateur développe les différents aspects du sujet. Ici c'est peut-être un peu court et cela mériterait de développer chaque aspect de la question. Pourtant cela fonctionne : " je ne sais pas si CH est gourmand" " il ne l'est peut-être pas" pour terminer sur " je suis sûr que CH n'est pas gourmand"
Très habile, bravo !
Bonjour Myriam ! Non pas du tout. Ce texte est tout frais "pondu" pour l'occasion de l'atelier. Dans "RESSAC" l'héroïne se nomme Anaîs. Pour la petite histoire, la genèse de ce livre a pour origine un texte écrit sur"Ipagination" l'ancien site. Merci pour ton retour
Alors comme je ne suis ni people ni télé et encore moins adepte de Cyril Hanouna, je suis allée corriger ces lacunes médiatiques sur Youtube et je suis quasi incollable maintenant sur la sulfureuse et le macho. alors... je vous le dis comme ça... mais il y aurait baleine sous gravier entre les deux... En tous les cas, je suis d'accord avec toi, le "mais" est une" faute de goût" considérable et une remarque désobligeante.
Ah la la encore un bon moment passé en compagnie de tes personnages Myriam ! Chaque récit leur donne un peu plus de consistance et leur image physique est très présente. Bravo pour ce nouvel épisode, la progression de la colère est finement amenée. comme Le fils de Louis, j'apprécie beaucoup le côté un peu loufoque qui contrebalance la référence à la protection de la Nature. Une jolie comédie qui pourrait- très bien se décliner en une bande dessinée. Merci Myriam !
Comme Léo, j'ai bien aimé ton texte. J'aime bien tes personnages. Les métaphores marines sont peut-être un poil surexploitées, mais à part ça j'ai pleinement adhéré.
Quant à la forme, elle s'est grandement améliorée. Ton expert de mari a pu t'aider pour le transfert, j'imagine. Est-il susceptible ? De toute façon nul besoin d'une imprimante pour ce type de transfert. Pas de problème de bourrage, ni de taille, ni davantage de température... ;-)