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Textes
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Commentaires
Textes coups de cœur Textes les plus lus Recherche
Simplification de l'après atterissage.
Publié le 08/06/2024
J’aime beaucoup cette scène de vie commune où l’on finit par regarder les autres et mimer la pratique pour garder sa contenance et surtout tenter d’être d’égal efficacité. La suite s’apparente à un coup de foudre que la suite de l’histoire dénouera ou pas.
Songe de rêve
Publié le 08/06/2024
Entre le bouclier et le silence c’est comme un sanctuaire que j’y entrevois ou un seuil qui permet le passage des douceurs qui se meurent. C’est vraiment très beau, merci Francis Etienne.
Rostres d'astres
Publié le 08/06/2024
Le contraste est fort entre le précieux et l’honni qui borde les cauchemars… je perçois comme une possible rédemption à travers l’astre qui sanglote, mais quand est-il du cœur des hommes ? Ce poème prête à y réfléchir.
À la veille de sa mort, le doyen de la région se confie au journal V*** F****
Publié le 08/06/2024
Bonjour Myriam ! Le "hasard" fait bien les choses. Aujourd'hui, Aldebert joue au théâtre. Je suis entouré de jeunes qui déchargent, câblent, ouvrent, appuient, etc. Ils tiennent absolument à se rendre utiles ou, à tout le moins, s'occuper. L'ancien que je suis se sent vieux parmi eux. Leur agitation me semble absurde en plus de m'exclure car je ne vais pas me battre pour sortir un flight case du monte-décors. Alors, je suis descendu dans mon bureau et j'ai lu votre texte, Myriam. Ce texte dans lequel est écrit "un centenaire ne se trouve dans le monde qu’en pointillé", un soixantenaire aussi parfois. Le hasard fait bien les choses. J'ai beaucoup aimé votre texte, en particulier les deux premières parties. D'abord il y a des métaphores qui me parlent. Celle citée plus haut ou encore " Évidemment, personne ne veut hériter de la place du mort en auto comme dans la vie.". Ensuite il y a les suspens de la fuite. Je dois dire que j'ai été surpris pas la forme très soignée de ce texte sur toute sa longueur. Vous vous êtes dépassée largement. Vous ne nous aviez pas habitués à une telle rigueur. Franchement, c'est le jour et la nuit. Je n'aime pas la fin. J'ai apprécié la modestie du protagoniste, son aveu de "complaisance" en vers l'occupant. Pourquoi finir avec une telle brutalité ? Je comprends que les journalistes n'ont développé aucune empathie avec le vieil homme au cours de l'entretien. Ce n'est pas plausible. Bravo pour ce texte ! Vraiment ! ;-)
À la veille de sa mort, le doyen de la région se confie au journal V*** F****
Publié le 07/06/2024
Merci pour votre lecture! Les vrombissements d’avions qui répétaient avant les commémorations ont pu être mal vécus par les rescapés de la bataille de Normandie pour lesquels la journée du 6 juin reste gravée dans leur mémoire comme un souvenir infantile de terreur et d’effroi. Il est difficile d’affronter ces souvenirs quand on se trouve désorienté dans le temps dans un présent qui n’a plus rien à voir avec de la joie et des drapeaux colorés qui évoquent davantage le 8 mai 1945 que le 6 juin 1944.
À la veille de sa mort, le doyen de la région se confie au journal V*** F****
Publié le 06/06/2024
J'aime beaucoup ce commentaire prions ce jour bien entendu à une signification particulière. La modestie, malgré le danger de la situation dans laquelle se sont trouvés ces soldats, la simplicité des réponses, le bon sens de monde qui semble avoir disparu, et surtout la qualité de votre plume fond De ce texte une magnifique lecture de circonstances. Félicitations et encore merci pour ce beau cadeau. Cordialement F. Étienne
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Vous habitez cette région ? C'est joli. J'y suis passé une fois ou deux. Mais je n'y ai jamais séjourné. ;-)
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Arrrf. Routes barrées, macaron spécial à apposer sur les voitures, vrombissement de moteur et zone côtière difficile d’accès … c’est une journée particulière et je me trouve au chômage technique. Heureusement que ça plait aux enfants qui veulent agiter des drapeaux partout…
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Arrrf. Routes barrées, macaron spécial à apposer sur les voitures, vrombissement de moteur et zone côtière difficile d’accès … c’est une journée particulière et je me trouve au chômage technique. Heureusement que ça plait aux enfants qui veulent agiter des drapeaux partout…
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Ha ha ha ! En tout cas, pour de D-Day, j'ai publié un la photo d'un calot soviétique sur mon FB ! ;-)
Cent ans aujourd'hui
Publié le 06/06/2024
Quel adorable papy frontal! Je le sens tout à fait du genre à rester couché le jour du 14 juillet…
Brioche d'orfèvre
Publié le 04/06/2024
Merci à toi Léo surtout de commenter avec un tel enthousiasme ce joli texte, qui je l'avoue, me charme aussi. La nature qui nous entoure nous montre parfois une vie qui ressemble à la nôtre. D'abord à cause de cette intensité de la vie qui se presse partout où nous posons nos yeux; les êtres vivants, les fleurs, les arbres, et même les reliefs ont leur propre société qui, comme la nôtre s'affaire à vivre. Parfois elles se bousculent, se dévorent, se complètent, ou s'harmonisent simplement par un phénomène de hasard, que nous aussi humains nous connaissons. C'est de cette vie-là, que j'ai voulu rendre compte dans ce texte où tout semble bouger, animé par un feu intérieur, que la poésie permet d'observer et de traduire. C'est aussi une façon d'affirmer que la création du monde est permanente, comme l'humanité d'ailleurs, et qu'elle se perpétue constamment sous nos yeux. Il suffit de les ouvrir pour voir ce qui se passe. Antidote de la mort, de la guerre, du néant, la nature « vivante » nous ouvre concrètement le concept d'éternité, que nos esprits ne comprennent pas, la nature aussi est un livre sacré. Merci encore Léo, chacun de tes commentaires est une source de joie. Merci encore. Cordialement F. Étienne. Sous la feuille d'un chêne où balbutie une ombre Une violette en fleur cache sa robe sombre.
Rostres d'astres
Publié le 04/06/2024
C'est très beau mais intriguant. Est-ce qu'il y a un jeu de mots entre "Rostres d'astres" et "Zoroastre" ou c'est juste mon imagination?
Cliquetis de clichés
Publié le 04/06/2024
Cher Léo, merci encore une fois pour ton magnifique commentaire et les liens que tu tisses avec Venise, liens qui sont toujours sous-jacents dans mon écriture. Il est curieux de voir que cette ville me fascine à ce point, par je ne sais quel ensorcellement, mais je pense qu'effectivement le poids de l'esthétisme de cette ville influence ma façon d'écrire. Je l'ai déjà dit c'est une ville dans laquelle se superposent l'architecture, la musique, la littérature, l'histoire de l'orient, le pouvoir, le libertinage au bon sens du terme, l'irréalité de la lumière, ce labyrinthe de canaux où toute raison se perd, et désormais, cette âme de cimetière, que le dix-neuvième siècle à cultiver à travers les grands écrivains romantiques anglais Byron, Wilkie Collins, Charles Swinburn ou les préraphaélites comme Rosetti . Ce mélange de beauté et de philosophie, de licence et de rigidité, cette image mignarde de la vie, cette puissance d'un pouvoir entièrement dévoué à l'art et à l'esthétisme sont autant d'éléments qui me troublent. C'est peut-être pour cela que l'image « d'un dernier simulacre", t'as conquise. En tout cas je te remercie de tout cœur pour avoir avec autant de sensibilité sue faire émerger de ce texte le courant le plus profond. Merci encore de tout cœur. Cordialement, F. Étienne. Des lambeaux de lumière incrustés dans de l'or Pavoisent aux balcons de la mer qui s'endort.
extrait : Mon obsession
Publié le 04/06/2024
+1. Très belle image que celle du château de sable. À te lire, la séduction semble très enfantine finalement mais quelle mission: construire des châteaux de sable chaque jour alors qu'ils seront emportés par la marée montante.
extrait : Mon obsession
Publié le 04/06/2024
Merci Léo. Le texte sera encore retravaillé pour gagner en élégance et en légèreté mais l'idée est là. C'est le sens d'un premier jet même si ici on ne peut plus vraiment parler de premier jet. ;-)
Une aventure d'Hélène: la pêche miraculeuse
Publié le 04/06/2024
Les choses se corsent, la fin est inattendue et donne l’envie de lire la suite. On visualise bien les différentes séquences, comme si on visionnait une série tv à rebondissements. Il y a une théâtralité plaisante qui accentue les traits de personnalité des personnages qui jouent leur partition avec une belle efficacité. A suivre !
extrait : Mon obsession
Publié le 03/06/2024
Trouble et émoi sur une confession qui apparaît comme sincère, et derrière tous les artifices de la séduction, la paradoxale faille, car le souhait obsessionnel d’être aimé peut cacher l’indicible crainte d’être seul. J’ai beaucoup aimé “me hisser tout en haut de mon château de sable” …
Brioche d'orfèvre
Publié le 03/06/2024
“Remplissent de couleurs un monde de regards”… quelle magnifique trouvaille. J’aime énormément ce poème d’une finesse et d’une bonté infinie. C’est léger et frais, et ça gonfle la grand voile des mots pour un voyage éternel. Merci Francis Etienne.
Un SOS sans SMS
Publié le 03/06/2024
Oui, il y a un flow. En lisant, on entend. Je trouve que ce style permet les incohérences. Il les demande même peut-être. C'est un peu comme un locataire excédé qui balance par la fenêtre tout ce qui lui passe dans les mains. Je suis sur le trottoir d'en face et je vois les choses s'écraser, se heurter, s'embrasser ou s'embraser.
Déraciné
Publié le 03/06/2024
Ces traversées sont soient funeste et pleurées par les gens de cœurs ou soient haïes par les gens sinistres… c’est pourquoi j’aime d’autant cette version, celle qui donne le droit de vivre et d’être soigné, d’être respecté et préservé dans sa dignité. Merci.
Femme africaine
Publié le 03/06/2024
"Personne ne te fréquente Personne ne te tente Tu es ma grande solitude…"
Femme africaine
Publié le 03/06/2024
Un sincère hommage qui le rend d’autant plus émouvant et magnifique. L’absence de ponctuation libère définitivement cette ode au courage et à la flamboyance…
Une aventure d'Hélène: la pêche miraculeuse
Publié le 03/06/2024
J'aime bien les histoires humaines et aussi entrer avec ou sans effraction dans le monde des femmes, alors forcément, j'aime bien votre histoire, Myriam, d'autant plus que la drôlerie et la tristesse s'y côtoient, s'adoucissant mutuellement. ;-)
Bain de forêt
Publié le 03/06/2024
Merci beaucoup, c’est gentil. A bientôt de vous lire aussi.
Les commentaires font peau neuve et autres indiscrétions
Publié le 03/06/2024
Superbe en effet grâce à l'intelligence et aux competences de votre équipe ! Merci encore pour nous améliorer la souplesse d'édition. Cordialement, F Etienne
La Herse
Publié le 03/06/2024
J'aime les textes directs. Je déteste les joliesses en général. On hésite à féliciter pour un texte qui parle d'une telle violence. C'est un peu comme trouver formidable un éloge funèbre. C'est tragique.
La Herse
Publié le 03/06/2024
Léo, Merci pour la critique. J'alterne entre le je et le elle c'est pour le style et c'est fait exprès. Je ne suis pas une auteure confirmée.J'écris tout ce qui me vient à l'esprit. En tout cas merci encore cela me permet d'avancer dans l'écriture. Salima Sedira
La Herse
Publié le 03/06/2024
Léo, Merci pour la critique. J'alterne entre le je et le elle c'est pour le style et c'est fait exprès. Je ne suis pas une auteure confirmée.J'écris tout ce qui me vient à l'esprit. En tout cas merci encore cela me permet d'avancer dans l'écriture. Salima Sedira
Un SOS sans SMS
Publié le 03/06/2024
"Internet m’a trahie et déçue , Internet m’a menti et vaincu"... internet est presque devenu une personne voir même une divinité pour certaines personnes qui pensent que tout s'exaucera par ce biais. Votre texte et ce qu'il évoque est très intéressant mais aurait mérité d'être relu et repris en certains endroits comme par exemple "Quel dilemme une impasse" car si c'est une impasse il n'y a pas de dilemme. Ou encore "Un rendez-vous un site de rencontre Pour laisser place à l’amour à mon hommage", j'aurais plutôt mis "un site de rencontre, un rendez-vous" qui est un ordre plus logique et je trouve que l'hommage ne colle pas trop sur ce passage. Sinon je m'étais fait la réflexion sur le précédent texte déjà, je trouve qu'il y a un flow intéressant à creuser et travailler...