Merci Léo ! Je touche au but. J'en profite pour dire que j'ai créé une page Facebook "Un fils de Louis" entièrement dédiée à "Ambre gris" dont ce texte est extrait. ;-)
J'aime beaucoup, anatomie d'une rupture où s'entremêlent temps long et spontanéité. Lorsque tout va très vite dans les révolutions des vies alors que tout est écrit depuis bien longtemps, l'amour a ses raisons que la raison ignore et a surtout ses coups de foudre, qui annulent et remplacent les précédents. Un texte bien écrit, aux formules efficaces que je recommande aux textes coups de coeur.
On appelle ces époques celles de l’insouciance et il est bon de plonger dans tes souvenirs pour découvrir ce qui t’as forgé, avec toujours, Martine pour faire entrer de simples instants de vie en des sommets d’éternité. C’est bien de l’écrire pour s’en souvenir comme au premier jours lorsque le temps troublera la mémoire. Merci pour le partage.
Et je crois qu'il te faudra délèguer plus. Je n'ai aucune idée comment est géré le site pour l'instant mais je crois au collectif, aux talents individuels sublimé par la motivation de tous ! De tous les sites que j'ai découverts Ipagination est largement plus chouette parce qu'on ne se la pète pas ici. On apporte et on apporte. Du coup, on retire et on retire. ;-) A vite ! ;-)
Les prisons sont un échec complet car ceux qui y sont ne peuvent plus revenir en arrière, et que ces lieux n'offrent en aucun cas l'opportunité de se nourrir de bien plus d'humanité qu'avant d'y entrer, et comme accumuler le pire ne pourra jamais apporter autre chose que du pire.... j'ai eu du mal à entrer dans ton texte car j'ai eu du mal à contextualiser ce témoignage, trop vite plongé dans le vif du sujet. Et sinon j'ai particulièrement aimé ce passage "Du haut de l'arbitraire de son pouvoir disproportionné, moyenâgeux, il a le droit de mépriser, d’humilier, d’écraser n’importe qui à condition de terminer par le mot magique, administrativement parlant, « Monsieur ».". Et touché par la sensibilité de ton texte.
Comme tu le dis Evelyne, on doit faire avec et de plus en plus sous la contrainte, de tout ce qui nous échappe. La seule chose qu'il nous reste pour ne pas devenir fou par toutes ces horreurs qui se jouent autour de nous, agir sur soi, apprendre de ses erreurs effectivement et devenir une meilleure version de nous mêmes et agir à notre échelle pour que demain suscite un un peu plus grand espoir. Merci pour ton texte.
C'est terrible ce qui se passe, et ce silence des élites et responsables politiques qui laissent faire en toute impunité est abjecte. Il n'y a aucun massacres qui peuvent légitimer d'autres massacres. Il faudra bien que tous les responsables de ces horreurs, et des deux camps, puissent répondre de leurs actes... Je ne comprends plus notre monde et sa funeste destinée que rien ne semble empêcher. C'est aliénant.
Quel honneur, et mieux encore, quel beau texte cette heureuse nouvelle a permis de voir le jour. Le graal pour tout écrivain qui souhaite se faire éditer. Pour moi on est écrivain si l'on écrit, chanteur si l'on chante, j'aime à penser que l'on est ce que l'on aime faire, loin de la professionnalisation ou de la notoriété. Tu décris magnifiquement chaque étape que l'on partage de tout coeur avec toi, et l'on croise les doigts avec toi, souhaitons que ce cheminement éditorial puisse t'être profitable.... Désolé de mon absence, j'avais besoin de souffler.
Bonjour et bienvenue. Je viens de finir le premier chapitre et je ne disposais pas du temps nécessaire pour lire la suite présentement . Pourrirez-vous publier un chapitre par texte, ce serait plus simple pour revenir dessus ensuite. Pour en revenir à ce premier chapitre j'ai eu très peur en découvrant le face à face des deux symboles forts de ce que représentent le bien et le mal, il fallait oser, et la crainte passée, on se plonge dans cette confrontation qui s'élargit avec de nombreux questionnements, la curiosité est piquée au vif. Si j'ai une remarque à faire, c'est dommage que ce ne soit de bout en bout que du dialogue, votre. qualité de narrateur et votre écriture soignée permettrait je pense de donner plus de place au contexte, au décor, à un scénario plus vivant qu'un seul échange, même si cet échange est assez bien mené. A suivre.
Bonjour très cher Francis, je m'excuse de ne revenir que maintenant mais l'après iPagination a été pas facile à traiter mais me voici enfin. Et quel plaisir et bonheur de te retrouver en mots, magnifiques alliages poétiques qui savent - comme ils ont toujours su - éveiller de beaux sentiments. Que de belles images et surtout un beau sentiment qui prédomine à la fin de la lecture, un bel espoir qui se profile à l'horizon. A te lire et te relire, merci l'ami d'être revenu.
Aujourd’hui, il n’y a plus de lacets à nos souliers, on met des scratch’s qu’on colle les yeux fermés…
Nouer ses lacets, c’est pouvoir marcher droit, le cœur tranquille.
Aujourd’hui, on a le cœur noué et on ne peut plus marcher.
Tu es sans pareil pour croquer des personnages, la description de ce guide péteux se lit comme du petit lait. Et le vin, nectar de convivialité mais aussi de moments intimes. Comme avec un morceau de musique, je pense qu'un bon cru peut ancrer dans la mémoire à vie et même au-delà des amours vécus ou éconduits. A plus tard Patrice, et bon été ;-)
Ce sera la finale, j'en suis assez content et je suis heureux que tu partages mon sentiment. Toutefois tout change très vite. La finale de cette lettre a déjà évolué. La voici : "À l’heure où tu lis cette lettre, je ne suis plus . A l’heure où je les écris, ces mots , crois-le bien, ne veulent surtout pas te faire de mal, te blesser. J'avais besoin de brûler un carburant qui me rongeait de l'intérieur. J'en avais besoin pour ma sérénité. Ne m'en veux pas. Tendrement, Patrice."
Ce sera la finale, j'en suis assez content et je suis heureux que tu partages mon sentiment. Toutefois tout change très vite. La finale de cette lettre a déjà évolué. La voici : "À l’heure où tu lis cette lettre, je ne suis plus . A l’heure où je les écris, ces mots , crois-le bien, ne veulent surtout pas te faire de mal, te blesser. J'avais besoin de brûler un carburant qui me rongeait de l'intérieur. J'en avais besoin pour ma sérénité. Ne m'en veux pas.
Tendrement,
Patrice."
Bonjour Patrice, quel beau texte parfaitement maîtrisé, on sent que tu as choisis chaque mot afin qu'il exprime l'exactitude moment vécu. J'ai aimé tout lire mais ce passage est à mes yeux particulièrement réussi : "Après quinze années dans le fond des abysses et vingt-cinq autres à errer, invisibles, sur la surface chaotique des océans, ils exhalaient une fragrance qui cachait mal la dangerosité de leur âme.". Comment croiser un simple regard peut faire remonter tant de choses à la surface et fragiliser à nouveau. J'aime enfin la lettre finale, qui nous rappelle une époque révolue, où les mots écrits et couchés à l'encre sur du papier demandait souvent du courage dans les instants les plus emprunts de sentiments. Ces courriers qui racontait des vies, des moments clés, des histoires qui nourriraient la mémoire des descendants... Merci pour ce nouveau partage.
Qui se ressemble s’assemble et avec Ana qui n’a pas froid aux yeux, voici un bureau de poste qui lutte activement conte les cons, les beaufs et autres sinistres personnages qui ont vite fait de te pourrir un environnement tel un ver dans une pomme. Il y a ce courage, et il y a de l’admiration mutuelle pour prendre les taureaux par les cornes. Ce qui est toujours troublant, c’est cette majorité silencieuse qui subit sans rien dire. Merci pour ce nouveau texte Patrice.
Content de te relire et moi-même d’avoir enfin un peu de temps pour me plonger à âme entière dans la lecture. Tu montres bien le cynisme de ceux qui « optimisent« et toute la mauvaise foi des vendus au système libérale. La poste a aussi basculée en France dans un modèle de rentabilité plus que de service , avec la cynique méthode lean qui consiste comme dans les western, à faire creuser leur propre tombe à ceux d’en bas, qui deviennent corvéables à merci, déshumanisé. Ton texte me donne l’envie de voir de nouveaux films de Ken Loach… merci Patrice.