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Gare du Nord
Publié le 08/09/2024
J'étais à peu près au même endroit récemment. Mais là, je prends de quoi écrire dans ce joyeux bazar très inspirant et j'essaye de me dire... et si.... et si la dame robuste avait peut-être l'enfant de sa fille à charge et qu'elle pensait à la bouffe, et si elle avait renoncé à se promener tout compagnon boulet (tout fardeau est fait pour être secoué!) et j'ai de la chance parce que ce texte m'amuse beaucoup mais ta mauvaise humeur encore plus! ^^^
Tous les espoirs sont permis.
Publié le 08/09/2024
Eh oui, cet espace qui sépare la vieille Europe de la vieille Amérique, nos premiers pas dans la vie comme l'écrit Modiano, ce moment où on ne sait quand on avance si on marche sur un débris d'enfance ou sur un germe de projet... "si je connus un temps de chien certes, c'est bien le temps de mes 20 ans, cependant je pleure sa perte... ". Je trouve ça raide de vieillir surtout quand on fait du sport.
« Terrasses » de L. Gaudé, une vision bourgeoise, étriquée et consensuelle des attentats de 2015.
Publié le 08/09/2024
Hello! Alors, je n'ai pas lu le livre et je n'ai pas envie de le lire. Je m'attends à un tissu de platitudes aussi plat qu'une terrasse justement. Tu devrais plutôt inciter ta copine à écrire, elle aurait quelque chose à dire puisqu'elle y était. Tu me sembles un peu crédule avec les titres. Un Goncourt qui enfonce une porte ouverte, tu en trouveras à chaque coin de rue. Des prix Nobel qui arrivent à captiver les foules avec un dépucelage raté ça existe aussi. Plus sérieusement, on sait que les mecs qui commettent ces actes sont complètement dissociés et pour certains le captagon aide bien. Avant on leur retourne le cerveau avec des vidéos bien efficaces. Tu fais marcher des gars paumés en crise mystique (typiquement des gens avec une double culture comme moi c'est parfait) en plein désert et tu casses le peu de repères qu'ils ont. Y a rien de plus facile que de faire ça, ceux qui utilisent la terreur comme arme de guerre le savent. Surtout si en face tu as un vide spirituel, théologique, intellectuel et aucun repère familial, aucune culture avec une absence de limites, un rapport à la loi hasardeux et une belle enfance de m**, tu tiens le bon candidat (e) près à un passage à l'acte et tu leur promets le ciel en plus... Enfin, à mon avis, y a ceux qui tiennent la lame et ceux qui la leur font tenir. Y a ceux qui se satisfont aussi en silence en pensant que c'est bien fait. Et ça, voilà ce qui me pose problème mais vraiment problème. Tu parles des causes? Dans les années 2010, la propagande de m** de L'E/I restait sur Twitter de 6 à 12 heures au moins... Qui dégommait cette m*** je te le demande? Les comptes parodiques avec des slogan pour imiter les pubs en arabe "Dash, lave les cerveaux, attire les tâches". Qui relaye cette propagande de m**? Déjà les connasses refaites à Abu Dabi qui vont dire qu'écouter de la musique c'est mal. Pas loin derrière tu trouves des Tartuffes qui vont attaquer la chanteuse marocaine Zina Daoudia pour "apologie de la prostitution et atteintes aux bonnes moeurs" parce qu'elle sort en soirée avec son sac pour draguer alors que pendant ce temps on voit des VRAIES gamines qui se prostituent dans la rue. Tu regarderas le clip, tu verras que l'accusation est risible mais on joue sur l'honneur des marocaines et c'est insupportable pour ces droitards d'entendre leur fille de 8 ans chanter du Zina Daoudia à tue-tête (donne moi mon sac, donne moi le maquillage, ce soir je serais belle...oh! comme c'est choquant une femme libre de bouger!). Bref, c’est l’histoire de mecs qui vivent selon l’honneur qu’ils ont susceptibles ( woo comment tu parles à ma sœur), des conservateurs qui en en ont marre d'entendre des orientaux hypocrites leur dire que quand les cours de change basculent, "les marocaines seront moins chères cette année". Qui a intenté le procès contre la pauvre chanteuse de chaabi ? Les politiques du PJD, les réac, la même maison politique que l'AKP en Turquie qui voulait voiler les hôtesses de l'air (là aussi ridicule mais il en va de l'honneur de leurs femmes), Ennardha en Tunisie. Une majorité vote PJD aujourd’hui. Ils ont de l’influence politique médiatique et religieuse. Tu as des femmes réac aussi, les mêmes qui applaudissent la chanteuse Dounia Batma parce qu'elle épouse en rang 3 un mec de Bahreïn qui en a déjà 2... alors que clairement... y a pas pire que celle-là, on dirait Kim Kardashian on voit pas ce qu'elle a de "hallal" dans son look. Mais bon, elle doit porter du make up "inglot hallal" super pratique pour ses ablutions! Mais bon j'arrête parce que je sens que je vais m'énerver aussi. C'est contagieux. J’en ai marre de celles qui me disent de ranger mes cheveux avant de parler. En bref, il ne faut pas compter sur moi pour lire la biographie des frères Kouachi ou le livre "Terrasses". C'est mort. J'ai prévu autre chose pour la rentrée littéraire. Gratitude envers ceux qui écrivent bien. Définitivement, je crois qu'il faut laisser tomber les platitudes sur les terrasses et les ranger avec Hanouna. Sur ce, je retourne cultiver mon potager, c'est dimanche, hein.
La croisée des chemins — Extrait—
Publié le 08/09/2024
Merci pour ta lecture et pour ce retour aussi rapide. Tant mieux si la longueur du texte ne t’a pas rebutée (ou les fautes que je viens de corriger). De mon côté, c’est surtout ce virage surprenant de l’horizon de pensée que j’aimerais réussir à rendre… L'évolution de Soral, Dieudonné ou même Houellebecq apparaît comme de la science -fiction à l'horizon des 90 mais l'évolution en miroir de l'autre côté de la médaille est terrifiante aussi.
La croisée des chemins — Extrait—
Publié le 07/09/2024
Un grand bravo Myriam pour cette croisée des chemins très réussie. Il y’a les lieux (géographiques, politiques, culturels et religieux) qui diffèrent et pourtant tout est sur les deux faces d’une même monnaie, dont le destin s’assure du résultat. C’est un très beau texte car il partage l’intimité d’un récit qui le rend d’autant plus authentique et parlant. Des situations complexes comme l’est d’ailleurs Houellebecq “qui écrit bien mais qui pense mal”. Il reste d’ailleurs dans la bibliothèque parce que l’écriture comme la vie sont un cran au-dessus de toutes les considérations. Elles sont, et l’on s’accommode du reste en essayant de le faire plier le moment venu, sur ce que nous sommes vraiment (notre identité construite) et ce à quoi on aspire. Merci pour ce moment sensible partagé qui m’a beaucoup ému.
Gare du Nord
Publié le 07/09/2024
L’enfer c’est les autres et l’on pourrait ajouter la ville et son lot de nuisances agressives telles que peuvent l’être le son, les lumières, la pollution… un texte révolté et bien écrit qui s’achève sur une pointe de mystère. La misanthropie est un levier puissant dans l’écriture. À plus tard.
« Terrasses » de L. Gaudé, une vision bourgeoise, étriquée et consensuelle des attentats de 2015.
Publié le 05/09/2024
C'est une conséquence, un effet dont il est absolument malhonnête de taire les causes. Commode mais malhonnête.
« Terrasses » de L. Gaudé, une vision bourgeoise, étriquée et consensuelle des attentats de 2015.
Publié le 05/09/2024
Ton texte n’est pas sur les Kouachi mais sur Gaudé. Et je crois qu’on peut quand même affirmer qu’assassiner 12 personnes est mal.
Tous les espoirs sont permis.
Publié le 04/09/2024
C’est une heureuse nouvelle qui consacre le travail effectué.
Tous les espoirs sont permis.
Publié le 04/09/2024
Merci, Léo. Je viens de recevoir coup sur coup, deux retours de personnalités littéraires qui m'ont dit grand bien d'"Ambre gris". Je ne cherche pas les compliments mais ils donnent le courage nécessaire pour oser défendre son œuvre. Merci ! ;-)
« Terrasses » de L. Gaudé, une vision bourgeoise, étriquée et consensuelle des attentats de 2015.
Publié le 04/09/2024
Je ne crois pas au libre arbitre. Si tu choisis une banane dans le plat de fruits, tu n'as rien choisi, tu as obéi à tes envies, tes goûts et ta paresse et tes envies, tes goûts et ta paresse, ce n'est pas toi qui les as déterminés. Et si tu parviens à corriger le tir, ce sera à la suite d'autres éléments extérieurs dont tu n'es en rien responsalbe. Il y a les effets et les causes et rien d'autre. Il faut lire la biographie des frères Kouachi, les tueurs du Charlie Hebdo. Ce qu'ils ont fait s'était amorcé bien plus tôt. Je ne dis pas que c'était bien ou mal parce que lorsqu'un volcan entre en éruption et tue des milliers de gens, personne ne va lui en vouloir pour la simple raison qu'il n'est pas responsable. On va plutôt chercher des techniques pour prévenir ce type de drame. Plutôt que diviser le monde en bons et gentils et éventuellement de bombarder bêtement des volcans en action, il serait éminemment plus intelligent de prévenir les causes. Notre société construit en très grande série des Kouachi. Où se trouve la cause ? Chez les Kouachi ?
Tous les espoirs sont permis.
Publié le 04/09/2024
A 18 ans on a l’âge de toutes les influences qui font nos fondamentaux, et cela diffère selon l’éducation, l’environnement, la société, les amis, la culture, les lectures etc.. et comme Sophiak je défends cette idée que l’on se construit (si on le souhaite) en permanence et je n’ai même jamais autant appris ces dernières années que précédemment. Comme on le dit souvent ce qui importe le plus n’est pas l’objectif visé mais le chemin pour y parvenir. C’est ce qui font les bons romans d’ailleurs car de toutes les histoires communes, celles qui plaisent le plus sont celles qui ont des trajectoires singulières qui savent nous parler, indépendamment d’où elles veulent nous amener. C’est souvent entre soi et soi les perceptions que l’on se fait du monde et des autres. Ce que j’aime dans l’écriture c’est de me dire, tiens, comment je vais réussir à embarquer tout le monde, indépendamment de ses croyances qui semblent arrêtées et limitantes. C’est d’ailleurs de qui me plait le plus dans ton écriture connaissant justement tes idées sans concession sur certains sujets, ces moments où tu parviens sur des scènes de vies à faire ressortir le côté universel qui parvient à rassembler et mettre tout le monde d’accord, lorsque le lecteur hoche la tête et se dit à lui-même, c’est tout à fait cela, il a réussi à décrire ce dont nous n’avons pas ou plus conscience, avec justesse et simplicité. Les auteurs à succès sont ceux qui savent faire monter dans leur livre le maximum de passagers-lecteurs qui n’auront plus l’envie de descendre jusqu’à la destination finale.
« Terrasses » de L. Gaudé, une vision bourgeoise, étriquée et consensuelle des attentats de 2015.
Publié le 04/09/2024
Je ne t’ai rarement vu aussi en colère. Je n’ai jamais lu de quelques façons que ce soit Laurent Gaudé, je ne m’exprimerai donc pas sur son talent littéraire puisque c’est ce dont cela qu’il s’agit. Après, chaque auteur est libre de mon point de vue d’écrire sur n’importe quel thème qui lui plaira et chacun est libre de lire ou pas, cette liberté là est fondamentale, la liberté d’expression l’est à ce titre. Et généralement lorsque ça ne m’inspire pas confiance, je ne lis pas car je ne me considère pas comme un consommateur qui bouffe ce que l’on me donne si je n’en ai pas envie, et je ne fais encore moins la pub indirecte, à ce que je juge ne pas le mériter. A mes yeux, un terroriste quel qu’il soit est un lâche qui ne mérite pas ma considération et rien ne peux justifier d’ôter la vie à un autre être humain sauf le cadre défini par la légitime défense. Et pour ce qui est des forces de l’ordre, comme dans tout corps de métier il y’a du bon et du mauvais : il y a des policiers vertueux et compétents qui sont dignes et méritants que je respecte au plus haut point car ils n’ont pas un métier facile et d’autres qui ne sont que de vulgaires cow-boys incompétents qui ne savent pas gérer une seule de leurs émotions et qui ont des idées qui ne collent absolument pas à la fonction et qu’il conviendrait urgemment d’écarter et de mettre hors d’état de nuire en toute légitimité surtout pour une mission aussi sérieuse qu’est la protection des personnes. J’aimais le temps où l’on appelait les policiers des “gardiens de la paix”, ce qui résumais bien la bienveillance qui allait de paire avec la mission plutôt que les forces de l’ordre qui veut tout dire sur la violence qui en est aujourd’hui attendue. Ce qui est terrible du côté des assassins comme du côté des corrompus et que l’on oublie souvent, c’est qu’il y a des commanditaires qui sont souvent intouchables. Je ne suis absolument à l’aise lorsque l’on oppose les citoyens, les services etc. Car faire société c’est d’une façon ou d’une autre devoir trouver des terrains d’ententes et faire consensus. Plus les gens se haïront plus les promoteurs extrêmistes de quelques bords qu’ils soient se développeront et disposeront du pouvoir, et de fait de notre avenir. Ce que je pense importe peu si le nous ne souhaite plus être solidaire et agir ensemble. Voilà pour ce qui est de mon point de vue très personnel, même si je préfère ici commenter les écrits que les personnes :-)
En construction
Publié le 04/09/2024
Lorsqu'on m'a félicité pour mes études faites sur le tard, j'ai répondu que je n'avais aucun mérite. Je ne suis pas responsable des algorithmes qui m'animent ni du fait que mon cerveau soit en perpétuelle programmation. Bref, Sophiak, je te rejoins à 100 pourcents. ;-)
Tous les espoirs sont permis.
Publié le 04/09/2024
Trop négatif à mon goût ! Mais je respecte votre point de vue. Je crois en le résilience et au fait que nous soyons en perpétuelle construction (cf mon dernier texte). Bonne journée !
Feuille de route pour cette fin d'année et un cadeau pour tous les auteurs !
Publié le 03/09/2024
Bonjour Agathe, c’est déjà possible avec ton statut auteur engagé, je n’ai en revanche pas eu le temps de rédiger le tuto dans la FAQ. Dans ton éditeur de texte il faut cliquer sur le bouton avec la Terre et y mettre l’URL de ton fichier audio à l’endroit où il est hébergé (j’avais fait le test sur mon texte (les rêves égarés et ça fonctionne). Nous prévoyons l’année prochaine d’allouer aux auteurs engagés quelques Go par compte qui permettra de pouvoir héberger ici même les fichiers pour faciliter les choses.
Feuille de route pour cette fin d'année et un cadeau pour tous les auteurs !
Publié le 03/09/2024
Que de projets , c’est génial ! Est-il prévu qu’on puisse associer un fichier son éventuel ? Merci !!!
illusion
Publié le 01/09/2024
Hello Léo, pour être honnête, cette réflexion ne m'appartient pas. Le poème de Vickie m'évoque juste magnifiquement un ressenti de ce que certains nomment camouflage social et l'anxiété qui en résulte. Si l'on cherche les mots "camouflage social", on tombe sur une abondante littérature militante sur le sujet... A priori, cela concerne une minorité conséquente des personnes sinon "Avoir le courage de ne pas être aimé" ne serait pas devenu un bestseller... À bientôt. :-)
illusion
Publié le 01/09/2024
Je trouve top ta réflexion car effectivement, le masque c’est pour les autres et ce qui compte le plus comme tu le dis, c’est de ne pas se masquer à soi-même et de mettre tous ses efforts à avancer soi et trouver des solutions à ses maux afin de s’en libérer ou de les mettre à distance raisonnablement et durablement. Et accepter la part de soi qui reste, quand bien même cela ne convient pas. L’accepter c’est aussi une étape importante pour mieux maîtriser et faire avec le poids culpabilisant des autres.
Les sept péchés capitaux : EPILOGUE
Publié le 01/09/2024
Bravo pour cette scène finale! La construction est très habile car un évènement comme celui-ci permet d'associer chaque personnage précédent en une même histoire. "Tout le monde s'amuse" forme un excellent passage de milieu ou de fin de roman.
illusion
Publié le 01/09/2024
Très joli texte. Il m'évoque la description d'un masque social où "rien ne doit se voir". S'adapter aux autres tout le temps est épuisant et cette seconde peau psychique pèse lourd, elle encombre autant que des talons hauts qu'on porterait à longueur de journée et que l'on aurait hâte d'enlever le soir. Plus l'écart grandit entre soi-même et le masque ou "l'illusion" que l'on donne et plus ça devient impossible à "péter un câble". Je lis un texte sur ce que l'on appelle moins poétiquement "faux-self". Ce que j'aime c'est que le poème donne la solution qui se trouve "dans le miroir" ou plutôt en soi car pendant que l'on porte le masque on se concentre sur les autres et leur regard et pas sur notre ressenti. Bref, je le glisse dans mes favoris pour le relire à loisir plus tard; merci du partage Vickie Plume;
Les sept péchés capitaux : EPILOGUE
Publié le 01/09/2024
Quelle fin, chapeau Agathe. Le temps de la mise en place on se demande bien une nouvelle fois à quelle sauce tu va nous surprendre et lorsque l’on comprend, c’est juste magistral. Tous tes textes étaient indépendants, avec des personnages et des histoires qui semblaient jamais pouvoir se croiser et pourtant tu l’as fait. Et en relevant l’ultime défi, on a une bonne dose d’espoir grâce à Bienveillance et Tolérance. Je n’avais pas encore répondu à ton dernier retour concernant l’avocat que je ne trouvais pas excellent. Ce qu’il me manquait dans sa plaidoirie c’était justement, quelle solution concrète mettre en place pour permettre et empêcher la récidive, pour accompagner les personnes à un véritable changement par la prise de conscience et au travers d’exercices concrets, et ton texte livre son secret quant au chaînon qu’il me manquait, un double bravo donc, tout le puzzle est totalement associé, et avec brio. Merci Agathe, c’était vraiment pas facile à relever et encore moins d’aller au bout.
illusion
Publié le 01/09/2024
Un grand plaisir que de te retrouver Vickie. Et une grande émotion à la lecture de ton texte. Les failles sont de moins en moins admises dans notre société où tout le monde a fini, notamment via Instagram à donner l’illusion d’une vie parfaite. Difficile à partir de là de se sentir exister aux yeux des autres lorsque pour ne pas troubler la norme et les idéaux d’une société de moins en moins indulgente, notamment sur les fragilités humaines. Heureusement que l’écriture existe pour extérioriser et interpeller sur ses ressentis, ses émotions et pour celles et ceux qui le souhaitent, leur vécu. Ton texte est un porte-voix pour les personnes fragiles condamnées au silence. J’ai beaucoup aimé le “feu de failles” qui est une très belle trouvaille et image.
En construction
Publié le 01/09/2024
Merci Myriam, ma fille est en 4e année d'école d'ingénieurs dans le BTP, c'est elle qui m'a inspiré.
En construction
Publié le 31/08/2024
S'émanciper, une quête vers l'équilibre qui mène au bonheur. Tes mots sont de belles graines pour semer et cultiver la confiance en soi.
En construction
Publié le 30/08/2024
Très joli texte sur la vie qui s’écoule en point de suspension. La pression des autres pour rendre les devoirs à l’heure, livrer les bâtiments en temps et mettre un point final avant l’édition d’un article est très forte. Elle laisse peu de marge de manœuvre aux personnes qui perdent de vue le chantier que tu décris.