Un texte court mais qui soulève de grandes questions. Il semble effectivement que nous soyons plus empathiques avec les personnes proches plutôt que dans un second cercle ou même des inconnus. I je me dis comme toi que se poser la question et de se remettre en question est déjà un réflexe humain, et que si on prend notre part d’action alors effectivement il y a moins à regretter sachant que nous ne pouvons absolument rien contre l’arbitraire. Merci pour ce texte Patrice.
Cher Léo, merci beaucoup pour avoir réagi aussi rapidement et aussi efficacement à ce problème informatique. Désormais je pourrais publier, j'ose espérer quotidiennement, un texte, un sonnet ou peut-être une nouvelle dans le cadre des ateliers d'écriture.
Merci encore de tout cœur, car publier sur ton site, le peuple des mots, me procure beaucoup de joie, puisque le partage des textes, est essentiel pour moi et peut-être intéressant pour certains lecteurs.
Merci encore de tout cœur
cordialement,
F Étienne
Cher Léo merci beaucoup pour ce nouveau commentaire qui décrit exactement la tonalité de ce sonnet. Je suis toujours très touché par ta profonde compréhension de ma forme de poésie et surtout très touché par ta fidélité à en commenter les impressions perçues.
Je saisis l'occasion de te remercier pour avoir mis les mains dans le cambouis en soulevant le capot de la machine informatique et pour m'avoir permis de publier désormais régulièrement, ce que je pense faire quotidiennement, si cela n'encombre pas ton site.
Merci encore poursuivre avec autant de minutie et d'enthousiasme chacune de mes pages.
Très cordialement,
F Étienne
Merci Jean-Luc, Gisèle était très fragile et a mis fin à ses jours. Ton dernier texte "Les confins" donnent de l'écho à cet hommage que je lui ai rendu, si seulement elle avait pu ne rester que sur les voix les plus bienveillantes. A plus tard.
Bonjour Francis Etienne, après avoir regardé de plus près sous le capot il y avait bien un bug concernant ton code d'activation, la situation devrait être arrangée à présent et tu ne devrais plus avoir de limitation pour publier davantage de textes.
Il faut être résilient en Haïti pour être citoyen à part entière et à tous les niveaux de l’administration. Et puis il y a aussi en matière de fiscalité une forme d’universalité, car tous les pays semblent compter dans ses rangs politiciens des politiques qui ont au mieux du dédain et au pire une réelle aversion vis à vis de la fiscalité…
Je n'avais pas capté l'existence de ce très beau texte, jusque là, mais je ne regrette vraiment pas de le découvrir même tardivement ! Le titre, les mots, les idées... tout y est d'une grande délicatesse. C'est d'autant plus émouvant que même sans connaître la personne ici honorée, j'arrive à partager ton émotion en même temps que je peux penser à un ami récemment décédé et pour qui tes mots colle autant à merveille. Merci Léo
merci pour les références d'ouvrages et d'auteurs. Je les note, et peut-être que d'ici l'été je trouverais un moment pour me lancer dans une telle lecture :-)) Titus Groan risque d'être l'heureux élu, dans ce cas !
Cher Léo,
Encore une fois je te remercie pour ce commentaire qui souligne avec une profonde sensibilité à l'écriture non seulement la première partie du texte comme étant un décor mis en place avec beaucoup de réalisme, mais encore pour ta finesse à reconnaître un style qui m'est il est vrai assez particulier ou personnel. La nouvelle est un genre qui m'intéresse énormément, car en complément de la poésie, elle permet de mettre en scène n'importe quel élément de la vie, de l'imaginaire, ou de l'horreur comme c'est le cas dans ce texte. Je trouve dans la composition d'une nouvelle beaucoup d'éléments d'écriture, qui contraignent l'expression à sa plus précise maîtrise. Comme le sonnet, elle exige la rigueur, en limitant le champ de création à des moyens très réduits, ce qui oblige le compositeur à utiliser beaucoup plus la couleur des mots, et leur assemblage pour créer le relief et la profondeur, que la résonnance d'une compréhension intellectuelle et temporelle du texte.
Merci encore pour ce magnifique commentaire.
Il semble toujours toutefois que j'ai des problèmes pour publier de nouveaux textes, car le code que tu m'avais donné ne fonctionne plus du tout. Devrais-je remplacer par un nouveau code que tu me donnerais, ou dois-je attendre une semaine pour publier les prochaines textes ?
Merci encore de tout cœur et à très bientôt, pour l'instant à la semaine prochaine si je ne peux pas continuer à publier cette semaine.
Cordialement,
F.
Cher Jean-Luc,
Encore une fois merci pour votre commentaire, qui détaille exactement vos impressions en face de ce texte que vous définissez avec beaucoup de justesse. Il est vrai que c'est un style dans lequel quelquefois j'engage mon écriture. Il m'est nécessaire d'assouplir mon outil en explorant des univers littéraires très différents. Il n'y a pas de limite à l'exercice de l'écriture, et chaque page me contraint à affiner, aiguiser, et ajuster la pression de la plume au plus juste.
Je dois dire que je suis un lecteur d'Edgar Poe mais aussi d'autres auteurs anglo-saxons, qui se sont aventurés dans l'étrange, comme par exemple Sheridan Lefanu, dont dont je vous conseille la lecture de : In a glasss darkly. Mais il y en a bien d'autres comme par exemple Wilkie Collins ou Merwyn Peak et son étrange Titus Groan. Je suis très curieux de découvrir comment se fabrique l'étrange et au-delà la trame d'une forme de frayeur animale.
Encore une fois merci pour votre retour sur ce texte et je l'espère à très bientôt.
Cordialement vôtre,
F Étienne
Masque et faux-semblant sur le divan poétique où la mue de l’âme fait son œuvre, béate et contemplative, sur le fil d’une écriture aérienne. Merci beaucoup pour ce nouvel instant de toute beauté.
Un registre inhabituel et pourtant un style que l’on reconnaît. J’aime cette première partie dans laquelle la pluie et l’environnement nous plonge dans un récit inquiétant et mystérieux à la fois, presque hypnotique. Les mots comme pour expier ses fautes et s’alléger et la malédiction de ne pouvoir les délivrer. Au seuil de la mort Francis Etienne virevolte avec les mots prophétiques et compose une nouvelle toile saisissante qu’il est bon de lire. Merci pour cette participation qui pourrait être rattachée à l’atelier d’écriture.
Gilbert, il m'est toujours émouvant de découvrir tes textes qui posent des mots authentiques sur des réalités qui le sont tout autant. Tu vis de près des évènements tragiques et tu es donc bien placé pour témoigner.
Quel texte étrange et fascinant à la fois :-)) Je n'ai pas l'habitude de lire ce type de récit, mais je reconnais que c'est assez captivant. Outre la richesse du vocabulaire, j'apprécie les juxtapositions très insolites de mots que l'on associe généralement pas. Cela donne un style très particulier qui oblige le cerveau à des représentations inédites de ce qu'il tente de comprendre. Là, on navigue dans une horreur que le style rend parfaitement ordinaire puisque les émotions "habituelles" sont absentes. Bravo pour cette proposition !
Bonsoir Agathe, on avait pas mis cette possibilité au début pour lutter contre toute forme de harcèlement, mais à des demandes fréquentes nous allons permettre cette possibilité juste après la migration du site, soit d’ici un mois maximum je pense. Pour suivre les développements prévus du site et même faire des propositions de développement, tu peux aller dans l’Agora, en cliquant sur communauté.
Merci Agathe. Je suis d'autant plus touché que je sens que tes mots sont très sincères. J'ai construit le texte à partir de différents éléments épars où j'ai été tour à tour victime ou témoin. Finalement, ce texte, je l'ai écrit juste après février 2022. Ce texte est un plaidoyer en faveur de la Russie. ;-)
Ravie de revenir après quasi 9 ou 10 an ( ouille ça pique !)s consacrés à l'écriture et à la musique. Je ne me pose pas la questions mon texte est engagé ou militant. S'il l'est, c'est en toute sincérité et simplicité que je milite pour le partage des émotions.
Merci de votre appréciation un fils de Louis ( ou Patrice ?) Concernant la couleur, vous avez absolument raison et je l'ai aussitôt modifié. J'avais trahi le fond pour le forme. J'ai bien sûr reconnu le groupe défendu de l'opprimé contre l'agresseur bête et méchant dans votre texte " une fois qu'il a eu le goût. Je ne sais pas si mon texte est militant, c'est plutôt le résultat d'un triste constat des changements d'un monde en pleine mutation. Je ne connais pas le film "le règne animal" mais il a l'air de ne pas laisser indifférent ce qui est en général une qualité.
Très touchée par ton texte un Fils de Louis. Pour avoir subi moi-même de simples moqueries répétitives quand j'étais ado, je ressens le mal-être de Jean-Claude avec son sourire de drapeau blanc ( j'adore l'expression). Quelle revanche compréhensible à la fin et pourtant répondre à la bêtise par la violence n'arrange rien. Triste chute qui sanctionne l'agressé agresseur. Un sentiment d'un cercle vicieux ou le violenté devient un violent potentiel... En tout cas bravo car ce texte n'est peut-être pas auto-biographique mais il est sacrément d'actualité. Merci !
Tu touches exactement du doigt la raison de ce témoignage tardif de ma part. Je suis effondré par la mort ou les grands malheurs de ces jeunes ados de 12, 13, 14 ou 15 ans, si fréquents encore à notre époque. À ces âges, je subissais comme eux, mais je résistais parce que j'avais le plus beau des refuges : la nature. J'avais aussi le soutien, l'unique soutien, de Frères de l'église chrétienne (je suis né dans l'une de leurs écoles) qui me traitaient comme leur fils (à l'inverse de mes parents !), sans jamais me parler de Dieu ou de foi.
Quand j'ai décidé de devenir enseignant, j'avais le désir de venir en aide aux jeunes, justement, mais ma terrible surprise fut de découvrir que des fin-ados/jeunes adultes se suicident aussi, souvent en lien avec une enfance/adolescence malheureuse, des anciens harcelés qui ne s'en remettent pas ! C'est ce sujet que je veux traiter... on n'en parle jamais ou presque. Je trouve ça tellement abominable d'avoir vécu dix ou quinze ans à se battre contre des malheurs et des salauds et d'être sur le point de s'en sortir avec beaucoup de force, tout ça pour se faire rattraper par un mal être profond qui reprend peu à peu du terrain. Ce fut mon cas, mais je m'en suis sorti définitivement à 27 ans, comme je l'écris (derrière l'histoire arrangée ici, il reste beaucoup de vrai dans ce récit), et c'est grâce à des personnes plus jeunes que moi que j'ai commencé à trouver la lumière dans ma tête. Donc oui, j'espère que mon témoignage trouvera un éditeur, précisément pour encourager des 16-25 ans (ne serait-ce qu'un seul d'ailleurs) mais ce n'est pas gagné. Quand à la montagne, aux déserts et aux grands espaces... comme je leur dois beaucoup aussi :-)) Merci de tout cœur Léo
Merci Agathe. Je suis sincèrement touché si mes mots peuvent émouvoir, parce qu'effectivement, même ainsi tournés pour cet atelier d'écriture, ils traduisent beaucoup d'un vécu fort douloureux et de rencontres merveilleuses : des amours vaines mais étonnantes, des étudiants tellement stimulants, des ami-e-s rares autant en nombre qu'en qualité, la montagne, la nature... même si je n'y croise que rarement des abeilles qui aboient ;-)
J'adore les brebis à poils raides, les vagues qui dépriment et les abeilles qui aboient :-)) Et que dire du "Et pour les disparus on n’ouvrit pas d’enquête Mais on tourna la tête…". C'est magnifique à la fois par l'écriture et par le sens. J'admire ce genre de composition. J'en suis tellement incapable :-) Merci Agathe