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C'est pas la peine d'être gentil parce que c'est pas la gentillesse qui rend aimable.
Publié le 12/02/2023
Un très beau texte qui m’a touchée parce qu’il décrit bien aussi l’attitude des chats et leur façon qu’ils ont de nous attacher à eux eux. La disparition de Nyx est triste et j’imagine très bien le chagrin que vous avez dû avoir… Merci
Métamorphose
Publié le 12/02/2023
Merci pour votre commentaire. Oui, pourquoi j’ai mis «  pensé-je », un tic de lecteur je pense. J’ai fait assez vite et j’aurais pu écrire autrement mais bon..
Métamorphose
Publié le 12/02/2023
J'aime moins quand vous écrivez comme on imagine que les auteurs écrivent "Ce n’est pas possible pensé- je." Mais j'aime beaucoup quand vous écrivez au plus simple. ;-) N.B. C'est tout à fait personnel.
In nomine humanitatis
Publié le 11/02/2023
Ton commentaire me touche, Léo. Je t'en remercie. Je vois bien tous le positivisme que tu mets pour l'avenir, et c'est évidemment très bien. Je l'étais "autrefois", mais je suis devenu un pessimiste positif (je n'ai plus que cette locution là pour défendre mes convictions). Tout ce qui faisait mes espoirs profonds s'est émietté, craquelé, fissuré... jusqu'à l'effondrement total. D'abord l'écologie, puisque je suis de la première heure dans ce domaine : les formidables espoirs que cette science complexe, nouvelle et salvatrice à la fois pouvait offrir ont été littéralement salis, détournés, avilis, au point de former un immense n'importe quoi où il est devenu presque impossible d'en repérer encore ses atouts profonds. Le mot s'est "plurialisé" en perdant tout son SENS et surtout toutes ses indissociables approches. Ensuite, l'humanité : baigné dans la révélations des horreurs absolues de la dernière guerre, et les terribles et insupportables silences qui les ont remplacés ensuite, j'ai cru qu'arrivaient les prémices d'une nouvelle ère. J'avais tout faux, et je suis rongé par tous ces cris de désespoir qui s'ajoutent les uns aux autres, et même avec beaucoup plus de vigueur encore ces dernières années. Quant aux révolutions technologiques... elles imposent de très nombreuses heures de formation pour apprendre à manier une arme d'aujourd'hui là ou un coup de gourdin suffisait avant pour tuer ! Je ne crois pas aux vertus d'un détachement à la terre, à l'eau, à l'effort, à la lecture d'un vrai livre en vrai papier... pas plus que je crois aux vertus d'une telle course à l'espace, sauf à comprendre qu'il n'y a énormément que de sales intentions derrière, pour l'essentiel. Je ne sais plus sur l'instant quel génie a dit "jusqu'à maintenant on avançait en regardant dans le mauvais sens ; maintenant on regarde dans le bons sens mais on y va en reculant" Je le ressens si profondément ! sans pouvoir m'empêcher d'ajouter qu'une trop faible partie du monde regarde dans le bon sens. Mon propos est très gauche car impossible à exprimer ici, dans un si petit espace ;-)
In nomine humanitatis
Publié le 11/02/2023
Bonjour Fabien, quel bel atelier qui remue et qui fait surgir énormément d'émotions. Nos mots et cet endroit pour les mettre en commun et échanger et partager, c'est précieux. Pour moi il y a plein de luttes qui divergent souvent mais qui en ce cas convergent sur un questionnement commun : de quoi sera fait demain ? Si égoïstement je me réfère à ma condition alors je suis un privilégié, au sens où j'ai de quoi vivre de façon très satisfaisante, j'aime mon activité et tous mes passes-temps qui me nourrissent quotidiennement et donc, travailler deux ans de plus effectivement serait totalement transparent pour moi dans ces conditions (et compte je travaille pour une association et qu'une fois à la retraite je travaillerai toujours pour elle, en fait rien ne changera vraiment), alors oui, je pourrais travailler 2 ans et si la santé me prête vie 10 ans de plus même. Mais ma condition n'est pas celle de plein de personnes et surtout, je ne veux pas penser ainsi. Quelqu'un m'a dit enfant, vit de ta passion et tu ne travailleras plus un seul jour. C'est vrai. Mais c'est très rare de vivre de sa passion, en revanche je souhaiterai que chaque humain soit libre d'exercer sa passion, de s'en découvrir de nouvelles ou même d'en redécouvrir... et pour cela il faut du temps à défaut d'avoir l'emploi qui solutionne tout. L'humain ne doit pas être esclave et toutes les avancées technologiques laissent à penser que oui, très honnêtement, l'humain n'a franchement plus à devoir à travailler autant. Si tous les humains disposaient du maximum de leur temps pour donner le meilleur d'eux-mêmes et produire tout autre chose qu'une économie complètement dingue et dépourvue de sens, comme je l'ai écrit dans le commentaire laissé à Jean-Luc... c'est le bonheur de chacun, additionné et corrélé à celui de tous les autres qui sera l'antidote à toutes nos peurs pour un monde plus apaisé et surtout partagé. En revanche je crains que gueuler restera toujours dans l'ADN des français, et c'est parce que tout le monde gueule que tout le monde donne son avis, et que parce que tout le monde donne son avis que l'on voit parfois surgir des idées totalement inédites et inattendues... alors que chacun gueule à bon escient si ça le libère et si ça permet entre des tonnes d'inepties et de faux débats permettre à quelques idées de génies de nous permettre d'atteindre le chaînon manquant... et devenir enfin une humanité évoluée, prête à tout autre chose.
In nomine humanitatis
Publié le 11/02/2023
Je n'ai lu aucun.des commentaires avant d'écrire le mien pour ne pas être influencé. Quel texte... sincère comme à ton habitude et rappelant les fondamentaux comme l'incontournable question du sens, car oui, il faut toujours questionner les choses, les évènements, se questionner, et même pour être plus conscient, questionner le questionnement... et surtout se souvenir, NOUS souvenir de toutes les époques, de toutes les histoires, de toutes les séquences de notre Humanité, dans ce quelle a de plus décevant, mais aussi de plus beau et de plus inspirant : celle qui élève les âmes les plus basses, et celles qui rabaissent les moyens lorsqu'ils ne sont plus du tout adaptés aux véritables besoins. Il y a un juste équilibre à trouver, et il faudrait aussi que chacun se sente l'artisan de notre humanité. De plus en plus de personnes souffrent, et si les moyens augmentent pour beaucoup, ou alors baisse mais à des niveaux encore totalement convenables, il y a de plus en plus de laisser pour compte, des personnes et notamment de plus en plus d'enfants qui finissent à la rue, qui se coupent de la dignité qui leur est due, de l'éducation qui est la mère de toutes les chances et de toutes les aspirations, de la culture qui panse les plaies et donnent un peu de baume au coeur... Nous sommes avec les révolutions technologiques à l'aube de franchir une nouvelle ère, celle qui devrait permettre aux humains de s'affranchir de leurs conditions de producteurs de richesses, pour justement... produire à nouveau du sens, de l'équité, de la fraternité, de la conscience individuelle et collective et tant de concepts qu'ils nous restent encore à inventer pour que demain soit un véritable espoir. Merci pour ton texte qui est pareil à une brise qui attise tous les espoirs, bien que la tendance soit en proie aux plus grands doutes... merci, ça fait du bien.
Défi février On nous taille un beau costume ("Le tailleur" de F. Reynaud constitue la seconde partie du texte.)
Publié le 11/02/2023
J'ai beaucoup ri et avec gravité, car c'est tout à fait représentatif de la société moderne, où tout repose sur ce que tu fais bien ou non, des injonctions permanentes, qui se succèdent. En une décennie on a réussi à faire culpabiliser tout le monde sur tout avec toujours plus de privations pour le plus grand nombre et des libertés et possibilités quasi infinies pour quelques uns... à terme une poignée probablement (de nouveaux dieux terrestres en quelque sorte). Et pour coller au costume sociétal, il faut effectivement de plus en plus souffrir. Plein de prises de consciences étaient nécessaires et salutaires (violences en tout genre, pollutions environnementales, rationalisation énergétique...), mais l'on est passé de tout à tout avec une forme de radicalisation de tous les courants dits humanistes qui si l'on n'y prend pas garde instaurera une nouvelle dictature, celle de la perfection et de l'uniformité, de ce à quoi on doit absolument ressembler au risque d'être un paria ou un poids mort pour la société... autrement dit le retour du fascisme. L'humour a toujours été un levier formidable pour dire les choses avec beaucoup d'efficacité, merci pour ce partage Patrice.
"Les démons", finale de la première partie "Un soleil artificiel" : extrait : "Point final".
Publié le 08/02/2023
Oui, je pense que ce sera mieux. Ce n'est pas encore assez abouti que pour être rigoureusement corrigé.
"Les démons", finale de la première partie "Un soleil artificiel" : extrait : "Point final".
Publié le 08/02/2023
Oui, je pense que ce sera mieux. Ce n'est pas encore assez abouti que pour être rigoureusement corrigé.
"Les démons", finale de la première partie "Un soleil artificiel" : extrait : "Point final".
Publié le 08/02/2023
comme Fabien, j'aurai plaisir à te lire. Mais comme lui, laisse moi le temps. J'ai mille chose en cours et dix fois plus à démarrer. Une retraite c'est beaucoup trop court pour tout faire :-). Je pense que je vais plus te dire les passages qui me semblent éventuellement problématiques, et pourquoi. Sans apporter de correction. Et te dire aussi mon ressenti sur le fond, quand je n'accroche pas ou plus. Voili voilà ;-)
"Le couple de la gare" Photographie de Ruth Orkin
Publié le 08/02/2023
il n'y a plus de plaisir, juste de la reproduction ;-)))))
"Les démons", finale de la première partie "Un soleil artificiel" : extrait : "Point final".
Publié le 08/02/2023
Tout ce que tu dis est très vrai ! Tout ! J'ajouterais juste que j'avais plusieurs raisons d'écrire, pour épater Martine, pour me soigner, pour avertir mon fils. Il me reste à dire tout mon amour à Luce et à mes parents. Il me reste aussi à me démontrer que je ne suis plus le serviteur arriéré. Je l'ai fait déjà grâce à mes études d'ingénieur du son et à ma carrière qui les a suivis. Ce récit serait une sorte de confirmation. ;-) Et comme pour Fabien, si tu le souhaites, je serait très heureux de t'en envoyer cette première partie afin de recueillir tes impressions. J'en serait honoré, encouragé et aussi, ça m'aiderait à corriger. Si ça te dit, tu me donnes ton mail et c'est parti. ;-)
"Les démons", finale de la première partie "Un soleil artificiel" : extrait : "Point final".
Publié le 08/02/2023
Antidote m'a énormément aidé à repérer mes erreurs linguistiques, orthographiques, etc., même si l'outil a bien sûr ses limites. J'espère que tu y trouves ton compte :-)) Pour le reste... laisse-toi aller au doute, et quand tu en aura assez de douter dans une sorte de procrastination du cerveau, le silence de cette écriture absente te deviendra à ce point insupportable que tu auras toute l'énergie pour repartir... ou peut être de partir sur autre chose ! Dans tous les cas, c'est une victoire personnelle, car ce que tu as déjà écris est beau. Pour t'obliger "à reprendre", il faut que l'énergie revienne. Je ne le sais que trop. La question n'est pas de savoir si tu feras aussi bien (c'est sans vrai fondement), mais bien de savoir pourquoi tu le fais. Il est là, ton doute en réalité. Ce que tu as écrit est une réponse à un impérieux besoin d'extérioriser ce que tu as plus ou moins consciemment maturé avec vigueur en toi. Ce que tu voudrais écrire est à l'évidence, pour l'instant, ce que tu imagines comme nécessaire pour aboutir à l'équivalent d'un livre (publié ou non). Ce n'est pas suffisant ;-) La preuve, c'est que tu demandes si écrire la fin n'est pas mieux que d'écrire la suite.
In nomine humanitatis
Publié le 08/02/2023
Ce que tu dis, Fabien, me touche sincèrement. J’y apporte deux petits points. Le premier est la solution que j’adopte pour contenir les émotions engendrées par la colère. Comme j’en suis totalement incapable, je me lâche complètement dans un premier temps, jusqu’à me rendre compte, comme à chaque fois, que je m’y épuise (jusqu’à déraper, même, ou écrire n’importe quoi !). Là je sais enfin que seuls quelques uppercuts très étudiés doivent remplacer tout ça, pour qu’une fois assenés à la face de qui je peux viser, ils diffusent le plus possible et longuement la « douleur », quitte à y laisser, de préférence, quelques séquelles. Donc, dans le fatras de mes épanchements, je recherche les propos qui font le plus mal ou le plus d’effet. C’est là que je commence vraiment l’écriture, par un autre travail. Le second point est relatif à ma première note de bas de page. C’était dans le texte. Ça me gênait. Je l’ai supprimé. Puis je l’ai remis. Et finalement apposé en note. Il faut que ce soit présent, non comme une biographie, mais comme un autre type d’uppercut, celui d’un choix (et d’un résultat) de vie qui va dans un tout autre sens que le commun si largement diffusé (imposé). Oui, on peut travailler longtemps et tardivement, s’y fatiguer, y laisser « de soi » et ne pas exiger de la société on ne sait quelle « indispensable compensation ». Sans même aller dans les pays pauvres, au Japon, aux USA, en GB… bien des gens sont obligés de travailler jusqu’à leur mort. Ils le font. C’est ainsi. Alors que moi j’ai la chance d’être épaulé par un système qui n’est pas si mal que ça. Posément perfectible, sans doute. Ces hurlements incessants sont surtout insensés et témoignent de l’incapacité de tant à effectuer les bons choix moraux de vie. On ne peut pas faire porter à la société les aléas du vieillissement en accusant celle-ci d’en être responsable au travers du travail, de l’effort, qu’elle nous « impose ». Chacun est libre d’aller chasser comme il l’entend le fennec dans le désert pour vivre, et curieusement, personne (ou presque) ne le fait.
Défi février On nous taille un beau costume ("Le tailleur" de F. Reynaud constitue la seconde partie du texte.)
Publié le 07/02/2023
je te donne mon mail, tu peux me faire parvenir le pdf. Je le lirai avec plaisir et objectivité. Je te ferai parvenir mes impressions au fur et à mesure. Je mettrai sûrement un peu de temps, je lis doucement, et je suis aussi en train d'écrire mon prochain roman. mon mail: fabienfabien177@yahoo.fr
Défi février On nous taille un beau costume ("Le tailleur" de F. Reynaud constitue la seconde partie du texte.)
Publié le 07/02/2023
comment te l'envoyer ? Ceci dit, j'ai été facteur et le coup de l'enveloppe ne vaut pas. En effet, il suffirait de s'envoyer une enveloppe ouverte et d'introduire le contenu plus tard à un moment sans rapport avec la date du timbre. De toutes façons, le recours à la justice n'est efficace que si l'on est riche. Je suis bien payé pour le savoir.
In nomine humanitatis
Publié le 07/02/2023
C'est exactement cela, trouver le mot juste, la ponctuation, la phrase désossée de ses futilités pour ne garder que le suc, l'essence. Et des fois au bout du chemin, lorsque la phrase est écrite et livrée à la lecture, la frustration, parfois, de ne pas avoir trouvé mots plus justes, plus forts dans le temps imparti. Le plus difficile, c'est à mon sens de ne pas se laisser emporter par l'émotion de ce que l'on veut écrire pour ne pas faire dérailler le texte. Contenir sa colère, lui faire prendre le chemin des mots.. tout un apprentissage. J'ai trouvé ton texte magnifique, rempli de l'expérience d'une vie, de l'expérience des mots. J'ai lu ça comme un cri d'amour, parce que pour écrire comme ça il faut savoir aimer. J'ai été très ému que tu te livres assez personnellement dans cette justesse. Ce texte, il faudrait en faire une tribune, car il y a tout dedans. Puisse-t-il juste être compris. Merci beaucoup Jean-luc.
Défi février On nous taille un beau costume ("Le tailleur" de F. Reynaud constitue la seconde partie du texte.)
Publié le 07/02/2023
Tu sais il n'y a rien de figé dans la rédaction d'un roman. Certains utilisent un plan, d'autres pas. Certains commencent par le début, d'autres traitent les parties en fonction de leur inspiration. C'est très bien de laisser reposer ton travail. Tu le verras d'un autre oeil quand tu le reliras. L'oeil trop habitué ne lit plus rien de valable. Prendre du recul, il n'y a que ça de vrai. Pour ma part, je fais toujours lire par une ou deux personnes objectives mon travail au fur et à mesure. D'abord pour m'assurer de la fluidité et de la compréhension de ce que je veux faire passer. Bien sûr, il faut savoir accepter la critique, changer ce qui doit être changé, et défendre ce que l'on pense être primordial pour l'avancer du roman. L'idée étant d'aboutir sur un manuscrit assez "propre" tant dans le fond que la forme pour capter l'attention d'un éditeur ( ce qui n'est pas une mince affaire), et surtout ne pas se décourager, travailler son texte, faire les pauses nécessaires. C'est pour cela qu'écrire un roman est souvent très long. Eh bien, je lirai ton texte avec plaisir en te donnant les conseils que je pense modestement t'être utiles. Un conseil tout de même avant de faire lire tes textes, protège les. Tu peux simplement t'envoyer par la poste ton manuscrit ou partie, ou clé usb , et conserver l'enveloppe sans l'ouvrir, le cachet faisant foi. Tu peux aussi envoyer un exemplaire à la société des gens de lettres.
In nomine humanitatis
Publié le 07/02/2023
... et ce n'est pas non plus qu'un exercice. Merci à toi, Fabien. Ce qui ne relève pas de l'exercice c'est bien évidemment le fond que je voudrais pouvoir hurler plus immensément, comme toi de ce que je lis dans tes mots. Mais de la pensée profonde à la transcription de cette dernière... c'est toujours (pour moi, en tout cas) une formidable et bénéfique épreuve. Chaque mot doit être choisi, donc compris et vérifié, car je sais combien le moindre faux pas peut décrédibiliser le tout et salir mes convictions. Impossible de trop s'épancher également, et donc s'obliger à bucheronner dans la forêt dense des idées qui se bousculent pour ne présenter que des clés fortes mais succinctes comme développement et illustration du tout. Quand l'esprit bouillonne d'un côté et accuse de l'autre les premiers aléas du temps déjà écoulé, telle expression est nécessairement une fertile gymnastique. Je suis là bien loin de la facilité d'un Juan ou d'un Diego où la liberté y est grande, bien que sans concession sur le désir de qualité :-)
Défi février On nous taille un beau costume ("Le tailleur" de F. Reynaud constitue la seconde partie du texte.)
Publié le 07/02/2023
que tu t'intéresses à mon travail. Je pense souvent aux commentaires que j'ai lu ici et notamment aux tiens. Tu m'avais dit qu'il fallait laisser reposer et y revenir. C'est absolument vrai, j'en suis convaincu, trop de relectures trop vite me font perdre la boule. J'ai donc terminé la première partie "Un soleil artificiel" j'en ai fait une correction avec "Antidote" et j'ai relu une fois. Maintenant, je le laisse au placard et je n'y toucherai plus avant un bout de temps. J'avais imaginé le faire lire à des amis mais je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée car la rédaction est perfectible alors, une fois la version suivante terminée, à qui faire lire ? En même temps, j'ai très envie d'avoir le sentiment de personne comme toi, Léo, Jean-Luc ou Véronique. Cette partie fait 21.000 mots. Je pense poursuivre non pas par la partie suivante mais par la partie finale. Il est même possible qu'il n'y ait plus besoin de partie intermédiaire. La partie finale s'intitulera "Président des États-Unis". Bref, si tu as envie de te farcir la lecture de 21.000 mots, je serait très heureux de te les envoyer pour que tu me donnes un premier sentiment. Encore merci pour ton intérêt ! ;-)
Défi février On nous taille un beau costume ("Le tailleur" de F. Reynaud constitue la seconde partie du texte.)
Publié le 07/02/2023
Coucou Patrice. Sympa le petit clin d'oeil bien trouvé . Je vois que tu poursuis ton roman contre vents et marées.. Où en es-tu justement?
In nomine humanitatis
Publié le 07/02/2023
Un grand merci à toi l'ami. Tout d'abord parce que ton texte sans concessions, lève une partie du voile bien posé sur nos sociétés occidentales. Des gueulards, voilà ce que nous sommes (une tradition bien française). On gueule pour tout et son contraire. Et c'est le ventre bien rempli que l'on fustige l'inflation qui, entendons-nous bien, n'impacte réellement (dangereusement), qu'une frange marginale de la population. Et c'est bien seulement pour le plaisir de gueuler.. Car finalement, les avions sont toujours aussi pleins comme le sont nos frigidaires. On a gueulé pour tout! " On n'a pas de masques à se coller sur le nez! C'est honteux!" , et quand on les eus on ne voulait plus les mettre.. On manifeste pour tout et n'importe quoi, mais jamais l'été, il faut tout de même profiter de ses congés payer.. On hurle contre la réforme des retraites, mais de retraites nous aurons, ce qui n'est pas le cas de tout le monde dans ce monde. Plus on a et plus on gueule, et on le fait parce qu'on nous permet de le faire et souvent parce que le média n'ayant rien à se mettre sous la dent en fait tout un "flan Mireille" de rien. Voyageons, allons voir ailleurs comment cela se passe. Allons voir là où ça crève, de faim, de maladies que l'on soigne facilement chez nous. Avant de gueuler parce que la visite (remboursée) du docteur à pris 1 euro, allons voir là où l'on ne peut se payer de soins médicaux... Merci de t'être livré ainsi Jean-Luc. Soixante-six ans et vingt ans dans l'âme et l'esprit.
"Les démons", finale de la première partie "Un soleil artificiel" : extrait : "Point final".
Publié le 07/02/2023
J'adore tes éloges ! Blague à part, ça me touche d'autant plus que tu ne t'es jamais gêné à exprimer des réserves, ce dont je te remercie du fond du cœur. Je sais donc que ce que tu viens d'écrire est parfaitement sincère. ;-) D'autre part, j'ai écouté ton conseil et je me suis payé "Antidote" avec quoi j'ai corrigé cette première partie terminée. J'arrive maintenant dans la seconde. C'est très très dur de reprendre. On doute qu'on puisse faire aussi bien. Je verrai bien. Merci !
"Les démons", finale de la première partie "Un soleil artificiel" : extrait : "Point final".
Publié le 07/02/2023
J'adore tes éloges ! Blague à part, ça me touche d'autant plus que tu ne t'es jamais gêné à exprimer des réserves, ce dont je te remercie du fond du cœur. Je sais donc que ce que tu viens d'écrire est parfaitement sincère. ;-) D'autre part, j'ai écouté ton conseil et je me suis payé "Antidote" avec quoi j'ai corrigé cette première partie terminée. J'arrive maintenant dans la seconde. C'est très très dur de reprendre. On doute qu'on puisse faire aussi bien. Je verrai bien. Merci !
"Le couple de la gare" Photographie de Ruth Orkin
Publié le 07/02/2023
J'adore tes éloges ! Blague à part, ça me touche d'autant plus que tu ne t'es jamais gêné à exprimer des réserves, ce dont je te remercie du fond du cœur. Je sais donc que ce que tu viens d'écrire est parfaitement sincère. ;-)
Défi février On nous taille un beau costume ("Le tailleur" de F. Reynaud constitue la seconde partie du texte.)
Publié le 07/02/2023
Seul l'empereur, le vrai, le manchot s'entend, peut aussi dignement porter ce costume-là, sans avoir à y mouler son corps dedans avec force contorsions et simagrées. La réalité de l'être lui suffit, même en se dandinant, en se dodelinant ou en se ramassant magistralement sur la glace. C'est cela seul l'art du beau costume, celui qui sied naturellement sans avoir à y réfléchir. Joli choix, en tout cas, comme diatribe, pour le sujet posé :-)
"Le couple de la gare" Photographie de Ruth Orkin
Publié le 07/02/2023
voilà, pour une fois, un point de (très relative) divergence avec l'ami Léo... les images ! je me suis fatigué des images avec le temps, même si j'ai besoin, toujours, de la photographie, comme pour fixer ce qui serait immédiatement trop compliqué à traduire en pensée mémorisable... en attendant. Là, il en va de même, et je suis trop gourmand de tes mots si joliment assemblés (et dont tu maitrises maintenant si bien les secrets de leurs arcanes) pour m'attarder sur l'image qui me semble tellement moins propice à laisser vagabonder mon esprit. bravo encore :-)
"Les démons", finale de la première partie "Un soleil artificiel" : extrait : "Point final".
Publié le 07/02/2023
Une première apothéose, incontestablement, puisque la vie du narrateur se poursuit, et que son auteur d'aujourd'hui nous lui réserve d'autres brillantes étapes. Je m'incline avec vigueur devant ce très beau moment.