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Peut-être le texte le plus court du site. Appelons-le "Crescendo".
Publié le 16/09/2024
Je préconise des cupcakes ou une partie de scrabble. Tu peux aussi tenter les échecs: "j'ai bougé un fou". 5 minutes plus tard: "ah". Contrairement à Léo, je ne produis aucun commentaire sur l'état éthylique de notre auteur. Je ne suis pas une fille "catégorie Bukowski" (je ne m'y connais pas assez comme la fille de la chanson de Delerm) mais ça me semble trop contemporain pour être du Cioran. C'est difficile la surenchère du stade esthétique, courage.
Quand partir ?
Publié le 16/09/2024
Mais oui, j'ai déjà lu ce texte... Nous en avions discuté. "Mort certaine, heure incertaine". C'est notre lot à tous. Si on considère nos qualités (mémoire, jolie écriture, jolie frimousse etc...) comme des emprunts, nous savons d'entrée de jeu que nous devrons les rendre à la fin de la partie comme les livres de la bibliothèque. À vrai dire, nous les rendons au fur et à mesure avant le départ quel que soit le moment du départ... nous laissons d'abord partir notre jeunesse puis notre santé... aussi ce n'est jamais ni trop tôt ni trop tard pour un départ, les anciens se posaient moins de questions. On ne raisonne pas sur l'impossible car on ne choisit pas (ou alors c'est un autre sujet). Si nous pratiquons chaque jour l'art de nous défaire de ce qui fait notre gloire, nous devrions agir en adulte au moment du départ avec la grandeur d'âme d'un Socrate: j'admire sa modestie depuis ma lecture du Phédon. À bientôt. :-)
Quand partir ?
Publié le 16/09/2024
Oui, mais l'instant ! C'est l'instant qui compte. Partir trop tôt, on ne sait pas ce qu'on rate, partir trop tard, c'est gâcher ce qu'on avait pu construire.
Quand partir ?
Publié le 16/09/2024
On n’échappe jamais à soi-même et encore moins à la mort, l’âge c’est le temps qui nous insulte en silence. Il n’y a que les mots qui semblent éternels.
Sigma et Omicron
Publié le 16/09/2024
Il y a comme la fin d’un cycle, la nécessité, de gré ou de force, de sauver le temps qui reste de ce qui s’est écoulé presque inutilement. Tout l’artifice du maquillage, tout le bruissement des pages qui filent, tout le vertige d’un précipice, toutes les flammes d’une vie qui ne s’est que trop consumée… ce satané temps aura raison de tout, et de chacun. Merci Francis Etienne pour ce très beau poème.
Peut-être le texte le plus court du site. Appelons-le "Crescendo".
Publié le 16/09/2024
J’aurais cru à un aphorisme de Bukowski, l’alcool en moins.
Crépon de capeline
Publié le 16/09/2024
Un bien joli défilé de haute-bouture :-) Il n’y a pas plus réjouissant et magnifique spectacle que la nature magnifiée par la force évocatrice de la poésie. Merci du partage Francis-Etienne.
Drapeau d'astres
Publié le 16/09/2024
Je vois "la main du ciel suspendue à l'orage" à l'oeuvre dans les "volutes de feu traversant les buissons" et dans le buisson ardent se trouvent des "plumes de cendres" assez noires pour rompre les miroirs ou les tessons. J'imagine une scène iconoclaste d'une époque assez sombre, soit les guerres de religion -avec les statues des églises jetées à terre- soit 93 avec le même vandalisme. Quelle puissance temporelle se cache derrière "une tour de bois blanc et de grands écussons"? Nous rencontrons le train de grands rois mais pas les mages cette fois-ci de "riches sultans assoiffés de servage ". Ils sont inquiétants à insister sur "la vertu du cirage"puisque j'ai l'impression d'entendre le tocsin à la fin de ce texte "des grappes de cristal tintent dans la paroisse où se perdent des mots qui racontent l'angoisse". J'apprécie beaucoup la vertu de cette femme qui se lève pour marcher en souriant vers son destin: une figure lumineuse sans doute.
La croisée des chemins — Extrait—
Publié le 16/09/2024
Hello! Merci d'avoir pris le temps de lire ce texte fort long. C'est un extrait réécrit pour la cause de l'écriture en miroir. Il y a à mon sens trop de détails dans ce réveil matinal pour permettre la moindre intensité, tout est au service de l'effet de miroir qui dilue tout, je le sens assez comme toi en le relisant. Sur un autre plan, je t'espère bien rétabli et en meilleure forme! À très bientôt. :-)
Lectures
Publié le 16/09/2024
Chouette. Chouette et simple. Chouette, simple et universel.
La croisée des chemins — Extrait—
Publié le 16/09/2024
J'ai enfin trouvé le temps de lire ton texte, Myriam. Mais j'ai été grippé et je suis encore très fatigué. Peut-être cela participe-t-il à mon moindre enthousiasme que Léo et Agathe envers ton texte. Personnellement, je ne me suis senti concerné et intéressé, je n'ai ressenti de réelle intensité, qu'à partir de la seconde partie. "Nubile" fut le point de départ de mon intérêt. Jusque là, je ne voyais pas très bien où tu voulais en venir.
Drapeau d'astres
Publié le 15/09/2024
A l'aube d'une insurrection. Le totalitarisme (dans ma perception) est plus que très bien rendu "main suspendue à l'orage prête à s'abattre de façon punitive, les miroirs brulés afin qu'ils ne renvoient aucun visage et donc aucune identité, des bris de tessons menaçant tout déplacement... je vois aussi le cirage comme une forme d'uniformité et de soumission. Souhaitant que cette femme puisse faire renaître un brin d'espoir et conquérir une première étape vers la liberté.
Lectures
Publié le 14/09/2024
Merci de partager ce très joli texte de Marcel qui sonne juste. Tu le fais connaître et tu le rends sympathique. J’ai rencontré la même expérience que Marcel avec Modiano en refermant un livre parce que j’avais l’impression d’entendre le même air de musique. Côté Zweig, je n’ai pas lu Amok. À plus tard.
Perec/rinations
Publié le 14/09/2024
Aïe. Je devrais avoir honte aussi alors car j’ignore ton auteur préféré (Steinbeck) comme j’ignorais Harper Lee. Il nous reste toujours à vivre et c’est formidable. Si chacun ouvre sa bibliothèque et un peu de son cœur, nous réaliserons tous des rencontres littéraires merveilleuses. Merci Léo d’ouvrir cet espace bibliothèque et de partager des classiques. A bientôt de te lire.
Lectures
Publié le 14/09/2024
Pour lever ce mystère il faudra que je lise les deux biographie, celles de Magellan et de Marie-Antoinette.
Perec/rinations
Publié le 13/09/2024
Toujours pas lu Pérec, une honte. En revanche dans les défis d’écriture présents dans la partie activités, il y a le défi d’écriture lipogramme auquel s’est essayé plusieurs auteurs. Merci pour cette nouvelle référence dans notre bibliothèque commune Myriam.
Perec/rinations
Publié le 13/09/2024
Très belle analyse de ce livre que je connais et qui est entre le jeu et le miroir. Merci Myriam pour votre qualité littéraire. Cordialement F. Étienne
Tourments de confession
Publié le 13/09/2024
Bonjour Myriam et merci pour votre magnifique commentaire qui me fait réfléchir sur deux choses importantes. La première concerne la lecture du texte à travers son lecteur, et la vôtre me renvoie à des éléments de pensée, d'écriture, de composition qui éclaire ma démarche, même pour moi-même. Et je vous en remercie de tout cœur. La deuxième réflexion est proprement liée au texte. Votre questionnement autour de certaines figures du texte me surprend par la qualité de votre sensibilité à la littérature et en particulier à la poésie. Vous suivez parfaitement le chemin des mots et vous en cueillez des fleurs que vous rassemblez dans un bouquet de pensées. Pour moi c'est un élément étonnant qui enrichit particulièrement ma connaissance de la poésie et la pratique de l'écriture. Merci encore Myriam pour autant d'attention et surtout merci pour me faire part de vos impressions de lecture. Cordialement. F. Étienne
Tourments de confession
Publié le 13/09/2024
Cher Léo, ton commentaire est extraordinaire, car il ouvre la discussion sur le livre avec cette remarque absolument étonnante du poison ou de la chair humaine. Les livres vivent pour eux et ils habitent dans nos maisons comme des invités. Ils sont absolument indépendants pour une seule raison : c'est eux qui contiennent les mots. Comme tu peux l'imaginer, les livres comptent beaucoup pour moi. Je n'ai une grande quantité et il n'est absolument impossible de prêter un livre ou de le donner. J'ai une relation sauvage avec le livre. Ils ont tous une places quelque part dans ma maison. Parfois ils se cachent pendant des mois, parfois il me saute aux yeux comme quelqu'un qui frapperait la porte. Le livre n'est pas un texte, il est un être vivant souvent longtemps, puisque j'ai quelques livres anciens. Il traverse le temps, les modes, et les régimes. Je ne connais pas d'autre objet que l'on brûle par haine, comme on le fait dans les autodafés. Le livre est le support de notre culture, notre passé, de notre futur, de notre religion, de notre philosophie, et de fait de toute notre vie. Il y a des livres qui racontent, il y a des livres qui voyagent, il y a des livres qui étudient, il y a des livres qui rassurent, il y a des livres qui effraient, et il y a des livres qui nous enferment dans la beauté. Le livre est pour moi l'objet essentiel de ma vie. Parfois je passe des heures devant leur titre, leur couleur, leur odeur. Je ne cherche rien d'autre que leur présence. Je vais peut-être mentionner déjà mais en ce moment je dors avec Don Quichotte ! Chaque soir j'en lis quelques pages et en refermant la couverture richement dorée, j'ai la sensation qu'un ami est venu me raconter une histoire que mon sommeil prolongera. Je pourrais parler des heures sur les livres, mais je dois me taire. Merci encore Léo, tu me donnes tellement d'occasions de jouer avec mes pensées. À plus tard. F. Étienne. Sur la page blanchie à la pâte du soir Une craie a écrit le beau mot d'encensoir.
Astre en fusion
Publié le 13/09/2024
Voilà cher Léo, encore une remarque de très grande qualité ! Et comme tu le dis les mots nous contiennent. Tu perçois toujours exactement le fond de ma pensée et même si parfois elle s'exprime d'une façon alambiquée, tu en suis les méandres avec la facilité de ta grande intelligence. Oui les mots sont des nacelles dans laquelle nous vivons et dont parfois nous caressons les parois langoureusement, comme si nous retrouverions un état prénatal. Je ne crois pas que les mots transportent l'esprit uniquement, et je suis persuadé qu'ils ont cette fonction que seule la poésie peut mettre en valeur et révéler. Merci encore pour ce magnifique commentaire et à plus tard. Un crayon de couleur dessine dans le ciel une image de cœur où plonge un arc-en-ciel.
Champs de massacre
Publié le 13/09/2024
Cher Myriam, encore une fois je vous remercie pour un commentaire si pertinent et tellement proche du texte. Oui il y a une sorte de voyage au bout de la nuit dans ces lignes et votre image « avec des engelures aux yeux » est extrêmement touchante et très certainement éclairante pour un lecteur. Votre sensibilité à la lecture de mes textes me touche toujours beaucoup je vous en remercie encore. Vous savez extraire un essentiel et vous en savez faire profiter tous les lecteurs. Je me suis souvent penché sur le monde de la guerre, de la bataille, de la mort et et avec l'amertume qu'engendre cet univers, je me suis toujours proposé d'en traduire la terrible et effrayante réalité en poésie. Merci encore pour votre commentaire et à très bientôt.
Vernis de sang
Publié le 13/09/2024
Cher Léo c'est un grand plaisir pour moi d'avoir éveillé en toi cette pensée, et c'est souvent au contact d'un texte, d'un mot, ou d'un livre, que notre pensée s'ouvre comme si une goutte d'eau avait arrosé un bouton de rose et que l'éclosion était immédiate. En effet la fluidité du temps et son irréversible cours nous contraint, mais avec un grand plaisir, à vivre dans l'instant, la réalité de notre vie. J'ai souvent fait un travail sur la mémoire, et j'en ai souvent rapporté dans mes commentaires, les différences facettes, mais la mémoire n'est qu'un carnet de notes sur lequel nous écrivons l'instant. Il est absolument nécessaire de voir dans la beauté des choses de la vie leur dissolution parfois lentes parfois presque instantanées. Un des éléments capital de mon écriture reste bien celui du sable qui traduit sensuellement l'instant. Je l'utilise de façon répétitive dans tous les textes. Le sable élément le plus fluide de la terre qui reste un minéral et par conséquent l'élément le plus dur de la terre. Ce qui m'a amené à penser que l'instant présent est une fraction de l'éternité, que nous pouvons toucher. Or la fluidité du sable, comme celle de l'eau, ou du temps, est la source d'un plaisir que notre mémoire ne peut pas reproduire. La complexité du rapport entre l'instant et l'éternité fait naître en nous cette immense nostalgie devant « la beauté des fleurs (qui) s'estompent à la mesure qu'elles se fanent. » Mon travail d'écrivain consiste bien à disséquer cette notion et à la transmettre. Merci encore Léo c'est encore très beau partage. À plus tard F. Étienne. Le ressac d'une vague alourdi par du sable Hante mon cœur blessé par un mot périssable.
Barriques de chansons
Publié le 13/09/2024
Cher Léo, merci encore une fois pour ce commentaire qui souligne si bien la légèreté let a fragilité exprimée dans ce texte. Il est parfois difficile de composer avec ces éléments aussi particuliers que sont les sens, les sensations, et l'expression du désir de la chair. Pour obtenir ce relief il faut bien entendu utiliser des images faisant appel à tous les sens mais aussi des images faisant appel au désir, et celles-ci, sont beaucoup plus difficiles à trouver. Qu'est-ce que le désir exactement et comment exprimer la pulsion ? Le désir en poésie consiste uniquement à la jouissance d'une vision, ce que l'on retrouve aussi dans la nature et dans la réalité. Et pour jouir d'une vision il faut exagérer la richesse de chaque détail. Il est absolument interdit de faire appel de la crudité. J'ai longuement travaillé dans d'autres registres l' approche de la sensualité, de l'érotisme, jusqu'à la vulgarité. Il est nécessaire de longer les frontières de l'inacceptable pourront comprendre la puissance de nos sens. Encore une fois je vais faire référence à Marcel Proust qui lui aussi est allé, physiquement, à la rencontre de ses propres désirs. Ce qu'il en traduit dans son œuvre est très différent de la réalité et il en tire des conclusions, si j'ose dire, littéraires étonnantes. Je reprendrai ce mot de Casanova qui traduit bien notre relation à la sensualité et plus, ce mot qui me paraît résumer tout ce qu'un être humain peut attendre de ses sens : « J'ai toujours été, dit-il, l'esclave de mes sens. » Et la question qu'il pose est celle que la christianité a reprise, cette christianité qui est le moule de notre société, : « s'abstenir de la chair. » Or ce défit définit souvent au-delà de nos forces, mais même si notre faiblesse nous accable, il n'est pas à douter que nous puissions compter sur la miséricorde de Dieu. Merci encore cher Léo pour tes commentaires si riches et si enrichissants. À plus tard, F. Étienne. Par un trou de serrure éventant un secret Passe un rayon de lune au silence discret.
Lectures
Publié le 13/09/2024
Merci Léo pour l’historique. :-) Il me semblerait vain de vouloir égaler Zweig car plus que le style, pour moi c’est la présence même de Zweig qui le rend inimitable dans une bibliothèque. Elle est aussi inimitable que l’est celle de la personne de Neal Cassidy qu’on l’appelle Dean Moriarty ou pas: c’est une personnalité. On connaît mieux Zweig en lisant ses biographies. Sa personnalité ses doutes et ses craintes deviennent transparents à mesure qu’il enquête sur les autres comme si ses enquêtes le révélaient à lui-même. Cependant, celle de Magellan ne m’a pas bouleversée autant que la lecture de Marie Antoinette avec une transition magnifique de la légèreté au tragique. J’aime les travaux de Zweig autant que j’apprécie les écrits de Léon Blum sur Stendhal. A lire l’un, on se prend de sympathie pour l’autre. Il y a de la tendresse dans sa compagnie chaleureuse et tout pour engager à lire ou écrire. Alors, voilà qu’est-ce qui empêche de parler ou d’écrire chez Zweig, c’est très mystérieux pour moi mais peut-être as-tu la clef de ce texte toi qui en connaissait l’auteur? Et pourquoi la biographie de Magellan plus qu’une autre?
Astre en fusion
Publié le 13/09/2024
La vanité de l'existence, c'est tout à fait cela Francis, et l'on s'aperçoit que seuls les mots peuvent nous survivre pour des siècles et des siècles. La vanité nous ferait penser que les mots sont nos contenus, mais à la vérité se sont nos contenants...
Barriques de chansons
Publié le 13/09/2024
Les sens en émois dans ton très beau poème. Les couleurs se mêlent aux frissons et les doigts d'or caressent les rimes, le tout dissipé par le souffle poétique. Tout passe si vite, presqu'un mirage, à la différence que les mots permettent de vivre et revivre ce mirage, qui n'en est finalement plus un grâce aux mots éternels. Merci du partage Francis.
Vernis de sang
Publié le 13/09/2024
Ce que j'aime énormément dans ton poème c'est toute la force des images et la puissance de la poésie pour créer ce seuil qui rend éphémère chaque chose. La moisissure s'impose comme la beauté des fleurs s'estompent à la mesure qu'elles se fanent. On ne pense jamais assez à ce qui ne sera plus lorsque l'on contemple, on devrait tout regarder et apprécier, vivre même, comme si c'était la dernière fois que nous le ferons. Merci Francis d'avoir éveillé en moi cette pensée.
Lectures
Publié le 13/09/2024
J'ai découvert et lu Zweig et Modiano grâce à Marcel. Nous nous retrouvions, seuls ou en compagnie d'autres auteurs au Canon des Gobelins à deux pas de la Gare d'Austerlitz. Il me donnait le livre car il considérait que les livres devaient se transmettre et il m'a ainsi permis de me construire grâce à la littérature. Marcel était passionné des mots et il attendait avec impatience la création de cette plateforme d'écriture. C'est avec beaucoup d'émotions que je vais relire et commenter l'ensemble de ses textes. Celui-ci est conforme à ce qu'il était, un passionné de Zweig et de Modiano, et Zweig lui avait bien coupé l'envie d'écrire tant il considérait sont talent écrasant, et qu'il était bien vain d'écrire après lui. Heureusement, il s'est remis à écrire et même à s'inscrire dans un atelier d'écriture du soir. Il m'avait donné à lire également la biographie de Balzac par Zweig et je découvrais dans ce texte que celle de Magellan était encore plus brillante. Je ne l'ai pas encore lue à ce jour et me promets de le faire.