La toute puissance de la nature s’impose dans ton poème. Un tourbillon d’éléments qui n’auront pas de mal à faire tomber toutes les branches de vérités. Enter mer et ciel, un horizon funeste, comme pour consacrer une fatalité inexorable… le seuil et le deuil, ces points de passage pour disparaître à tout jamais. Puissant, et c’est l’humilité qui s’impose après lecture, merci Francis-Etienne.
Pouvoir des mots et des images oniriques dans ton nouveau très beau poème aussi précis qu’une horlogerie suisse qu’aucun gravier ne parviendrait à enrayer tant sa puissance et sa fluidité conjuguent leurs accords. Ce temps qui passe est un temps plein de vie, empli de belles émotions. A plus tard Francis Etienne.
Bonjour Gilbert et merci pour ce nouveau partage qui rend un bel hommage à la radio, pourvoyeuse de culture et d’identité. La musique adoucit les âmes et la radio est un support indispensable pour créer et sauvegarder le lien humain. Les choses se retournent si vite…
Merci Sam du partage. J’aime bien cette idée que l’on puisse tonner. Plus que la nature des hommes, c’est son interaction avec les autres que ce patient semble maudire, habité par la certitude qu’il leur est supérieur dans son analyse à leur égard. Vivre dehors, c’est vovre zvec les autres, quand bien même ces autres sont décevants ou détestables. parviendra t-il à mieux les comprendre pour mieux leur pardonner et consentir à partager de nouveau cet espace délicat qu’est la société ? A suivre. Merci Sam, plein de choses intéressantes !
Que ce soit la lumière, les astres et ou les cieux ; tous aussi vastes, insaisissables soient-ils, ne semblent être en pouvoir de garantir la toute puissance de leur règne. Tout est interdépendant et tout ne tient en équilibre qu’à travers les situations sui surviennent et la part d’adversité qu’elles revêtent. Beaucoup d’humilité à la lecture de ton poème Francis Etienne, je t’en remercie.
Un poème suspendu, en alerte, où l’on sent bien que tout peut basculer d’un instant à l’autre. On perçoit le drame tapi dans l’ombre de l’avenir. L’occasion de saluer une nouvelle fois ton grand talent à faire naître des ambiances fortes à travers l’évocation d’images fortes. Merci Francis Etienne.
Oui. J'avais ce texte en magasin. Pour un 8/3, ça s'imposait. La bataille est rude. Mais il ne s'agit ni de de vainqueurs ni de perdants. Merci pour ton passage.
la beauté des lettres (et plus spécifiquement la poésie) est un antidote à la médiocrité et lorsqu’elle coulent dans les veines du poète, elle confine à l’éternelle soif de poursuivre. Chaque jour fait de mots sincères et profonds, est un jour de sauvé.
Bonsoir Francis Etienne, c’est bien le jeu d’échec que j’avais en tête et c’est une autre de tes images qui m’a inspiré dans cette vision, celle de l’arlequin. Et j’apprécie de nouveau grandement ce que ces nouvelles visions ont pu déclenché à nouveau, c’est fantastique et bienheureux.
Bonsoir Evelyne et merci pour ton texte si sensible et intime, douloureux car encore récent. Tu y décrit si bien les solitudes et tous les enjeux de la vieillesse et les parades mises en oeuvre pour ne pas dépérir, ou plus justement ne pas dépérir trop vite. Avoir des visites est un but et en conséquence une force renouvelée qui aide à affronter les nouvelles semaines qui se succèdent sachant bien que l’une d’entre elle sera comme tu le dis de façon implacable à la fin de ton texte, la dernière. Emu je suis, merci Evelyne.