Merci un fils de Louis, et en plus il a été publié!
J’ai eu de bons retours par mails, et c’est peut-être ce que les gens voulaient entendre ou lire.
Et
J’apprécie ton retour et je pense en fait que tu as raison. Je n’y ai pas fait attention , c’est vrai que le texte est fermé sans ouverture possible.
Je pense que je vais le revoir un peu.
En général je laisse toujours de quoi respirer dans mes textes et je suis comme toi. On se sent enfermé ici…. À bad day maybe ! Gates are closed
Merci infiniment
En lisant j'ai eu l'impression, moi aussi, que les deux personnages étaient séparés depuis longtemps. Il faut dire que monsieur semble avoir beaucoup d'appréhension à retrouver sa bien-aimée, ses doutes se perçoivent, il réfléchit un peu trop, n'est pas sur de lui. Peut-être qu'il manque de confiance en lui, ou qu'il dépend trop du regard de sa compagne. Je ne sais pas.
J'aime bien l'idée. Je la partage. Je me permets une petite critique, toutefois. J'aime bien l'idée, mais tu la dis très précisément augmentée de nombreux exemples ou illustrations. Dès la première phrase, c'est bouclé, c'est fermé, c'est fini. Je pense que le texte aurait gagné en laissant les choses plus ouvertes. C'est un point de vue très personnel, bien sûr. J'aime bien, j'ai besoin qu'il y ait de l'air dans les textes, des non-dits, des suspensions, des renvois, des inversions. Pour moi, c'est ce qui fait une belle écriture, l'activité du lecteur. Ici, c'est carré, c'est clair. Tout est dit. ;-)
Merci, Mich ! ;-) Mais ici, elle est juste partie faire du yoga, une semaine. C'est une séparation courte et ponctuelle qui se termine. Il n'y a jamais eu de "divorce". Toutefois, je me retrouve sur des œufs lorsque je la retrouve car quand je dis qu'elle est "placide", c'est un euphémisme. ;-)
C’est très dangereux! disons ce n’est pas facile plutôt je pense.
Ce n’est jamais plus du tout pareil qu’avant certainement et c’est très fragile! Je ne connais pas les circonstances! À chacun son histoire et ses sentiments.
Se sentir bien dès les retrouvailles est certainement un bonus mais le passé et les causes de la séparations ressurgissent…
Bonnes retrouvailles alors
Michel
Votre commentaire me touche profondément ! Quel plaisir de voir que avez saisi avec une rare justesse l'essence de ce poème - cette fusion entre l'éphémère et l'espérance, cette musicalité intérieure que j'espérais transmettre. Vos mots sont eux-mêmes d'une beauté poétique. Merci pour cette lecture si sensible et inspirante !
Bonsoir Lucie. Désolé pour tout ce retard. Un période traversée avec beaucoup d'urgences. Merci beaucoup pour ces mots si bienveillants ! Je suis ravi que ce poème ait su toucher votre sensibilité et éveiller ces images poétiques. Votre lecture attentive me va droit au cœur. À bientôt pour de nouveaux partages littéraires !
La beauté est immortelle et nous la portons en nous malgré les inquisiteurs. Il faut l'entretenir cette beauté au quotidien et librement. Et il faut aussi ignorer les inquisiteurs, avec douceur ou avec froideur ou avec une totale indifférence. C'est selon leur manière de condamner. J'ai toujours eu beaucoup de force de caractère, puisque nous dévoilons le "Je", parlons, et cet ami disparu, je l'ai protégé, défendu, j'ai hurlé pour lui afin qu'on lui lâche la grappe. Le peu de vie qu'il eut, j'y ai participé. Et ça me rend fière. Votre texte m'a prise à la gorge et j'ai été dans l'émotion quelque temps ... J'ai réussi à stopper le flux émotif et je suis revenue. Notre vie nous appartient et seule la liberté a des droits de regard sur nous. Alors vivons. Amitiés cher Michel 🍀🐠🐚
Je viens de relire votre récit encore une fois Sam. C’est tellement émouvant
Merci
Je crois que Sam parlait de cet homme dans un de ses commentaires sur ma vie. Peut-être même qu’il parlait de lui, à travers moi, ou de moi, à travers lui. C’est parfois flou, quand l’amitié prend racine dans la douleur et qu’on se reconnaît sans l’avoir décidé.
Je me souviens de ses mots, pleins de feu et de tristesse. Il me disait qu’on ne choisissait pas vraiment d’aimer, mais qu’on pouvait choisir de ne pas s’éteindre. Alors on maquillait, on riait, on se tenait droit. Comme Sam. Comme Ismahane. Comme tant d’autres qu’on enterre trop tôt, trop seuls, ou trop jugés.
Ce texte me parle parce qu’il ne demande pas pardon. Il dit : voilà ce que nous avons été. Voilà ce que vous ne comprenez pas. Et tant pis si ça vous dérange.
J’ai connu ces regards, ces verdicts silencieux. J’ai connu aussi les ersatz, les pis-aller, les détours pour rester debout. J’ai peut-être perdu des morceaux de moi en chemin, mais je suis encore là. Avec mes silences, mes mots, mes colères douces. Et cette certitude que la beauté existe encore, même cabossée.
Merci
Cette fin a fait remonté en moi un souvenir très douloureux à travers la perte d’une amie auteure qui nous a quitté de son propre choix et qui avait demandé, elle aussi à orendre le grand large, dans la mer. Et lorsqu’une histoire parvient z faire remonter ces souvenirs et ces émotions, c’est qu’elle est très réussie, alors bravo d’avoir braver les contraintes pour aller jusqu’au terme de ce magnifique défi de plume dont tu vas recevoir le code d’ici ce week-end te permettant de passer au statut d’auteure engagée débloquant ce faisant toutes les fonctionnalités du site. J’aime aussi en toute fin ton plaidoyer concernant le jugement des autres ce qui revient en force dans nos sociétés et qui s’apparente parfois à la chasse aux sorcières que l’on pensait revolu ou d’un autre temps, et le plus inquiétant, des personnes qui entrent en traque de l’autre comme pour abattre ce qui ne leur ressemble pas. C’est troublant qu’en ayant accès à tant de connaissances, l’humain se fragilise et se délite en s’engouffrant dans les biais que sont celui de l'égoïsme et du jugement. Chacun serait devenu un dieu en puissance ayant le droit de vie et de mort (symbolique et parfois même réel de l’autre. Ismahane est une réussite et la toute fin semble exprimer qu’à travers elle, ce sont d’autres destins qui s’y associent également. A plus tard Sam, et encore merci.
Le glauque et l’étouffant comme peuvent l’être parfois (souvent ? » les transports en commun. Plusieurs choses très positives dans ce récit pour ton écriture : tu réussis parfaitement à sortir de ta plume contemplative pour explorer l’autre revers de la dualité qui est celle de la noirceur ; et tu parviens à enchaîner sur un même chapitre la transition de plusieurs lieux qui sur d’autres textes longs pouvait se tenir du début à la fin du récit. Cela fait gagner en rythme et sert davantage le fil du scénario. A plus tard Stanislas.
Merci Léo pour ton message. En fait, le texte en photo est de moi, il a été publié sur le journal local et ils publient régulièrement mes textes. Et évidemment je me réfère à cette actualité permanente et brûlante qu’est le réchauffement climatique. J’écris souvent à partir de ce que cela réveille en moi. Merci pour ton regard.
A fleur de peau, très émouvant. En rupture sur le ton de l’histoire pas pas le style au contraire que je te connais et que je retrouve, où la raison prend le dessus sur l’histoire, avec des messages humanistes à faire passer. Je crois que l’on devrait remplacer pour commencer « Droits de l’Homme » par « Droits de l’humain » . A plus tard Sam.
Le pouvoir de changer l’attention que l’on porte en un clic, balayage de main sur l’écran, d’une touche ; et face à l’immensité des contenus… j’ai immédiatement en tête le mythe de Dédale et Icare, dont l’issue est funeste.
De l’écriture spontanée si je comprends bien s’appuyant sur la revue de presse (qui n’est malheureusement pas très encourageante). La revue de presse tombant quotidiennement est un bon étalon pour s’inspirer et écrire régulièrement. Notre planète bleue est plus qu’un espace à partager, c’est un système de vie complexe et fragile qui nécessite que l’on en prenne le plus grand soin. Merci du partage Michel.
Dans le style on sent bien l'intensité, dans la brûlure destructrice et celle de la passion par exemple, que l'on absorbe pour se laisser porter par ce poème qui, lui, n'est pas maladroit !