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L'ivresse des flots
Publié le 09/06/2025
Vos mots, révélant une sensibilité rare, me touchent profondément. Ô combien il est merveilleux de savoir que ces vers ont pu créer cette communion dont vous parlez, cette rencontre entre les éléments et l'âme. C'est exactement ce que la poésie peut offrir de plus précieux : ces instants de renaissance intérieure où l'espoir renaît de la beauté contemplée. Et je dois dire que votre façon d'exprimer cette expérience est elle-même poétique, témoignant d'une belle réceptivité à l'art. Je vous remercie infiniment pour le partage de cette résonance si authentique.
L'ivresse des flots
Publié le 09/06/2025
Bonjour ! Votre poème respire la tranquillité des flots légèrement poussés par la brise légère, soulevant calmement les bateaux accrochés au ponton. C'est une bulle pleine de ressources que je vous remercie d'avoir partagé.
Le choix
Publié le 09/06/2025
La vie sous toutes ses coutures mais qui ne vaudra jamais mieux qu’en étant totalement. vécue. Bienvenue et merci de votre premier partage sur le peuple des mots.
Vingt-trois heures dix-sept
Publié le 08/06/2025
Bonjour Léo, Merci pour ton appréciation.
Vingt-trois heures dix-sept
Publié le 08/06/2025
On retrouve les thèmes que tu affectionnes et qui te le rendent bien en terme d’inspiration : les voyages, les villes, la fourmilière d’humains, la consommation et des retrouvailles tant attendues. On attend d’en savoir plus sur les personnages et sur l’intrigue qui ne saurait être qu’une simple arrivée d’un train en gare. Vivement la suite.
L'ivresse des flots
Publié le 08/06/2025
Lorsque les éléments communient avec les âmes en quête de paix et de quiétude. C’est un halo de bien-être qui entoure les vers de ce magnifique poème. Comme une renaissance avec à la clé d’indicibles espoirs qui naissent de la contemplation de ce que l’on aura pas de plus beau. Merci infiniment pour ce beau partage.
C'était le temps des fleurs
Publié le 07/06/2025
Quel plaisir très cher Patryck de te retrouver en mots et dans ce texte emprunt d’une noble mélancolie d’une époque révolue qui était une culture à part que l’on ne retrouvera jamais. Les chemises à fleurs et les pattes d’eph mais aussi et surtout comme il y est très bien décrit des artistes et des auteurs pétris de paix, d’amour et d’humanité. Une époque folle et remuante, insatisfaite et bien décidée à choisir sa vie, dans l’idée de cette belle formule : « ne pas perdre sa vie à la gagner ». Grand merci pour cette profonde participation.
Les banlieues érogènes - Givenchy tax-free (2)
Publié le 07/06/2025
Ce chapitre et ce que je soupçonne être une fin de par la chute inattendue est très réussie. Bien écrite avec le style que j’avais perçu précédemment et qui prend sa place dans ce chapitre. De l’étendue des villes et de la masse de ses habitants jusque l’atome d’inquiétude, une plongée au coeur du personnage principal pétri d’une attente puissante dont on comprendra la raison en toute fin de texte. Je sens une écriture plus libérée sur ce chapitre et c’est vachement bien. Bravo, de très beaux textes en perspectives en poursuivant cette exigence et tout le travail qui va avec.
Les yeux clos
Publié le 06/06/2025
Merci infiniment Licie pour ton commentaire. On écrit en espèrant plus ou moibs que nos personnages prennent vie sous les yeux des lecteurs. Rêves, rêveries, poésies... peuvent,t éclairer et équilibrent notre quotidien.
Les banlieues érogènes - Givenchy tax-free (2)
Publié le 05/06/2025
Bonsoir Léo, Merci pour votre retour et vos précieux conseils. Cela dit la majorité de la vingtaine de nouvelles que j'ai écrites (et qui sont, pour certaines, en cours de réécriture, se déroulent soit dans un avion, soit dans un aéroport, ou encore dans une gare. Il m'est donc difficile de trop tailler dans le texte.
Les yeux clos
Publié le 05/06/2025
Bonjour et bravo pour ce texte qui nous emmène en douceur vers cette éclipse, mais aussi avec joie pour effacer la tristesse qu'elle peut provoquer. Ou comment transformer un moment difficile en instant inoubliable pour les personnages comme pour les lecteurs et lectrices.
Les yeux clos
Publié le 03/06/2025
Merci Léo de ta lecture et de ton commentaire. L’absence, le manque, peuvent être évoqués et adoucis de différentes façons. Cultivons nos différences et selon Oscar Wilde : « On devrait toujours être légèrement improbable ».
Les yeux clos
Publié le 02/06/2025
Bonjour et merci pour ce magnifique texte qui a valeur de conte philosophique et qui transmet énormément d’émotion et de sagesse. Chacun ses éclipses, et chacun ses moyens d’y faire face. Grand bravo, à partager sans modération.
Les banlieues érogènes - Givenchy tax-free (2)
Publié le 01/06/2025
Bonsoir et merci pour cette suite. Attention aux redondances avec les précédents chapitres. Ill faut que chaque chapitre soit l’avènement d’une séquence différence, une évolution dans la narration. Trois chapitres pour un voyage en avion, ça peut paraître long et donner l’impression que l’on n’avance pas et décrocher de l’histoire. J’ai trouvé le troisième paragraphe très réussi, où dans cette partie on empreinte les yeux du personnage et que l’on contemple de la même façon le spectacle proposé. C’est un gain pour le lecteur (et un bon moment de lecture). A garder absolument en cas de refonte. Toujours se poser la question de ce qui est utile et nécessaire dans le récit, qu’est-ce qui apporte à la narration, aux personnages où à l’intrigue ? Et si cela n’apporte rien, supprimer sans état d’âme. A plus tard Stanislas.
Poésie grivoise : petit complement pour la fête des pères
Publié le 01/06/2025
Bonsoir Patrice, corps et nature en parfaite harmonie… :-) Je trouve que de ne pas nommer les attributs comme dans l’avant et avant, avant dernière strophe aurait été plus subtil. A plus tard
Brioche d'orfèvre
Publié le 01/06/2025
Beau et tendre, profond, évocateur ; l'alexandrin nous entraîne dans sa danse initiatique vers les couleurs de l'essentiel : un arc en ciel en nos coeurs ouvre alors la porte et nous nous découvrons ... être. Merci pour cette poésie sensible, lumineuse, qui nous relie au réel.
Chantier de nuit
Publié le 31/05/2025
La solitude du poète-grutier dans sa tour de verre et de ferraille qui creuse dans l'irrationnel ambigu de l'autre...c'est bien cela merci!
Chantier de nuit
Publié le 31/05/2025
Sophiak a laissé un magnifique commentaire et je me range derrière. Toujours ce ot à mot comme un goutte à goutte, celui d’une ligne qui perfuse le chaos et entretient les plus belles solitudes.
Terre de souvenirs
Publié le 30/05/2025
Les deux premiers vers sont d’une beauté infinie. Ce à quoi succède cette meute qui vomit la foudre jusqu’à ce que les mots, puis l'ange de Dieu reprenne les choses en mains où devrais-je dire en âme, pour mettre à nu la larme qui aura le dernier mot. Cette chronologie des évènements rappelle que tout est incertain, et qu’il est une lutte de tous les instants pour que la beauté se relève et s’impose. Merci pour ce magnifique poème Francis Etienne.
La lune (retravail d'un paragraphe)
Publié le 30/05/2025
Merci pour tout, y compris tes annotations, toujours pleines de sincérité et de bon sens, auxquelles je vais réfléchir. ;-)
Les pigeons (inspiré d’une histoire vraie)
Publié le 30/05/2025
Merci pour ce partage qui m’a bien fait rire. Juste une remarque laissée en annotation. C’est en observant les animaux que l’on s’aperçoit qu’ils ont parfois pas grand chose à envier aux humains. A plus tard, à vous relire avec grand plaisir.
La lune (retravail d'un paragraphe)
Publié le 30/05/2025
Mes quelques remarques en annotations. en te suivant de près on mesure bien tout le travail de fond et d’exigence que tu mènes, où chaque mot t’importe et tous les ingrédients que tu affectionnes, entre passion, tristesse et humour (j’ai bien sourit avec les frères Dardenne, que j’aime beaucoup mais dont les belges se moquent souvent avec tendresse). Bonne continuation Patrice.
Chantier de nuit
Publié le 30/05/2025
Merci. Comme un étau que l'on ne desserre qu'avec des vers. Plus forts que l'absurde,aussi, des projecteurs de chantier,illuminant la nuit...
Chantier de nuit
Publié le 30/05/2025
Vaste chantier. L'achever ou l'abandonner ? Cet entre-deux, que vous décrivez si bien, prend à la gorge, comme toutes les angoisses qui remontent la nuit.
Flots de printemps
Publié le 29/05/2025
Bonjour Francis Etienne, l'espoir est précieux, mais aussi fragile, corrompu par la peur. Cette nouvelle dualité semble être une forme de lutte face à l’incertitude. De nouveau la mémoire et le temps jouent un rôle primordial. J’aime aussi énormément les mains qui se succèdent, de la princesse au berger, qui sont deux mondes très éloignés, et pourtant, de mains en mains tout semble possible. A plus tard très cher Francis Etienne.
Les banlieues érogènes - Givenchy tax-free (2)
Publié le 28/05/2025
Merci Léo pour votre critique et vos conseils. :)
Ronde de mots
Publié le 27/05/2025
Je trouve très puissante cette analogie faite avec les gouttes d’eau qui parviennent à travers les siècles à polir la roche. Les larmes peuvent de la même façon polir les regrets où l’âpreté de la vie, jusqu’à ce qu’une alternative survienne. La patience au gré du temps et de la poésie. Et puis il y a tout le mouvement d’un carnaval qui survient alors emporté par une ronde de mots, qui tente de lever le voile sur une réalité cachée qui tente de surgir. Celle d’une dévotion qui résulte du malheur et d’une tristesse, qui semble inconsolable ; et dont j’ai le sentiment que tout n’est pas dit… merci Francis Etienne de faire naître tant d’émotions.
Anatomie comparée
Publié le 26/05/2025
Merci pour votre commentaire. Il est vrai que j'ai apprécié disséquer ce corps osseux et charnel et le partager avec vous!
Anatomie comparée
Publié le 26/05/2025
Merci pour ce texte à la fois fort et déroutant, où l’anatomie devient matière poétique, et le corps, terrain d’une traversée sensorielle et existentielle. De l’orteil au crâne, puis du crâne au thorax, ce poème compose une ascension presque mystique avant de retomber dans une fusion ambiguë — entre désir, malaise et désincarnation. J’ai été particulièrement touché par cette manière de faire dialoguer le lexique médical et l’intimité charnelle, dans un équilibre rare entre précision clinique et vertige symbolique. Votre texte entre en résonance profonde avec certains motifs que j’explore dans mes propres recherches littéraires, notamment autour du regard porté sur les corps, vivants ou morts, désirés ou disséqués. Merci encore pour ce partage. Il m’accompagnera longtemps. Amicalement, David Pareÿt, auteur augmenté à voix littéraires multiples et essayiste indépendant.