Vos mots, révélant une sensibilité rare, me touchent profondément. Ô combien il est merveilleux de savoir que ces vers ont pu créer cette communion dont vous parlez, cette rencontre entre les éléments et l'âme. C'est exactement ce que la poésie peut offrir de plus précieux : ces instants de renaissance intérieure où l'espoir renaît de la beauté contemplée. Et je dois dire que votre façon d'exprimer cette expérience est elle-même poétique, témoignant d'une belle réceptivité à l'art. Je vous remercie infiniment pour le partage de cette résonance si authentique.
Bonjour ! Votre poème respire la tranquillité des flots légèrement poussés par la brise légère, soulevant calmement les bateaux accrochés au ponton. C'est une bulle pleine de ressources que je vous remercie d'avoir partagé.
La vie sous toutes ses coutures mais qui ne vaudra jamais mieux qu’en étant totalement. vécue. Bienvenue et merci de votre premier partage sur le peuple des mots.
On retrouve les thèmes que tu affectionnes et qui te le rendent bien en terme d’inspiration : les voyages, les villes, la fourmilière d’humains, la consommation et des retrouvailles tant attendues. On attend d’en savoir plus sur les personnages et sur l’intrigue qui ne saurait être qu’une simple arrivée d’un train en gare. Vivement la suite.
Lorsque les éléments communient avec les âmes en quête de paix et de quiétude. C’est un halo de bien-être qui entoure les vers de ce magnifique poème. Comme une renaissance avec à la clé d’indicibles espoirs qui naissent de la contemplation de ce que l’on aura pas de plus beau. Merci infiniment pour ce beau partage.
Quel plaisir très cher Patryck de te retrouver en mots et dans ce texte emprunt d’une noble mélancolie d’une époque révolue qui était une culture à part que l’on ne retrouvera jamais. Les chemises à fleurs et les pattes d’eph mais aussi et surtout comme il y est très bien décrit des artistes et des auteurs pétris de paix, d’amour et d’humanité. Une époque folle et remuante, insatisfaite et bien décidée à choisir sa vie, dans l’idée de cette belle formule : « ne pas perdre sa vie à la gagner ». Grand merci pour cette profonde participation.
Ce chapitre et ce que je soupçonne être une fin de par la chute inattendue est très réussie. Bien écrite avec le style que j’avais perçu précédemment et qui prend sa place dans ce chapitre. De l’étendue des villes et de la masse de ses habitants jusque l’atome d’inquiétude, une plongée au coeur du personnage principal pétri d’une attente puissante dont on comprendra la raison en toute fin de texte. Je sens une écriture plus libérée sur ce chapitre et c’est vachement bien. Bravo, de très beaux textes en perspectives en poursuivant cette exigence et tout le travail qui va avec.
Merci infiniment Licie pour ton commentaire. On écrit en espèrant plus ou moibs que nos personnages prennent vie sous les yeux des lecteurs.
Rêves, rêveries, poésies... peuvent,t éclairer et équilibrent notre quotidien.
Bonsoir Léo,
Merci pour votre retour et vos précieux conseils.
Cela dit la majorité de la vingtaine de nouvelles que j'ai écrites (et qui sont, pour certaines, en cours de réécriture, se déroulent soit dans un avion, soit dans un aéroport, ou encore dans une gare. Il m'est donc difficile de trop tailler dans le texte.
Bonjour et bravo pour ce texte qui nous emmène en douceur vers cette éclipse, mais aussi avec joie pour effacer la tristesse qu'elle peut provoquer. Ou comment transformer un moment difficile en instant inoubliable pour les personnages comme pour les lecteurs et lectrices.
Merci Léo de ta lecture et de ton commentaire.
L’absence, le manque, peuvent être évoqués et adoucis de différentes façons. Cultivons nos différences et selon Oscar Wilde : « On devrait toujours être légèrement improbable ».
Bonjour et merci pour ce magnifique texte qui a valeur de conte philosophique et qui transmet énormément d’émotion et de sagesse. Chacun ses éclipses, et chacun ses moyens d’y faire face. Grand bravo, à partager sans modération.
Bonsoir et merci pour cette suite. Attention aux redondances avec les précédents chapitres. Ill faut que chaque chapitre soit l’avènement d’une séquence différence, une évolution dans la narration. Trois chapitres pour un voyage en avion, ça peut paraître long et donner l’impression que l’on n’avance pas et décrocher de l’histoire. J’ai trouvé le troisième paragraphe très réussi, où dans cette partie on empreinte les yeux du personnage et que l’on contemple de la même façon le spectacle proposé. C’est un gain pour le lecteur (et un bon moment de lecture). A garder absolument en cas de refonte. Toujours se poser la question de ce qui est utile et nécessaire dans le récit, qu’est-ce qui apporte à la narration, aux personnages où à l’intrigue ? Et si cela n’apporte rien, supprimer sans état d’âme. A plus tard Stanislas.
Bonsoir Patrice, corps et nature en parfaite harmonie… :-) Je trouve que de ne pas nommer les attributs comme dans l’avant et avant, avant dernière strophe aurait été plus subtil. A plus tard
Beau et tendre, profond, évocateur ; l'alexandrin nous entraîne dans sa danse initiatique vers les couleurs de l'essentiel : un arc en ciel en nos coeurs ouvre alors la porte et nous nous découvrons ... être.
Merci pour cette poésie sensible, lumineuse, qui nous relie au réel.
Sophiak a laissé un magnifique commentaire et je me range derrière. Toujours ce ot à mot comme un goutte à goutte, celui d’une ligne qui perfuse le chaos et entretient les plus belles solitudes.
Les deux premiers vers sont d’une beauté infinie. Ce à quoi succède cette meute qui vomit la foudre jusqu’à ce que les mots, puis l'ange de Dieu reprenne les choses en mains où devrais-je dire en âme, pour mettre à nu la larme qui aura le dernier mot. Cette chronologie des évènements rappelle que tout est incertain, et qu’il est une lutte de tous les instants pour que la beauté se relève et s’impose. Merci pour ce magnifique poème Francis Etienne.
Merci pour ce partage qui m’a bien fait rire. Juste une remarque laissée en annotation. C’est en observant les animaux que l’on s’aperçoit qu’ils ont parfois pas grand chose à envier aux humains. A plus tard, à vous relire avec grand plaisir.
Mes quelques remarques en annotations. en te suivant de près on mesure bien tout le travail de fond et d’exigence que tu mènes, où chaque mot t’importe et tous les ingrédients que tu affectionnes, entre passion, tristesse et humour (j’ai bien sourit avec les frères Dardenne, que j’aime beaucoup mais dont les belges se moquent souvent avec tendresse). Bonne continuation Patrice.
Vaste chantier. L'achever ou l'abandonner ? Cet entre-deux, que vous décrivez si bien, prend à la gorge, comme toutes les angoisses qui remontent la nuit.
Bonjour Francis Etienne, l'espoir est précieux, mais aussi fragile, corrompu par la peur. Cette nouvelle dualité semble être une forme de lutte face à l’incertitude. De nouveau la mémoire et le temps jouent un rôle primordial. J’aime aussi énormément les mains qui se succèdent, de la princesse au berger, qui sont deux mondes très éloignés, et pourtant, de mains en mains tout semble possible. A plus tard très cher Francis Etienne.
Je trouve très puissante cette analogie faite avec les gouttes d’eau qui parviennent à travers les siècles à polir la roche. Les larmes peuvent de la même façon polir les regrets où l’âpreté de la vie, jusqu’à ce qu’une alternative survienne. La patience au gré du temps et de la poésie. Et puis il y a tout le mouvement d’un carnaval qui survient alors emporté par une ronde de mots, qui tente de lever le voile sur une réalité cachée qui tente de surgir. Celle d’une dévotion qui résulte du malheur et d’une tristesse, qui semble inconsolable ; et dont j’ai le sentiment que tout n’est pas dit… merci Francis Etienne de faire naître tant d’émotions.
Merci pour ce texte à la fois fort et déroutant, où l’anatomie devient matière poétique, et le corps, terrain d’une traversée sensorielle et existentielle. De l’orteil au crâne, puis du crâne au thorax, ce poème compose une ascension presque mystique avant de retomber dans une fusion ambiguë — entre désir, malaise et désincarnation.
J’ai été particulièrement touché par cette manière de faire dialoguer le lexique médical et l’intimité charnelle, dans un équilibre rare entre précision clinique et vertige symbolique. Votre texte entre en résonance profonde avec certains motifs que j’explore dans mes propres recherches littéraires, notamment autour du regard porté sur les corps, vivants ou morts, désirés ou disséqués.
Merci encore pour ce partage. Il m’accompagnera longtemps. Amicalement, David Pareÿt, auteur augmenté à voix littéraires multiples et essayiste indépendant.