Du gigantisme incommensurable de l'Univers à celui très ineffable de l'amour... qui est le grand gagnant ? Cet affrontement absolu de sentiments entre l'insondable qui nous entoure, magnifique et terrifiant, et l'insondable qui nous habite, magnifique et réconfortant, est très réussi. Puisse le second vous être aussi "éternel" que nous apparaît le premier :-)
Je m'autorise à soulever deux petites coquilles : "auX" crinières étincelantes, guidé par les phares "cosmiqueS". Peut-être pourriez-vous aussi supprimer l'un des deux "Puis" dans les six derniers lignes (Le premier, peut-être).
Cher Jean-Luc,
Votre commentaire me touche beaucoup encore une fois et votre franche expression me réjouit, car l'écriture, comme vous le savez vous-même, est un miroir à 1000 facettes. Ce qui est souvent si difficile dans la lecture de la poésie c'est de s'abstraire de la compréhension. La poésie est un art qui se ressent en laissant l'esprit s'endormir.
Je suis très heureux que vous retrouviez un chemin vers la poésie, après quelques années, par le biais d'un sonnet. Vous voyez la poésie est un onguent qui adoucit la lassitude.
Merci encore de tout cœur pour votre commentaire et surtout pour notre six sincère expression de vos sentiments.
Cordialement,
F Étienne
Bonsoir Léo,
Encore une fois merci pour ton enthousiasme et surtout ton appétit à lire les textes que je publie. Dès lundi je mettrai en ligne une nouvelle dans le cadre de ton atelier d'écriture est un poème. J'ai suivi tes conseils et malgré le code, le site me renvoie le message de revenir lundi. Je suis patient et dès lundi, je publierai ces deux textes.
J'espère que tu passeras un bon week-end et que surtout le temps se prêtera à la détente. Pour moi, ce sera sûrement lecture est probablement écriture.
Merci encore de tout cœur pour une telle fidélité à une écriture aussi difficile que la mienne.
Cordialement,
F. Étienne
L'atelier proposé par Léo m'incite à donner une suite à L'Homme de la montagne d'en haut, quelques années plus tard, à l'heure du dernier choix, celui de vivre ou non. Mettre la vie de Juan à la disposition d'un gardien du seuil... l'idée me paraissait séduisante. Merci Léo
Merci pour votre lecture qui m'a poussé à relire mon texte. Il a depuis été largement rectifié. C'est toujours triste et drôle de relire d'anciens textes. On voit des idées pas mal qu'on avait eues et des maladresses aussi qui nous avaient échappés. Ce texte, je l'avais écrit pour décrire davantage la maison de mon enfance dont je parle dans "Ambre Gris", le roman que je viens de terminer et qui existe aujourd'hui, depuis une semaine, en libraire.
J'ai adoré Frange de Vermillon, et moi qui me suis détaché de la poésie depuis des années déjà, je trouve ici, dans Barbarie de l'ivoire (qui m'accroche pourtant beaucoup moins) un autre propos ciselé qui m'incite à lire et relire pour aller à la rencontre du sens :-))
Bonjour Francis-Etienne, c’est possible de publier avant en activant le code d’activation qui t’as été envoyé. Il faut le saisir dans la partie “Gérer mon compte”, puis “Débloquer les fonctionnalités”. Je serai pour ma part de retour dimanche, à plus tard, c’est pour moi un vrai plaisir de te lire et de découvrir à chaque fois de nouvelles trouvailles qui l’enchantent vraiment.
Le titre m'a attiré et j'ai eu envie d'en savoir plus. Je comprends mieux ce que vous vouliez dire par "j'écris chaud". C'était très plaisant à lire, j'aime beaucoup votre ton, à la fois enjoué, nostalgique et teinté d'ironie. Un texte bien écrit, touchant, fluide et plein d'entrain, qui m'a rappelé la douceur révolue de certains moments d'enfance. Merci et bravo !
Merci pour votre commentaire, je suis ravi d'avoir réussi à vous accrocher suffisamment pour vous mener jusqu'au bout de mon intrigue. C'est justement là-dessus que j'essaie de porter mes efforts, et je suis heureux d'avoir réussi. Vous avez également attisé ma curiosité et je lirai vos textes avec plaisir. Bonne continuation!
Merci pour ce texte, Charles, ce texte qui m'a à la fois fort intéressé et suffisamment captivé pour que je lise jusqu'à la dernière phrase, moi plutôt paresseux face aux histoires de plus de 3000 mots, d'ailleurs souvent après 1000 mots, je débraye sauf exception.
J'essaie d'écrire aussi. Mais nous sommes nombreux dans ce cas, n'est-ce pas ? En lisant votre texte, l'absence de fautes a empêché que je décroche. Et l'absence d'intrus aussi m'a gardé dans votre récit. Ce que j'appelle les intrus sont les formules qui me sortent de l'intrigue un peu comme un comédien qu'on ne voit plus dans l'histoire mais qu'on se met à imaginer au milieu d'un plateau de tournage. Vous voyez ?
Pour en revenir au fil narratif, je ne voyais pas trop comment l'affaire allait tourner et Jean-Luc, avec sa proposition de finale, m'a mis sur une fausse piste. Je ne devrait pas lire les commentaires avec les textes qu'ils discutent. La fin me rappelle un peu la conclusion d'un Chabrol, je dirais. Vous avez bien fait de ne pas tuer tout le monde. Je trouve que c'est une peu la facilité.
Je le disais au début, ce texte m'a aussi intéressé car il est très froid alors que j'écris chaud, très chaud. Je me suis demandé comment, pourquoi. J'ai observé un peu techniquement comment vous faisiez. Cela a aussi participé à enrichir ma lecture.
Au plaisir !
Bonjour Léo,
encore une fois merci pour ce message magnifique et ton appréciation de la lecture de mes textes. Je trouve auprès de toi un soutien qui m'est particulièrement salutaire et si j'ose dire presque nécessaire pour continuer à écrire. Déjà d'autres internautes ont laissé également des commentaires qui me touchent beaucoup. Je ne peux rien publier jusqu'à lundi mais dès lundi je publierai d'abord ma participation à un atelier d'écriture que tu as initialisé et ensuite les poèmes suivants.
De tout cœur merci et à très bientôt
J'adore le doux cynisme du presque insoupçonnable prof de bio ! Ayant enseigné l'écologie, je sais que ce sont des domaines qui nous rendent moins suspects :-)) !!! Très bonne histoire, avec beaucoup de crédibilité, même si, à titre strictement personnel, j'aurai préféré une dernière phrase du genre "Cela fait un an que je vis avec deux cadavres de plus enterrés dans mon jardin". Cynique jusqu'au bout quoi ! Mais un grand bravo.
réaction un peu tardive de ma part, pour cause d'absence :-)) Merci pour ce très bel avis. Là, je narre ces géographies que j'adore, autant que ceux qui y vivent. Les terres et vies rudes me fascinent : je les sillonne et découvre beaucoup, ici et ailleurs. Il s'y trouve des vérités et des philosophies qui me captivent :-)) Merci encore
hé, hé ! J'étais presque certain que cette image te plairait ! Telle qu'elle est photographiée, telle je l'ai trouvée à l'endroit où elle est, au pied d'un reste de mur d'un vieux château, en pleine campagne :-))
Comme une bouteille poétique livrée aux éléments pour mieux conjurer leur sentence. Ce sont des mots brodés et patients qui invoquent la douceur et le temps. Vraiment très beau. Merci Francis Etienne.
Bonsoir Sam et merci de ton (excellent) retour. La même plume toute de noir vêtue aux mots importants, choisis avec beaucoup de soin. J'aime ce vertige, cette fuite en avant, consciente et digne. Je te prie puisqu'il est question de cet ultime espoir de recevoir l'expression et le témoignage de toute ma grande satisfaction de te lire (et relire). L'écriture est plus forte que toutes les turpitudes réunies. Vivement te relire, encore.
Bonjour Gilbert, qu'il est bon de lire ce texte, ces souvenirs, et ces espoirs. Je croise les doigts pour que la vie reprenne ses droits librement et sans peur du lendemain. Bien à toi.
Merci pour ce commentaire Léo. A travers tes mots je me rends compte avoir réussi à transmettre le caractère du personnage fidèlement à mon intention de départ. Dans le genre "polar", c'est ce que je peux faire de mieux, et je ne pense pas être capable d'aller plus loin. Mais je suis assez satisfait du résultat.
Merci a vous pour votre retour et votre temps, d'autant plus que ce n'est pas votre lecture habituelle. Il est vrai que le format cours se prête mieux à la lecture numérique, même si je trouve de mon côté que 6000 mots reste encore une taille assez petite pour une nouvelle. La lecture numérique, sur tablette ou liseuse se fait de plus en plus et certain n'héiste pas lire d'énorme pavé. Personnellement, je préfère le format papier. Je dirais que contrairement au format papier ou le lecteur sera plus indulgeant dans l'intéret de sa lecture avec l'histoire où il tournera encore quelques pages avant de le refermer son livre pour prendre la poussière si cela ne l'interesse pas plus, au format numérique, il suffira de quelques lignes pour l'éteindre définitivement. C'est pour cela qu'il sera toujours préférable d'écrire du format cours ou du feuilleton sur internet ou en numérique afin de captiver ses lecteurs. J'aime bien l'idée du feuilleton. Pourquoi pas pour la prochaine. Merci a vous
C'est bien écrit. Bien que la science fiction ne soit pas ma tasse de thé, c'est bien écrit. Bravo ! Un petit conseil toutefois, il y a près de 6.000 mots. C'est trop long pour un texte sur un site littéraire. En ce qui me concerne, il est très rare que je lise des textes de plus du tiers. Je n'ai pas pu lire comme j'aime, lentement, en profondeur. ;-) Pourquoi ne pas étaler de telles pièces en 4 ou 5 publications ? Vous gagneriez, je pense, en lisibilité. Mais ce n'est que mon avis personnel. ;-)
Un titre évocateur qui attire l'attention et un début d'une efficacité redoutable. Il a fallu quelques mots pour être harponné par l'indicible et l'horreur d'une violence enterrée jusqu'au jour où. On est très vite saisit par la froideur implacable du narrateur. D'une telle distance et d'un tel cynisme que l'on se dit qu'il s'agit d'un serial killer. Méthodique, monsieur tout le monde qui masque bien le fait de n'être plus personne, rongé non pas par la culpabilité mais par le regard accusateur des autres. On sort du texte groggy par une telle confession qui au delà du drame, narre l'histoire d'une société connectée et organisée qui par l'usure excavera jusqu'aux secrets les mieux enterrés. Un texte très bien écrit qui laisse froid dans le dos et laisse songeur. Bravo.
Superbe, j'aime la poésie, ce fut mes premières lectures et premiers écrits. Et je retrouve tous ce que j'aime en poésie dans votre sonnet. On ressent ici la passion et l'amour des mots et de l'écriture dans le fond comme dans la forme. Merci beaucoup pour le partage
J'ai beaucoup aimé. C'est fluide, sensoriel, touchant, émouvant. Votre description des paysages montagneux est d'une grande richesse et on se sent emporté par cette virée pleine d'espace et de sentiments. La profondeur du narrateur est aussi interpellante quand il lève le voile sur des blessures secrètes. Un texte comme je les aime, qui fait vivre ses personnages en peu de mots. Merci pour ce beau moment de lecture!
Merci infiniment pour ton magnifique poème. Lorsque les mots acérés se heurtent à une infinie douceur. Lorsque les blocs de marbre prennent vie et se taillent la part d'un titan avec la complicité d'une aurore conquise... c'est tout ton univers onirique qui nous happe sans prévenir. Qu'il est bon d'être malmené par cette poésie. A plus tard Francis Etienne.
Je découvre avec beaucoup d'admiration non seulement le travail d'écriture mais aussi la fertilité de l'imagination de l'auteur, sa souplesse et sa verve conduisant la lecture dans un plaisir proche du rêve, mais plongé dans une réalité, dans chaque détail, fait surgir la subtilité de l'écriture. Bravo je recommande particulièrement ce texte à tout ce que la science-fiction passionne.
Bravo et encore merci pour ce partage.
F Etienne
Merci beaucoup d'avoir commenté ce texte et surtout d'avoir gardé le souvenir de mes anciens sonnets que j'avais publiés chez Ipagination, il y a de cela quelques années merci aussi de me permettre d'être dans votre communauté et de publier quelques textes.
Avec toute ma gratitude pour autant de fidélité et autant de délicatesse à me faire participer à ton nouveau projet, que je soutiendrai par une publication régulière.
Je ne sais pas combien de poèmes je peux publier, sur ce site, et si je le peux, quotidiennement ou le plus souvent possible, j'essaierai de nourrir ma page de publication.
Merci encore de tout cœur !
F.Etienne