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Les larmes de l'Efrit - Extrait
Publié le 21/08/2024
Au quotidien, je vis tranquillement en France mais je bascule vers ailleurs dès que je passe la douane et ça me pèse même à distance. J'écrase pour la paix des familles, je tiens une semaine et je rentre. La situation est radicale qu'on le veuille ou non. Il y a un choix à faire, des options non conciliables qui engagent personnellement et donc des ruptures douloureuses. Tu veux vraiment garder ton avertissement au lecteur? Khayyam: Que les Mystères soient mystères aux esprits vils Et les Secrets, secret pour les fous puérils. Pèse tes actions, prends garde aux yeux des autres, Et cache tes espoirs aux hommes trop subtils. À bientôt!
L7PC 7 : L'orgueil
Publié le 20/08/2024
Très joliment mené pour aboutir à l’orgueil à son paroxysme. De pénibles en pénibles on assiste à un lâcher prise de tous les protagonistes d’une férocité rare. Entre calculs stratégiques, peaux de bananes, insultes déguisées, perversités narcissiques, on assiste à un feu d’artifice final qui colore le ciel enfumés des péchés capiteux avant de devenir capitaux. Et puis j’ai découvert cette locution latine « delenda est », très appropriée.   Bravo Myriam.
Le vagabond américain en voie de disparition / Grand voyage en Europe
Publié le 20/08/2024
Je crois que tu es immunisé parce que c'est une belle histoire de camaraderie entre Sal Paradise et Dean Moriarty. C'est seulement que "beaufitul sharp chick " ça claque pour la femme de Dean c'est sonore mais si c'est le seul rôle qu'on me laisse dans ce cadre, je taille la route. Même chose avec Les Trois Mousquetaires que j'ai relu récemment entre le destin de Milady et de Constance Bonacieux, c'est pas génial. Alors que la Reine du Sud de Reverte me plait parce que c'est comme une héroïne de Dumas mais en fille.
Les larmes de l'Efrit - Extrait
Publié le 20/08/2024
Pour Averroès, Myriam, je ne l'oublie pas. Voilà un autre extrait : "Emportés par l’ichor des sourates* violentes, / Comme les feuilles que les trombes de pluie jettent à l’égout, / Vous ne connaîtrez plus les vérités patientes / Qu’aimait Averroès, le savant de Cordoue" Ca fait quatre ans que je travaille le sujet ; et jusqu'à l'édition, je travaillerai dur. Vos retours sont très encourageants, surtout les tiens Myriam ; je sais que nous pourrions parler des heures de ce virage réactionnaire, et fascisant dont tu parles, qui triomphe de la Nahda, des nationalismes arabes socialisants, et des révoltes progressistes de la jeunesse... Courage pour le quotidien ; comme le disait Abdennour Bidar, les prochains Voltaire français seront des arabes, et quand je vois le travail de Majid Oukacha, je veux croire qu'il a raison. Concernant ma sécurité, mon adresse est fausse ; et je me prépare à assurer ma propre sécurité, comme Charb ; de toute façon, je suis prêt à mourir, même si je préfèrerais que ce soit de mort lente, comme dirait Brassens - vivre, c'est merveilleux, non ? -. Concernant le texte : l'Efrit est un personnage ; et si je revendique le droit à la colère, à la tristesse et à la haine, je n'ai personnellement pas envie de m'en empoisonner ; quand à la radicalité du propos, il découle autant de mes convictions que d'impératifs stylistiques propres à la situation narrative. Mais bref. Vous savez quoi ? On va poster le texte en entier, même s'il est un peu limite au niveau des CGU. A bientôt !
Les Chants de Kâl-Dagon - Extraits
Publié le 20/08/2024
Vous me faites rougir ; mais merci de vos retours. Je vais prochainement produire une version livre audio de mes recueils ; quand ce sera au point, je mettrai un lien sur le site Le Peuple des Mots. L'image du Cosaque Zaporogue me vient d'abord d'Apollinaire (Réponse des cosaques Zaporogues) et du beau tableau d'Ilia Répine "Les Cosaques zaporogues écrivant une lettre au sultan Mahmoud IV de Turquie" ; le reste de l'inspiration est plutôt personnel, et bien sûr, il y a du travail, mais je peux encore progresser.
Les larmes de l'Efrit - Extrait
Publié le 20/08/2024
Honnêtement, sans le paratexte, j'aurais perdu une partie du sens et donc du texte. Ce qui me gêne c'est de savoir de quoi on parle. Cet extrait, il peut aussi renvoyer à des filles qui sont mortes en pleine rue dans les années 90 à Alger, au gars liquidé pour avoir cherché un tire-bouchon dans son immeuble, aux attaques aux couteaux contre les filles en bikini qui se font slutshamer sur fcb, au gars tabassé presque à mort par une milice de la vertu contre le vice qui revient éméché d'un mariage, aux déjeûneurs qui organisent des casse-croûte géant et sur lesquels une menace plane toujours. Pour ma part, le fait de devoir sortir sans signe distinctif où d'avoir à se planquer dans certains lieux, se changer dans un taxi pour passer d'un quartier à l'autre est une réalité quotidienne dans d'autres pays que la France. Mettre une capuche ou n'importe quoi c'est me mettre une cape d'invisibilité qui évite de me faire cracher dessus pour une robe au mollet ou d'avoir un signe de lame flippant quand je fais mon jog. Oui je fais ça quand je change de pays et mes proches insistent. True story. De plus, s'il y a plus de visibilité sur ton texte, le paratexte me semble dangereux à exposer pour toi Enki. Vraiment.
L'Hypothèse amoureuse (Love hypothesis Edition Canada)
Publié le 20/08/2024
Je m’aperçois que tu as une palette de lecture très éclectique et c’est formidable, cela explique ta facilité de surfer sur les genres, et surtout ta pertinence d’analyse dans les retours que tu fais aux autres. Merci d’être avec nous et de tous tes partages qui sont de véritables cadeaux. À plus tard Myriam.
Le vagabond américain en voie de disparition / Grand voyage en Europe
Publié le 20/08/2024
Je me suis toujours dit que je lirai du Kerouac et ta chronique ravive cette promesse. J’avais en tête forcément la référence « Sur la route » mais je dois dire que ce vagabond m’encourage à préparer mon baluchon pour faire un bout de chemin à ses côtés bien que l’image de la femme semble être déplorable et que cela risque de ternir le plaisir de cette lecture. Hop, c’est dans ma pile à lire.
Lampions de jade.
Publié le 20/08/2024
Je découvre « lactescence » et m’émerveillerait toujours de tous ces mots qui savent tout représenter. Le langage est un prodige et je t’en remercie d’en assurer avec autant de générosité la promotion. Ton poème joue subtilement avec les oppositions avec une fin déstabilisante, comme si ce cri appelait au réveil de la conscience.
Pitreries de fantôme
Publié le 20/08/2024
Ton poème est riche et mystérieux et semble capable de distendre les vers qui repoussent les frontières de l’imaginaire, en un nouveau territoire, entre le tangible et l’intangible. Il y a un ailleurs et tes images fortes et efficaces sont autant de fenêtres qui permettent de s’y rendre et d’errer, encore et encore comme le feraient les fantômes. Merci Francis.
Il fait beau en cette fin du mois d'août.
Publié le 20/08/2024
J’aime bien tes billets d’humeur qui sont authentiques et sans fioriture. Et puis te dire aussi qu’en bon français je me délecte à chaque fois de prononcer « bourgmestre », c’est un mot incroyable :-)
Les larmes de l'Efrit - Extrait
Publié le 20/08/2024
Soufflé comme les autres par la violence de votre texte qui m’a immédiatement fait pensé à Nice. Ce que la folie enlève aux vivants est inqualifiable et justement très difficile à écrire et a porter, et vous le faites admirablement bien. La seule chose qui me peine c’est que ce soit l’Islam qui soit visé au lieu des obscurantistes qui trahissent le sens des écritures et de la religion.
Les Chants de Kâl-Dagon - Extraits
Publié le 20/08/2024
Formidable récit que je recommande à la sélection. Je découvre grâce à vous ce qu’est un cosaque zaporogue et j’ai plongé sans plus m’arrêter dans ce drame écrit avec beaucoup de justesse. Et plus on navigue entre les rochers plus on prend la mesure du danger et de ses conséquences. Et la toute fin est vraiment magistrale. Merci Enki.
la gourmandise : À TRAVERS LEURS YEUX
Publié le 20/08/2024
Merci beaucoup Léo ! C’est fou ce que la plume court toute seule… en commençant je savais juste qu’il aurait perdu le goût et vivrait sa gourmandise à travers les autres.
la gourmandise : À TRAVERS LEURS YEUX
Publié le 20/08/2024
Bonsoir Myriam, Agathe en tant qu’auteure et amie de plume historique, dispose de toutes les fonctionnalités débloquées, et peut effectivement rattacher ses livres à ses textes. Les liens dans les bios ça fait moche et ça n’encourage vraiment pas les gens à cliquer.
la gourmandise : À TRAVERS LEURS YEUX
Publié le 20/08/2024
Bonsoir et merci Agathe pour cette nouvelle participation qui te rapproche de ce beau défi à relever que de couvrir tous les péchés capitaux. J’ai été totalement surpris de commencer ce texte par le Covid et ta façon de t’appuyer sur ce drame collectif et individuels pour revenir à la gourmandise, à la vie et jusque l’amour est vraiment bien pensé. Il y a tout ce qui inflige et avec de l’audace, tout ce qui émancipe. Un beau message d’espoir.
Sous le pont de la tour
Publié le 20/08/2024
Super classe avec la photo, c’est un vrai plus qui incite au partage, merci Francis pour le test.
Sous le pont de la tour
Publié le 20/08/2024
Il y a les milles et une nuit et avec elle toutes les intrigues qui parfois finissent bien mal. Si la poésie libère du joug du laid, les mots peuvent, de façon implacables sceller à jamais des destins maudits. C’est que j’aime par dessus tout dans ta poésie, cette capacité à ériger deux forces titanesques qui se font face jusqu’au chaos final. Merci Francis.
Hommage à Dante Alighieri
Publié le 20/08/2024
Un magnifique hommage au poète Florentin, où les mathématiques se mêlent aux mots qui servent avec ferveur la passion d’une poésie féconde (je reprends ton mot :-). À la croisée des arts le poète est roi, est nous avec.
Verbe de tarentule
Publié le 20/08/2024
Tout est voué à disparaître et ton poème telle une vague puissante emporte tout ce que l’humain a érigé, tel des châteaux de sable tant la puissance de cette vague là est sans équivoque. Le ciel, le temps et le sable semblent porter les derniers sacrements. Merci Francis.
la gourmandise : À TRAVERS LEURS YEUX
Publié le 20/08/2024
Hello, j'ai regardé simplement dans tes "livres publiés" et je croyais le trouver là. Je crois que tu peux mettre un lien vers ton site dans /mon espace perso/ mon profil/... À voir ce qu'en dira Léo. À plus tard.
Il fait beau en cette fin du mois d'août.
Publié le 20/08/2024
Il pleut: c'est bon pour les cultures. Il fait beau: c'est bon pour le moral. La solution pour ne jamais se plaindre? ^^^
Les larmes de l'Efrit - Extrait
Publié le 20/08/2024
Hello Enki! Très bel Efrit en illustration. :-) Magnifique chanson de gestes de l'Efrit si je comprends. Je ne te cache pas que lorsque je lis ton texte j'ai mal comme d'autres ont mal aux poumons (Appel pour une trêve... Camus ) cela sera peut-être le cas pour les lecteurs caméléons. Ni Rania de Jordanie ni Lala Salma ne portent le voile: les reproches arrivent sur elles et ça daube. Pourquoi ce virage? À Tombouctou, les dingues ont tenté de brûler les manuscrits, des pans entiers de la pensée disparaissent, des mouvements sont qualifiés d'hérésies alors qu'ils sont traditionnels. J'ai vu des gens moquer la zaouia Tijjani en qualifiant ça d'hérésie. D'où vient le virage? La fin des temps met les trois religions monothéistes d'accord. En revanche, j'ignore ce que tu en penses mais il serait dommage de balancer Averroès avec l'eau du bain actuel.
Les Chants de Kâl-Dagon - Extraits
Publié le 20/08/2024
Moi aussi je les aime passionnément ces chants. Je renchéris sur l'avis de Francis Étienne car décidément tu ne saurais trouver meilleur amateur qu'un homme dont la prose est si poétique.
Les Chants de Kâl-Dagon - Extraits
Publié le 20/08/2024
Puissance de la passion, votre texte jette nos yeux sur l'honneur du guerrier, et livrent à nos regards une quête au cœur de l'infini désert humain et de sa solitude. Personne ne tuent par sadisme. On tranche la gorge par besoin de conquête, on verse le sang pour posséder, on brise la vie en piétinant la terre soumise. L'exotisme nourri par la richesse de votre érudition ébouillante le récit. Ce texte m'a touché. Vous êtes un homme d'écriture, pétri de la longue et minutieuse recherche d'une âme libre et nue. Cordialement, F.Etienne
Les larmes de l'Efrit - Extrait
Publié le 20/08/2024
Magnifique poème d'une grande richesse littéraire et dont les images hantent l'esprit du lecteur de la douleur, de l'anéantissement, du vide et du sentiment si humain de la vengeance. La puissance des images, leur crudité, et l'incompréhension d'une vision marque n'importe quel cœur, n'importe quel homme, n'importe quelle personne. Votre maîtrise de la langue, sa précision, sa souplesse et surtout sa puissance poétique est une découverte pour moi. Je n'ose vous féliciter, craignant d'être pauvrement flagorneur, exprimant une impuissance devant votre texte magnifique. Oui on commence la guerre. Les premiers assauts s'ouvrent au cœur même la pensée et de l 'âme Cordialement, F.0 Etienne
la gourmandise : À TRAVERS LEURS YEUX
Publié le 20/08/2024
Normal, Myriam. C’est une auto-publication, il n’est pas sur le Net sauf en possibilité de commande sur mon site www.agathe-c.fr. J’ai cru voir qu’on pouvait en mettre sur le peuple des mots… je n’en ai pas encore exploré toutes les possibilités
L7PC 3 : Colère
Publié le 19/08/2024
Merci à toi pour ta lecture Agathe! :-)
Le vagabond américain en voie de disparition / Grand voyage en Europe
Publié le 19/08/2024
Hello Lilas, à bientôt pour jeter un oeil dans ta bibliothèque assez vaste si j'en crois les quizz...
L7PC 5 : Avarice
Publié le 19/08/2024
Coucou Agathe! Merci pour ta lecture et ta revue. J'apprécie beaucoup les romans graphiques. Tu penses à l'album Les Frustrés de Brétécher pour le thème ou le graphisme ? Parce qu'il y a beaucoup de frustration chez les uns et les autres dans cette histoire. Le dernier recueil de nouvelles graphiques que j'ai vraiment apprécié c'était Strates de Pénélope Bagieu. Beaucoup d'émotion à lire ce recueil.