Merci Agathe, c'est ce que je trouve formidable avec les contes, découvrir régulièrement que ce qui est le plus fort n'est pas nécessairement le plus puissant ni oppressant :-)
Quel plaisir de te retrouver Agathe, toi, ton écriture et tout ce que j'aime en elle. Une texte engagé aux images fortes, aux trouvailles textuelles qui font mouche, terriblement efficace. C'est un peu comme une arche de Noé des temps modernes promis cette fois au naufrage... bravo.
Une double très belle surprise pour moi, celle de découvrir un nouveau texte, et celle de découvrir une nouvelle corde à votre arc à travers la poésie. Merci pour ce texte profond qui offre un tableau étoilé de premier ordre où se fondent les sentiments mêlés jusque la fusion. C'est super de s'essayer à de nouveaux genres, à développer sa curiosité en osant. Merci pour cette nouvelle publication, à plus tard.
Bonjour Agathe, trop content de te voir parmi nous et de voir que tu viens de publier un texte, j'arrive te lire très rapidement. Tout ce mois d'avril est dédié à la migration du site pour qu'il soit encore plus performant et sécurisé et propice à de nombreux développements innovants, et dès que c'est fait, nous nous occupons de pouvoir modifier et supprimer des commentaires, dans un mois et demi max ce sera fait je pense. Tu prux suivre l'évolution des trvaux (et même faire des propositions) dans en cliquant dans "Communautés" puis en choisissant "Agora". A tout de suite sur ton texte.
J'avais déjà trouvé "L'homme de la montagne d'en haut" incroyable et lorsque j'ai compris que cette participation à l'atelier "Le gardien des seuils" était le préambule à ce texte plein de vie, je ne pouvais qu'être emballé à lire cet avant, et je n'ai pas été déçu. Ce texte là renforce encore davantage sa suite car l'on comprends d'autant mieux d'où viennent cette souffrance et les mots tus. Comme toujours, il suffit de lire les premières lignes pour être embarqué, et l'on navigue avec le narrateur sur cet embarquement précaire qui ne manque pas de se briser sur les récifs d'infortune. Sauf qu'il s'agit de la montagne, et que la montagne est métaphoriquement un lieu très propice pour s'élever soi et son âme, pour sonder son coeur, et c'est tout ce cheminement qui est parfaitement bien décrit et écrit. J'ai énormément aimé aussi ce gardien du seuil polymorphe qui regroupe tous ces personnages bon ou mauvais qui placent le narrateur au centre de cet instant clé ou tout va basculer, pour le meilleur et le pire. Tous ces visages, toutes ces paroles, tous ces bruits, tous ces souffles qui tourbillonnent et déstabilisent. Jusqu'à remonter le fil du soi, faire face à une dualité infernale pour s'offrir soi une nouvelle chance, allégée de tous les démons qu'il faut congédier sans ménagement pour vivre autrement, bien mieux, presque en paix... Cette participation cathartique est magnifique, c'est un magnifique témoignage qui pourrait aider de trop nombreuses victimes de harcèlements, pour ne pas choisir la voie du sacrifice. Merci Jean-Luc.
Je suis inconditionnellement fan de ton écriture, et de toutes les valeurs qu'elle véhicule, ça c'est dit. J'espérais secrètement que tu participes car je savais que tu donnerais beaucoup de force et de messages ce faisant. Alors merci. A suivre dans quelques minutes mon retour sur cette très belle participation.
C'est un texte militant ! Moi aussi je milite. Et vous le faites bien parce que c'est un peu doux, pas trop premier degré. Plus j'écris, plus je crois comprendre que les mots qui touchent le plus, ce sont ceux qu'on n'écrit pas, qu'on avait à peine suggérés plus tôt. J'ai écrit ici "Une fois qu'il a eût le goût". J'y prend la défense d'un certain groupe et j'en attaque un autre. Les reconnâitrez-vous ?
Vous veniez de visiter "à plaire sans péril" où un pigeon se prend une veste. Le titre que vous venez de publier après la visite sur mon texte potentiellement en rapport a aiguisé ma curiosité.
Vous avez fait une modification de couleur. Je ne la trouve pas utile. La mise en page, en plus du contenu, suffit d'après moi.
Votre texte m'a rappelé un film, "le règne animal" que j'ai été voir récemment. Les deux univers sont en rapport.
Bravo ! ;-)
Oh que cela fait du bien de se dire que David peut encore être plus fort que Goliath et que la force d'un être ne s'exprime pas toujours au premier degré. Belle philosophie Léo et vive la joie !
Désolée pour les doublons de début de commentaires, je ne sais pas comment les effacer. Jean-Luc, ton récit m'a beaucoup émue. Empreint d'incertitudes, de souffrances pudiques, il nous emporte vers un cheminement de pensées, de souvenirs qui permettent à Juan de passer ce seuil vers la vie. Merci
Le jeu de la séduction vaut chez tous, volatiles ou mammifères et qu'on soit sur un toit ou sur la terre ferme, les émotions chahutent celui, timide ou hardi, et celle, sincère ou actrice, qui es éprouvent. Une jolie société volatile, assortie du public qui se gausse. j'aime bien le mimétisme. Merci !
Du gigantisme incommensurable de l'Univers à celui très ineffable de l'amour... qui est le grand gagnant ? Cet affrontement absolu de sentiments entre l'insondable qui nous entoure, magnifique et terrifiant, et l'insondable qui nous habite, magnifique et réconfortant, est très réussi. Puisse le second vous être aussi "éternel" que nous apparaît le premier :-)
Je m'autorise à soulever deux petites coquilles : "auX" crinières étincelantes, guidé par les phares "cosmiqueS". Peut-être pourriez-vous aussi supprimer l'un des deux "Puis" dans les six derniers lignes (Le premier, peut-être).
Cher Jean-Luc,
Votre commentaire me touche beaucoup encore une fois et votre franche expression me réjouit, car l'écriture, comme vous le savez vous-même, est un miroir à 1000 facettes. Ce qui est souvent si difficile dans la lecture de la poésie c'est de s'abstraire de la compréhension. La poésie est un art qui se ressent en laissant l'esprit s'endormir.
Je suis très heureux que vous retrouviez un chemin vers la poésie, après quelques années, par le biais d'un sonnet. Vous voyez la poésie est un onguent qui adoucit la lassitude.
Merci encore de tout cœur pour votre commentaire et surtout pour notre six sincère expression de vos sentiments.
Cordialement,
F Étienne
Bonsoir Léo,
Encore une fois merci pour ton enthousiasme et surtout ton appétit à lire les textes que je publie. Dès lundi je mettrai en ligne une nouvelle dans le cadre de ton atelier d'écriture est un poème. J'ai suivi tes conseils et malgré le code, le site me renvoie le message de revenir lundi. Je suis patient et dès lundi, je publierai ces deux textes.
J'espère que tu passeras un bon week-end et que surtout le temps se prêtera à la détente. Pour moi, ce sera sûrement lecture est probablement écriture.
Merci encore de tout cœur pour une telle fidélité à une écriture aussi difficile que la mienne.
Cordialement,
F. Étienne
L'atelier proposé par Léo m'incite à donner une suite à L'Homme de la montagne d'en haut, quelques années plus tard, à l'heure du dernier choix, celui de vivre ou non. Mettre la vie de Juan à la disposition d'un gardien du seuil... l'idée me paraissait séduisante. Merci Léo
Merci pour votre lecture qui m'a poussé à relire mon texte. Il a depuis été largement rectifié. C'est toujours triste et drôle de relire d'anciens textes. On voit des idées pas mal qu'on avait eues et des maladresses aussi qui nous avaient échappés. Ce texte, je l'avais écrit pour décrire davantage la maison de mon enfance dont je parle dans "Ambre Gris", le roman que je viens de terminer et qui existe aujourd'hui, depuis une semaine, en libraire.
J'ai adoré Frange de Vermillon, et moi qui me suis détaché de la poésie depuis des années déjà, je trouve ici, dans Barbarie de l'ivoire (qui m'accroche pourtant beaucoup moins) un autre propos ciselé qui m'incite à lire et relire pour aller à la rencontre du sens :-))
Bonjour Francis-Etienne, c’est possible de publier avant en activant le code d’activation qui t’as été envoyé. Il faut le saisir dans la partie “Gérer mon compte”, puis “Débloquer les fonctionnalités”. Je serai pour ma part de retour dimanche, à plus tard, c’est pour moi un vrai plaisir de te lire et de découvrir à chaque fois de nouvelles trouvailles qui l’enchantent vraiment.
Le titre m'a attiré et j'ai eu envie d'en savoir plus. Je comprends mieux ce que vous vouliez dire par "j'écris chaud". C'était très plaisant à lire, j'aime beaucoup votre ton, à la fois enjoué, nostalgique et teinté d'ironie. Un texte bien écrit, touchant, fluide et plein d'entrain, qui m'a rappelé la douceur révolue de certains moments d'enfance. Merci et bravo !
Merci pour votre commentaire, je suis ravi d'avoir réussi à vous accrocher suffisamment pour vous mener jusqu'au bout de mon intrigue. C'est justement là-dessus que j'essaie de porter mes efforts, et je suis heureux d'avoir réussi. Vous avez également attisé ma curiosité et je lirai vos textes avec plaisir. Bonne continuation!
Merci pour ce texte, Charles, ce texte qui m'a à la fois fort intéressé et suffisamment captivé pour que je lise jusqu'à la dernière phrase, moi plutôt paresseux face aux histoires de plus de 3000 mots, d'ailleurs souvent après 1000 mots, je débraye sauf exception.
J'essaie d'écrire aussi. Mais nous sommes nombreux dans ce cas, n'est-ce pas ? En lisant votre texte, l'absence de fautes a empêché que je décroche. Et l'absence d'intrus aussi m'a gardé dans votre récit. Ce que j'appelle les intrus sont les formules qui me sortent de l'intrigue un peu comme un comédien qu'on ne voit plus dans l'histoire mais qu'on se met à imaginer au milieu d'un plateau de tournage. Vous voyez ?
Pour en revenir au fil narratif, je ne voyais pas trop comment l'affaire allait tourner et Jean-Luc, avec sa proposition de finale, m'a mis sur une fausse piste. Je ne devrait pas lire les commentaires avec les textes qu'ils discutent. La fin me rappelle un peu la conclusion d'un Chabrol, je dirais. Vous avez bien fait de ne pas tuer tout le monde. Je trouve que c'est une peu la facilité.
Je le disais au début, ce texte m'a aussi intéressé car il est très froid alors que j'écris chaud, très chaud. Je me suis demandé comment, pourquoi. J'ai observé un peu techniquement comment vous faisiez. Cela a aussi participé à enrichir ma lecture.
Au plaisir !
Bonjour Léo,
encore une fois merci pour ce message magnifique et ton appréciation de la lecture de mes textes. Je trouve auprès de toi un soutien qui m'est particulièrement salutaire et si j'ose dire presque nécessaire pour continuer à écrire. Déjà d'autres internautes ont laissé également des commentaires qui me touchent beaucoup. Je ne peux rien publier jusqu'à lundi mais dès lundi je publierai d'abord ma participation à un atelier d'écriture que tu as initialisé et ensuite les poèmes suivants.
De tout cœur merci et à très bientôt
J'adore le doux cynisme du presque insoupçonnable prof de bio ! Ayant enseigné l'écologie, je sais que ce sont des domaines qui nous rendent moins suspects :-)) !!! Très bonne histoire, avec beaucoup de crédibilité, même si, à titre strictement personnel, j'aurai préféré une dernière phrase du genre "Cela fait un an que je vis avec deux cadavres de plus enterrés dans mon jardin". Cynique jusqu'au bout quoi ! Mais un grand bravo.
réaction un peu tardive de ma part, pour cause d'absence :-)) Merci pour ce très bel avis. Là, je narre ces géographies que j'adore, autant que ceux qui y vivent. Les terres et vies rudes me fascinent : je les sillonne et découvre beaucoup, ici et ailleurs. Il s'y trouve des vérités et des philosophies qui me captivent :-)) Merci encore
hé, hé ! J'étais presque certain que cette image te plairait ! Telle qu'elle est photographiée, telle je l'ai trouvée à l'endroit où elle est, au pied d'un reste de mur d'un vieux château, en pleine campagne :-))
Comme une bouteille poétique livrée aux éléments pour mieux conjurer leur sentence. Ce sont des mots brodés et patients qui invoquent la douceur et le temps. Vraiment très beau. Merci Francis Etienne.