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Malédiction des mythes
Publié le 20/10/2024
Malédiction, empoisonnements et va-sans-âmes pour un poème qui semble promis à un funeste destin. L'écriture c'est comme le sang qui coule dans les veines, vitale à la condition de n'être pas corrompue ou condamnée. Merci pour ce nouveau poème Francis Étienne.
HEY YOU_3
Publié le 20/10/2024
Bonjour, j'ai juste lu ce texte n°10. C'est peut-être pour cela que tout ne m'a pas semblé très clair. Mais un je ne sais quoi m'a fait poursuivre ma lecture. Je pense quand même qu'il faut développer plus les choses. "- Et ce jour-là, une voiture de flic, postée de l'autre côté de la rue. Des hommes en uniforme, enfoncés dans leur siège. Des hommes en uniforme qui n'ont jamais été là pour moi et dont je dois encore plus me méfier que des délinquant(e)s qui hantent mon quotidien... (Pourquoi ? Ils n'ont jamais été là, alors pourquoi s'en méfier ?) Lors du premier passage, j'enregistre leur présence. C'est un premier niveau d'alerte. Nous allons à la laverie publique qui jouxte le supermarché, que peuvent ils bien nous reprocher ? De porter des sacs trop lourds ? Délit de linge mal séché ?" (Pourquoi seraient-ils hostiles et de mauvaise foi ?) Mais peut-être les réponses se trouvent-elles dans les textes antérieurs. "Il le sait d'autant mieux qu'il joue avec les limites et tire probablement cette confiance du fait que la Police est complètement dysfonctionnelle, pour rester dans l'euphémisme." Cette phrase a failli me faire arrêter ma lecture. Elle comporte de multiples maladresses. Mais peut-être es-tu comme moi, trop pressé de montrer ton travail. ;-) A bientôt ! ;-)
Le matin de ce jour-là (première partie)
Publié le 20/10/2024
Merci Engome. Sauf erreur de ma part, c'est la première fois que nous conversons. Je suis vraiment heureux que ce texte vous ait touché et j'apprécie beaucoup la comparaison à Pagnol car, comme lui, j'essaie d'être aussi naturel, vrai, authentique que possible. Toutefois, le texte que vous avez eu la gentillesse de lire n'était qu'un appât afin de me tirer plus loin dans mes réflexions, un dispositif nécessaire pour me chercher car depuis l'écriture de mon roman "Ambre gris" je tâtonne un peu. Ici, je me suis mis à écrire une nouvelle sur un thème donné. J'avais une vague idée mais voilà, elle n'était que vague. Hier, tout s'est dénoué dans mon esprit. Je vais donc ajouter le nouveau texte à l'ancien avec le nouveau au dessus. Je me retrouve enfin après des mois. Je suis très content. ;-)
Le matin de ce jour-là (première partie)
Publié le 20/10/2024
Merci mon cher Léo ! Ce texte était nécessaire pour me chercher. Je me suis mis à écrire une nouvelle sur un thème donné. J'avais une vague idée mais voilà, elle était vague. Hier, tout s'est dénoué dans mon esprit. Je vais donc ajouter le nouveau texte à l'ancien avec le nouveau au dessus. Je me retrouve après des mois. Je suis très content. ;-)
Fantômes d'astres
Publié le 20/10/2024
j'entre à pas feutrés dans votre communauté, un peu comme un saltimbanque de sous préfecture entrerait à la Comédie Française. Avec prudence et respect. Et là, je me bagarre comme un pauvre diable avec les images en cavalcades qui, fougueuses, me sautent au visage à la lecture de ce flamboyant sonnet. Et j'aime ça. Merci.
HEY YOU_3
Publié le 20/10/2024
Merci pour ce retour. J'ai au moins sous le coude les 8 premiers petits textes "Hey you" (ici, c'est le 10éme). Je vais les publier à raison de 2 par jour. Ca serait en effet intéressant de voir ce que les gens qui lisent, veulent voir se développer davantage dans un texte. L'espace collaboratif peut être très intéressant, en ce sens. Mon trait est souvent plus proche du Haiku, car je ne sais jamais ce qu'il est utile de développer. Ca m'intéresserait de le savoir, en effet.
Page de neige
Publié le 20/10/2024
Magnifique texte. J'ai été très émue par certaines tournures de phrases et associations d'images qui n'appartiennent qu'à vous, et donne au texte cette tonalité si singulière et poignante. Merci pour ce magnifique moment de lecture.
Pluie d'un rêve
Publié le 20/10/2024
Bonjour Mihoub, C'est un joli poème, frais et délicat. Je le relirai souvent avec plaisir: il réenchante le quotidien. Merci pour cet agréable moment de lecture.
Le matin de ce jour-là (première partie)
Publié le 20/10/2024
Bonjour, J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce récit, écrit dans un style simple et limpide: la charge émotionnelle est là. La retenue, aussi. C'est un sujet qui touche de nombreuses personnes, l'addiction à la Nicotine, mais qui est écrit dans un style si chaleureux (à la Pagnol, je trouve...même si c'est la Belgique) qu'il en devient touchant et attendrissant. J'ai beaucoup, vraiment beaucoup aimé ce texte et c'est probablement la raison pour laquelle je trouve les deux dernières phrases pas aussi abouties, que le reste. Merci pour cet agréable moment de lecture.
Serpent à sonnet
Publié le 20/10/2024
Belle force évocatrice pour un premier essai. On est immédiatement transporté dans l'intrigue d'un roman de Christian Jacq que la focalisation choisie nous permet de survoler. C'est un poème riche et dense, mais qui ne se dévoile pas. Son mystère reste entier, même après plusieurs lecture: aussi délicieux et fugace qu'une gourmandise.
Poudre de mots
Publié le 19/10/2024
Bonsoir très cher Francis Étienne, quel surprise en ouvrant la page de tomber sur une nouvelle. Et comme "Page de neige" précédemment publié on est très vitre pris par l'ambiance qui se dégage et par le personnage qui rapidement se trouve dans une situation qui attise toute notre attention et de l'intrigue qui se profile, avoir l'envie d'aller au bout. J'aime le fantastique et j'aime encore plus cette idée de faire partie du livre qui s'écrit et j'ai passé un bon moment de lecture. Ma seule remarque porte sur la longueur de certaines phrases comme par exemple celle-ci : "Les lampes à l’abat jour d’opaline vert ne jetaient plus qu’une blafarde et lugubre lumière sur le parquet dont les craquements étaient amplifiés par la solitude et surtout par le vide de cette immense pièce dont le plafond illustrait, d’une magnifique fresque, les voyages d’Ulysse revenant de Troie." ou encore juste précédemment avec deux relatives à la suite "Les fauteuils près de la cheminée avaient été déplacés vers les tentures en tapisserie, qui filtraient la lumière du soir derrière les trois grands baies qui s’ouvraient sur le parc". Mis à part ces détails, j'ai aimé emprunter ton récit et il m'a semblé que c'était beaucoup plus fluide du moment ou le narrateur a pénétré l'ouvrage, comme s'il était comme un posson dans l'eau, ou comme si, l'auteur que j'apprénds à connaitre rejoignait son univers onirique où il fait bon vivre, comme un ultime refuge. C'était chouette, merci Franci Etienne pour ce beau voyage, entre le conte et... les songes.
HEY YOU_3
Publié le 19/10/2024
Et bien voilà, ma prémonition étaient bonne, le sous le coude est bien là, une autre forme d'analytique plus posé et qui en impose par le choix des mots et par le sens de la formule. D'ici la fin de l'année il va être développé un vrai espace de travail collaboratif, avec entre autres, la possibilité d'annoter le texte dans la marge, permettant ainsi de mettre le doigts sur les endroits précis où ça se joue. et je reviendrais alors sur ce texte. Tu disposes d'un beau panel d'écriture et d'un beau stock de vécu ou d'imaginaire à partager et dans cet extrait il y a beaucoup de choses qui cohabitent, ça va vite, comme dans le salon de coiffure, sauf que là il y a bien plus que les superficialités d'un salon de coiffure, et l'on aimerait que certaines idées ou passages, prennent plus de temps, et pourquoi pas l'objet de bien plus longs paragraphes (chapitres ?)... il y a beaucoup d'émotions, beaucoup à dire, à expliquer, il faut prendre ce temps là, et j'espère te voir le prendre avec nous à l'avenir. A plus tard intrépide Engome.
Le matin de ce jour-là (première partie)
Publié le 19/10/2024
Quand ça veut pas, ça veut pas, le signe qu'il faut vraiment arrêter. Il y a deux phases du récit qui sembleraient presque écrits à deux moments différents. La première partie qui m'a bien amusé car on a l'impression de suivre un serial-Killer qui essaye de nettoyer toutes les traces de son forfait. Et la seconde partie qui est dans une phase qui semble être plus réfléchie et travaillée, où l'on écrit dans une démarche de récit long à la Balzac qui pouvait écrire sur un détail des pages entières. De cette fin de texte j'ai été surpris et ravi de lire du descriptif sur le jardin, cela permet de prendre place dans la scène et le quotidien, et "stylistiquement" parlant ça permet de donner une bouffée d'air frais dans l'addiction et d'y mettre un contraste. A plus tard Patrice.
HEY YOU_2
Publié le 19/10/2024
Dt bien c'est très réussi, vraiment. Pour les nouveaux arrivants il n'est possible de ne mettre que deux textes par semaine (car dans une précédente aventure certains auteurs déboulaient, et déchargeaient 10 textes d'un coup sans même interagir avec les autres), les auteurs qui sont dans une démarche de partage sur le moyen long terme débloquent rapidement les badges, notamment en participant à des ateliers et défis d'écriture et partageant des lectures de livres, ça va très vite en fait mais ça permet de faire le "tri" et ne restent que celles et ceux qui veulent vraiment partager et échanger. A plus tard Engome.
HEY YOU_2
Publié le 19/10/2024
Merci pour ce message de bienvenue. Je vais personnaliser mon interface, en demandant patience et bienveillance. Hey you, c'est un peu le journal intime d'une femme qui essaie de décrypter son quotidien, à la façon de l' "écriture autobiographique vivante" de Deborah Levy. Le but est vraiment de décrypter et informer le lecteur sur "le dessous des cartes", sans tomber dans l'analyse poussée, fastidieuse ou le désespoir de l'impuissance. C'est du Deborah Levy "intranquille". Merci pour ton retour Leo. Je vais voir comment débloquer l'accès aux fonctionnalités, car certains ateliers ont l'air très intéressants. Je pense y apprendre beaucoup, et progresser davantage. A plus tard :)
Pluie d'un rêve
Publié le 19/10/2024
Bonjour Mihoub, ce mois-ci l'atelier d'écriture porte sur le sonnet en alexandrins et je pense que votre poème y a toute sa place. Une fois connecté à votre compte, rendez-vous sur la page de l'atelier (partie activités) et rattachés votre texte à l'atelier, ce serait top que les autres auteurs et participants puissent aussi profiter de votre talent. A plus tard.
HEY YOU_2
Publié le 19/10/2024
Bienvenue Engome et merci pour cette première participation que j’aime énormément. C’est écrit court, ça fuse à la vitesse des raccourcis de machines à café ou dans ce cas précis, de salon de coiffure. Ce rythme nous embarque et le ton ne nous lâche plus la main, un ton nerveux, direct, plein d’humour qui ne masque aucunement le drame qu’il recouvre. Au départ j’ai pensé à une construction de Stand up, et puis plus loin j’ai vu qu’il y en avait sous le coude avec de trop brèves séquence de descriptions mais qui montrent bien qu’il y a une vraie narratrice derrière. Bref j’aime beaucoup, bienvenue, et si tu le peux et veux, pense à mettre une photo ou un avatar pour humaniser ton profil, ajoutes quelques phrases à ta présentation de profil et si tu le souhaites ajoutes toi à la carte en mettant la ville (ou une ville à côté) pour enrichir cette belle planisphère de la ligue des auteurs qui en ont sous le coude :-) j’espère te relire prochainement, je tente donc un « à plus tard ».
Cheval roux
Publié le 19/10/2024
Ça m’évoque un plateau de jeu céleste qui se joue entre la terre et mer même si au début j’avais l’impression d’assister à la partie d’échecs d’Alice de l’autre côté du miroir. Merci du partage ! A bientôt
Cheval roux
Publié le 19/10/2024
Merci beaucoup, actuellement très fatigué, je ferai ceci sans faute.
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 18/10/2024
Merci beaucoup pour votre lecture et votre analyse rigoureuse. Je me réjouis de vous lire. ;-)
le Chant d'Isis
Publié le 18/10/2024
Cher Philippe Sabardu, en premier lieu je dois vous féliciter pour le souffle poétique que vous avez et pour ce magnifique poème, qui ressemble beaucoup à une ode. Votre travail poétique est remarquable et encore une fois je vous en félicite. Vous avez choisi un ton intimiste en utilisant le « tu » et le « je » ce qui donne au poème une allure antique, c’est un très bon choix. Votre rythme est fort et l’on retrouve en vous cette grandeur des poèmes du dix-septième siècle où la mythologie jouait un rôle très important. Votre vocabulaire est très varié et la souplesse de la composition absolument charmante. Votre composition est techniquement parfaite, l’alexandrin magnifiquement construit toujours avec sa césure et le souffle de votre inspiration est absolument remarquable. Je n’aurais que trois remarques à vous faire. La première concerne le vers « à quoi me sert la vie puisque je t’ai perdu » le mot vie devrais être suivi d’une voyelle sinon il vous faut prononcer vie en deux syllabes, ce qui nous aujourd’hui serait étrange, et ce qui prolongerait votre vers d’une syllabe. Je retrouve le même problème dans le vers « toi mort et moi perdue, cruelle communion » là encore le mot perdu devrait être suivi d’une voyelle, sinon il faut prononcer le E et le vers passe à treize syllabes. Enfin le vers : « alors me sont venues les espérances folles » présente le même problème avec venues. Ce sont là d’ infimes détails techniques mais votre travail de fête touche la perfection. Vous êtes certainement habitué à écrire en alexandrin et votre participation est un délice pour nous lecteurs, car elle ressuscite le classicisme de la poésie française. Vous êtes un grand poète et j’admire beaucoup votre travail. Merci encore de nous avoir régalés avec cette composition absolument parfaite. Continuez, ce sera un grand plaisir pour tous les lecteurs. Je vous rappelle votre récompense le « voyage bleu » que je vous enverrai si vous donnez à Léo votre adresse pour que je puisse vous en faire parvenir avec grand plaisir un exemplaire. Merci encore et bravo. Cordialement, F. Étienne
Octosyllabe : Poème Polisson (dédié à S. Mercier)
Publié le 18/10/2024
Cher fils de Louis d’abord je vous félicite pour avoir participé à ce défi avec autant de succès. Votre texte de grande qualité poétique a une fluidité qui charme le lecteur. L’accumulation des images et des expressions très poétiques rendent le texte scintillant. Je vous en félicite, c’est un très beau texte dont la nostalgie parfois perce la lecture d’un aiguillon, et la sensualité que vous avez choisie est très colorée. Du point de vue uniquement technique je vais reprendre chacun de vos vers, l’un après l’autre et en détail. Le premier vers est correct tout comme les second et troisième ver. Et ce quatrain se termine sur un vers parfaitement correct. Par contre le premier vers du deuxième quatrain a une syllabe de trop, de même que le second ver a dix syllabes. Quant au troisième vers il a lui aussi neuf syllabes mais le dernier vers de ce quatrain est lui parfaitement correct. Le premier vers du troisième quatrain est correct mais le second a lui aussi neuf syllabes. Le troisième vers est parfaitement correct ainsi que le dernier vers. Dans le dernier quatrain le premier vers est correct, le deuxième manque par contre d’une syllabe. Le troisième vers a dix pieds ainsi que le dernier vers. Votre travail poétique est excellent, peut-être faudrait-il travailler sur le nombre de syllabes dans chacun des vers mais je dois reconnaître que l’octosyllabe est beaucoup plus difficile à composer que l’alexandrin, car il lui manque une césure franche et bien entendu étant plus court, il correspond à un souffle poétique plus saisissant. Une dernière remarque sur les rimes que vous respectez parfois et que parfois vous ignorez. Là encore peut-être qu’un travail plus rigoureux sur la rime ajouterait à votre poème une musicalité plus intense. Il n’en reste pas moins que vous avez d’abord participé avec enthousiasme et grand succès à cet atelier d’écriture, et qu’ensuite votre travail est sur une bonne voie pour atteindre la perfection technique. Il vous suffit d’un peu plus de rigueur, ou simplement un peu plus attention. Je vous renouvelle mes félicitations et vous rappelle que je vous enverrai un exemplaire du « voyage bleu » avec le plus grand plaisir pour vous récompenser de cette participation, et il vous suffira de communiquer votre adresse à Léo pour je que je puisse vous faire parvenir ce livre. Très cordialement, F. Étienne
Les rêves égarés
Publié le 18/10/2024
Je découvre seulement ton commentaire, merci infiniment de citer Miren qui est vraiment une sacrée artiste. C'est un beau cadeau que Miren et Marie-Luce m'ont fait.
Mystérieux horoscope
Publié le 18/10/2024
Il y a dans tes deux premiers vers une sacrée belle quadrature que composent les mots, le silence, la mémoire et la sérénité. une belle aire d'envol pour tutoyer quelques recoins de ta belle poésie. J'ai beaucoup aimé la vanité, qui est certes un défaut mais qui permets tout de même de grandes choses, et puis j'ai adoré "les serpents avides de parloirs". Ton horoscope promet des lendemains mouvementés. A plus tard Francis Étienne.
Serpent à sonnet
Publié le 18/10/2024
Grand merci Jeanine, tout cela n'a pas été simple mais avec la bienveillance de tout le monde ici et les conseils de Francis Étienne, on ose et on on progresse vite, c'est vraiment chouette.
Serpent à sonnet
Publié le 18/10/2024
Merci Jeff, j'ai découvert le mot acariose en cherchant une rime, c'est en forgeant que l'on devient forgeron. Ce qui est top avec l'écriture, c'est qu'elle nous emmène dans des sentiers et des connaissances sans cesse renouvelées. A plus tard.
Serpent à sonnet
Publié le 18/10/2024
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Alban lance l'enquête sur Sara — extrait—
Publié le 18/10/2024
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C'est là que l'on rêve
Publié le 18/10/2024
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C'est là que l'on rêve
Publié le 18/10/2024
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